Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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vendredi 29 janvier 2021

DE L'ÉTAT PROTECTEUR AU GOUVERNEMENT MONDIAL TOTALITAIRE

???



L’État nous protège-t-il vraiment contre le crime, contre l’adversité, contre les risques sanitaires de notre triste actualité, contre le viol de la propriété, la précarité, ou encore la pauvreté  ? Le croire c’est choir ! À partir du moment où les individus se sont constitués en société, ils ont consenti à déléguer la justice à la collectivité et ses représentants, et non plus à l’assurer eux-mêmes. Dès lors, une protection a été légitimement attendue de l’État. Mais l’État nous a-t-il un jour protégés ? L’évidence à laquelle il faut se rendre, c’est qu’aujourd’hui, les Français attendent encore cette protection, et même plus que jamais. Mais ils ne l’ont plus. Nous ne l’avons plus. Et cela depuis longtemps. L’État nous protège, oui… soit de risques imaginaires, soit de risques qu’il a lui-même créés, tandis que la liberté est attaquée, la propriété bafouée, et que nous sommes pris en otage par une envahissante bureaucratie. À travers ces pages, Simone Wapler livre un pamphlet tranchant comme une lame, chiffres et faits à l’appui, pour ouvrir les yeux des Français sur le vrai rôle de leur État. Des révélations inattendues auxquelles il sera difficile, une fois ce livre achevé, de rester insensibles.

Simone Wapler 
journaliste et économiste française 


DE L'ÉTAT PROTECTEUR AU GOUVERNEMENT MONDIAL TOTALITAIRE

???



L’État nous protège-t-il vraiment contre le crime, contre l’adversité, contre les risques sanitaires de notre triste actualité, contre le viol de la propriété, la précarité, ou encore la pauvreté  ? Le croire c’est choir ! À partir du moment où les individus se sont constitués en société, ils ont consenti à déléguer la justice à la collectivité et ses représentants, et non plus à l’assurer eux-mêmes. Dès lors, une protection a été légitimement attendue de l’État. Mais l’État nous a-t-il un jour protégés ? L’évidence à laquelle il faut se rendre, c’est qu’aujourd’hui, les Français attendent encore cette protection, et même plus que jamais. Mais ils ne l’ont plus. Nous ne l’avons plus. Et cela depuis longtemps. L’État nous protège, oui… soit de risques imaginaires, soit de risques qu’il a lui-même créés, tandis que la liberté est attaquée, la propriété bafouée, et que nous sommes pris en otage par une envahissante bureaucratie. À travers ces pages, Simone Wapler livre un pamphlet tranchant comme une lame, chiffres et faits à l’appui, pour ouvrir les yeux des Français sur le vrai rôle de leur État. Des révélations inattendues auxquelles il sera difficile, une fois ce livre achevé, de rester insensibles.

Simone Wapler 
journaliste et économiste française 


vendredi 24 mai 2019

France : ces libertés civiles qui disparaissent silencieusement


Sur le site http://h16free.com/


Alors que les élections européennes se rapprochent à grands pas et que sont louangées dans les chœurs baroques de listes électorales bigarrées les Grandes Valeurs Humanistes de nos démocraties occidentales, deux faits divers récents entrent vigoureusement en collision l’un dans l’autre et nous fournissent ainsi une excellente illustration de l’état de déliquescence avancé de plusieurs piliers régulièrement mis en avant par la République Française.
Le premier fait divers est celui qui agite actuellement une bonne partie des réseaux sociaux ainsi que cette frange la plus agaçante de la classe politique jacassante dont le niveau de décibels est largement supérieur à sa capacité d’action réelle : un facétieux rappeur, au talent visiblement très surestimé, a trouvé un habile moyen de faire parler de lui en multipliant les provocations d’adolescent faussement rebelle dans ses dernières productions sonores et vidéos. 
Nick Conrad (attention aux typos dans la dernière syllabe, l’impair est vite arrivé) a décidé cette fois-ci de « baiser la France jusqu’à l’agonie », ce qui n’a pas manqué de faire partir en émois outrés plusieurs politiciens, comme Castaner ou Bellamy, dont la solidité argumentative permet d’immédiatement relever le niveau. 
Par retour de flammes, cela a évidemment entraîné la contre-réaction d’une partie des médias et d’autres politiciens du bord politique opposé, candidats malheureux et inaudibles à une élection sans intérêt, qui se sont trouvés trop heureux d’utiliser cette polémique grotesque pour enfin faire parler d’eux, entre l’ingurgitation d’un ou deux kebabs festifs. 
L’indignation devant les textes pourtant indigents du rappeur ne vient pas de nulle part : ce dernier était auparavant l’auteur d’une autre bouillie artistique où il recommandait chaudement de « pendre les Blancs » dans ce qu’on pourrait aisément qualifier de tentative désespérée d’enfin sortir d’un anonymat aussi minable que peu rémunérateur. Cette tentative lui vaudra d’ailleurs des poursuites en justice qui se traduiront par une amende de 5000 euros avec sursis. 
Il n’est donc pas étonnant que nos habituels outrés en viennent à réclamer, d’urgence, l’intervention de la justice pour enfin faire fermer son clapet au piètre prosateur.
Parallèlement et dans un tout autre domaine, on apprend que la CGT a trouvé intelligent d’empêcher cette semaine la parution de plusieurs hebdomadaires, dont le Point, dans les kiosques du pays. Bien que le syndicat s’en défende officiellement, beaucoup ont vu dans cette démarche une façon sinon subtile au moins efficace de saboter la couverture médiatique fournie par le magazine au dirigeant italien, Matteo Salvini. S’ensuivent les inévitables démentis des uns et des autres, finement fact-checkés par la fine troupe de journalistes de terrain que la presse, pas du tout acquise aux thèses gauchistes, produit avec une cadence et une précision quasi-industrielle.

