Covid : l'Allemagne a trouvé son Edward Snowden
Ces réseaux sont désormais parfaitement identifiés grâce aux deux analystes.
L’analyse se divise ainsi :
- Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;
- Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;
- Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds.
Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L'attention des analystes a été attirée - pour ne donner qu'un exemple - par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.
- Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.
Tous les documents consultés sont dans le domaine public et les logiciels utilisés, quoique coûteux et donc habituellement achetés par des gouvernements ou services secrets, sont également disponibles à l’achat par Monsieur Tout-le-monde. Ainsi, on ne peut reprocher ni acte d’espionnage, ni indiscrétion, ni illégalité à Thomas Röper et Eduard Schneeten. Les ouï-dire ou signalements d'initiés ont été rigoureusement écartés. Toutes de source originale, les données n'ont pas été retouchées.
Faut-il s'étonner qu'aucun journal, émission ou publication en-ligne occidental bénéficiant des largesses financières de Gates – la BBC, Le Monde et al. - n'a souhaité entreprendre de près ou de loin des recherches telles celles de Schneeten et Röper ?
Schneeten et Röper, qui ne se connaissaient pas jusqu’à il y a six mois, constatent en s'appuyant sur des données factuelles que la manœuvre dite anticovid est en préparation depuis au moins 2017, moment où l'on observe soudainement des flux de fonds empruntant des sillons bien définis et où les contacts au sein des réseaux identifiés se multiplient et se resserrent. De même, la majorité des ONG impliquées dans la manoeuvre ont été fondées en 2017.
Le projet, dans sa manifestation actuelle, semble germer en 2016, quoique Heidi Larson, l'une des figures-clefs identifiées, épouse du Baron Peter Piot, avait dès 2010 fondé le Vaccine Confidence Project, aux côtés de GlaxoSmithKline, Johnson&Johnson, la Commission européenne, etc. Désormais Facebook, Chatham House, l'OMS, ou encore le Robert-Koch Institut et l'Hôpital de la Charité de Christian Drosten en sont partenaires, entre autre.
Le Dr Larson, professeur d'anthropologie et de “science des risques et des décisions” (sic) au London School of Hygiene and Tropical Medecine, se spécialise dans la “gestion des rumeurs (sic) et des risques depuis les essais cliniques jusqu'à la mise sur marché, et l'instillation de la confiance dans les populations” (sic).
Un aspect à souligner : à aucun moment Röper et Schneeten ne spéculent sur les origines du virus ou sur les objectifs plus ou moins occultes de ces réseaux. Ils se cantonnent à leur propre domaine d'expertise et au factuel, considérant d'ailleurs que l'on eût pu déclencher la même campagne hystérique au sujet de n'importe quelle maladie ex. “Grippe espagnole 2.0”, avec les mêmes conséquences.
Un exemple du pouvoir de ces réseaux : le 3 août 2021, une lettre ouverte au président Biden a été publiée, intimant à ce dernier des ordres et notamment, celui de convoquer un “Sommet global de la vaccination” avec comme objectif d'injecter 70% de la population mondiale avant le mois de septembre 2022. Le 22 septembre, soit six semaines plus tard, sans convoquer le Congrès ni consulter l'électorat (alors que c'est le contribuable qui finance), Biden obtempéra et annonça un partenariat UE-États-Unis pour une “offensive globale de vaccination”. Les signataires de la lettre ouverte y figurent comme représentant différentes ONG, or tous ont des conflits d'intérêts majeurs dans le privé, par exemple Scott Gottlieb, membre du Conseil d'Administration de Pfizer.
Au centre de la toile étudiée par Schneeten et Röper se trouve l'époux du Professeur Larson, le baron Peter Piot, originaire de Belgique et nommé directeur de la London School of Hygiene and Tropical Medecine en 2010. Senior Fellow de la Fondation Gates depuis 2009, il se présente comme universitaire désintéressé. En réalité, la London School of Hygiene and Tropical Medicine a en 20 ans reçu par 143 fois des “dons” de Bill Gates pour un montant total d'au moins $US 185 millions, auxquels il faut ajouter les $US 170 millions reçus du Wellcome Trust. Peter Piot est conseiller de la Commission européenne en matière de Covid (Advisory Panel on Covid-19), conseiller personnel en matière de Covid-19 de sa présidente Ursula Von Der Leyen, membre de l'Academie des sciences allemande Leopoldina, membre de CEPI, membre de Conseil de Novartis, membre de l'Académie française de médecine.
