Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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samedi 17 avril 2021

« LE PASSAGE DU ROYAUME DU CHRIST AU ROYAUME DE L’ANTÉCHRIST » par l’archevêque catholique Carlo Maria Viganò

« Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation, c’est-à-dire la transition d’un monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist » — 

Mgr Carlo Maria Viganò





"Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une planification criminelle encore plus inquiétante conçue par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins - qui sont certes inutiles et nocifs - comme rien moins que de miraculeux.

 

La réputation des entreprises pharmaceutiques


Nous savons que les géants pharmaceutiques – AstraZeneca, Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson – non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de validation des médicaments, mais qu’ils ont une longue histoire de condamnations pour avoir déjà causé de graves dommages à la population, distribuant des vaccins qui se sont révélés être à l’origine de maladies invalidantes.

 

Les conflits d’intérêts


On sait quels conflits d’intérêts macroscopiques existent entre les laboratoires pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les salariés de ces sociétés sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’usage des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils auraient la liberté de faire une évaluation juste et prudente en continuant souvent d’avoir des liens professionnels avec Big Pharma. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du prétendu vaccin – qui a conduit certaines nations à suspendre sa distribution – n’est pas encore considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour interdire son adoption. Les découvertes récentes sur ses effets secondaires graves sont considérées comme exclues de la majorité des cas et en outre en ignorant délibérément la relation causale entre l’inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou long terme.

Immunité contre les effets secondaires

Nous savons que, au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population, les laboratoires pharmaceutiques ont exigé une immunité totale pour les dommages pouvant survenir aux patients, à qui il est demandé de signer un formulaire de décharge avec leur consentement éclairé. Ainsi, avec les bénéfices scandaleux de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.

Secret sur les clauses contractuelles

Nous savons que les clauses contractuelles des accords conclus par les nations et par l’Union européenne avec ces sociétés pharmaceutiques sont inaccessibles et secrètes : même les parlementaires et les représentants politiques ne sont pas autorisés à voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée. Et nous savons que non seulement les mêmes sociétés pharmaceutiques n’assument aucune responsabilité pour les effets secondaires, mais elles déclarent également qu’elles ne garantissent même pas leur efficacité à fournir une immunité contre le virus.

L’origine chinoise du virus

On sait que le virus SRAS-CoV-2 a été selon toute probabilité produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financiers de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.

Complicité du personnel de santé


Nous savons que tous les pays, à de très rares exceptions près, ont immédiatement adopté les protocoles de santé les plus absurdes de l’OMS, à commencer par la malheureuse décision de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes, et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie bilatérale aiguë. Et cela s’est produit avec la complicité exécrable du personnel de santé – des médecins au personnel hospitalier – provoquant des milliers de décès non pas par COVID, comme nous le disent les médias grand public, mais par un traitement incorrect des malades.

 

Délégitimation et boycott des traitements disponibles

On connaît également la campagne acharnée contre l’efficacité des traitements déjà existants, de l’utilisation du plasma hyperimmun à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, malgré le non-respect des normes de santé imposées au cours de ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès. Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne soient pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate en traitement représentent pour les laboratoires pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante de s’y opposer et de les discréditer, jusqu’au au point d’interdire leur utilisation.

Un projet planifié depuis des années

Nous savons que pour mener cette opération criminelle – puisqu’il faut parler de crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple sort malheureux – il était nécessaire d’avoir des années de planification, menées systématiquement, afin d’affaiblir les plans nationaux de pandémie, réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs, créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, et non plus des médecins, qui placent leur propre sécurité sur le lieu de travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des sociétés pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.

Implication du système de santé


On sait que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a non seulement recours au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces. A titre d’exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros de l’heure pour administrer les vaccins dans les centres de vaccination ; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient vacciné ; un lit en réanimation est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après la démolition de la santé publique au cours de la dernière décennie au nom de la réduction des dépenses imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles pour fermer tous les petits hôpitaux qui aujourd’hui, sous prétexte de pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue en prêt avec des contraintes et des conditionnalités qui dans d’autres moments ont été jugés inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service généralisé aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation de la maladie.