Il n’en reste pas moins que la CGT a bel et bien empêché la parution de plusieurs hebdomadaires. Que ce soit pour des raisons éditoriales ou pour une lutte prétendue contre une réforme dans la distribution de la presse, le résultat reste le même : la liberté de la presse plie devant celle d’un syndicat que rien ni personne ne semble pouvoir empêcher de nuire
Comme je le laissais entrevoir en introduction, la juxtaposition de ces deux faits divers franco-français donne, dans cette collision amusante de l’actualité, une idée assez précise de ce que valent vraiment « Les Valeurs de la République », ou ces fondements démocratiques des sociétés modernes dont on nous tympanise régulièrement sur toutes les ondes, notamment à l’approche d’un défouloir électoral.
cgt macron humanité
Ainsi, parmi ces valeurs, on trouve assez naturellement cette notion d’égalité qui a bien vite tourné à l’aigre de l’égalitarisme et causé tant de mal dans le pays. Ici, cependant, pas question d’en avoir trop : si, bien sûr, on s’offusque bruyamment des saillies de Conrad, rares sont les pépiements outrés contre la CGT. Encore une fois, la CGT bénéficie ici d’une mansuétude typique des régimes corrompus qui s’accommodent fort bien de traitements privilégiés pour certains des siens dont ils savent qu’ils ne sont pas dangereux (au contraire, même).
Les valeurs démocratiques encensaient jadis la liberté d’expression. On se gardera bien de rappeler ce principe lorsqu’il s’agira de faire taire le mauvais artiste. Et si Benoît Hamon en appellera quand même à des comparaisons franchement hardies entre Conrad et Brassens, c’est pour tenter de camoufler son nanisme politique et grappiller ainsi quelques secondes d’attention médiatique dans une campagne qui l’en a lourdement dépourvu. La notion même de liberté d’expression n’est pas évoquée. Quant à la liberté d’expression du Point ou des autres magazines interdits de fait par la CGT, on pourra s’asseoir dessus.
Dans ce fatras, on ne s’étonnera pas non plus du silence compact de toute la joyeuse troupe des féministes de combat qui sont pourtant toujours promptes à monter au combat lorsqu’un mâle blanc cis de 40 ans vient à déraper malencontreusement dans l’un ou l’autre de ses propos. Las. Le rappeur, malgré sa mise en scène de viol et de meurtre, semble échapper à toute rodomontade des hordes habituelles. Le CRAN, la LICRA ou les myriades d’associations lucratives sans but papillonnant autour de ces thèmes comme des lucioles autour de l’argent du contribuable cramé dans un grand feu de joie ne sont semble-t-il pas du tout concernées par la question. Peut-être Nick Conrad n’est-il pas de la bonne couleur ? 
Au passage, notons encore une fois la magnifique illustration de l’effet Streisand par la droite et l’extrême-droite, qui, croyant faire pour quelques politiciens pas trop malins un bel affichage vertuel bien démagogique, fournit surtout à ce médiocre rappeur une visibilité démesurée : l’intelligence n’a jamais fait officiellement partie des piliers d’une démocratie moderne, mais sa disparition n’est jamais bon signe et on peut garantir avec ce genre d’excitations populistes qu’elle ne reviendra pas de sitôt. 
Enfin, un pays ne serait pas vraiment foutu s’il avait, quoi qu’il arrive, un système de Justice fort, solide et équitable. Rassurez-vous : ce n’est plus le cas depuis un moment en France et là encore, ces deux tristes affaires le montrent au-delà de tout doute raisonnable : les écarts à la liberté d’expression, maintenant fort (trop ?) encadrée, ne semblent pas conduire à la moindre peine ferme ou au moins dissuasive ; la liberté de la presse est normalement bien fixée, mais personne ne saisira la justice pour les exactions syndicales. Syndicalisme qui, lui aussi, s’entend pourtant dans un cadre bien défini qui semble lui aussi être passé par la fenêtre dans l’indifférence générale.
Jamais dans le monde occidental les libertés civiles n’ont été à ce point attaquées, tant par ceux qui prétendent les représenter et les protéger que par ceux qui font leur commerce de leur cracher au visage. Dans ces attaques, la France ne semble plus du tout à l’arrière, observatrice, mais a pris une place active, au premier rang.
Sans l’ombre d’un doute, ce pays est foutu.

mardi 27 juin 2017

FOI et POLITIQUE - Un Chrétien de gauche, ça existe ?

