Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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samedi 16 février 2019

Le RUSSIAGATE, une mauvaise farce

La comédie du Russiagate est terminée



Rien, zéro, nada a été trouvé pour soutenir la théorie du complot. 
La campagne de Trump n'a pas été de connivence avec la Russie. Non seulement après deux ans et deux cents entretiens, le Comité sénatorial du renseignement arrive à la fin de son enquête sur les élections de 2016 en n’ayant découvert aucune preuve directe d’une conspiration entre la campagne Trump et la Russie, selon les démocrates et les républicains membres du comité, mais tous ces articles (en anglais) ci-dessous montrent assez que le président des US n'est pas le moins du monde russophile dans tout ce qu'il a entrepris jusqu'à nos jours…

Ils ne finiront donc jamais d'essayer de nous faire gober leurs grossiers mensonges…

Trump déploie des chars d'assaut en Estonie alors que l'OTAN renforce son immense armée à la frontière russe - Express, 7 février 2017

Trump lance une attaque contre la Syrie avec 59 missiles Tomahawk - CNBC, 6 avril 2017

Les États-Unis rejettent la demande de dispense accordée par Exxon Mobil aux sanctions contre la Russie - NYT, le 21 avril 2017

Trump va promouvoir les exportations américaines de gaz naturel dans la cour de la Russie - Reuters, 3 juil. 2017

Trump exhorte l'Europe de l'Est à relâcher le contrôle de la Russie avec le gaz américain - Bloomberg, 6 juillet 2017

Trump signe un projet de loi approuvant de nouvelles sanctions contre la Russie - CNN, 3 août 2017

Le Ministère japonais de la justice demande à la RT russe de s'enregistrer en tant qu'agent étranger - Newsmax, 13 septembre 2017

Les Etats-Unis vont restreindre les vols militaires russes au dessus de l'Amérique - Independent, 26 septembre 2017

Trump signe la loi sur l'interdiction du logiciel Kaspersky Lab par le gouvernement américain - Reuters, 12 décembre 2017

Trump donne son feu vert à la vente d'armes meurtrières à l'Ukraine - The Hill, 20 déc. 2017

Les États-Unis punissent un dirigeant tchétchène de nouvelles sanctions contre les Russes - NYT, 20 déc. 2017

Le partenaire de Sputnik «tenu de s'inscrire» en vertu de la loi américaine sur les agents étrangers - RFERL, 10 janvier 2018

Trump dit que la Russie aide la Corée du Nord à éviter les sanctions - CBSNews, 17 janvier 2018

La stratégie de "domination énergétique" de Trump sape l'influence et les affaires de la Russie en Europe - Reuters, 9 février 2018

Trump cherche à dissuader la Russie et la Chine avec 686 milliards de dollars demander le Pentagone - The Hill, 12 févr. 2018

Un général américain en Syrie confirme que les forces américaines ont tué des centaines de Russes lors d'une bataille massive - The Drive, 16 mars 2018

Trump ordonne l'expulsion de 60 diplomates russes et la fermeture du consulat de Seattle - CBS, 26 mars 2018

Trump promet l'envoi périodique de troupes américaines dans les États baltes et renforce la défense aérienne - Lithuania Tribune, 3 avril 2018

Trump s'oppose au Nord Stream II, questions Allemagne - AA, 4 avril 2018

Trump vient de frapper les oligarques russes avec les sanctions les plus agressives à ce jour - Vice, 6 avril 2018

Trump ordonne une frappe de missile sur des cibles militaires syriennes - CBSNews, 9 avril 2018

Les stocks d'aluminium à la hausse subissent les sanctions de Trump contre le président Poutine - Investisseurs, 9 avril 2018

La Russie "profondément déçue" par le retrait de Trump de l'accord avec l'Iran - Times of Israel, 9 mai 2018

Trump aux alliés de l'OTAN: Augmenter les dépenses militaires à 4% du PIB - AlJazeerah, 12 juillet 2018

Trump déclare que les liens entre les Etats-Unis et l'OTAN sont "très forts" - Politico, 12 juillet 2018

Les États-Unis vont sanctionner la Turquie pour avoir reçu des missiles S-400 - Ahval, 27 juillet 2018

L'administration de Trump va frapper la Russie avec de nouvelles sanctions pour l'empoisonnement à Skripal - NBC News 8 août 2018

La force spatiale est la réponse de Trump aux nouvelles armes russes et chinoises - FP, 10 août 2018

Les Etats-Unis sanctionnent une entité chinoise pour l'achat de chasseurs russes, des S-400 - Trésor - Spoutnik, 20 septembre 2018

Trump fait allusion à une action punitive contre l'Inde pour l'achat de S-400 à la Russie - India Today, 11 octobre 2018

Trump s'engage à augmenter le budget du Pentagone à 750 milliards de dollars en 2019 - Rapports - Sputnik, 12 oct. 2018

Trump dit que les Etats-Unis vont se retirer du traité sur les armes nucléaires avec la Russie - Guardian, 21 octobre 2018

Haley condamne les tirs «scandaleux» de Russes sur des navires ukrainiens - Bloomberg, le 26 novembre 2018

2 points forts de Trump coûtent à ce PDG russo-américain 2,3 milliards de dollars - Forbes, 14 janvier 2019

(source)
Alors quand notre Trump au petit pied veut essayer, avec ses larbins, de nous faire avaler la même chose pour la France, ça fait doucement rigoler… c'est la faute-à-la-Russie OuiOui…

vendredi 20 janvier 2017

Ingérence russe dans l'élection présidentielle US ?