Le rôle fondamental des médias

Nous savons que les nations ont accordé des financements aux médias, en guise de contribution à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et il a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne avec un résultat de test positif devrait être considérée comme malade, même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux – de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis, au Canada, en Australie, etc. Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, le conflit d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques a également pu interférer avec les choix des diffuseurs et des journaux, d’une part parce que BigPharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’il est présent au conseil d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une fraude, oserait aller à l’encontre du PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.

Responsabilité des médias sociaux

On sait qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure éhontée et scandaleuse, au point d’effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes confirmés, pour la seule raison qu’ils n’ont pas obéi aux diktats du récit COVID. Même dans ce cas, il n’est pas étonnant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui au fil du temps sont devenues les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.

 Cui prodest ? — À qui cela profite ?

Nous savons également qui sont, en termes économiques, les principaux bénéficiaires de la pandémie : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot des entreprises idéologiquement alignées, et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles sont un obstacle ennuyeux à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, réparties sur tout sur le Vieux Continent et notamment en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur diffusion généralisée perturbe les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui pendant la période de lock-out (« confinement ») ont augmenté leurs profits de manière scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ces livres que nous achetions à la librairie du coin doivent maintenant être commandés en ligne, avec le déjeuner, le toner d’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle. Cette « nouvelle économie » s’est imposée avec arrogance en quelques semaines à peine l’an dernier, grâce à la fermeture simultanée des magasins et aux commandes livrées à domicile imposées aux citoyens.

Éducation

On sait que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure l’enseignement scolaire et universitaire de ce plan, aujourd’hui dispensé par « l’enseignement à distance » avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour assurer un jour l’unification de l’enseignement offert via Internet, en décidant quels enseignants sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’éducation alignée comprendra bientôt un nombre de plus en plus restreint d’enseignants : un seul professeur d’histoire pour tous les élèves d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Ce n’est pas une réalité lointaine, lorsque chaque élève est obligé de se connecter en ligne et ne peut plus utiliser un enseignant de sa propre école, qui a été contraint à la retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes ou des intelligences artificielles inquiétantes qui endoctrinent des millions de jeunes avec la théorie du genre, la doctrine LGBT et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.

Les promoteurs de la pandémie

On sait qui sont les théoriciens de la pandémie comme instrumentum regni, de Bill Gates à George Soros, dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant des organisations dites philanthropiques et des lobbies du pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab, l’OMS et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale, le groupe Bildeberg, le Conseil pour Capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild sous la direction spirituelle de Bergoglio et, plus généralement, de la phalange des multinationales, des banques et des groupes de pouvoir qui appartiennent à ce dôme de conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également, à commencer par l’Église de Satan qui exalte l’avortement comme rituel propitiatoire pour la fin de la pandémie, exactement comme BigPharma exige la production de pseudo-vaccins. avec des fœtus avortés.

 Subjugation de la hiérarchie catholique

Enfin, nous savons – et c’est certainement l’aspect le plus choquant – qu’une partie de la hiérarchie catholique est également présente dans ce plan, qui trouve en Jorge Mario Bergoglio un prédicateur obéissant de la narration de la pandémie et le principal sponsor des vaccins, qui n’a pas hésité à les définir comme «un devoir moral», malgré les très graves préoccupations éthiques et religieuses qu’elles soulèvent. Bergoglio est même allé au point de se faire interviewer par le vaticaniste Domenico Agasso, dans une conversation contenue dans un livre intitulé Dio e il mondo che verrà, pour recommander aux masses l’administration du sérum génique et fournir une approbation officielle et malheureuse de l’idéologie du mondialisme. Et depuis mars 2020, le Saint-Siège s’est montré parfaitement aligné sur le plan mondialiste en ordonnant la fermeture des églises et la suspension de la célébration et de l’administration des sacrements. Si cela n’avait pas vraiment eu lieu, et au contraire si une forte condamnation de ce projet antihumain et antichristique s’était produite, les plus hauts niveaux de l’Église auraient eu du mal à accepter de soumettre les multitudes à des limitations absurdes de leurs libertés naturelles, au nom de non seulement un asservissement idéologique mais évidemment aussi économique et social.

