PARTICIPANTS DAVOS 2023
WEF - World economic forum
Liste non exhaustive des presque 2400 participants au Forum de Davos 16 - 20 janvier 2023
(État au 8.12.22)
BELGIQUE
• Reine Mathilde de Belgique
• Roi Philippe de Belgique
• Alexander De Croo, 1er ministre de Belgique, Young Global Leader du WEF
ESPAGNE
• Pedro Sanchez, 1er ministres espagnol
• Bruno Le Maire, ministre français de l'économie et des finances en France, Bilderberg 2019
• Olivier Dussopt, ministre français du Travail, du plein emploi et de l'insertion
• Prince Albert de Monaco
• Régent Aloïs du Liechtenstein
• Marie Barbey-Chappuis, Maire de Genève
• Viola Amherd, Conseillère fédérale
• Guy Parmelin, Conseiller fédéral
• Walter Thurnherr, Chancelier fédéral
• Thomas Sussli, Chef de l'armée suisse
• 18 membres du Parlement suisse (sur 246)
• Thomas Jordan, Président de la Banque Nationale Suisse
• Martin Vetterli, Directeur de l'EPFL, membre du Conseil d'administration de GESDA
UE
• 14 représentants de la Commission européenne
• Christine Lagarde, Directrice de la Banque centrale européenne (BCE) et membre du Conseil de Fondation du WEF
CABINETS DE CONSEIL, FONDS D'INVESTISSEMENT
• Julie Sweet, Présidente d'Accenture et membre du Conseil de Fondation du WEF
• Orit Gadiesh, Présidente Bain & Company et membre du Conseil de Fondation du WEF
• Philipp Hildebrand, Vice-président de BlackRock, ex-président de la Banque Nationale Suisse
• Larry Fink, Président de BlackRock et membre du Conseil de Fondation du WEF
• David Rubenstein, co-président de Carlyle et membre du Conseil de Fondation du WEF
• Jeremy Farrar, Directeur du Wellcome Trust
• Alexander Soros, vice-président des Open Society Foundations de son père George Soros
• Michael Ringier, Président du groupe Ringier
• Marc Walder, directeur du groupe Ringier, qui disait le 3 février 2021 que les médias doivent soutenir le gouvernement
• 4 membres de la Société des médias suisses (SSR)
• Jean-Paul Chapel, éditeur de France 2
• Responsables chez Les Echos, Le Monde, Le Figaro
MULTINATIONALES
• Pekka Lundmark, PDG de Nokia qui prévoit la majorité des fonctions du téléphone à l'intérieur du corps pour 2030, grâce à 5G et 6G
• Mark Schneider, Directeur de Nestlé et membre du Conseil de Fondation du WEF
• Al Gore, Président de Generation Investment Management (GIM), apôtre du changement climatique, actionnaire de BlackRock, membre du Conseil de Fondation du WEF
• Albert Bourla, PDG de Pfizer
• Satya Nadella, PDG de Microsoft
ORGANISATIONS INTERNATIONALES
• Tedros Adhanom Ghebreyesus, PDG de l'OMS
• Kristalina Giorgieva, Directrice du FMI et membre du Conseil de Fondation du WEF
• Fabiola Gianotti, Directrice du CERN,membre du Conseil d'administration de GESDA et membre du Conseil de Fondation du WEF
• Ngozi Okonjo Iweala, Directrice de l'OMC (Organisation mondiale du commerce) et membre du Conseil de Fondation du WEF
• Seth Berkley, Directeur de Gavi
• Peter Brabeck, Vice-président du WEF, Président de GESDA, ex-Directeur de Nestlé, Bilderberg 2011
• Chris Elias, Président du Programme de développement mondial de la Fondation Bill & Melinda Gates, bras droit de Bill Gates, présent à L'Event 201 du 18.10.19
• Leo Rafael Reif, Président du MIT (qui a mis au point les certificats vaccinaux sous la peau, à points quantiques - Quantum dot dye) et membre du Conseil de Fondation du WEF
Techniques de manipulationet fabrique du consentement
POUR EN FINIR AVEC LES COVIDISTES DIVERS ET VARIÉS…
BONNE ET SAINE ANNÉE 2023
Twitter files, la suite : censure à tous les étages
Inexorablement, le paysage de l’information grand public change et ce n’est pas à la faveur des institutions officielles, de la presse traditionnelle ou des organes médiatiques habituels, au contraire. Avec la publication des “Twitter Files” dont un précédent billet faisait mention, on a eu la démonstration à la fois de la collusion de l’État et des BigTech, et à la fois de celle de l’État avec la presse traditionnelle tant son mutisme fut complet au sujet des révélations de Twitter.
