samedi 19 octobre 2024
dimanche 13 novembre 2022
mardi 5 octobre 2021
jeudi 25 mars 2021
mercredi 17 mars 2021
Il y a 5 ans, Marie-France Garaud déclarait : "l'élection présidentielle n'a strictement aucune importance…"
Vu que, par le biais rusé d'interventions de plus en plus fréquentes du porte-parole du gouvernement, la campagne électorale a subrepticement commencé, autant se rappeler comment tout cela fonctionne réellement pour ne pas se faire d'illusions…
Recension de
Dépossession et Coup d’État planétaire
de Liliane Held-Khawam
Il y a 5 ans, Marie-France Garaud déclarait : "l'élection présidentielle n'a strictement aucune importance…"
Vu que, par le biais rusé d'interventions de plus en plus fréquentes du porte-parole du gouvernement, la campagne électorale a subrepticement commencé, autant se rappeler comment tout cela fonctionne réellement pour ne pas se faire d'illusions…
Recension de
Dépossession et Coup d’État planétaire
de Liliane Held-Khawam
lundi 8 mars 2021
"NOUS AUTRES" Anti-utopie prophétique (1920) "мы" d'Evgeny Zamiatin
Dans une société assujettie au bonheur infaillible et obligatoire, alors que la "dernière" de toutes les révolutions possibles a eu lieu, les hommes, sous une cité de verre dans laquelle chaque geste est contrôlé, sont devenus des "Numéros". Ceux-ci paient de leur vie le moindre écart à l'ordre établi contre lequel, malgré tout, une poignée de dissidents va s'insurger. D-503 y tient un journal à la gloire de ce monde aseptisé et y consigne les débuts d'une insurrection qui va peu à peu le transformer. Anti-utopie prophétique qui anticipe toutes les glaciations du XXe siècle, Nous est considéré comme le premier chef-d'oeuvre de science-fiction, celui qui inspirera 1984 de George Orwell et Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley. Cette nouvelle traduction vise à faire entendre, dans les mots, cet appel tragique : on a toujours raison de se révolter (source)
extraits
[…] J'ai eu l'occasion de lire et d'entendre beaucoup d'histoires incroyables sur les temps où les hommes vivaient encore en liberté, c'est-à-dire dans un état inorganisé et sauvage. Ce qui m'a toujours paru le plus invraisemblable est ceci : comment le gouvernement d'alors, tout primitif qu'il ait été, a-t-il pu permettre aux gens de vivre sans une règle analogue à nos Tables, sans promenades obligatoires, sans avoir fixé d'heures exactes pour le repos ! On se levait et on se couchait quand l'envie nous en prenait, et quelques historiens prétendent même que les rues étaient éclairées toute la nuit et que toute la nuit on y circulait.
C'est une chose que je ne puis comprendre. […]
Aujourd’hui, par exemple, à seize heures dix exactement, je me trouvais devant le mur de verre étincelant. Au-dessus de moi, les lettres d’or : « Bureau des Gardiens » brillaient comme un soleil. À travers les murs, je voyais une longue file d’unifs gris-bleu. Les visages luisaient comme des lampes dans une ancienne église. Ils étaient venus pour accomplir une action sublime : pour trahir et sacrifier sur l’autel de l’État Unique, leurs parents aimés, leurs amis, eux-mêmes. J’aurais voulu me précipiter vers eux, mais je ne pus, mes pieds étaient comme soudés aux dalles de verre. Je restai là, les yeux fixes. […]
D’après les documents parvenus jusqu’à nous, les anciens éprouvaient des sentiments semblables lors de leurs « services religieux ». Mais eux, ils servaient un Dieu inconnu et absurde, tandis que nous, nous servons un Dieu sensé et parfaitement connu. Leur Dieu ne leur donnait rien, si ce n’est des inquiétudes éternelles, tandis que le nôtre nous a donné la vérité absolue : il nous a délivrés de toute inquiétude. Leur Dieu n’avait rien trouvé de mieux que de s’offrir lui-même en sacrifice, on ne sait pourquoi, tandis que nous apportons au nôtre, à l’État Unique, un sacrifice paisible, réfléchi et raisonnable. Certes, c’était bien une liturgie triomphale à la gloire de l’État Unique que cette commémoration de la Guerre de Deux Cents ans, de la victoire grandiose remportée par tous sur un seul, par le total sur l’unité…