SOURCE :

La Russie : risques et offenses par Rafael Poch-de-Feliu



EXTRAIT
[…] il est inévitable de situer l’ingérence (présumée ou réelle) du Kremlin dans la politique US faite par tant de titres ces jours ciaprès plusieurs années de diabolisation intense du Président russe dans tout l’Occident et particulièrement en Allemagne. Le moins que l’on puisse dire c’est que ce qui a filtré, si c’est crédible, est ridicule à côté de ce qu’ a représenté l’ingérence des États-Unis dans la politique russe.
L’histoire drôle de l’ingérence dans Hillarystán
Dans les années quatre-vingt-dix, l’ingérence de Washington en Russie a été déterminante pour la ruine et la criminalisation de l’économie russe. Beaucoup de décrets de privatisation et d’autres aspects essentiels ont été rédigés directement à Washington. Des gens comme le vice-secrétaire du trésor US Lawrence Summers, donnait directement des instructions en matière de code fiscal, TVA et des concessions d’exploitation de ressources naturelles et les plombiers de l’Harvard Institute for International Development, sous le parrainage de l’USAID, Jeffrey Sachs, Stanley Fisher et Anders Aslund, avaient autant d’influence que les ministres.
Sous la baguette d’Andrei Kózyriev (1992-1996), la politique extérieure russe était aux mains d’une marionnette de Washington qui a été mise comme récompense à la tête de l’entreprise pharmaceutique étasunienne ICN après être révoqué. Le grand projet géopolitique pour la Russie des stratèges de Washington comme de Zbigniew Brzezinski était de dissoudre le pays dans quatre ou cinq républiques géopolitiquement insignifiantes - un scénario que la Russie n’a jamais envisagé pour les Etats-Unis, ni dans les moments les plus forts du pouvoir soviétique et dont le précédent historique le plus proche est le projet de dissolution de l’URSS du Reichsministerium für die besetzten Ostgebiete sous la conduite du nazi Alfred Rosenberg. Lors des présidentielles de juin/juillet 1996, la complicité des États-Unis a été la clef pour faciliter le financement illégal de la campagne de Eltsine et la manipulation de renseignements qui l’a accompagnée, ce qui a empêché une probable victoire communiste …
Que beaucoup de tout cela eut été consenti et même favorisé par la classe politique russe dont le principal souci à cette époque était de se remplir les poches, ne change pas grande chose au sujet : Après, quand avec Poutine la priorité a été la stabilisation de l’acquis et la récupération de la Russie, Washington a promu les révolutions de couleurs dans divers pays de l’environnement russe et a toujours appuyé ce scénario en Russie même, en soutenant d’un point de vue économique et informatif les organisations non gouvernementales et les défenseurs de droits de l’homme - plusieurs d’eux plus qu’honorables - dont l’action était favorable à ses intérêts.
La clé de la récupération russe au début du XXIe siècle a été la soumission du complexe énergétique aux intérêts de l’État. Ce fut alors, qu’on s’est aperçu que Poutine mettait fin la « bananisation » de la Russie, quand Washington avait parié sur le magnat Mijail Jodorkovski.
Propriétaire de Yukos, la plus grande compagnie pétrolière russe, et principal bénéficiaire de la privatisation énergétique des années quatre-vingt-dix, Jodorkovski se préparait à défier électoralement Poutine. En 2003, il se disposait à tracer pour cela des liens économiques stratégiques avec l’Occident comme la vente d’un tiers des actions de Yukos à l’Exxon-Mobil (22.000 millions de dollars), la construction d’un oléoduc vers la Chine et d’un terminal pour l’exportation vers l’occident à Mourmansk avec lequel il cherchait à déterminer l’exportation de brut. Tout cela non seulement cassait le pacte que Poutine avait établi avec les magnats (pour les acquisitions des privatisations en échange de la non ingérence politique et la soumission à l’État), mais privait le Kremlin du principal atout géopolitique pour la récupération de la Russie : l’usage de sa puissance énergétique.
Jodorkovski, « a adopté des décisions qui affectaient le destin et la souveraineté de l’État et qu’on ne pouvait pas laisser dans les mains d’un seul homme guidé par ses propres intérêts », a expliqué Poutine en son temps. Jodorkovski a été emprisonné et immédiatement soutenu par l’Occident jusqu’à sa remise en liberté…
Ce type d’ingérence dans les affaires de la Russie fut une constante - tout russe le sait - et remet à sa place le présumé scandale des hackers russes dans la campagne électorale étasunienne. La réalité simple est que, dans l’hypothèse la plus extrême et indémontrable - avec Poutine pilotant personnellement l’opération - toute cette affaire est assez innocente. Plus encore : à côté de ce que le valeureux dissident Eduard Snowden a révélé après avoir démontré sur pièces, l’existence du Big Brother et son contrôle mondial total des communications par les États-Unis à travers la NSA, cet épisode des courriels de Madame Hillary ressemble beaucoup à une mascarade.
Rafael Poch* pour La Vanguardia
Diario de Paris, 7 janvier 2017.