N’oublions pas qu’en contrepartie de la perte des fidèles dans les églises et de la réduction drastique des dons pour les conférences épiscopales qui en résulte, il doit nécessairement y avoir une autre forme de financement qu’il ne nous faudra pas longtemps pour découvrir. Je pense que ni la Chine communiste, ni les Rothschild, ni Bill et Melinda Gates (qui, comme je l’ai appris d’une source faisant autorité, ont ouvert un compte à l’IOR, la Banque du Vatican), ni le réseau de partis démocratiques autoproclamés – la gauche internationale – obéissant à l’idéologie mondialiste, ne sont étrangers à cette opération. D’autre part, la Grande Réinitialisation envisage l’établissement d’une Religion Universelle œcuménique, écologique et malthusienne, qui voit en Bergoglio son leader naturel, comme l’a récemment reconnu la Maçonnerie. L’adoration de la pachamama au Vatican, l’accord d’Abou Dhabi, l’encyclique Fratelli tutti et le prochain sabbat d’Astana vont tous dans cette direction, complétant l’inexorable processus dissolutif de l’Église qui a commencé avec le Concile Vatican II.

Si quelque chose ne fonctionne pas, on peut l’utiliser pour autre chose

Il faut reconnaître que l’apparent caractère illogique de ce que nous voyons se produire – le boycott des traitements préventifs, la préconisation de thérapies erronées, de vaccins inefficaces, de verrouillages (confinements) sans utilité, l’utilisation de masques absolument inutiles – prend tout son sens dès que l’on comprend que le but déclaré – vaincre la prétendue pandémie – est un mensonge, et que le véritable but est de planifier une crise économique, sociale et religieuse en utilisant une pseudo-pandémie astucieusement provoquée comme outil. Ce n’est qu’ainsi que nous pouvons comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par diverses nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction, qui fait appel à la collaboration et à la complicité de politiciens et de dirigeants, de médecins et de scientifiques, d’évêques et de prêtres, de journalistes et d’intellectuels, d’acteurs et d’influenceurs, de multinationales et de banquiers, d’employés publics et de spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés, mais cette guerre – ne l’oublions jamais ! – est une guerre idéologique et religieuse.

 Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation, c’est-à-dire la transition d’un monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit le bien. Cette idée détestable d ‘«égalité» qui nous a été inculquée auparavant par les libres penseurs a maintenant été utilisée pour assimiler le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, sous prétexte de reconnaître la liberté d’expression; aujourd’hui, il sert à promouvoir le mal, l’injustice et ce qui ne va pas, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire la bonté, la justice et la beauté. Conformément à cette vision, l’œcuménisme – qui a été initialement introduit dans l’enceinte sacrée par le Concile sous prétexte de ramener les hérétiques et les schismatiques – montre aujourd’hui sa charge antichristique, incorporant toutes les fausses religions dans un panthéon mais proscrivant la religion catholique apostolique, parce qu’elle est la seule vraie et en tant que telle est inconciliable avec l’erreur doctrinale et la déviation morale. Nous devons donc comprendre que si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et que nous ne permettons pas que l’idéologie mondialiste nous soit imposée sous toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, hostes publici parce que nous sommes fidèles à un Dieu jaloux qui ne tolère pas le mélange avec les idoles et la prostitution. La tromperie de liberté, d’égalité et de fraternité propagée par la maçonnerie consiste précisément à usurper la primauté de Dieu pour la donner à Satan, avec le prétexte apparent – qui est en tout cas erroné et immoral – de placer Dieu et Satan sur le même plan de manière à permettre une prétendue liberté de choix qui n’existe pas moralement. Mais le but final, le vrai et inavouable, est fondamentalement théologique, parce que l’auteur de la rébellion est toujours le même, celui qui est éternellement vaincu.