[…]« la vieille légende du paradis, c’est nous, c’est tout à fait actuel. Vous allez voir. Les deux habitants du paradis se virent proposer le choix : le bonheur sans liberté ou la liberté sans bonheur, pas d’autre solution. Ces idiots-là ont choisi la liberté et, naturellement, ils ont soupiré après des chaînes pendant des siècles. Voilà en quoi consistait la misère humaine : on aspirait aux chaînes. Nous venons de trouver la façon de rendre le bonheur au monde… Vous allez voir. Le vieux Dieu et nous, nous sommes à la même table, côte à côte. Oui, nous avons aidé Dieu à vaincre définitivement le diable ; c’est le diable qui avait poussé les hommes à violer la défense divine et à goûter à cette liberté maudite ; c’est lui, le serpent rusé. Mais nous l’avons écrasé d’un petit coup de talon : “crac”. Et le paradis est revenu, nous sommes redevenus simples et innocents comme Adam et Ève. Toute cette complication autour du bien et du mal a disparu ; tout est très simple, paradisiaque, enfantin. Le Bienfaiteur, le Cube, la Machine, la Cloche Pneumatique, les Gardiens, tout est bon, tout est grandiose, magnifique, noble, élevé, d’une pureté de cristal. Car cela protège notre contrainte, c’est-à-dire notre bonheur. Les anciens, à notre place, se mettraient à raisonner, à comparer et à se casser la tête : “Est-ce moral, est-ce immoral… ?”
1920
"NOUS AUTRES" Anti-utopie prophétique (1920) "мы" d'Evgeny Zamiatin
Dans une société assujettie au bonheur infaillible et obligatoire, alors que la "dernière" de toutes les révolutions possibles a eu lieu, les hommes, sous une cité de verre dans laquelle chaque geste est contrôlé, sont devenus des "Numéros". Ceux-ci paient de leur vie le moindre écart à l'ordre établi contre lequel, malgré tout, une poignée de dissidents va s'insurger. D-503 y tient un journal à la gloire de ce monde aseptisé et y consigne les débuts d'une insurrection qui va peu à peu le transformer. Anti-utopie prophétique qui anticipe toutes les glaciations du XXe siècle, Nous est considéré comme le premier chef-d'oeuvre de science-fiction, celui qui inspirera 1984 de George Orwell et Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley. Cette nouvelle traduction vise à faire entendre, dans les mots, cet appel tragique : on a toujours raison de se révolter (source)
extraits
[…] J'ai eu l'occasion de lire et d'entendre beaucoup d'histoires incroyables sur les temps où les hommes vivaient encore en liberté, c'est-à-dire dans un état inorganisé et sauvage. Ce qui m'a toujours paru le plus invraisemblable est ceci : comment le gouvernement d'alors, tout primitif qu'il ait été, a-t-il pu permettre aux gens de vivre sans une règle analogue à nos Tables, sans promenades obligatoires, sans avoir fixé d'heures exactes pour le repos ! On se levait et on se couchait quand l'envie nous en prenait, et quelques historiens prétendent même que les rues étaient éclairées toute la nuit et que toute la nuit on y circulait.
C'est une chose que je ne puis comprendre. […]
Aujourd’hui, par exemple, à seize heures dix exactement, je me trouvais devant le mur de verre étincelant. Au-dessus de moi, les lettres d’or : « Bureau des Gardiens » brillaient comme un soleil. À travers les murs, je voyais une longue file d’unifs gris-bleu. Les visages luisaient comme des lampes dans une ancienne église. Ils étaient venus pour accomplir une action sublime : pour trahir et sacrifier sur l’autel de l’État Unique, leurs parents aimés, leurs amis, eux-mêmes. J’aurais voulu me précipiter vers eux, mais je ne pus, mes pieds étaient comme soudés aux dalles de verre. Je restai là, les yeux fixes. […]
D’après les documents parvenus jusqu’à nous, les anciens éprouvaient des sentiments semblables lors de leurs « services religieux ». Mais eux, ils servaient un Dieu inconnu et absurde, tandis que nous, nous servons un Dieu sensé et parfaitement connu. Leur Dieu ne leur donnait rien, si ce n’est des inquiétudes éternelles, tandis que le nôtre nous a donné la vérité absolue : il nous a délivrés de toute inquiétude. Leur Dieu n’avait rien trouvé de mieux que de s’offrir lui-même en sacrifice, on ne sait pourquoi, tandis que nous apportons au nôtre, à l’État Unique, un sacrifice paisible, réfléchi et raisonnable. Certes, c’était bien une liturgie triomphale à la gloire de l’État Unique que cette commémoration de la Guerre de Deux Cents ans, de la victoire grandiose remportée par tous sur un seul, par le total sur l’unité…