* Rafael Poch, Rafael Poch-de-Feliu (Barcelone, 1956) a été vingt ans correspondant de « La Vanguardia » à Moscou et à Pékin. Avant il a étudié l’Histoire contemporaine à Barcelone et à Berlin-Ouest, il a été correspondant en Espagne du « Die Tageszeitung », rédacteur de l’agence allemande de presse « DPA » à Hambourg et correspondant itinérant en Europe de l’Est (1983 à 1987). Actuellement correspondant de « La Vanguardia » à Paris.
Traduit de l’espagnol pour El Correo de la diaspora par : Estelle et Carlos Debiasi
El Correo de la diaspora. Paris, 15 janvier 2016.

vendredi 11 novembre 2016

LAURENCE BACK TO RUSSIA (suite) : Agir à son niveau, là où on est placé par la vie…

Sur le BLOG de LAURENCE 

Vassily Kandinsky, Cosaques (1910-1911, huile sur toile, Londres, Tate)
SURARMÉS (extrait)
Quelqu'un a écrit, à propos de mes chroniques de Pereslavl, qu’elles montraient bien que ce pays surarmé en était resté au néolithique. Il reproche au gouvernement russe une « course aux armements démentielle », alors que les gens ont un très mauvais niveau de vie, et n’ont pas connu, à cause du communisme, le « développement humain » qui fut le nôtre en occident. J’en ai parlé à Kostia, qui m’a répondu : « Laissez les dire, nous nous avons l’espoir, et nous nous soutenons les uns les autres pour le garder. En face, ils ont peut être plus de biens matériels, mais ils sont sur le point de les perdre, et ils n’ont ni foi ni espoir. Les choses s’améliorent petit à petit, on ne peut les changer du jour au lendemain. Poutine est très prudent. On ne peut pas mettre en prison tous les fonctionnaires et tous les gouverneurs corrompus et voleurs, car nous n’aurions pas assez de monde pour les renouveler. En revanche, on peut organiser les choses pour qu’il leur soit beaucoup plus difficile de voler et c’est ce qu’il est en train de faire. Il agit sagement, pas à pas. Peut-être n’est-il pas parfait, mais nous n’en avons pas d’autre. Et où en serions-nous sans lui ? Quand au surarmement, il suffit de comparer l’armement américain au nôtre, et le nombre des bases américaines déployées, pour voir où est l’agresseur, nous faudrait-il attendre gentiment et sans rien faire qu’on nous tombe dessus ? »
Il m’a parlé du mouvement cosaque, auquel il est affilié, et m’a appris que c’était un mouvement bénévole qui s’apparentait à une milice populaire. Les cosaques se substituent de plus en plus à la police, et font preuve d’une mentalité incorruptible et d’un patriotisme en béton. Les cosaques sont l’épaule sur laquelle le peuple russe peut s’appuyer. Les cosaques ressuscitent les traditions et font des enfants en pagaille, qu’ils élèvent dans ces traditions. Il croit que les orthodoxes et les cosaques, sont le ferment de la renaissance russe, et déplore l’action corruptrice des médias, au sein desquelles il faudrait faire le ménage, car elles diffusent souvent des informations fausses et tendancieuses, des distractions nocives et dégradantes. Les dessins animés proposés n’apportent rien de bon aux enfants, et les jouets monstrueux qu’on leur vend non plus, il lutte contre cela dans sa propre famille. C’est un idéaliste pragmatique, il faut à ses yeux agir à son niveau, là où on est placé par la vie, et accomplir ce qui nous revient, sans faiblir. J'ai trouvé un encouragement dans ce qu'il me disait, et un sens à ma présence ici.
Laurence Guillon 

LIRE LE TEXTE INTÉGRAL ICI 


lundi 22 septembre 2014

LA "DÉMOCRATIE" UKRAINIENNE… Sachez bien qui vous soutenez !