LES GENS "DE GAUCHE " de simples serviteurs du diable…

Peut-on être chrétien "de gauche" ?

Bien sûr qu'il y en a et même pas mal d'Orthodoxes qui le prétendent sans doute…
Pourtant est-ce compatible ? Sont-ce vraiment des chrétiens ?
Je prétends que non. Absolument non.  Je prétends que les idéologues, les militants, les politiques, les faiseurs de lois, et leurs applicateurs zélés, les médias qui les soutiennent, tous gens "de gauche" sont désormais plus nus autant que leur roitelet… on connaît désormais leur pseudo générosité même chez les moins révolutionnaires. En aucun cas ils ne peuvent être chrétiens et pas seulement parce qu'une large partie d'entre eux sont en effet anti-chrétiens par conviction, mais avant tout parce qu'ils sont,  par leur propagande comme par leurs actions, de parfaits serviteurs du diable.

Et là il faut rappeler ce qu'est le diable. 
Non pas ce personnage rouge et cornu ou noir et poilu, selon je ne sais quel folklore, auquel plus personne ne croit (ce qui est une grande réussite du diable)  sauf quelques attardés et naïfs idolâtres de satanistes, mais celui dont toute l'action masquée, hypocrite et trompeuse et éminemment malveillante, malfaisante, et pour finir mortifère ne cesse de pervertir tout ce qu'il touche et tous ceux qu'il touche afin de causer leur perte.
Prenez votre Bailly et lisez bien la définition des mots diaboli (διαβολή)  et diabolos ( διάβολος) en grec, d'où nous vient le mot diable et vous allez comprendre rapidement :