[…]« la vieille légende du paradis, c’est nous, c’est tout à fait actuel. Vous allez voir. Les deux habitants du paradis se virent proposer le choix : le bonheur sans liberté ou la liberté sans bonheur, pas d’autre solution. Ces idiots-là ont choisi la liberté et, naturellement, ils ont soupiré après des chaînes pendant des siècles. Voilà en quoi consistait la misère humaine : on aspirait aux chaînes. Nous venons de trouver la façon de rendre le bonheur au monde… Vous allez voir. Le vieux Dieu et nous, nous sommes à la même table, côte à côte. Oui, nous avons aidé Dieu à vaincre définitivement le diable ; c’est le diable qui avait poussé les hommes à violer la défense divine et à goûter à cette liberté maudite ; c’est lui, le serpent rusé. Mais nous l’avons écrasé d’un petit coup de talon : “crac”. Et le paradis est revenu, nous sommes redevenus simples et innocents comme Adam et Ève. Toute cette complication autour du bien et du mal a disparu ; tout est très simple, paradisiaque, enfantin. Le Bienfaiteur, le Cube, la Machine, la Cloche Pneumatique, les Gardiens, tout est bon, tout est grandiose, magnifique, noble, élevé, d’une pureté de cristal. Car cela protège notre contrainte, c’est-à-dire notre bonheur. Les anciens, à notre place, se mettraient à raisonner, à comparer et à se casser la tête : “Est-ce moral, est-ce immoral… ?”
1920
vendredi 5 février 2021
VOILÀ À QUOI RESSEMBLE DANS LE DÉTAIL UN MONDE SANS DIEU !
VOILÀ CE QUI SE PASSE EN FRANCE (DU MOINS…)
EN FAIT, IL Y A DANS LE PERSONNEL "SOIGNANT", AU MOINS AUTANT ( SI CE N'EST PLUS) DE SINISTRES ET FROIDS COLLABOS DE LA TYRANNIE TOTALITAIRE NUMÉRIQUE MARCHANDE, DU MÉPRIS DE L'ÊTRE HUMAIN, DE SERVITEURS DES TÉNÈBRES ET DE LA MORT QUE DE DÉVOUÉS HÉROS…
Regardez et écoutez bien, en vous tenant pas loin de vos toilettes ou …
d'une batte de base ball (au choix) ou de votre Komboskini (pour rester religieusement correct)
VOILÀ À QUOI RESSEMBLE DANS LE DÉTAIL UN MONDE SANS DIEU !
VOILÀ CE QUI SE PASSE EN FRANCE (DU MOINS…)
EN FAIT, IL Y A DANS LE PERSONNEL "SOIGNANT", AU MOINS AUTANT ( SI CE N'EST PLUS) DE SINISTRES ET FROIDS COLLABOS DE LA TYRANNIE TOTALITAIRE NUMÉRIQUE MARCHANDE, DU MÉPRIS DE L'ÊTRE HUMAIN, DE SERVITEURS DES TÉNÈBRES ET DE LA MORT QUE DE DÉVOUÉS HÉROS…
Regardez et écoutez bien, en vous tenant pas loin de vos toilettes ou …
d'une batte de base ball (au choix) ou de votre Komboskini (pour rester religieusement correct)
vendredi 29 janvier 2021
DE L'ÉTAT PROTECTEUR AU GOUVERNEMENT MONDIAL TOTALITAIRE
L’État nous protège-t-il vraiment contre le crime, contre l’adversité, contre les risques sanitaires de notre triste actualité, contre le viol de la propriété, la précarité, ou encore la pauvreté ? Le croire c’est choir ! À partir du moment où les individus se sont constitués en société, ils ont consenti à déléguer la justice à la collectivité et ses représentants, et non plus à l’assurer eux-mêmes. Dès lors, une protection a été légitimement attendue de l’État. Mais l’État nous a-t-il un jour protégés ? L’évidence à laquelle il faut se rendre, c’est qu’aujourd’hui, les Français attendent encore cette protection, et même plus que jamais. Mais ils ne l’ont plus. Nous ne l’avons plus. Et cela depuis longtemps. L’État nous protège, oui… soit de risques imaginaires, soit de risques qu’il a lui-même créés, tandis que la liberté est attaquée, la propriété bafouée, et que nous sommes pris en otage par une envahissante bureaucratie. À travers ces pages, Simone Wapler livre un pamphlet tranchant comme une lame, chiffres et faits à l’appui, pour ouvrir les yeux des Français sur le vrai rôle de leur État. Des révélations inattendues auxquelles il sera difficile, une fois ce livre achevé, de rester insensibles.