DÉCLARATION DE LA DÉPUTÉE DE LA RADA SUPRÊME D’UKRAINE ELENA BONDARENKO

12 septembre 2014
Mes amis, voici ma déclaration ! Je demande de la diffuser un maximum. Ceux qui ont la possibilité de la traduire, qu’ils le fassent.
« Moi, Elena Bondarenko, députée du Parti des régions, me trouvant dans l’opposition à l’actuel pouvoir en Ukraine, je veux déclarer que ce pouvoir s’abaisse jusqu’aux menaces directes d’élimination physique des représentants politiques d’opposition en Ukraine, jusqu’à priver de leur droit de parole l’opposition au parlement et en dehors, et même à la complicité de crimes non seulement contre ces représentants politiques mais contre leurs enfants. Des menaces constantes, l’interdiction non formulée de la présence des opposants sur les ondes de la plupart des chaînes ukrainiennes, une persécution déterminée, ce sont là déjà les attributs de la vie courante d’un député en Ukraine. Tous ceux qui appellent à la paix en Ukraine sont immédiatement inscrits par le gouvernement sur la liste des ennemis du peuple, comme ils le furent, par exemple, dans l’Allemagne des années 30-40 du siècle dernier ou au temps de la politique de McCarthy aux USA.
Il y a quelques jours, le ministre des Affaires intérieures de l’Ukraine, Arsen Avakov, qui est un ardent partisan du dénommé « parti de la guerre » en Ukraine, a déclaré la chose suivante : « Quand Elena Bondarenko monte à la tribune faire un discours, la main cherche tout de suite le revolver ».
Je souligne que c’est un homme investi de la fonction de premier policier de l’état qui dit une chose pareille. Il y a exactement une semaine, le porte-parole du parlement ukrainien Alexandre Tourtchinov m’a privée de la même façon de mon droit de parler à la tribune en tant que représentante de la fraction d’opposition du « Parti des régions ». Il m’en a privée simplement parce que j’ai déclaré que « le pouvoir qui envoie l’armée bombarder des civils est criminel ». Après quoi, il a donné avec magnanimité la possibilité aux radicaux du parlement d’appeler à fusiller l’opposition. Rappelant que, à la fin de l’année dernière, quand les extrémistes commençaient à s’armer à Kiev, on avait tiré sur ma voiture et que ce fait avait été enregistré par les organes de police sur ma déclaration, je considère ce genre de menaces avec le plus grand sérieux. J’informe également tous ceux qui ne le savent pas encore que le pouvoir actuel couvre des criminels, qui ont osé lever la main sur le fils d’un autre opposant politique, Vladimir Oleinik. Rouslan Oleinik, qui occupe la fonction de procureur de district, a été roué de coups sur son lieu de travail, à la suite de quoi sa vie et sa santé se sont trouvées menacées. Au lieu d’enquêter sur cette agression contre un procureur dans l’exercice de ses fonctions et sur cette intimidation monstrueuse à l’égard d’un opposant et de sa famille, le pouvoir a licencié ledit procureur. J’entends chaque semaine mes collègues parler des passages à tabac de leurs collaborateurs, des perquisitions dans les entreprises de leurs partisans, des menaces et même des attentats sur leurs vies, leur santé et leurs biens.
L’espace informatif ukrainien est presque complètement épuré de cette information, et les Ukrainiens ordinaires ne devinent même pas que se déroule en Ukraine une lutte criminelle contre l’opposition, que le droit à la libre parole donné par la Constitution est malmené de toutes parts. Ces mêmes rédactions qui, surmontant leur peur, travaillent honnêtement s’exposent aux agressions des groupuscules nationalistes, or les organisateurs et les participants de ces pogroms des rédactions, même identifiés par des vidéos et du matériel photographique, ne sont pas tenus responsables. J’en appelle aux structures internationales qui déclarent leur attachement aux principes démocratiques, pour qu’elles ne se contentent pas de prêter attention à cela mais qu’elles se mettent au travail afin que soient conservés et observés les droits démocratiques et les libertés des citoyens ukrainiens. Les méthodes de la junte de Kiev dans sa lutte pour le pouvoir, et plus exactement dans sa lutet pour l’édification d’une dictature en Ukraine n’ont rien de commun avec la notion de « démocratie ».
L’inactivité de la communauté internationale à l’égard de ces faits criants seront considérés comme de la complicité et de l’approbation silencieuse envers tous les crimes qui se commettent à présent en Ukraine. 

Le monde libre perd encore un avant-poste, l’Ukraine. Tous ceux qui se battent, non en paroles, mais dans les faits, pour la démocratie, les droits et la liberté de l’homme peuvent ensemble faire beaucoup. Car nous sommes les seuls à pouvoir arrêter la junte et la guerre fratricide en Ukraine !
Avec tout mon respect.
Le député populaire d’Ukraine Elena Bondarenko

 (traduction Laurence Guillon)




Elena Bondarenko, député au parlement ukrainien, convainc une journaliste de mensonge



Crimes contre l'humanité de l'armée de voyous de Kiev contre la population civile de Novorossiya


Un combattant des forces armées de la Novorussie témoigne sur les mauvais traitements infligés par la Natsgvardia ukrainienne

VOIR AUSSI :

https://www.youtube.com/watch?v=N3Z5m4Bf2XA&feature=player_embedded


vendredi 12 septembre 2014

NOTRE EUROPE RÉELLE

L’Europe de Lisbonne à Vladivostok! 
Imagine-t-on la puissance, la continuité, le rayonnement, les ressources d’un tel ensemble?