Cette première bordée de révélations montrait ainsi toutes les manœuvres en coulisse de Twitter pour réduire à néant certaines informations très défavorables à Joe Biden, alors en campagne présidentielle. La suite de ces révélations – qu’on pourra éplucher dans le fil de Bari Weiss ci-dessous – permet d’établir que les faits révélés dans la première salve de documents ne sont pas accidentels, mais font partie d’une véritable “politique maison” de la part des hauts responsables de Twitter, afin de pousser clairement un ordre du jour politique clairement ultra-favorable aux progressistes voire aux collectivistes de tous poils, et diamétralement défavorable aux Républicains américains en particulier et aux Conservateurs en général.
Au fil des éléments présentés par Bari Weiss, on découvre que les salariés de Twitter employés à la modération ont directement accès à toute une panoplie d’outils destinés à espionner les activités d’un compte et à minimiser l’impact et la visibilité de certains messages jugés contraires aux tendances politiques des dirigeants du réseau social américain. Depuis le shadow banning (appelé “Visibility Filtering” chez Twitter) – technique qui autorise l’utilisateur à continuer à publier des informations mais qui cache totalement ou presque sa diffusion – jusqu’aux techniques algorithmiques visant à diminuer l’impact des messages en passant par le marquage de certains comptes pour des déclenchements d’alertes directes auprès de la direction de Twitter, tout a été mis en place pour ne laisser qu’une place symbolique aux messages dissidents de la tendance woke et progressiste, dans une opacité complète et fort loin des politiques d’usages officielles.
Cet éloignement des politiques officielles est tel qu’on goûtera tout le sel d’un ancien message de Jack Dorsey, le fondateur de la plateforme, qui expliquait en 2018 ne jamais s’être adonné à cette pratique : que nenni, Twitter n’utilise pas ces techniques et certainement pas en fonction de points de vue politiques. Ben tiens. Et s’il pouvait encore arguer il y a quelques mois qu’il n’était pas tenu au courant de toutes les décisions de son équipe de modération, il apparaît au fil de ces Twitter Files qu’en réalité, il était assez clairement informé de l’étendue du filtrage et des manipulations mises en place.
Au-delà de ces aspects qui étaient en réalité déjà largement soupçonnés et reprochés à la plateforme avant son rachat par Elon Musk, ce nouveau lot de Twitter Files apporte une autre confirmation à savoir celle de l’implication directe du FBI, c’est-à-dire d’une administration fédérale américaine, dans le choix des messages autorisés à fleurir ou non sur la plateforme. Il suffira au passage d’éplucher la liste des employés actuels (à des postes à responsabilité) de Twitter pour découvrir qu’une partie d’entre eux a longuement émargé dans plusieurs agences fédérales, depuis les services secrets en passant par la CIA, et pour la majeure partie, au FBI.
Enfin, lorsqu’on comprend l’ampleur de la collusion et de ce qui ne peut être autre chose que de la censure (des membres du parlement, d’administrations américaines étant directement impliqués pour obtenir des suppressions de comptes ou de messages), on ne peut que constater la puissance de Twitter dans la formation de l’opinion publique et l’orientation de toute la presse pour écraser toute vue dissidente.