DE L'ÉTAT PROTECTEUR AU GOUVERNEMENT MONDIAL TOTALITAIRE
L’État nous protège-t-il vraiment contre le crime, contre l’adversité, contre les risques sanitaires de notre triste actualité, contre le viol de la propriété, la précarité, ou encore la pauvreté ? Le croire c’est choir ! À partir du moment où les individus se sont constitués en société, ils ont consenti à déléguer la justice à la collectivité et ses représentants, et non plus à l’assurer eux-mêmes. Dès lors, une protection a été légitimement attendue de l’État. Mais l’État nous a-t-il un jour protégés ? L’évidence à laquelle il faut se rendre, c’est qu’aujourd’hui, les Français attendent encore cette protection, et même plus que jamais. Mais ils ne l’ont plus. Nous ne l’avons plus. Et cela depuis longtemps. L’État nous protège, oui… soit de risques imaginaires, soit de risques qu’il a lui-même créés, tandis que la liberté est attaquée, la propriété bafouée, et que nous sommes pris en otage par une envahissante bureaucratie. À travers ces pages, Simone Wapler livre un pamphlet tranchant comme une lame, chiffres et faits à l’appui, pour ouvrir les yeux des Français sur le vrai rôle de leur État. Des révélations inattendues auxquelles il sera difficile, une fois ce livre achevé, de rester insensibles.
dimanche 10 janvier 2021
Les confinements tuent - Les évêques orthodoxes ignorent-ils les victimes?
Le Christ est né! Glorifiez-le! Nous avons maintenant dépassé la Nativité du Christ sur les calendriers nouveau et ancien. Comme chaque année, les hiérarchies de notre Église ont émis des messages à l'occasion de la fête. Compte tenu de la situation cette année, chaque message que nous lisons comportait une section sur le COVID. Ce qui suit du message du patriarche Kirill est très typique.
Aujourd'hui, alors que les peuples de la terre endurent l'épreuve difficile d'une nouvelle maladie, alors que le cœur des peuples est submergé par la peur et l'angoisse pour l'avenir, il est particulièrement important que nous renforcions notre prière collective et individuelle et offrions au Seigneur le travaux diligents des bonnes œuvres. Beaucoup de nos frères et sœurs, en raison de la peste dévastatrice, ne profitent plus de l'occasion de visiter des églises. Laissons nos demandes au Seigneur Miséricordieux afin qu'il renouvelle leur force corporelle et spirituelle, accorde le rétablissement le plus rapide à ceux qui sont malades et envoie son aide aux médecins et à tous les travailleurs médicaux qui, avec le sacrifice de soi, font tout ce qu'ils peuvent pour la santé et la vie des gens.
Soulignement ajouté . C'est une chose normale pour un hiérarque de l'Église de se souvenir des malades, des souffrants, des âmes de ceux qui sont morts d'une épidémie et des travailleurs de la santé. Nous avons des contributeurs qui sont des travailleurs de la santé et des survivants du COVID, nous apprécions donc beaucoup les prières. Mais le COVID n'a pas seulement fait souffrir les personnes infectées, les différentes réponses gouvernementales ont également fait du mal et tué de nombreuses personnes innocentes. D'autres souffriront à mesure que les confinements se poursuivront, et dans certains cas s'intensifieront. Ces pauvres âmes, du moins en ce qui concerne l'Église, ne semblent pas exister.
Les médias et les gouvernements semblent se concentrer uniquement sur la prévention de la transmission d'une maladie avec un taux de survie de 99,5% ou plus pour les moins de 70 ans. Nous nous serions attendus à ce que les successeurs des apôtres adoptent une vision beaucoup plus équilibrée, car les confinements et autres mesures d'atténuation ont clairement un coût en termes de vies humaines et de bien-être.
Comme toutes les vies comptent pour Dieu, toutes les vies devraient aussi avoir de l'importance pour les chrétiens orthodoxes. Une personne âgée qui meurt du COVID n'a pas moins ou plus de valeur qu'une personne âgée qui meurt de «ne pas s'épanouir» parce qu'elle a perdu espoir alors qu'elle était isolée de sa famille et de ses amis. Un enfant affamé n'a pas moins de valeur qu'un homme obèse à la fin de la soixantaine. L'Église ne peut pas se concentrer uniquement sur certaines vies et ignorer le danger pour d'autres.