Avertissement au monde : Washington et ses vassaux de l’OTAN et de l’UE sont devenus fous

Herbert E. Meyer, (photo) un dingue qui fut pendant un temps assistant spécial du directeur de la CIA sous l’administration Reagan, a écrit un article appelant à l’assassinat du président russe Vladimir Poutine. Si nous pouvions “le faire partir du Kremlin les deux pieds devant avec un trou derrière la tête, ce serait bien pour nous.“Comme l’illustre très bien ce fou de Meyer, la folie que Washington a déversé sur le monde ne connaît plus de retenue. Jose Manuel Barroso, une marionnette de Washington installée comme président de la Commission, a déformé les propos issus de sa récente conversation téléphonique confidentielle avec le président Poutine en déclarant aux médias que Poutine avait fait des menaces : “Si je veux, je peux prendre Kiev dans deux semaines.”

De toute évidence, Poutine n’a pas émis de menace. Une menace serait incompatible avec l’approche diplomatique de Poutine face à la menace stratégique que Washington et ses marionnettes de l’OTAN font peser sur la Russie en Ukraine. Représentant permanent de la Russie auprès de l’UE, Vladimir Chizhov, a déclaré que si Barroso maintenait son mensonge, la Russie rendrait public l’enregistrement complet de leur conversation.

Quiconque est familier avec la disparité entre les armées russes et ukrainiennes sait très bien qu’il faudrait à l’armée russe seulement 14 heures et non 14 jours, pour prendre la totalité de l’Ukraine. Rappelez-vous ce qui s’est passé avec l’armée géorgienne, entraînée et équipée par les Etats-Unis et Israël, lorsque Washington a mis ses stupides marionnettes géorgiennes en Ossétie du Sud. L’armée géorgienne, soutenue par les Etats-Unis et Israël s’est effondrée devant la contre-attaque russe en 5 heures.

Le mensonge que la marionnette de Washington, Barroso, a fait n’est pas digne d’une personne sérieuse. Mais où y a-t-il en Europe, une personne sérieuse au pouvoir ? Nulle part. Les quelques personnes sérieuses sont loin du pouvoir. Considérons le Secrétaire général de l’OTAN, Anders Rasmussen. Il a été premier ministre du Danemark et a vu qu’il pouvait s’élever au-delà du Danemark sur la scène internationale en servant de marionnette pour Washington. En tant que premier ministre, il a fortement soutenu l’invasion illégale de l’Irak par Washington, en déclarant que “nous savons que Saddam Hussein possède des armes de destruction massive.” Bien sûr, ce fou n’était nullement au courant de telle chose, et d’ailleurs pourquoi cela poserait problème si l’Irak possédait de telles armes. Beaucoup de pays possèdent des armes de destruction massive.

Selon la règle selon laquelle toute personne qui sert de Washington est valorisée, le numéro Rasmussen a été promu.

Le problème avec l’élévation des imbéciles sans scrupules, c’est qu’ils sacrifient le sort du monde pour leur carrière. Rasmussen a mis à présent l’ensemble de l’Europe orientale et occidentale au bord de l’anéantissement. Rasmussen a annoncé la création d’une force qui constituerait un fer de lance capable de mener une guerre éclair (Blitzkrieg) contre la Russie. Ce que la marionnette de Washington appelle «le plan de préparation de l’action» est justifiée comme une réponse à “un comportement agressif de la Russie en Ukraine.”

Le fer de lance de la force” de Rasmussen serait anéanti avec chaque capitale européenne. Quel genre d’idiot provoquerait une superpuissance nucléaire de cette façon ?

Rasmussen dénonce le “comportement agressif de la Russie“, mais n’a aucune preuve de ce qu’il avance. La Russie s’est tenue sur la touche alors que gouvernement fantoche de Washington à Kiev a bombardé et attaqué des logements civils, des hôpitaux, des écoles et émis un flux constant de mensonges contre la Russie. La Russie a rejeté les demandes des provinces nouvellement indépendantes de l’est et du sud de l’Ukraine, les anciens territoires russes, d’être réunies avec la Russie. Comme les lecteurs le savent, je considère la décision de Poutine comme une erreur, mais les événements pourraient me prouver le contraire et je serai prêt à l’accepter. Pour l’instant, le fait est que tout acte de comportement agressif est le résultat de l’appui des États-Unis, de l’UE et des nazis à Kiev. Ce sont les milices nazis ukrainiennes qui attaquent des civils dans les anciens territoires russes de l’est et du sud de l’Ukraine. Un certain nombre d’unités militaires ukrainiennes ont régulièrement fait défection dans les républiques indépendantes.

Oui, les nazis. L’Ouest de l’Ukraine fut la maison mère de la division SS ukrainienne qui combattit pour Hitler. Aujourd’hui, les milices organisées par le Secteur Droit et d’autres organisations politiques de droite portent l’insigne nazi des divisions SS ukrainiennes. Ce sont les gens que Washington et l’UE soutiennent. Si les nazis ukrainiens pouvaient gagner contre la Russie, ce qu’ils ne peuvent pas, ils se tourneraient vers l’Occident, tout comme l’a fait l’armée islamiste de l’EIIL (Etat Islamique d’Irak, de Syrie et du Levant) financée par Washington qui a déclenché la guerre en Libye et en Syrie. Maintenant l’EIIL est en train de participer au remodelage du Moyen-Orient, et Washington semble impuissante.