Si l'on considère les fondements des idéologies et des évènements historiques qui s'en sont inspirés et qui nourrissent "la gauche" dans nos contrées (le "libéralisme" outre-Atlantique) depuis quelques siècles jusqu'à l'apothéose  contemporaine, on ne voit qu'exaltation de la division, de la désunion, de l'inimitié, de l'envie, de la haine et de la guerre en effet :
  • classe contre classe
  • sexe contre sexe
  • enfants contre parents
  • élèves contre enseignants 
  • race contre race
  • homosexuels contre hétérosexuels
  • immigrés contre citoyens "de souche"
  • homme contre Dieu
Voilà quelques uns des thèmes favoris de cette "gauche".
Mais leur paradoxe, que l'on peut plutôt qualifier de ruse stratégique, machiavélique ou  "au mieux" de stupide et funeste aveuglement, c'est de prétendre avoir pour noble objectif de défendre dans tous ces thèmes  les victimes d'un pouvoir abusif,   de défendre l'égalité, la justice et la tolérance, alors que leur propagande et leur militance ne font qu'attiser la dissension, la brouille et l'inimitié. Et désormais, de nos jours, ces gens qui nous "gouvernent" ne font pas autre chose avec leurs discours et leurs lois  que de favoriser la médisance, la calomnie, la malveillance, de semer la désunion, de réveiller l'aversion, de développer la haine et de faire germer la guerre civile en tout ce qu'ils touchent. Oui leur action est bien diabolique, sans aucun doute.
  • Plutôt que de favoriser le dialogue au cas par cas dans les entreprises, ils font des lois totalitaires, à appliquer obligatoirement par tous sans le moindre discernement, la moindre souplesse, ni la moindre adéquation à la réalité, qui ne font que durcir "le dialogue social" et contraignent les parties à jouer le jeu d'un rapport de forces dans le travail qui ne fait qu'entériner le principe de l'injustice, c'est à dire la primauté de la loi du plus fort. Peu importe sur quoi se fonde cette force, ni qui gagne, car celui qui a perdu finira par désirer se venger avec ses propres armes et la lutte des classes sera bien entretenue. Un véritable chrétien ne peut se reconnaître dans de telles dispositions. Division.
  • Un chrétien par ailleurs ne peut être machiste pas plus qu'il ne peut être féministe. Ce sont des notions qui lui sont étrangères car ce qui prime ou devrait primer normalement et fondamentalement, chez le chrétien, c'est l'amour et pas le rapport de force entre l'homme et la femme sous le prétexte de la libération du plus "faible". Qu'importe, chez un couple inspiré et nourri par l'amour, qui fait quoi dans l'organisation de la vie conjugale et familiale. Foin de l'idéologie dans un couple qui a pour objectif la construction patiente et l'entretien fervent de l'amour dans la reconnaissance de l'irréductible et dans la persévérance,  dans l'objectif de la sanctification réciproque. La notion de perte et de frustration, due à un sacrifice à cause de l'autre, n'est objet d'aucun rapport de force ni de souci d'égalitarisme. Car si, selon St Paul, la femme est censée suivre son mari, le mari a pour modèle le Sacrifice du Christ car il n'est pas de meilleure preuve d'amour que de donner sa vie pour ceux que l'on aime. Car le premier doit servir le dernier, et l'exemple du plus puissant, le Pantocrator est de se faire humble serviteur pour ceux qui le suivent. Le Christ ne leur lave-t-Il pas les pieds et n'accepte-Il pas de servir, et de souffrir jusqu'à la mort assumée. Certes la société était loin d'avoir réalisé dans les siècles précédents le Royaume sur terre, (pas plus que maintenant) et pour leur majorité,  les femmes demeuraient, mineures aux yeux des hommes. L'intolérable inégalité des salaires, le harcèlement sexuel au travail et désormais dans la rue même, demeurent, scandaleusement. Mais il n'empêche qu'un certain féminisme, devenu "idéologie" d'une guerre des sexes, encore considéré comme une valeur "de gauche",  n'a fait qu'exacerber l'impatience, l'inimitié, et la séparation, et pour finir, par créer les conditions de la  renaissance d'un nouveau machisme venu d'ailleurs, plus abject et violent que le précédent… Les divorces sont en nombre croissant, comme la solitude des célibataires, produits de la division. 
  • Il en est de même avec la survalorisation de la jeunesse. Depuis les années 50, la société marchande n'a cessé de chercher à multiplier et diversifier ses cibles, de façon à augmenter les profits. Les différentes tranches de l'enfance jusqu'à l'adolescence ont subi une propagande de pseudo reconnaissance des "droits de l'enfant", de légitime révolte contre les aînés, de prise en compte de leur spécificité par une différenciation prétendue respectueuse de leurs désirs légitimes. Désirs tôt transformés en revendication, en constitution de groupes et de mouvements auto proclamés avec comme point commun la révolte contre "les vieux". Il n'était plus question d'avancer, chacun à son rythme respecté, en passant certes par l'opposition nécessaire et vitale, vers l'âge adulte, mais de valoriser la séparation, la division en classes d'âge et faire affronter "la jeunesse" à tout ce qui était "institutionnel", donc vieux et réactionnaire. Résultat : plus personne ne veut être "vieux" et le "jeunisme" sévit en tout lieu. Pour lutter contre l'abus de pouvoir parental on a rien trouvé de mieux que de renforcer dès le plus jeune âge l'ego des enfants, en favorisant leur désobéissance et leur désir d'indépendance en tout. Mais on n'a malheureusement pas éradiqué l'abandon des enfants, la solution de l'avortement, la maltraitance, ni l'abominable inceste et l'on constate une augmentation des suicides d'enfants. On a seulement favorisé l'égoïsme grandissant des parents, désirant avant tout "profiter de la vie", et celui des enfants qui ont désormais "le droit" d'avoir leur "indépendance", c'est à dire de ne plus communiquer avec leur parents, d'avoir leur vie séparée. C'est une œuvre de division là encore. Et à l'instar de la lutte des classes, et la guerre des sexes, la guerre des âges est née et s'est développée sous le prétexte en apparence généreux de la reconnaissance des droits de l'enfant, thème de gauche certainement aussi. Division.
  • Évidemment cette même survalorisation de l'état passager de la jeunesse (même si l'on fait tout pour la prolonger et la conserver le plus longtemps possible par tous les moyens) s'est appliquée à l'école et aux relations entre enseignants et élèves. On a voulu en suivant les théories d' idéologues de gauche, autoproclamés spécialistes de la pédagogie, "mettre l'enfant au centre du système" et on a substitué l'éducation ( normalement réservée aux familles et non à l'état sauf dans les régimes totalitaires nazi ou communiste) à l'instruction. On sait ce qu'il en est advenu : de moins en moins de respect de l'enseignant, jusqu'à la remise en cause, l'insulte et les agressions physiques. Un rapport de forces quasi constant. Un souci de démocratie a sans doute motivé une participation croissante des parents d'élèves dans les affaires de l'école jusqu'à l'ingérence directe. Là encore qu'a-t-on obtenu ? Opposition de deux camps. Méfiance, médisance, calomnie, et division entre élèves et enseignants et parents et enseignants. Division.