Comme l'Église est du Christ, l'Église doit être disposée à utiliser sa voix prophétique pour parler au nom de tous ceux qui souffrent. Notre focalisation actuelle et résolue sur «arrêter la propagation» a causé certaines des souffrances suivantes qui doivent être traitées:
- En raison du manque de soins de santé / de dépistage, de l'augmentation du chômage et de la perte de possibilités d'éducation - plus d'un tiers des décès en excès aux États-Unis ne sont déjà pas liés au COVID. L'impact des mesures anti-COVID se fera sentir pendant des décennies dans le futur. Le nombre total de décès excédentaires dus aux confinements devrait être 30 fois supérieur aux décès supplémentaires dus au COVID. Cela pourrait finir par être une estimation prudente, en fonction des catastrophes mentionnées dans ce qui suit.
Les perturbations économiques tuent et mettent en danger les gens en coupant les chaînes d'approvisionnement alimentaire et en les empêchant de nourrir leur famille. Le nombre de personnes «marchant vers la famine» est passé à 270 millions dans le monde. David Beasley, Directeur exécutif du Programme alimentaire mondial (PAM), a déclaré: «La famine est littéralement à l'horizon et nous parlons des prochains mois.» Il a en outre averti que 2021 risquait de devenir la pire année de crise humanitaire depuis la fondation des Nations Unies. Ce n'est pas seulement un problème dans les pays en développement. 50 millions de personnes en Amérique souffrent d'insécurité alimentaire, dont 17 millions d'enfants.
- En Amérique, près de 80% des victimes du COVID-19 avaient plus de 65 ans et plus de 40% vivaient dans des maisons de retraite médicalisées, où l'espérance de vie moyenne après l'admission n'est que de cinq mois. Pour protéger ces personnes âgées, les confinements COVID tuent les jeunes. Un Américain âgé de 25 à 44 ans est 3,6 fois plus susceptible de mourir des restrictions utilisées pour «combattre» le COVID que du COVID lui-même.
- Les recherches du Well-Being Trust montrent que 75 000 Américains devraient mourir de désespoir en 2021 - y compris de l'abus d'alcool et de drogues et du suicide. Les surdoses et les décès par surdose sont à leur plus haut niveau jamais atteint aux États-Unis. 1 jeune Américain sur 4 a sérieusement envisagé le suicide. À l'échelle mondiale, les suicides montent en flèche.
- 150 millions de personnes dans le monde, dont 8 millions d'Américains, ont été poussées dans l'extrême pauvreté. Les pauvres meurent de toutes sortes de choses que les plus riches ne font pas.
- La moitié des Américains à faible revenu rapportent une perte d'emploi ou de salaire à la maison en raison de confinements.
- Les familles ne peuvent pas payer leur loyer, donc pas moins de 34 millions d'Américains risquent d'être expulsés.
- Pour l'ensemble de 2020, l'or a gagné 25,1% et l'argent 47,9%. Pourquoi est-ce important? Parce que cela indique que l' inflation s'accélère en raison de toutes les impressions d'argent qui se font pour soutenir les marchés boursiers, les banques et les grandes entreprises. Mais très peu de cet argent va au travailleur moyen, qui ressentira de plus en plus les effets d'une expansion rapide de la base monétaire.
Et bien sûr, comme l'a souligné le patriarche Kirill dans son message, des millions de personnes sont privées du confort des services de l'Église dans des endroits comme la Californie et Chypre. Même Dieu est enlevé à ceux qui n'ont déjà rien d'autre.
Les confinements, pour le dire franchement, ne fonctionnent pas. (Voir cette longue liste d'études qui vérifient ce fait.) Et même si ils l'ont fait, ils ne sont pas gratuits. Lorsqu'on parle de confinement [NdR : "lockdown" en anglais rend mieux compte de la dictature sanitaire], il ne s'agit pas d'un débat entre «argent» et «vie». L'activité économique signifie des emplois, et les emplois sont la façon dont les gens ordinaires nourrissent leur famille. Les milliardaires deviennent de plus en plus riches, tandis que les gens ordinaires se débattent, font une overdose et meurent de plus en plus de faim .