Ce qu'est précisément l'industrie pharmaceutique
- https://www.lelibrepenseur.org/le-ministere-de-la-sante-rappelle-17-millions-de-masques-ffp2-possiblement-nocifs/
- Le médicament toxique pour le coeur est le Remdesivir pas l'Hydroxychloroquine
- Comment des détectives amateurs ont brisé l'histoire du Wuhan Lab et embarrassé les médias
- https://www.lelibrepenseur.org/un-mail-montre-quun-chercheur-qui-a-finance-le-laboratoire-de-wuhan-admet-avoir-manipule-des-coronavirus-et-a-remercie-fauci-davoir-rejete-la-theorie-des-fuites-de-laboratoire/
- https://iatranshumanisme.com/2021/06/02/les-e-mails-de-fauci-le-prochain-scandale-a-venir-fauciemails/?amp=1
- etc.
Nous savons tous qu'ils ont mis "Covid" dans la plupart des morts pour faire croire à une terrible Pandémie ! Comparons les chiffres "toutes morts confondues" pendant la forte épidemie de grippe de 2017 et le Covid de 2020 pendant 4 mois( pendant la période de circulation du virus) En 2017 a-t-on fermé l'économie, ruiné le pays ? Et encore en 2017 c'est en traitant les gens ! Sans leur dire, restez chez vous, prenez du Doliprane...
APPEL A LA RESISTANCE CIVILE
ET AU REVEIL DES CONSCIENCES
Asservissement, le nouveau livre de Vincent Held

Le nouveau livre de Vincent Held est arrivé.
Il traite du sujet brûlant du moment, à savoir de la réinitialisation de la société, ou reset social.
Nous découvrons dans ce livre à quel point non seulement la technologie remet en question les moindres recoins de notre vie – y compris la plus intime- mais aussi à quel point nos valeurs de fond qui définissaient autrefois la dignité et le respect de l’intégrité de l’humain ont été balayées.
Le statut de l’enfant ainsi que ses droits sont reconsidérés avec la bénédiction des institutions supranationales et avalisés par les divers gouvernants des pays membres de la galaxie onusienne.
Ces derniers jours, le philosophe suisse Eric Werner écrivait dans les lignes de l’Antipresse:
« La pandémie a été l’occasion d’un saut qualitatif, ouvrant des perspectives que personne jusqu’alors, pas plus Orwell que Kafka, n’avait seulement imaginées ni moins encore explorées. Et pour cause, puisqu’on ne savait pas encore ce qu’était le numérique. Au CERN, près de Genève, les employés et cadres sont désormais équipés d’une application leur permettant de respecter les «distances sociales». Dès qu’on se rapproche de trop près d’un collègue, une sonnerie de mise en garde retentit.
Antipresse https://antipresse.net/aparchive/275509/Antipresse-275.pdf?mc_cid=30741bb0f3&mc_eid=064f5ba168
Et Werner d’ajouter à juste titre » que rien dans cette pandémie ne justifie toutes ces folies« . Précision indispensable à laquelle il convient de rappeler les méthodes statistiques fallacieuses dont se servent les autorités pour faire avancer un agenda au mieux mortifère et au pire génocidaire.
Car oui, faire de l’individu un objet de production ou oeuvrer à la dénaturation de l’être humain, de la famille, de la société et finalement de l’humanité est un acte génocidaire qu’il va falloir traiter un jour.
Dès lors, il ne faudra pas s’étonner que des mesures du genre distanciation sociale et autre port de masque ambitionnent finalement la désinsertion sociale de chaque individu petit et grand. Le corollaire de cet axiome est l’interdiction probable de la famille en tant qu’entité privée et personnelle.
Des recensements ont cours actuellement ont pour objectif de cartographier les données de votre foyer avec le but probable d’y faire héberger des tiers. Ça sera une première étape pour décloisonner les foyers. Il est bon de savoir que ces recensements sont gérés par des sociétés privées appartiennent généralement au marché de la finance.