Nemo propheta in patria (Nul n’est prophète en son pays)

Bien sûr, ce que nous voyons se passer aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit pendant des années, si nous n’avions prêté attention qu’à ce que les théoriciens de la Grande Réinitialisation ont déclaré en toute impunité. En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été qualifiés de théoriciens du complot, ridiculisés ou considérés comme fous, ostracisés par l’information main steam et criminalisés, chassés des chaires universitaires et de la communauté scientifique. Aujourd’hui, nous comprenons à quel point les alarmes ont été clairvoyantes et à quel point le mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires est puissant. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser, à la pathologisation de la dissidence – qui  ne peut que déboucher sur une légitimation de camps de détention – et au contrôle de  nos déplacements par l’imposition d’un passeport sanitaire qui est déjà en cours de développement.

Dissonance cognitive

Face à la réalité, cependant, il est difficile de comprendre la raison pour laquelle l’ensemble de la population mondiale s’est laissée convaincre de l’existence d’un virus pandémique qui n’a pas encore été isolé et qu’il a incroyablement accepté les limitations de la liberté personnelle qui, en d’autres temps auraient conduit à la révolution et aux barricades dans les rues. Plus incompréhensible encore n’est pas tant l’absence d’une véritable et convenable réaction sociale et politique, mais l’incapacité de voir la réalité dans toutes ses preuves brutes. Mais cela est dû, on le sait, à l’action scientifique de manipulation des masses qui a inévitablement conduit au phénomène que la psychologie sociale appelle la « dissonance cognitive », c’est-à-dire la tension ou l’inconfort que nous ressentons face à deux opposés et incompatibles et des idées incompatibles. Le psychologue et sociologue Leon Festinger a démontré que ce malaise nous amène à élaborer ces convictions de trois manières, afin de réduire l’incongruence psychologique que détermine la dissonance : changer d’attitude, changer de contexte ou changer de comportement. Les gens ordinaires, incapables de comprendre ou même de reconnaître une quelconque rationalité dans ce que les médias disent de manière obsessionnelle à propos du COVID, acceptent l’absurdité d’un virus grippal présenté comme étant plus dévastateur qu’ebola, car ils ne veulent pas accepter que leurs dirigeants politiques mentent sans vergogne, dans le but d’obtenir la destruction sociale, économique, morale et religieuse d’un monde que quelqu’un a décidé d’annuler. Ils ne savent pas comment accepter que le mensonge puisse être fait passer pour la vérité, que les médecins ne guérissent pas et même tuent leurs patients, que les autorités civiles n’interviennent pas pour arrêter les crimes et les violations flagrantes, que les politiciens obéissent tous à un lobby sans visage, que Bergoglio veut démolir l’Église du Christ pour la remplacer par une parodie maçonnique infernale. Ainsi, dans ce désir de ne pas accepter la tromperie et donc de ne pas vouloir prendre position contre elle et contre ceux qui la promeuvent, ils se réfugient dans le récit dominant commode, suspendant le jugement et laissant les autres leur dire quoi penser, même si c’est irrationnel et contradictoire. Des milliards de personnes se sont volontairement rendues esclaves, victimes sacrificielles du mondialiste Moloch, se laissant persuader de l’inéluctabilité d’une situation aussi surréaliste qu’ absurde. Ou mieux encore : l’absurdité de ce que nous voyons et de ce qui nous est dit semble donner plus de force aux raisons de ceux qui, après deux cents ans de révolution au nom d’une liberté supposée, acceptent la tyrannie comme un fait normal et remontent à la potence avec la résignation de ceux qui sont convaincus, après tout, qu’ils sont coupables en quelque sorte.

Le comportement de ceux qui, au mépris de toute preuve scientifique, pensent pouvoir résoudre cette crise en déplorant l’inefficacité de la distribution des vaccins, ou remédier aux dommages du confinement en garantissant des subventions aux entreprises et aux travailleurs, ne suscite pas moins de consternation. Bref, ils aimeraient choisir d’être exécutés par pendaison ou guillotine, sans faire d’objections à la légitimité de la peine. Et ils s’énervent immédiatement dès que quelqu’un formule des objections, les accusant de théories du complot ou de déni, proclamant qu’ils sont en faveur des vaccins et donnant des attestations de fidélité à l’idéologie dominante. Et ils ne se rendent pas compte que précisément en attribuant des subventions aux entreprises endommagées par le verrouillage, ils légitiment le revenu universel théorisé par la Grande Réinitialisation et qui est également fortement souhaité par le Vatican; ils ne se rendent pas compte qu’il ne peut y avoir de vaccin contre un virus mutant et que l’antigène qui garantirait l’immunité contre une grippe saisonnière ne peut exister tant que le virus n’a pas été isolé plutôt que simplement séquencé. Ils nous rappellent ceux qui, dans la sphère catholique, déplorent les dérives doctrinales et morales de Bergoglio, sans comprendre qu’elles sont en parfaite cohérence avec les fondements idéologiques du Concile. Ici aussi, on le voit, la rationalité s’annule pour faire place à la « dissonance cognitive » et accepter l’absurde.