Où est l'église? L'Église comprend le mieux la nature humaine et l'histoire humaine. L'Église et ses dirigeants devraient être les premiers à se lever et à dire que victimiser toute la société pour «sauver» les personnes âgées est inacceptable (même si cela a fonctionné). Les hiérarchies l'ignorent-elles? Sont-elles complices de cela? Comme nous l'avons documenté dans cet article sur l' hypocrisie, de nombreux membres du clergé n'ont pas respecté les restrictions COVID. Alors peut-être craignent-ils les réactions négatives du gouvernement s'ils s'expriment?
Quoi qu'il en soit, espérons que le silence de l'Église ne se prolongera pas.
Toute Sainte Mère de Dieu, intercède pour nous!
À Dieu et au Sauveur tu as donné naissance;
Je te demande, ô Vierge,
Des dangers délivre-moi
Maintenant, je cours vers toi pour trouver refuge,
avec toute mon âme et mon raisonnement.
Maintenant et pour toujours, et aux siècles des siècles. Amen.
Le corps et l'âme sont malades;
Juge-moi vraiment digne
de la direction divine et de tes soins;
Car toi seule es la Mère de Dieu,
Toi qui es bonne et qui donnes naissance au Bien.
Nicolas - membre du Vicariat de rite occidental, partie de l'archidiocèse chrétien orthodoxe d'Antioche en Amérique, réfugié COVID de l'archidiocèse grec (SOURCE)
mardi 29 décembre 2020
Démystifier le vaccin contre le virus Corona par le moine agiorite Paul
C'est avec tristesse et émerveillement que nous observons un événement sans précédent dans l'histoire du monde [1]. Au nom de «l'amour» des personnes âgées et des plus vulnérables, la vaccination est programmée pour toutes les personnes du monde entier, afin d'exterminer l'implacable «ennemi invisible», connu sous le nom de virus Corona SARS-Cov2 (COVID19):
• Un cadre juridique nécessaire qui abolira le droit au choix individuel et «défendra» le droit aux prestations de santé publique (loi 4675/2020 pour la Grèce) [2]
• Un autoritarisme gouvernemental d'accompagnement pour le faire respecter.
• Créer une demande et des attentes pour le vaccin (terrorisme-lavage de cerveau par les médias avec le dilemme «vaccin ou incarcération sociale-isolement»).
• Financement unilatéral pour la production du vaccin, pour les contrôles par essais cliniques, pour la production de masse en grandes quantités et pour la livraison dans tous les coins de la planète - aux dépens de la recherche pour trouver et produire des antiviraux spécialisés.
Ce ne sont là que quelques-unes des étapes du protocole déjà implémentées pour atteindre cet événement marquant. Les hommes d'affaires, les journalistes, les responsables gouvernementaux et les ONG internationales propagent presque quotidiennement le vaccin comme une baguette magique qui permettra supposément à l'humanité de revenir à l'ère pré-COVID. D'autre part, au lieu de la communauté scientifique (à l'exception d'une élite excessivement projetée et obsédée par les vaccins), stigmatisant cette désinformation, elle a gardé un «silence de poisson» sur ce que les gens devraient vraiment attendre du vaccin, avec le à l'exception de quelques exemples inspirés, comme le professeur Dr. Yannis Ioannidis [3]. En fait, rien ne ne justifie moins la vaccination mondiale que cette «pandémie» spécifique l. Voyons pourquoi:
1. Le taux de mortalité particulièrement faible de la maladie, mais aussi sa répartition par âge, indiquent clairement que la vaccination, chaque fois qu'elle devient possible, doit être ciblée. Ce pourcentage est pour l'instant surévalué fictivement (~ 2,5%): d'une part, en raison de la surreprésentation des cas sévèrement positifs du virus [4], et d'autre part, compte tenu du nombre de morts COVID a également inclus les décès de cas trouvés positifs pour COVID mais avec d'autres maladies sous-jacentes (pas le syndrome respiratoire du SRAS) [5]. Des études récentes qui ont estimé le nombre de décès par rapport au nombre réel de personnes exposées au virus - sur la base de tests sérologiques (tests d'anticorps) dans une zone géographique spécifique - ont déterminé que ce pourcentage est de l'ordre de grandeur de la grippe saisonnière (certainement <1%) [6].