  • Le bon accueil et le respect de l'étranger, principes bibliques et chrétiens se sont transformés dans le discours "de gauche" en survalorisation  de sa culture et de ses us et coutumes d'origine, fussent-elles en contradiction évidente avec celles de ceux qui accueillaient. Qui plus est,  cela s'est fait contre la culture d'accueil, son mode de vie, son mode de relations humaines, son mode d'éducation des enfants, ses valeurs morales, à partir de ce moment-là critiquées, dévalorisées, dénigrées, chargées de tous les maux du monde, et pour finir réduites à néant avec un acharnement inconcevable et tel qu'il devenait une paradoxale haine de soi, une autoflagellation permanente à tout propos jusqu'à nourrir le désir de remplacement de sa propre culture par celles des autres; tout cela  dans un délirant projet suicidaire d'autodestruction.  Le prétendu respect de l'étranger et de la différence a en réalité favorisé et consolidé la constitution de ghettos, le refus de l'intégration et de l'assimilation des immigrés, jusqu'à nourrir le mépris de la culture d'accueil, voire le désir de la remplacer par celle que l'on a quittée pour des terres meilleures, paradoxalement, de façon incompréhensible. Tout cela a attisé la haine et la division. Clairement encore une fois de Division qu'il s'agit.
  • Le Christianisme authentique abandonné, méconnu voire inconnu, déformé voire même inventé, ne condamne jamais le pécheur mais seulement le péché. L'homosexualité n'est rien d'autre qu'une propension "naturelle" (trop "naturelle") comme une autre, à pécher dans un domaine particulier. Pourquoi est-on infidèle, obsédé par le sexe, goinfre, ivrogne, violent… etc. ? On peut sans doute tenter et même parvenir à "comprendre" pourquoi, pour essayer de changer ce que l'on voit bien comme étant source de mauvaise vie pour soi et d'effets néfastes pour les autres. Et sans aucun doute est-ce condamnable aux yeux des hommes comme au regard de Dieu.  Mais Dieu ne veut pas la mort du pécheur mais qu'il vive et qu'il se retourne vers Lui, et réoriente et dépasse ses passions en les transfigurant pour en utiliser l'énergie non pour jouir de façon éphémère dans cette vie terrestre et matérielle en s'y perdant pour ensuite en goûter l'amertume quand la frustration apparaît inévitablement pour les  raisons diverses de la finitude de la condition humaine…  mais pour jouir de l'incommensurable jouissance de la vie éternelle du Royaume Céleste que vivent déjà les saints, de leur vivant, sur cette terre, en participant des énergies divines. Le vrai Christianisme n'a jamais préconisé le mépris et la persécution des homosexuels parce que la perspective chrétienne offre une transcendance que refusent volontairement et obstinément les "bonnes consciences de gauche".  Aussi, encore une fois, "la reconnaissance des droits des homosexuels", leur réduction à une étiquette (marchande en fait), à une prétendue "identité" (comme si l'on pouvait réduire un homme à ses tendances dans quelque domaine que ce soit) dans le même mouvement de valorisation de la différence, a produit tout le contraire de ce qu'elle prétendait obtenir ; c'est à dire plus que jamais la constitution de ghettos, de lobbies, de démonstrations, d'exhibition et de parades qui n'ont fait que nourrir et augmenter l'intolérance, le mépris, voire la haine et la violence de ceux qui ne supportent pas justement cette "différence".  Et encore une fois c'est le ressentiment et la Division qui ont été nourris et pas du tout l'amour dont on nous rebat les oreilles.
  • Que dire du racisme sinon qu'en tant que méfiance, rejet, exclusion, dévalorisation, mépris de ceux qui ne sont pas de la famille, du même village, de la même région, du même pays, de la même ethnie, de la même classe sociale… etc.  c'est la chose la mieux partagée au monde. L'accusation de "racisme" est devenue pour ceux qui ne l'ont jamais vécu (et qui prétendent abusivement en parler !) un réflexe de prêt à penser automatique que l'on dégaine pour tout et n'importe quoi en suivant servilement (et paresseusement) la doxa médiatique bien pensante. À qui veut-on faire croire   que c'est automatiquement et évidemment le méchant blanc européen qui a l'apanage du racisme ? Pas à moi en tout cas qui ai choisi d'aller vivre et travailler pendant quelques années en Afrique et en Afrique du Nord. Pas à moi qui ai vu de mes propres yeux comment une ethnie dominante exerçait un pouvoir tyrannique sur les toutes les autres,  en persécutait une autre, réduisait en esclavage une autre encore, plus faible. Pas à moi dont un copain bassiste camerounais, avec lequel je faisais de la musique s'était fait traiter de "plus nègre que noir" par un douanier de Centrafrique pays au passage à la frontière. J'avais été élevé par un père athée dans l'indifférence aux races, aux préférences sexuelles et aux classes sociales et j'étais allé  avec enthousiasme "aux sources du jazz" (musique que je pratiquais  en France avant de partir) et j'ai rencontré le racisme, sans m'être douté une seconde que cela existait, entre africains même… Est-ce que le racisme n'existait pas également dans le pays du Maghreb où j'ai travaillé plus tard ? Il y était de bon ton pour certains de se revendiquer comme "descendants du Prophète" et de mépriser les "fils de bergers" indigènes, de traiter les habitants du Souf de "foncés" et de rappeler aux noirs qu'ils étaient "des fils d'esclaves"… J'ai été le témoin de tout cela et je me garderai bien de parler de racisme anti-blancs ou de racisme anti-roumis. Inutile… Ce dont je témoigne seulement c'est du racisme entre des personnes supposées être les victimes privilégiées du racisme européen. J'ai aimé ces pays africains et j'y ai laissé de vrais amis, des personnes hospitalières, honnêtes, conviviales, et à l'esprit critique, elles. Qu'a fait la gauche depuis toutes ces décennies jusqu'à maintenant encore ? Désigner des bourreaux et plaindre des victimes, et tout cela sans connaissance réelle ni expérience, avec des grilles d'interprétation pré-construites qui sont autant de lits de Procuste peu adéquats à rendre compte de la réalité. Avec encore une fois la volonté de réduire les personnes à des étiquettes, diviser, faire affronter des groupes, attiser la haine. Qui alimente la haine réellement ? De quel lieu idéologique sont ceux qui ont contribué à développer des ghettos culturels et urbains sous prétexte (contradictoire) d'"ouverture à l'autre", de "tolérance", de "valorisation de la différence" ?   Qui a alimenté le ressentiment et l'esprit revanchard jusqu'à la haine et le désir de vengeance chez les victimes désignées ? Qui a semé les graines de la guerre civile ? Qui en a cultivé soigneusement les champs ? — Les mêmes. De gauche. Et encore une fois qui sert la Division ? Qui se fait serviteur du diable ?
Peut-on donc être chrétien "de gauche", c'est à dire social-démocrate en gros, "progressiste" comme on dit maintenant ?  
Je prétends que non. Absolument non. 
Je ne parlerai bien sûr pas de tous ceux qui ont persécuté et massacré les chrétiens du temps de l'Union des Républiques SOCIALISTES  soviétiques" pas moins socialistes que les Nazional Socialistes…
Maxime Martinez