L’homme n’est pas un robot


Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas complètement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption; certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé ; certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler ; d’autres seront utilisés puis brutalement écartés, ce qui suscitera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler l’arrière-plan du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.

Un avertissement salutaire


D’un autre côté, il y a la puissance de Dieu. Certains d’entre nous, au début, croyaient que la pandémie était réelle et, avec un esprit surnaturel, pensaient que c’était en quelque sorte un châtiment divin pour les graves péchés des individus et des nations : ils appelaient à des actes de réparation et à des prières pour demander à Dieu la fin de la peste. Face à la preuve qu’il n’y a pas de pandémie et que les décès ont été délibérément amenés à exagérer les effets sur la population, il faut considérer le COVID comme un fléau, non pas en soi, mais pour tout ce qu’il a révélé : le plan de Satan pour l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, qui est censé conduire au règne de l’Antéchrist. Le Seigneur nous montre, avec la sévérité d’un père, qu’il veut toujours avertir ses enfants et l’humanité trompée sur les conséquences du péché. Il nous montre quel monde nous attend si nous ne savons pas nous convertir, abandonnant le chemin de la perdition et retournant à lui, à l’obéissance à sa sainte loi et à la vie de grâce.

La réponse des Chrétiens

Mais pour que les nations retournent à Dieu, leurs membres doivent déjà lui appartenir. Pour que le Christ soit Roi des nations, il doit d’abord régner dans nos âmes, nos familles et nos communautés, et il doit régner avant tout dans la sainte Église, sur ses ministres, sur le pape et sur les évêques. Tant que le Dieu vivant et vrai est indigné en étant placé aux côtés des idoles et des démons, nous ne pouvons pas espérer que la Miséricorde Divine mettra fin à ce fléau et vaincra l’ennemi.

Que cette période de préparation pour la Sainte Pâques soit pour nous tous un temps de sainteté : dans la pénitence, le jeûne et le sacrifice, nous devons venir au pied de la Croix et contempler dans la Passion de Notre Sauveur son acte de victoire sur le Mal. Une. En faisant crucifier le Rédempteur sur le bois de la Croix, Satan a marqué sa propre défaite, qui doit encore être rendue définitive à la fin des temps mais qui est la plus certaine et inexorable.

Revenons à Dieu ! Revenons à la Foi, pure et entière, sans compromis avec la mentalité du monde. Revenons à la morale chrétienne, à la sainteté de vie et à la pureté des coutumes. Le nombre des justes retiendra la main droite du Tout-Puissant et permettra à l’Église d’affronter le Calvaire de sa persécution finale avec la même dignité avec laquelle Sa Tête l’a précédée, car la Croix est la voie royale qui mène à la gloire de la Résurrection. La voie large et confortable est celle que nous voyons aujourd’hui et, malheureusement, nous savons très bien où elle mène. Que la puissante protection de la Très Sainte Vierge, Notre-Dame et Reine, nous assiste dans ces moments d’époque : qu’elle soit notre générale dans ce combat spirituel, aux côtés de Saint Michel Archange et de toute la cour céleste."

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò

25 mars 2021
Annonciation de la Vierge Marie

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jeudi 25 mars 2021

LE MODÈLE ISRAËLIEN ?

LE MODÈLE ISRAËLIEN ?

vendredi 5 mars 2021

'GREAT RESET' PACTE SUICIDAIRE par Dmitry ORLOV

La Grande Annulation

Puisque les pauvres, par définition, n’ont rien à annuler et que la classe moyenne n’existe plus qu’en tant que dépositaire d’une dette qui s’annule progressivement, les super-riches n’ont qu’eux-même à annuler. 