Il convient de noter que même si l'épidémie réapparaît, comme c'est le cas pour la grippe, le système de santé y fera face plus efficacement, car il existe maintenant une expérience dans la gestion de la maladie (plus de USI). Par conséquent, les erreurs du «type italien» ne se reproduiront pas, ce qui entraînera une nouvelle réduction du taux de mortalité. Sur la base de ce qui précède, même si un vaccin sûr et efficace est produit (ce qui est particulièrement difficile pour la biologie des virus corona), il peut être justifié de ne l'administrer qu'à des groupes à haut risque, comme c'est le cas avec le vaccin contre la grippe saisonnière. Inutile de dire qu'il n'est pas justifié de l'administrer à des enfants - qui sont dans leur grande majorité asymptomatiques, ni à des personnes qui ont été exposées et sont immunisées contre le virus (test d'anticorps positif), étant donné qu'elles ont déjà ce que le vaccin aurait. leur ont donné.
2. Le virus Covid19, contrairement à la grippe, affecte principalement les personnes des troisième et quatrième groupes d'âge, où se produit le phénomène de sénescence immunitaire [7], c'est-à-dire la réduction de la taille, de la qualité et de la durée de leur réponse immunitaire-protection - ce qui peut survenir après avoir été vacciné. En d'autres termes, l'immunité active induite par le vaccin peut ne pas être capable de protéger les personnes âgées, qui sont la «cible» par excellence du virus corona; par conséquent, la découverte d'une thérapie antivirale devrait être une priorité - en supposant que la protection des personnes âgées est en fait ce qui est souhaité.
3. En lien avec ce qui précède, l'insuffisance respiratoire aiguë chez les patients gravement malades, survient par un mécanisme immuno-pathologique (une «tempête» produisant des cytokines inflammatoires et réduisant la réponse immunitaire médiée par les CD4 et CD8 T [8]). On craint sérieusement que la vaccination aggrave cette complication immunitaire en cas d'infection virale ultérieure et aggrave par conséquent l'évolution clinique du patient. Un effet similaire a été observé avec le vaccin contre le coronavirus FeCoV, qui affecte les chats et provoque une péritonite. [9].
4. La logique de l'éradication d'une maladie infectieuse grâce à la vaccination mondiale présuppose d'une part l'existence d'un vaccin très sûr et très efficace et, d'autre part, surtout qu'il n'y ait pas d'autres hôtes du virus dans l'environnement naturel . Autrement dit, l'homme doit être la seule espèce à pouvoir héberger le virus. C'est vrai pour le virus de la polio, mais cela ne s'applique pas au coronavirus, car toutes les recherches suggèrent que le virus provient de chauves-souris. Inconnu et controversé reste le lien intermédiaire (hôte?) Qui l'avait transporté depuis les grottes des chauves-souris de la ville de Wuhan. En tout cas, la disparition du virus grâce à la vaccination mondiale ne serait que temporaire - en d'autres termes, un terrible gaspillage de ressources,
5. Les coronavirus, étant des virus à ARN, mutent rapidement, gagnant en diversité génétique et donc antigénique. Cette diversité, en particulier pour les coronae, augmente également par recombinaison d'ARN, en raison du mode de transcription particulièrement incohérent des ARN viraux. Deux types ont déjà été identifiés pour le SRAS-Cov2, S et L [11, 12]. Il est douteux qu'un vaccin puisse offrir à la fois une couverture égale pour toutes les souches du virus qui émergent, ainsi qu'une protection permanente dans le temps, soulignant une fois de plus l'importance et la priorité de trouver des médicaments antiviraux contre le coronavirus. Il est donc fort probable qu'avec le temps, une vaccination mondiale évolue vers des vaccinations mondiales régulières.
Cela pourrait-il être le but? Peut-être que la corona est le prétexte tant attendu pour lancer la transition universelle vers une biologie humaine hybride, où le corps humain sera protégé, renforcé et finalement dépendant des technologies de la plateforme (génie génétique, interface numérique) grâce à des mises à jour régulières de vaccinations. Mais pourquoi toute la ruée vers un vaccin qui non seulement ne promet pas grand-chose, mais qui inquiète la communauté scientifique, surtout s'il est produit à la hâte et mis en œuvre en masse? Enfin, les industries pharmaceutiques sont-elles au service de l'homme ou est-ce le contraire?
La réalité est que ~ 99% des personnes infectées par le coronavirus survivent. L'accent (c'est-à-dire le financement) doit être mis sur la manière de cibler le 1% de ceux qui ne survivent pas, malgré une multitude d'options pharmaceutiques (immuno-modulateurs, anticorps monoclonaux, inhibiteurs de l'ARN polymérase, protéases, etc.). Déjà, les premiers résultats de la forme d'hydroxychloroquine-azathromycine [13] ainsi que d'un anticorps monoclonal ciblant la glycoprotéine superficielle S du virus [14] sont très encourageants.