William Binney, un ancien haut fonctionnaire de la National Security Agency (NSA) des États-Unis, et ses collègues de la CIA et des services de renseignement militaire ont écrit à la chancelière allemande Angela Merkel en lui conseillant de se méfier des mensonges d’Obama au prochain sommet de l’OTAN au Pays de Galles. Les responsables du renseignement états-unien conseillent à Merkel de se remémorer de l’histoire “des armes de destruction massive” de l’Irak et de ne pas être à nouveau trompée, cette fois-ci dans le cadre du conflit avec la Russie.

La question est : qui Merkel représente-t-elle ? Washington ou l’Allemagne ? Jusqu’à présent, Merkel a représenté Washington plutôt que les intérêts économiques allemands, et non le peuple allemand pas plus que les intérêts de l’Allemagne en tant que pays. Voici l’exemple d’une manifestation à Dresde où une foule s’oppose au discours de Mme Merkel aux cris de “kriegstreiber” (fauteur de guerre), “menteur, menteur,” et “pas de guerre avec la Russie.” (voir la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=-wSMhGE_Mpk).

Lors de mon doctorat, mon directeur de thèse, qui est devenu un haut fonctionnaire du Pentagone assigné à la tâche de mettre un terme à la guerre du Vietnam, en réponse à ma question sur la façon dont Washington a toujours réussi à imposer aux Européens ce que Washington voulait m’a répondu : “l’argent, nous leur donnons de l’argent” “L’aide étrangère” ai-je demandé ? “Non, nous donnons aux dirigeants politiques européens des valises pleines d’argent (“bag fulls of money”). Ils sont à vendre, nous les avons achetés. Et ils viennent rapporter“. Peut-être que cela explique les 50 millions de dollars amassés par Tony Blair en une année.

Les médias occidentaux, le plus grand bordel au monde, attend désespérément la guerre. Le comité de rédaction du Washington Post, devenu à présent un journal-trophée aux mains du propriétaire milliardaire d’Amazon.com, a publié un éditorial le 31 août qui reprend tous les mensonges émanant de Washington (et du Post) au sujet de Poutine.

Le propriétaire d’Amazon.com sait sans doute comment commercialiser les produits sur Internet, mais en ce qui concerne la direction d’un journal, sa gestion est désespérante. Les rédacteurs en chef duWashington Post ont fait de son trophée la risée du monde entier.


Voici les accusations stupides que les éditeurs du milliardaire ont formulé contre Poutine dans son journal :

Poutine, a vécu douloureusement l’effondrement de l’URSS, c’est pour cela qu’il a “ressuscité la tyrannie du Grand mensonge” afin de reconstituer l’empire russe.

“Les milices sponsorisées par les russes en Ukraine” sont responsables du “tir qui a abattu l’avion de ligne de la Malaisie en juillet.” Les “médias contrôlés par l’Etat russe” ont menti et désinformé le peuple russe au sujet des responsables qui sont à l’origine du crash de l’avion de ligne.

“M. Poutine le Grand Menteur montre pourquoi il est important de soutenir une presse libre là où elle existe et des médias comme Radio Free Europe qui apportent la vérité aux gens qui en ont besoin”.

En tant qu’ancien rédacteur en chef du Wall Street Journal, je peux dire en toute confiance que cette propagande extraordinaire dans le cadre d’un éditorial aurait entraîné le licenciement immédiat de toutes les parties concernées. A mon époque, le Washington Post était considéré comme un agent de la CIA parmi les membres du Congrès. Aujourd’hui, le Post a sombré bien en dessous de cette réputation.

J’ai assisté à des flots de propagande émanant des médias durant ma vie, mais cet éditorial du Washington Post a décroché le pompon. L’éditorial montre combien les journalistes, les éditorialistes sont complètement ignorants à moins qu’ils soient complètement corrompus ; cela suppose aussi que leurs lecteurs sont complètement ignorants. Si les unités militaires russes étaient en action dans l’est de l’Ukraine, la situation serait exactement comme décrit par Alexander Zakharchenko et Dmitry Orlov : l’Ukraine n’existerait plus. L’Ukraine serait de nouveau une partie de la Russie comme elle le fut pendant des siècles avant que Washington profite de l’effondrement soviétique pour écarter l’Ukraine loin de la Russie.

La question qui se pose est : combien de temps la Russie va avoir la patience de supporter les énormes mensonges et provocations de l’Occident ? Peu importe la façon dont la Russie se retient d’intervenir, la Russie est accusée du pire. Par conséquent, la Russie peut ainsi infliger le pire.

L’OTAN ne pourrait rien faire, si la Russie décidait que l’Ukraine entre les mains de Washington, était une trop grande menace stratégique, et décidait de réintégrer l’Ukraine au sein de la Russie dont elle a fait partie pendant des siècles. Toute force de l’OTAN envoyée sur le terrain entraînerait une guerre que l’OTAN ne pourrait gagner. La population allemande, se rappelant des conséquences de la guerre avec la Russie, renverserait le gouvernement fantoche de Washington. L’OTAN et l’Union européenne s’effondreraient tandis que l’Allemagne quitterait la construction absurde servant les intérêts de Washington au détriment de l’Europe.