 

La récente rencontre virtuelle des plus riches du monde à Davos a fait beaucoup de bruit. En prélude à cette rencontre, l’éternel coureur des jupons ploutocratiques, Klaus Schwab a publié un très court livre sur ce qu’il appelle le ‘Great Reset’. Il a donné naissance à des slogans accrocheurs tels que “Tu ne posséderas rien… et tu en seras heureux”. L’une des personnes invitées à prendre la parole lors de cette réunion était Vladimir Poutine. Ce qu’il a dit a mis ces gens en état de choc. “Mais qu’en est-il de l’Europe ? !” s’est mis à crier Schwab dès que Poutine eut fini de parler. “M. Poutine, la Russie sauvera-t-elle l’Europe ? !” – “Peut-être”, dit Poutine. Parmi les dignitaires réunis, 80 d’entre eux se sont immédiatement inscrits à une conférence privée avec Poutine, cherchant comment être parmi les invités. Après avoir pris tout cela en considération et l’avoir laissé mijoter dans ma tête pendant quelques semaines, je crois que je comprends maintenant ce qu’est le ‘Great Reset’ : c’est un pacte pour un suicide de l’oligarchie. Permettez-moi de vous expliquer…

 

Dans son disours, Poutine a exposé quelques nouvelles idées audacieuses. Je ne sais pas si Schwab a compris que Poutine lui a dit très poliment d’aller au coin et de sucer son pouce, mais en tant qu’homme à idées, Schwab est un désastre. Sa pensée est un mélange de platitudes pompeuses, de vœux pieux et d’incessantes contradictions, le tout servi par une ferveur révolutionnaire sénile digne de Léon Trotsky qui, à 141 ans maintenant, serait en effet assez sénile. Les dirigeants occidentaux semblent avoir accepté le concept du ‘Great Reset’ de Schwab et abusent d’un autre slogan accrocheur : « Reconstruire en mieux ! »

 

Schwab pense que le coronavirus offre une grande opportunité pour son « Grand Reset ». En effet, cet horrible fléau a déjà tué plus d’un tiers de la population mondiale et le monde ne sera plus jamais le même. Oh, attendez, c’est à la ‘Grande Peste’ que je pensais, pas au ‘Great Reset’ – je confonds toujours les deux…

 

D’après les derniers chiffres officiels, le coronavirus n’a tué que 0,02821% de la population mondiale, dont 73,6% de retraités, la plupart des autres étant déjà gravement malades. Beaucoup d’entre eux sont en fait morts du rhume ou de la grippe ou d’une infection bactérienne ou fongique et n’ont été testés positifs au coronavirus que par un test PCR, toujours aussi peu fiable, mais nous ne saurons jamais combien. Le coronavirus a tué un nombre d’enfants qui apparaît à peine dans l’épaisseur du trait et moins de 0,001% de personnes en bonne santé dans leurs années de vie active (18 à 45 ans). Cela représente moins d’une personne sur un million.

 

Le nombre de décès dus à l’introduction d’objets étrangers dangereux, tels que des ampoules électriques, dans l’anus est nettement inférieur, même si l’on peut se demander dans quelle mesure. Dans cette optique – jeu de mot assumé – la position du gouverneur de New York , selon laquelle « aucune mesure, aussi draconienne soit-elle, ne peut être considérée comme imprudente si elle sauve ne serait-ce qu’une seule vie », incite à interdire toutes les ampoules et à rester assis dans le noir en toute sécurité. La sécurité parfaite est impossible et si c’était le cas, ce serait une mauvaise idée : nous serions dans le collimateur pour être lauréat du prix Darwin. La sécurité parfaite ne devrait pas exister. Les idiots sont produits naturellement et nous rendent tous un grand service en mourant le plus tôt possible.