Bien entendu, le développement d'un vaccin sûr et efficace fait également partie d'une stratégie antivirale. Cependant, comme analysé, sa production forcée (1 an au lieu d'au moins 6 ans) avec autant de lacunes dans la connaissance de la biologie de la couronne n'est pas indiquée - encore moins sa mise en œuvre de masse obligatoire. C'est une déchéance scientifique tragique (sinon absurde) à l'ère de la biologie moléculaire - dont le but est de fournir à la médecine des traitements spécialisés (voire personnalisés) minimisant les effets secondaires - qu'il y ait discussion uniquement sur l'intervention dans 100% de la population humaine. , afin de «protéger» 1% de celui-ci contre un virus grippal, avec une demi-mesure pharmaceutique suspecte. C'est tout simplement une mauvaise approche,
L'homme, en tant qu'être rationnel avec une pensée critique, a la capacité de choisir volontairement tout ce qui est recommandé par la médecine et la biotechnologie en faveur de sa santé, tout en assumant simultanément les conséquences de ces choix, étant donné que les interventions dans le corps humain sont rarement sans côté. effets. Les vaccins n'échappent pas à cette règle. [15] Le choix de ne pas être vacciné ne met pas en danger la santé publique, tant qu'il n'abolit pas le droit d'une autre personne de recevoir le vaccin - et avec lui, toute protection qu'il offre. Il va donc de soi que la responsabilité de la décision finale pour recevoir un vaccin appartient à la personne vaccinée, car elle devra nécessairement vivre avec les complications qui pourraient survenir. Aucune compensation éventuelle ne peut restaurer des dommages irréversibles à la santé physique et mentale d'une personne.
On peut percevoir d'après ce qui précède que la loi relative à la vaccination obligatoire [2] et la propagande associée en faveur du vaccin - sous le prétexte du virus Covid19 - n'ont ni origine ni référence scientifiques. Ils ne défendent pas mais sapent plutôt le bien de la santé publique, et ils rendent possible les intérêts financiers monstrueux en jeu, ainsi que l'agenda obscur de certains «grands frères» aux appétits de pouvoir. Enfin, ils militent contre la liberté de l'esprit et du corps d'une personne. En tant que tels, ils devraient être rétractés à un niveau scientifique, juridique et principalement spirituel.
Le climat dans lequel ces schémas sont développés et consolidés est la peur. Les Mass Media of Intimidation créent et maintiennent soigneusement ce climat. La peur est une puissante force intérieure de l'homme; il peut paralyser sa volonté, mais il peut même l'acier. La question est de savoir dans quelle direction une personne dirige cette peur. S'il la tourne vers Dieu, le seul digne d'être craint (Luc 4: 5), alors il recevra en retour l'illumination, l'audace et le courage - selon ses paroles: «ayez courage, car j'ai vaincu le monde» (Jean 6:33). Si une personne reste concentrée sur les phobies de cet âge, elle recevra en retour encore plus d'anxiété, de confusion et de lâcheté, selon le psaume: «ils se recroquevillaient dans la peur, là où il n'y avait pas de peur» (Psaume 5: 5). La persistance intentionnelle à dé-sanctifier le sacrement de la Sainte Communion n'est pas par hasard;
Chaque fois que l'on mentionne la salive, les cuillères et autres - par ceux qui ont ciblé la Sainte Communion - le miracle vient à l'esprit de l'aveugle né (Jean 9). Le Seigneur, par une action «sanitairement inacceptable», a restauré les yeux de l'aveugle! Il a mélangé sa salive (un moyen de propager des virus et des bactéries) avec de la terre (une source de millions de germes) et a «étalé» le mélange d'argile sur les orbites de l'aveugle (conjonctive muqueuse: un point d'entrée pour les germes et le début de l'infection). Nous connaissons ce qui s’est ensuivi, tout comme nous savons qu’aucune science n’est capable de ce résultat. Tout simplement, si elle avait eu lieu aujourd'hui, en dehors des pharisiens de l'époque, parmi les accusateurs de Jésus se trouveraient également certains spécialistes des maladies infectieuses à l'esprit étroit.
Je prie du plus profond de mon cœur que Dieu les rendra dignes d'expérimenter la puissance du sacrement. Le Seigneur est là et les invite. Il ne les obligera jamais ...