lundi 18 janvier 2016

5 ans de promesses d’Europe sociale » résumés en 4′ 32




Découvrez l’ampleur du lavage de cerveau dont ont été victimes les Français : 35 ans de promesses d’Europe sociale Publié le 16 janvier 2016 dans Actualité / 

Découvrez comment, depuis des décennies, les Français ont été désinformés, manipulés et trompés par les européistes et leurs sempiternelles promesses « d’autre Europe ». Lorsque l’on sait que les traités ne peuvent être entièrement réformés qu’à l’unanimité (art. 48 TUE) et que jamais la City de Londres, les banquiers de Luxembourg, les armateurs de Chypre et de Malte, et la plupart des gouvernements des pays de l’est n’accepteront jamais un « alignement des normes sociales vers le haut », la vraie question est : Comment peut-on encore tomber dans le panneau des promesses d’une « autre Europe »? 

mercredi 18 février 2015

PETIT RAPPEL : L'HORREUR DE SOLOVKI : Impossible d'oublier !

Pentti Sammallahti

J'avais - il y a quelque temps - déjà mis cette vidéo en ligne mais elle n'était pas très bien formatée. La voici à nouveau bien mieux regardable car si on ne saurait comparer l'actuel président de la Russie aux dictateurs du XX° siècle comme certains médias aux ordres aiment à le répéter à l'envi, on se tromperait lourdement et de façon dramatiquement ridicule,à vouloir identifier ce blog à un site web de propagande soviétique Je reprends donc mot pour mot l'introduction que j'en avais faite auparavant :

 Désolé, la copie est ancienne, pas très bonne mais il faut l'avoir vue pour bien comprendre les rouages du totalitarisme le plus écrasant, le plus abject, le plus inhumain.. Difficile de penser qu'il y a encore des gens qui minimisent la Terreur du communisme en prétendant qu'il a été dévoyé mais que les idées étaient bonnes... et qui peuvent - sans craindre le moindre jugement moral ni le moindre procès - adhérer à un parti auto-proclamé communiste voire socialiste ici ou ailleurs... à l'encontre de certains autre socialistes ("national" mais tout de même "socialistes") l'on proclame qu'il n'y a "pas de liberté pour les ennemis de la liberté"... c'est le genre d'injonction à résultat nul par auto-annihilation comme "Il est interdit d'interdire"...



vendredi 31 octobre 2014

La gauche et les pauvres... Quel mépris !



La récompense du mérite et l'accession à la propriété, ce n'est pas pour les pauvres. Voilà, en creux, le message du gouvernement cette semaine.

À l'Assemblée nationale, mardi 28 septembre, Geneviève Fioraso, secrétaire d'État chargée de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, répond à une question du député UMP Alain Chrétien sur les bourses au mérite, qui gratifient de 1 800 euros supplémentaires les étudiants ayant obtenu mention très bien au bac et qu'elle a supprimées au coeur de l'été, mais que le Conseil d'État a ordonné de rétablir en urgence.
La secrétaire d'État s'entête : pas question de rétablir durablement ces bourses au mérite. Pourquoi ? "C'est dès le CP que se décide l'avenir scolaire d'un enfant." Soit, mais ceux qui, malgré tout, ont réussi ne méritent-ils pas de poursuivre de brillantes études en étant déchargés, en partie, du besoin de travailler en même temps ? Pas question. L'excellence au bac ne sera plus un critère. Madame Fioraso préfère allouer 1 000 euros par mois à une nouvelle catégorie improbable, "les étudiants les plus modestes de la classe moyenne", et ce, quels que soient leur niveau et leurs résultats. C'est la préférence pour le saupoudrage et le mépris de l'excellence. Sur les 458 millions d'euros d'aide aux étudiants pour cette année scolaire, un effort sans précédent, se félicite-t-elle, le gouvernement trouve donc inepte d'en dépenser 15 pour récompenser et soutenir les nouveaux bacheliers qui ont su se distinguer !