Les conséquences ne se traduisent pas seulement par une perte de liberté d’expression, mais bien par nombre de vies détruites, au sens figuratif comme littéral (par exemple, tout discours sur la possibilité de traitements médicamenteux furent supprimés). Avec un tel mode de filtrage politique des contenus, Twitter est devenu une firme d’espionnage et un outil de censure pour certaines administrations américaines en collusion avec le parti Démocrate. Du reste, cela se produit aussi, sous stéroïdes, dans d’autres grandes firmes technologiques comme Youtube, Google, Meta & Intagram, la différence étant qu’ici, les agissements de Twitter sont exposés à la vue de tous, à tel point que sont passés sous silence les crimes et la corruption des politiciens en place (tant aux États-Unis qu’ailleurs, ne vous bercez pas d’illusions).
Une grande partie des dirigeants actuels, et, derrière eux, des principaux partis de pouvoir, ont largement abandonné leur pouvoir au main de ces grandes entreprises en l’échange d’une garantie de continuité de leur statuts : tant qu’ils disposent des petits-fours et bénéficient des délits d’initiés boursiers, ils jouent le jeu et laissent pour ainsi dire les clés des pays aux milliardaires des BigTech qui ont, dès lors, les coudées franches. Et si l’on peut ainsi subvertir discrètement l’opinion et le discours publics, que dire des processus de vote, surtout lorsqu’ils sont électroniques ?
De fil en aiguille, ces agences gouvernementales et ces BigTech ont accumulé tout le savoir nécessaire pour forcer les politiciens à tenir la ligne qui leur est favorables : les politiciens qui tentent la franchise, le retour au peuple ou les discours alternatifs sont systématiquement salis, broyés ou réduits au silence (et ce n’est pas toujours une figure de style).
Avec de telles méthodes, Snowden doit rester aussi évanescent que possible, et Assange pourrait mourir en prison : Twitter (et les autres) ont été directement responsables de la suppression de toute voix supportant le journaliste ou le lanceur d’alerte. Twitter a directement censuré des docteurs, des praticiens qui ont alerté, très tôt, sur les dangers des injections ARNm (myocardites, typiquement) ou sur les conséquences néfastes des confinements (sur les enfants notamment) et ceci se traduit effectivement par des morts et des blessés.
Ce faisant, toutes les informations qui sont parvenues via Twitter ces dernières années doivent être replacées dans le contexte de ces manipulations massives d’opinion, où toutes les conceptions alternatives ont été étouffées, où certaines propagandes d’État ont été favorisées (depuis les guerres jusqu’aux politiques énergétiques consternantes en passant par la manipulation des masses sur le covid).
On ne peut plus avoir aucune confiance ni dans les médias, ni dans la parole publique des politiciens, ni dans les élections, ni dans les processus habituels de recherche scientifique de la vérité.
Le vrai Anthony Fauci
Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique
Voir le Fichier : rfk-jr-le-veritable-anthony-fauci-larges-extraits-de-traduction-r71-pagination-jbl-du-7-avril-2022.pdf
RENAUD PIARROUX : DÉSINFORMATION EN TEMPS D’ÉPIDÉMIE ?
Thinkerview diffusé en direct le 9 avril 2021
Covid : l'Allemagne a trouvé son Edward Snowden
Ces réseaux sont désormais parfaitement identifiés grâce aux deux analystes.
L’analyse se divise ainsi :
- Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;
- Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;
- Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds.
Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L'attention des analystes a été attirée - pour ne donner qu'un exemple - par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.
- Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.
Tous les documents consultés sont dans le domaine public et les logiciels utilisés, quoique coûteux et donc habituellement achetés par des gouvernements ou services secrets, sont également disponibles à l’achat par Monsieur Tout-le-monde. Ainsi, on ne peut reprocher ni acte d’espionnage, ni indiscrétion, ni illégalité à Thomas Röper et Eduard Schneeten. Les ouï-dire ou signalements d'initiés ont été rigoureusement écartés. Toutes de source originale, les données n'ont pas été retouchées.