En Suisse, le mandat a été accordé par la Berne fédérale à Demoscope, une société hautement controversée puisqu’elle ne respecte même pas le droit du travail du sol qui l’héberge. Et que fait Demoscope des données accumulés dans sa base de données? Nul ne le sait…
https://www.rts.ch/play/radio/le-journal-du-matin/audio/la-societe-de-sondages-demoscope -geneve-est-dans-le-viseur-du-syndicat-unia?id=8777682
La gouvernance mondiale du 21ème siècle nous renvoie au début du 20ème siècle où les sociétés occidentales étaient dirigées par des eugénistes assumés, dont Hitler était le détestable rejeton.
Le transhumanisme qui se loge derrière les mesures covidiennes remet l’eugénisme sur le devant de la scène sociétale. Chassez le naturel… Bref, au vu des informations que nous détenons, si l’humanité devait laisser faire, ce serait exclusivement de sa faute…
LHK
Oser voir l’évidence– Préface par Slobodan Despot
Nous vivons une époque fabuleuse. Fabuleuse, au sens littéral: tenant de la fable. Effondrements, secousses et révolutions s’enchaînent à une vitesse que notre esprit n’arrive plus à absorber. Ouvrir les réseaux sociaux, les sites de nouvelles et de commentaires ou simplement Twitter s’apparente à un électrochoc. On tombe en tétanie. Comme si trois ou quatre illusionnistes à la fois accaparaient notre attention pendant que des comparses nous vident les poches, ou pire. C’est pourquoi l’exercice le plus difficile, aujourd’hui, consiste à trier ces agressions cognitives, à séparer la matière vive de la vapeur toxique, et à ordonner ce qu’il en reste pour en tirer le sens. C’est à cette étape que vous guette — pour peu que vous ne gardiez pas vos observations par-devers vous — l’étiquette imparable de «complotiste». Le complotisme consistant, en temps de psychose collective, à persister dans la quête du «pourquoi» derrière les miroitements hypnotiques du «comment».
Du point de vue de l’information, de l’intelligence des choses, la fable qui me vient à l’esprit est celle de la Lettre volée d’Edgar Allan Poe. Vous fouillez le tiroir le plus profond, décrochez le dernier rideau, soulevez le moindre tapis — alors que l’objet de votre quête était nonchalamment posé sur le manteau de la cheminée.
Vincent Held est un chercheur de vérité dont l’ingénuité n’est qu’apparente. Il ne fait pas de conjectures, ne nomme pas de «forces cachées» derrière les événements: il se limite à ouvrir les yeux sur le spectacle qui se déroule en pleine lumière et à rendre compte de ce qu’il voit. Encore faut-il avoir le sang-froid et l’acuité visuelle nécessaires pour isoler dans le bruit ambiant les jalons essentiels de la compréhension. Qu’il s’agisse de finances, de réseaux, de santé publique, d’informatique, de surveillance, l’apparente sophistication des processus et de leurs paramètres recouvre une passion vieille comme le monde, aussi nue aujourd’hui qu’au temps des pharaons: le besoin de tout contrôler, tout dominer dans une parodie grotesque de la toute-puissance divine.
Le coup d’Etat technologique global auquel nous assistons en temps réel ne date pas d’hier, on peut dire qu’il est consubstantiel au développement de la société industrielle, et qu’en nous détournant des humanités et de l’humain au profit du calibrage, de la rationalisation et de la cybernétique, nous avons invoqué avec ferveur et sottise les spectres qui aujourd’hui nous terrifient. Car nous avons oublié que le culte scientiste impliquait aussi la désactivation de cet ensemble de valeurs et de vertus qui, au fil du temps, avaient contenu la tentation de la bestialité qu’implique toujours un pouvoir illimité.
Le regard de Vincent est aigu et serein. Il n’extrapole pas, il montre et il décrit ce que beaucoup d’enquêteurs professionnels — universitaires, médiatiques, institutionnels — n’osent plus même regarder. Une telle démarche, aujourd’hui, n’implique pas seulement de la connaissance et de la méthode, mais encore une véritable force d’âme. Slobodan Despot
Informations sur l’ouvrage
Asservissement
De la déshumanisation sociétale à l’esclavage numérique
Intervenants
Slobodan Despot – Nicolas Bonnal- Prof. Philippe Laurent, « la Grande Réinitialisation monétaire »
L’auteur


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Après la Crise. Le nouveau livre de Vincent HeldDans "Autres articles"
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