Ni instruits ni propriétaires... et en autocar !
Bercy s'est occupé des plus modestes aussi en supprimant l'aide au logement pour accéder à la propriété. Son montant annuel moyen est le même que les bourses au mérite : 1 800 euros en moyenne, qui permettent de faire l'appoint pour rembourser un prêt immobilier. Trente mille foyers par an en bénéficiaient, ils n'auront qu'à rester locataires. Quelle idée, aussi, de vouloir devenir propriétaire, comme la majorité des ministres, de leurs conseillers, de leurs amis !
Et pas la peine non plus d'avoir une voiture quand on a peu d'argent. Un autre ministre, Emmanuel Macron, a trouvé la solution : la réforme des autocars qui "pourrait bénéficier aux pauvres, qui voyageront plus facilement". Cela donne une idée - terrifiante - de la manière dont certains membres du gouvernement considèrent ceux de leurs concitoyens qui, à l'évidence, vivent très loin de leur univers microcosmique. Par Sophie Coignard  31/10/14 | 06:23

samedi 25 octobre 2014

Pourquoi les hôpitaux militaires sont dans le collimateur du gouvernement ?

Connu du grand public pour accueillir les présidents de la République mais également des chefs d'Etats étrangers, l'hôpital militaire du Val-de-Grâce, à Paris, est sur la sellette. Plusieurs sources du ministère de la défense ont affirmé au Monde que le gouvernement, confronté à une obligation de réduction de son déficit, envisageait la fermeture de l'établissement, qui se distingue dans le paysage hospitalier national.

A quoi servent les hôpitaux militaires ?

Leur mission prioritaire est de soigner les militaires blessés lors d'opérations de l'armée française, comme ce fut le cas ces dernières années avec les interventions au Mali ou en Afghanistan.
Mais les hôpitaux militaires, que le ministère de la santé assimile à des centres hospitaliers et universitaires (CHU), peuvent également accueillir des patients non militaires, comme tout autre hôpital.

Combien de personnes y travaillent ?

La France compte neuf hôpitaux militaires. Ils sont répartis en deux catégories :
  • les établissements « de premier rang » (Val-de-Grâce, Percy-Clamart, Bégin à Saint-Mandé, Toulon, et Marseille), qui forment le pôle d'excellence de la médecine de guerre, pour garantir aux armées leur capacité « d'entrer en premier » dans un conflit.
  • les hôpitaux considérés comme de « deuxième rang » (BordeauxBrestLyon et Metz).
Ils emploient au total 8 400 personnes, dont 680 médecins. Parmi eux, le Val-de-Grâce représente 800 employés de la défense, auxquels s'ajoutent les 700 agents travaillant pour les écoles de médecine militaire et le musée.

La défense au régime drastique

Si la plupart des ministères sont soumis à un objectif de réduction de leurs dépenses annuelles, la défense – troisième budget de l'Etat après l'éducation et la charge de la dette (31,4 milliards d'euros) et premier budget d'investissement public (17 milliards d'euros) – paye le plus lourd tribut. La dernière loi de programmation militaire (LPM), dessinant le paysage de l'armée française entre 2014 et 2019, prévoyait 6 milliards d'euros de coupes budgétaires en trois ans et une réduction des effectifs de l'ordre de 34 500 personnes d'ici à la fin de la décennie, s'ajoutant aux 45 000 déjà supprimés par la dernière LPM.
Voir notre infographie&nbsp


Le budget de la défensehors pensions, en milliards d'eurosBudget militaire (en euros courants)Budget militaire (en euros constants 2012)19801983198619891992199519982001200420072010201310203040Ministère de la Défense
Ces réductions d'effectifs passent notamment par la fermeture de nombreux sites militaires. La précédente LPM prévoyait ainsi la fermeture de 83 implantations militaires et le déménagement de 33 autres, sur 471 sites existants, entre 2009 et 2016. D'autres sites ont été visés par la dernière LPM.