Faut-il s'étonner qu'aucun journal, émission ou publication en-ligne occidental bénéficiant des largesses financières de Gates – la BBC, Le Monde et al. - n'a souhaité entreprendre de près ou de loin des recherches telles celles de Schneeten et Röper ?
Schneeten et Röper, qui ne se connaissaient pas jusqu’à il y a six mois, constatent en s'appuyant sur des données factuelles que la manœuvre dite anticovid est en préparation depuis au moins 2017, moment où l'on observe soudainement des flux de fonds empruntant des sillons bien définis et où les contacts au sein des réseaux identifiés se multiplient et se resserrent. De même, la majorité des ONG impliquées dans la manoeuvre ont été fondées en 2017.
Le projet, dans sa manifestation actuelle, semble germer en 2016, quoique Heidi Larson, l'une des figures-clefs identifiées, épouse du Baron Peter Piot, avait dès 2010 fondé le Vaccine Confidence Project, aux côtés de GlaxoSmithKline, Johnson&Johnson, la Commission européenne, etc. Désormais Facebook, Chatham House, l'OMS, ou encore le Robert-Koch Institut et l'Hôpital de la Charité de Christian Drosten en sont partenaires, entre autre.
Le Dr Larson, professeur d'anthropologie et de “science des risques et des décisions” (sic) au London School of Hygiene and Tropical Medecine, se spécialise dans la “gestion des rumeurs (sic) et des risques depuis les essais cliniques jusqu'à la mise sur marché, et l'instillation de la confiance dans les populations” (sic).
Un aspect à souligner : à aucun moment Röper et Schneeten ne spéculent sur les origines du virus ou sur les objectifs plus ou moins occultes de ces réseaux. Ils se cantonnent à leur propre domaine d'expertise et au factuel, considérant d'ailleurs que l'on eût pu déclencher la même campagne hystérique au sujet de n'importe quelle maladie ex. “Grippe espagnole 2.0”, avec les mêmes conséquences.
Un exemple du pouvoir de ces réseaux : le 3 août 2021, une lettre ouverte au président Biden a été publiée, intimant à ce dernier des ordres et notamment, celui de convoquer un “Sommet global de la vaccination” avec comme objectif d'injecter 70% de la population mondiale avant le mois de septembre 2022. Le 22 septembre, soit six semaines plus tard, sans convoquer le Congrès ni consulter l'électorat (alors que c'est le contribuable qui finance), Biden obtempéra et annonça un partenariat UE-États-Unis pour une “offensive globale de vaccination”. Les signataires de la lettre ouverte y figurent comme représentant différentes ONG, or tous ont des conflits d'intérêts majeurs dans le privé, par exemple Scott Gottlieb, membre du Conseil d'Administration de Pfizer.
Au centre de la toile étudiée par Schneeten et Röper se trouve l'époux du Professeur Larson, le baron Peter Piot, originaire de Belgique et nommé directeur de la London School of Hygiene and Tropical Medecine en 2010. Senior Fellow de la Fondation Gates depuis 2009, il se présente comme universitaire désintéressé. En réalité, la London School of Hygiene and Tropical Medicine a en 20 ans reçu par 143 fois des “dons” de Bill Gates pour un montant total d'au moins $US 185 millions, auxquels il faut ajouter les $US 170 millions reçus du Wellcome Trust. Peter Piot est conseiller de la Commission européenne en matière de Covid (Advisory Panel on Covid-19), conseiller personnel en matière de Covid-19 de sa présidente Ursula Von Der Leyen, membre de l'Academie des sciences allemande Leopoldina, membre de CEPI, membre de Conseil de Novartis, membre de l'Académie française de médecine.
Ce qu'est précisément l'industrie pharmaceutique
- https://www.lelibrepenseur.org/le-ministere-de-la-sante-rappelle-17-millions-de-masques-ffp2-possiblement-nocifs/
- Le médicament toxique pour le coeur est le Remdesivir pas l'Hydroxychloroquine
- Comment des détectives amateurs ont brisé l'histoire du Wuhan Lab et embarrassé les médias
- https://www.lelibrepenseur.org/un-mail-montre-quun-chercheur-qui-a-finance-le-laboratoire-de-wuhan-admet-avoir-manipule-des-coronavirus-et-a-remercie-fauci-davoir-rejete-la-theorie-des-fuites-de-laboratoire/
- https://iatranshumanisme.com/2021/06/02/les-e-mails-de-fauci-le-prochain-scandale-a-venir-fauciemails/?amp=1
- etc.