 

Une autre chose qui ne devrait pas exister est le SARS-COV-2 de la Covid-19. Comme vous l’avez peut-être déjà supposé, il s’agit d’un coronavirus. Les coronavirus sont très communs dans toutes sortes d’espèces ; il y en a au moins une douzaine chez l’homme qui ne provoquent pas de maladie particulièrement grave. Un fait communément admis concernant les coronavirus – et la plupart des autres virus, à l’exception spécifique du lyssavirus qui provoque la rage – est qu’ils sont spécifiques à une espèce. Il existe un coronavirus pour chien qui leur donne la diarrhée, un coronavirus pour chat qui les tue, et aucune proximité de chats, de chiens et d’humains au cours de milliers d’années n’a fait sauter ces coronavirus d’une espèce à l’autre.

 

Et puis on s’attend à ce que nous croyions qu’un virus de chauve-souris a sauté sur l’homme. L’analyse du génome du virus a montré qu’il a simultanément emprunté une protéine de pointe à un coronavirus humain lui permettant de pénétrer dans les cellules humaines et le mécanisme de réplication du VIH – qui cause le SIDA – lui permettant de se répliquer dans les cellules humaines. Bien sûr, tout est possible, mais ce qui est plus probable, c’est que quelqu’un a fabriqué ce virus.

 

Est-ce que ce genre de choses arrive ? On pourrait penser qu’une personne qui veut rendre les virus plus mortels a sa place dans une camisole de force dans une cellule capitonnée, mais apparemment certains d’entre eux se sont échappés et sont allés travailler pour le gouvernement américain. Selon la revue Nature, « les chercheurs qui étudient les virus en laboratoire les rendent parfois délibérément plus dangereux pour aider à préparer de meilleures réponses aux épidémies qui pourraient survenir naturellement ». Et parfois, ce qui se passe dans le laboratoire ne reste pas dans celui-ci.

 

Non seulement ce virus est susceptible d’avoir été concocté en laboratoire, mais il semble qu’il ait été concocté de manière incompétente. C’est un virus minable qui ne se réplique pas bien : au lieu de fabriquer des particules virales fonctionnelles et bien formées, il fabrique toutes sortes de déchets moléculaires qui provoquent ensuite de graves réactions allergiques. Vous avez probablement entendu parler des tempêtes de cytokines ? La libération de cytokines est essentielle à presque tous les stades de la réponse immunitaire aux allergènes. Les enfants sont immunisés grâce à un organe appelé thymus qui est « le plus grand et le plus actif pendant les périodes néonatale et préadolescente ».

 

Là encore, tout est possible, mais certaines choses sont plus probables que d’autres. Un coronavirus passant spontanément de la chauve-souris à l’homme est extrêmement improbable. Un projet de recherche financé par le gouvernement américain, super effrayant et maléfique, qui tournerait horriblement mal semble non seulement beaucoup plus probable, mais il a aussi une certaine dose d’inévitabilité. Étant donné la dégradation actuelle des États-Unis, à ce stade, presque tout ce que font les États-Unis tend à se transformer en boomerang. Jusqu’à présent, il y a eu 2,31 millions de décès dus au coronavirus dans le monde et 463 000 aux États-Unis, ce qui est huit fois pire par habitant que la moyenne du reste du monde. Bien joué, les intrépides fabricants de boomerangs de gain de fonction, financés par le gouvernement américain !

 

Ce qui est un désastre pour la plupart est une opportunité pour quelques-uns, et Klaus Schwab, pour sa part, semble penser que si la vie vous donne une boîte de boomerangs, alors vous devriez vous dépêcher de les utiliser pour vous assommer. Le point de vue de Schwab est que nous n’aurons pas le coronavirus pour toujours, donc nous devrions vraiment nous dépêcher avec le ‘Great Reset’ ou nous allons manquer la chance de nous tenir tous par la main et de sauter par ce qu’il appelle “la fenêtre d’opportunité” et le monde ne sera plus jamais, le même parce que vous ne pouvez pas vous baigner deux fois dans la même eau d’une rivière, ou inventer votre propre idée stupide car je ne me soucie pas beaucoup de ces absurdités. Schwab ressemble vraiment à une caricature pour le dysfonctionnement cognitif occidental, alors laissons-le dans son coin à sniffer de la colle et retournons à Poutine.