Une gestion financière longtemps critiquée

281,3Les hôpitaux militaires traînent une réputation de mauvaise gestion. La Cour des comptes avait publié en 2010 un rapport incendiaire, pointant notamment un déficit hors de contrôle : 281,3 millions d'euros pour l'ensemble des 9 établissements en 2009, soit « plus que le cumul des déficits de l'Assistance publique de Paris, Marseille et Lyon », notait le premier président de la juridiction financière, Didier Migaud.
Le rapport évoquait également un taux d'occupation des lits bien en deçà de celui rencontré dans les hôpitaux civils, une activité chirurgicale au ralenti et une gratuité des soins un peu trop généreuse pour les militaires et leur famille – « les trois quarts des consultations [étant] sans lien avec le service des armées » – pour un coût de 10 millions d'euros.
La Cour des comptes avait formulé 14 recommandations (page 92 du document) pour une meilleure gestion, tandis que Didier Migaud avait soulevé le débat :
« Le choix de conserver un réseau d'hôpitaux militaires s'avère coûteux et inadapté. Il faut en corriger les défauts ou se poser la question d'une refonte fondamentale du système. »
Dans son dernier rapport annuel, publié en février 2014, la Cour des comptes observe une amélioration de la situation, notant avec satisfaction que « la plupart des recommandations du rapport public thématique de 2010 sur le service de santé des armées (...) ont été mises en œuvre ou sont en passe de l'être ». Le déficit cumulé des établissements est ainsi passé de 281 millions d'euros en 2009 à 190 millions d'euros en 2012 et le taux d'occupation des lits a progressé de 52 % en 2010 à 61 % en 2013.

Le Val-de-Grâce, premier de la liste ?

Pour autant, la question du nombre d'hôpitaux militaires, elle, reste « non tranchée à ce jour », affirmait la Cour des comptes. La juridiction soulignait notamment que certains établissements allaient « nécessiter des investissements importants en matériels hospitaliers dans les prochaines années ». L'hôpital du Val-de-Grâce, notamment, aurait besoin d'une remise aux normes estimée à 250 millions d'euros.
Comme nous le notions dans notre article du 8 octobre, le gouvernement va désormais devoir trancher entre trois hypothèses :
  • la fermeture pure et simple du Val-de-Grâce
  • une fermeture partielle
  • une cession à l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP). Mais cette dernière, confrontée à un fort endettement du secteur hospitalier public, considère qu'il y a déjà trop de lits à Paris.
Selon nos informations, l'arbitrage de l'Elysée devrait intervenir « avant la fin du mois ». Pourrait ensuite être abordé le sort des hôpitaux militaire de « deuxième rang ».

dimanche 17 août 2014

Avec le socialisme la justice sociale …Ouais, quelque chose comme ça !…

La baisse du taux du Livret A : un cadeau de 400 millions d'euros pour les banques



Le 1er aout, le taux du livret A est passé de 1,25% à 1%. Soit le taux le plus faible depuis... 1818 ! Une décision liée à la faiblesse de l'inflation, dont le taux du livret est indexé. Rien de politique dans cette décision donc. Sauf que les 63 millions de détenteur du Livret A seront contents d'apprendre que cette baisse est aussi un petit cadeau pour les banques comme l'a expliqué Le Canard enchaîné : "Cette épargne, qui à l'origine devait servir à financer le logement social, et que gérait presque intégralement la Caisse des dépôts et consignations, échappe de plus en plus à cette dernière : pour complaire aux banques, alléchés par le pactole, l'Europe leur avait, dès 2008, permis d'en récupérer une bonne part. C'est près de 40% de cette épargne qu'ils captent aujourd'hui", précise l'hebdomadaire.
Résultat ? Avec une baisse de 0,25% du taux de livret A, le montant des intérêts versés par les banques va diminuer. Soit un cadeau de 400 millions d'euros pour les banques. Qui a dit pendant la campagne "mon adversaire, c'est la finance" ? (source)
Tout de même on voit bien là qu'on avait un avantage certain à se débarrasser du système charitable à la chrétienne. Pouah! Quelle tare c'était ! Maintenant oui, on a une vraie répartition socialiste des richesses et les pauvres ne sont plus assistés par les riches dans une abjecte aliénation. N'est-ce pas camarade ?


lundi 30 juin 2014

George ORWELL, un éclairage vital sur notre époque

sur le site Causeur.fr un excellent article sur le livre que Simon Leys a consacré à George ORWELL

"Orwell, l’épouilleur. Un grand écrivain peut être aussi un honnête homme"

"Peut-on être socialiste sans être totalitaire ? C’était la question d’Orwell à laquelle, pour l’instant, l’Histoire a répondu, et sans discussion possible, par la négative. Mais peut-on être un grand écrivain sans être un pourri ? C’était le cas d’Orwell, individu « foncièrement vrai et propre », nous assure Simon Leys qui s’y connaît en honnêteté (et malhonnêteté) intellectuelles. « Chez lui, l’écrivain et l’homme ne faisaient qu’un – et dans ce sens, il était l’exact opposé d’un “homme de lettres“. » Et une exception difficilement envisageable en Occident tant nous sommes persuadés, et avec quelle mauvaise fierté, que le génie est d’abord cet être puissamment amoral auquel il faut, sous peine de passer pour un petit bourgeois moralisateur, tout pardonner – et surtout le pire qui est même son cachet…" LIRE LA SUITE ICI


« Si Orwell plaidait pour qu’on accorde la priorité à la politique, c’était seulement afin de mieux protéger les valeurs non politiques ». Si l’on s’occupe de politique, c’est pour éviter que la politique ne s’occupe trop de nous et abolisse ou secondarise ce qui passera à nos yeux toujours avant elle – à savoir l’éternel et le frivole. Bernard Crick, biographe de référence d'Orwell cité par Simon Leys