Nous savons tous qu'ils ont mis "Covid" dans la plupart des morts pour faire croire à une terrible Pandémie ! Comparons les chiffres "toutes morts confondues" pendant la forte épidemie de grippe de 2017 et le Covid de 2020 pendant 4 mois( pendant la période de circulation du virus) En 2017 a-t-on fermé l'économie, ruiné le pays ? Et encore en 2017 c'est en traitant les gens ! Sans leur dire, restez chez vous, prenez du Doliprane...
APPEL A LA RESISTANCE CIVILE
ET AU REVEIL DES CONSCIENCES
Asservissement, le nouveau livre de Vincent Held

Le nouveau livre de Vincent Held est arrivé.
Il traite du sujet brûlant du moment, à savoir de la réinitialisation de la société, ou reset social.
Nous découvrons dans ce livre à quel point non seulement la technologie remet en question les moindres recoins de notre vie – y compris la plus intime- mais aussi à quel point nos valeurs de fond qui définissaient autrefois la dignité et le respect de l’intégrité de l’humain ont été balayées.
Le statut de l’enfant ainsi que ses droits sont reconsidérés avec la bénédiction des institutions supranationales et avalisés par les divers gouvernants des pays membres de la galaxie onusienne.
Ces derniers jours, le philosophe suisse Eric Werner écrivait dans les lignes de l’Antipresse:
« La pandémie a été l’occasion d’un saut qualitatif, ouvrant des perspectives que personne jusqu’alors, pas plus Orwell que Kafka, n’avait seulement imaginées ni moins encore explorées. Et pour cause, puisqu’on ne savait pas encore ce qu’était le numérique. Au CERN, près de Genève, les employés et cadres sont désormais équipés d’une application leur permettant de respecter les «distances sociales». Dès qu’on se rapproche de trop près d’un collègue, une sonnerie de mise en garde retentit.
Antipresse https://antipresse.net/aparchive/275509/Antipresse-275.pdf?mc_cid=30741bb0f3&mc_eid=064f5ba168
Et Werner d’ajouter à juste titre » que rien dans cette pandémie ne justifie toutes ces folies« . Précision indispensable à laquelle il convient de rappeler les méthodes statistiques fallacieuses dont se servent les autorités pour faire avancer un agenda au mieux mortifère et au pire génocidaire.
Car oui, faire de l’individu un objet de production ou oeuvrer à la dénaturation de l’être humain, de la famille, de la société et finalement de l’humanité est un acte génocidaire qu’il va falloir traiter un jour.
Dès lors, il ne faudra pas s’étonner que des mesures du genre distanciation sociale et autre port de masque ambitionnent finalement la désinsertion sociale de chaque individu petit et grand. Le corollaire de cet axiome est l’interdiction probable de la famille en tant qu’entité privée et personnelle.
Des recensements ont cours actuellement ont pour objectif de cartographier les données de votre foyer avec le but probable d’y faire héberger des tiers. Ça sera une première étape pour décloisonner les foyers. Il est bon de savoir que ces recensements sont gérés par des sociétés privées appartiennent généralement au marché de la finance.
En Suisse, le mandat a été accordé par la Berne fédérale à Demoscope, une société hautement controversée puisqu’elle ne respecte même pas le droit du travail du sol qui l’héberge. Et que fait Demoscope des données accumulés dans sa base de données? Nul ne le sait…
https://www.rts.ch/play/radio/le-journal-du-matin/audio/la-societe-de-sondages-demoscope -geneve-est-dans-le-viseur-du-syndicat-unia?id=8777682
La gouvernance mondiale du 21ème siècle nous renvoie au début du 20ème siècle où les sociétés occidentales étaient dirigées par des eugénistes assumés, dont Hitler était le détestable rejeton.