Une fois que cela se produira, le monde aura la paix. Mais pas avant.

Pour ceux qui se soucient de comprendre comment cette terre de propagande fonctionne, le gouvernement fantoche de Washington à Kiev attribue la défaite de ses forces militaires dans la République Donetsk à la présence au sein de l’armée de Donetsk d’unités militaires russes. C’est la propagande qui est diffusée à l’ouest de l’Ukraine et dans les médias occidentaux “pressetitués” (“presstitute”), une collection de putes qui font écho à la propagande sans aucune investigation. Cependant, Kiev a une histoire différente pour le FMI. Kiev ne peut pas recevoir de l’argent du FMI pour payer ses créanciers occidentaux si l’Ukraine est en guerre. Par conséquent, l’Ukraine déclare exactement le contraire au FMI : la Russie n’a pas attaqué l’Ukraine.

Les médias occidentaux restent indifférent à tous les faits. Ce qui les intéresse ce sont juste les mensonges. Seulement les mensonges.

Le Washington Post, le New York Times, CNN, Fox “news”, Die Welt, la presse française, la presse britannique, tous plaident : “s’il vous plaît Washington donnez-nous des mensonges plus sensationnels que nous puissions les répandre. Notre santé financière en a besoin. Pourquoi se soucier de la guerre et du genre humain si nous pouvons regagner la stabilité financière.”





Paul Craig Roberts

vendredi 5 septembre 2014

PRÉSIDENT Vladimir Vladimirovitch POUTINE… ce qu'il faut dire aussi


SUR LE SITE 

Un article de Loic Abadie
Mise en ligne le : lundi, 17 mars 2014 07:51


Poutine : son bilan en quelques graphiques...



À un moment ou l'ensemble de notre presse bien-pensante s'indigne des agissements de sa tête de turc favorite, Vladimir Poutine, et où l'ensemble des dirigeants occidentaux se répandent en leçons de morale et de droit sur la décision des Criméens de rejoindre la Russie (avec 81% de taux de participation et 95% de "oui"), je tenais simplement à vous soumettre ces quelques graphiques :

Je préfère les faits aux grands discours moralisateurs (surtout lorsqu'ils sont unanimes), et ces faits indiquent pour moi que cet homme n'est pas forcément aussi mauvais qu'on voudrait nous le faire croire !
Rappelons que Vladimir Poutine est arrivé au pouvoir en Russie à la fin de l'année 1999, et qu'il y est resté depuis (y compris pendant l'intermède Medvedev), le trait rouge que j'ai ajouté sur les graphiques indique le début de l'ère Poutine, les documents proviennent du site tradingeconomics.

L'arrivée de Poutine s'est traduite notamment par :

- Un doublement du PIB / habitant (en monnaie constante), et la fin d'une longue période de récession. 
- Une balance des paiements courants devenue fortement et structurellement excédentaire.
- Une inflation revenue à un niveau normal (après des taux dépassant parfois les 100% dans les années 90)
- Un niveau d'activité de la population en hausse régulière.
- Une dette publique passant de 90% à moins de 10% du PIB en seulement 7 ans.
- Un taux de pauvreté réduit de plus de 50%.

Le président russe n'est évidemment pas un saint (comme tout dirigeant politique), et il y a sans doute des progrès à faire sur le plan des droits civiques en Russie. Malgré tout, je pense qu'au vu de son bilan, Poutine mérite d'être qualifié de "grand dirigeant" (un des tous derniers en Europe), pour avoir réussi à redresser son pays, qui n'était qu'un champ de ruines à son arrivée.

Il nous montre qu'une politique associant souverainisme et libéralisme économique (le taux d'impôt sur le revenu est de seulement 13% et celui sur les sociétés de 20% en russie) peut donner de bons résultats...Et que les criméens n'ont sans doute pas choisi la Russie sous l'effet de la contrainte, mais qu'il s'agit d'un vrai vote d'adhésion.


PIB / Habitant en dollars constants : 


Balance des paiements courants : 



Ratio dette publique / PIB



Personnes employées


Inflation : 


Évidemment ça n'arrange pas tout le monde… dans le monde.
ET NOUS ? Vu ce qu'on a comme dirigeants en France ( 13% de popularité) et vu la situation économique de plus en plus grave de notre pays, entre Hollande et Poutine vous pouvez faire la différence et votre choix… 



lundi 5 mai 2014

LES BIENFAITS DE LA "DÉMOCRATIE" PROMIS À L'UKRAINE... ?

Ah oui ! Magnifique la libération de l'abominable joug crypto soviético-tsariste poutinien  !

Quelle chance ! Quels petits veinards ces Ukrainiens ! Non seulement ils sont le seul pays d''Europe" à avoir un "gouvernement soutenu officiellement par  des nervis et autres troupes paramilitaires de néo-nazis auto-proclamés sans état d'âme ( on en est encore très loin chez nous n'en déplaise à tous ceux qui voient le retour d'Adolf chaque fois qu'un lepéniste ou soupçonné complice objectif des fachos montre le bout de son nez ou de sa langue) mais on leur promet des lendemains enfin prospères voire nirvanesques...