Le transhumanisme qui se loge derrière les mesures covidiennes remet l’eugénisme sur le devant de la scène sociétale. Chassez le naturel… Bref, au vu des informations que nous détenons, si l’humanité devait laisser faire, ce serait exclusivement de sa faute…
LHK
Oser voir l’évidence– Préface par Slobodan Despot
Nous vivons une époque fabuleuse. Fabuleuse, au sens littéral: tenant de la fable. Effondrements, secousses et révolutions s’enchaînent à une vitesse que notre esprit n’arrive plus à absorber. Ouvrir les réseaux sociaux, les sites de nouvelles et de commentaires ou simplement Twitter s’apparente à un électrochoc. On tombe en tétanie. Comme si trois ou quatre illusionnistes à la fois accaparaient notre attention pendant que des comparses nous vident les poches, ou pire. C’est pourquoi l’exercice le plus difficile, aujourd’hui, consiste à trier ces agressions cognitives, à séparer la matière vive de la vapeur toxique, et à ordonner ce qu’il en reste pour en tirer le sens. C’est à cette étape que vous guette — pour peu que vous ne gardiez pas vos observations par-devers vous — l’étiquette imparable de «complotiste». Le complotisme consistant, en temps de psychose collective, à persister dans la quête du «pourquoi» derrière les miroitements hypnotiques du «comment».
Du point de vue de l’information, de l’intelligence des choses, la fable qui me vient à l’esprit est celle de la Lettre volée d’Edgar Allan Poe. Vous fouillez le tiroir le plus profond, décrochez le dernier rideau, soulevez le moindre tapis — alors que l’objet de votre quête était nonchalamment posé sur le manteau de la cheminée.
Vincent Held est un chercheur de vérité dont l’ingénuité n’est qu’apparente. Il ne fait pas de conjectures, ne nomme pas de «forces cachées» derrière les événements: il se limite à ouvrir les yeux sur le spectacle qui se déroule en pleine lumière et à rendre compte de ce qu’il voit. Encore faut-il avoir le sang-froid et l’acuité visuelle nécessaires pour isoler dans le bruit ambiant les jalons essentiels de la compréhension. Qu’il s’agisse de finances, de réseaux, de santé publique, d’informatique, de surveillance, l’apparente sophistication des processus et de leurs paramètres recouvre une passion vieille comme le monde, aussi nue aujourd’hui qu’au temps des pharaons: le besoin de tout contrôler, tout dominer dans une parodie grotesque de la toute-puissance divine.
Le coup d’Etat technologique global auquel nous assistons en temps réel ne date pas d’hier, on peut dire qu’il est consubstantiel au développement de la société industrielle, et qu’en nous détournant des humanités et de l’humain au profit du calibrage, de la rationalisation et de la cybernétique, nous avons invoqué avec ferveur et sottise les spectres qui aujourd’hui nous terrifient. Car nous avons oublié que le culte scientiste impliquait aussi la désactivation de cet ensemble de valeurs et de vertus qui, au fil du temps, avaient contenu la tentation de la bestialité qu’implique toujours un pouvoir illimité.
Le regard de Vincent est aigu et serein. Il n’extrapole pas, il montre et il décrit ce que beaucoup d’enquêteurs professionnels — universitaires, médiatiques, institutionnels — n’osent plus même regarder. Une telle démarche, aujourd’hui, n’implique pas seulement de la connaissance et de la méthode, mais encore une véritable force d’âme. Slobodan Despot
Informations sur l’ouvrage
Asservissement
De la déshumanisation sociétale à l’esclavage numérique
Intervenants
Slobodan Despot – Nicolas Bonnal- Prof. Philippe Laurent, « la Grande Réinitialisation monétaire »
L’auteur


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Après la Crise. Le nouveau livre de Vincent HeldDans "Autres articles"
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Rappels
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