Mais la réalité pourrait bien être tout autre (c'est le moins que l'on puisse dire) si l'on en juge au modèle du Grand Frère de l'Ouest.. Jugez en plutôt à ces chiffres révélés par le site http://www.zerohedge.com  , je ne suis pas économiste mais si ces chiffres sont exacts cela laisse pour le moins perplexe...
 Voici un extrait de l'article et sa traduction par mes soins en  colonne de droite :

The Number Of Working Age Americans Without A Job Has Risen By 27 Million Since 2000 Submitted by Michael Snyder of The Economic Collapse blog



Did you know that there are nearly 102 million working age Americans that do not have a job right now? 
 And 20 percent of all families in the United States do not have a single member that is employed.  So how in the world can the government claim that the unemployment rate has "dropped" to "6.3 percent"?  Well, it all comes down to how you define who is "unemployed".  For example, last month the government moved another 988,000 Americans into the "not in the labor force" category.  According to the government, at this moment there are 9.75 million Americans that are "unemployed" and there are 92.02 million Americans that are "not in the labor force" for a grand total of 101.77 million working age Americans that do not have a job. 

Back in April 2000, only 5.48 million Americans were unemployed and only 69.27 million Americans were "not in the labor force" for a grand total of 74.75 million Americans without a job.  That means that the number of working age Americans without a job has risen by 27 million since the year 2000.  Any way that you want to slice that, it is bad news.
Well, what about as a percentage of the population?

Has the percentage of working age Americans that have a job been increasing or decreasing?
As you can see from the chart posted below, the percentage of working age Americans with a job has been in a long-term downward trend.  As the year 2000 began, we were sitting at 64.6 percent.  By the time the great financial crisis of 2008 struck, we were hovering around 63 percent.  During the last recession, we fell dramatically to under 59 percent and we have stayed there ever since...
Saviez-vous que il y a près de 102 millions d’Américains en âge de travailler qui n'ont pas un emploi là maintenant ?

Et 20 pour cent de toutes les familles aux États-Unis n'ont pas un seul membre qui ait un emploi. Alors, comment  le gouvernement peut-il prétendre que le taux de chômage dans le monde a « chuté » à « 6,3 pour cent »? Eh bien, tout se résume à la façon dont vous définissez qui est «sans emploi» . Par exemple, le mois dernier, le gouvernement a proposé   de mettre 988 000 autres Américains dans la catégorie « non active » . Selon le gouvernement , à ce moment, il y a 9,75 millions d'Américains qui sont «sans emploi» et il y a 92.02 millions d’Américains qui ne sont " pas dans la population active " pour un total de 101 770 000 Américains en âge de travailler qui n'ont pas d’emploi.

Si l’on revient en Avril 2000, seuls 5.480.000 Américains étaient au chômage et seulement 69.270.000 Américains n'étaient "pas dans la population active " pour un total de 74,75 millions d'Américains sans emploi. Cela signifie que le nombre d'Américains en âge de travailler mais sans emploi a augmenté de 27 millions depuis l'année 2000. De quelque manière que vous vouliez découper cela, ce ne sont que de mauvaises nouvelles .

Eh bien, et qu’est-ce que cela fait en pourcentage de la population ?

Est-ce que le pourcentage d’Américains en âge de travailler qui ont un emploi augmente ou diminue?

Comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessous, le pourcentage d’Américains en âge de travailler qui ont un emploi a été dans une tendance à la baisse à long terme. Quand l'an 2000 a commencé, nous étions parvenus à 64,6 pour cent. Quand la grande crise financière de 2008 a frappé, nous avons été en vol stationnaire autour de 63 pour cent. Au cours de la dernière récession, nous sommes tombés de façon spectaculaire à moins de 59 pour cent et nous en sommes restés là depuis ...

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Je n'en traduis pas plus référez-vous à l'article en cliquant ICI...




Alors ? Il faut vérifier tout cela n'est-ce pas ? Je vous laisse le soin de le faire et remercie Pierre Jovanovic   pour le relais de l'info - je ne le cite pas plus souvent tellement tout ce qu'il raconte est à peine croyable, fait froid dans le dos et fait monter la moutarde au nez...

Et cerise sur le gâteau, voir l'article paru sur le site Atlantico

Ukraine : l'Otan songe à une présence militaire permanente en Europe de l’Est

C'est ce qu'a déclaré ce mardi le général Philip Breedlove, fortement préoccupé par la crise en Ukraine et les nouvelles tensions avec la Russie, jusque-là considérée comme un "partenaire".

Wow ! quelle chance ! Avec tout ça ni les Ukrainiens ni les Européens en craignent plus rien du péril communiste euh pardon ! du péril poutinien! Les États Unis d'Europe ce ne sera bientôt plus que les États Unis en Europe... c'est bien plus pratique non ?