 

Poutine a dit que le système libéral occidental est mort et que la Russie ne plongera pas dans ces absurdités de ‘Great Reset’. Au lieu de cela, il a exposé ses propres principes pour ce qu’on appelle en Russie “État social” : un État qui fonctionne bien et qui sert les intérêts de ses citoyens. L’Occident peut suivre ce programme ou non. Mais si ce n’est pas le cas, un désastre humanitaire de l’ampleur de la Seconde Guerre mondiale semble très probable. Vous pouvez lire l’intégralité de son discours sur le site du Kremlin. Vous pouvez également comparer son discours à celui du Chinois Xi. Xi n’a pas non plus gobé ces absurdités de ‘Great Reset’, et son grand plan semble étrangement bien harmonisé avec celui de Poutine.

 

La bonne façon de faire avancer le monde est un sujet énorme que je réserve pour un autre jour. Ici, je veux juste répondre à la question “Qu’est-ce que le ‘Great Reset’, vraiment ?” Réinitialiser quelque chose, c’est le remettre dans son état initial. Quel était l’état initial de votre compte bancaire lorsque vous l’avez ouvert pour la première fois ? Zéro, exactement ! Et que contrôle un conclave des super-riches du monde ? Les finances, bien sûr ! Je pense qu’il serait plus juste de l’appeler la Grande Annulation. Mais comment les super-riches vont-ils déterminer qui sera annulé et qui ne le sera pas ?

 

Puisque les pauvres, par définition, n’ont rien à annuler et que la classe moyenne n’existe plus qu’en tant que dépositaire d’une dette qui s’annule progressivement, les super-riches n’ont qu’eux-même à annuler. Et comment, je vous prie, vont-ils décider qui sera annulé et qui ne le sera pas ? Lanceront-ils les dés ? Se livreront-ils à des duels ? Laisseront-ils un robot à base d’IA décider ? Toutes ces propositions semblent farfelues ; après tout, nous parlons des bâtards les plus avides du monde qui sont sur le point de tout perdre. Aimeriez-vous que tous vos comptes bancaires soient annulés alors que votre voisin est épargné ? Vous voyez ce que je veux dire ? Non, il n’y a qu’un seul moyen pour qu’ils acceptent tous de partir : sauter de la falaise tous ensemble, en se tenant la main. Dans ce contexte, “Reconstruire en mieux” est un rêve de vie après la mort : le vaisseau spatial de sauvetage d’un futur qui ne viendra jamais.

 

Ce qu’ils appellent ‘Great Reset’ est un pacte suicidaire. S’ils se précipitent pour en finir alors que la pandémie de coronavirus, si mortelle soit-elle, fait toujours rage, c’est pour que leur suicide collectif paraisse moins ridicule. Après tout, si la fausse pandémie passe et que le système financier occidental n’implose qu’à ce moment-là, ce sera comme si tous les grands oligarques sortaient simultanément sur leurs balcons, dans leurs temples, installaient des peaux de bananes, soigneusement positionnées sur le parapet du balcon,  et dansaient de manière synchrone en tombant sur les piques des hallebardes décorant la clôture du lieu. La moitié de la planète verrait cela et mourrait aussi de … rire. La pire des morts est une mort ridicule, et l’effondrement financier de l’Occident doit donc se produire pour que l’on puisse dire que “le coronavirus l’a fait !” de manière plausible comme excuse ; d’où la ruée.

 

Club Orlov – Traduction du Sakerfrancophone

'GREAT RESET' PACTE SUICIDAIRE par Dmitry ORLOV

La Grande Annulation

Puisque les pauvres, par définition, n’ont rien à annuler et que la classe moyenne n’existe plus qu’en tant que dépositaire d’une dette qui s’annule progressivement, les super-riches n’ont qu’eux-même à annuler. 



 

La récente rencontre virtuelle des plus riches du monde à Davos a fait beaucoup de bruit. En prélude à cette rencontre, l’éternel coureur des jupons ploutocratiques, Klaus Schwab a publié un très court livre sur ce qu’il appelle le ‘Great Reset’. Il a donné naissance à des slogans accrocheurs tels que “Tu ne posséderas rien… et tu en seras heureux”. L’une des personnes invitées à prendre la parole lors de cette réunion était Vladimir Poutine. Ce qu’il a dit a mis ces gens en état de choc. “Mais qu’en est-il de l’Europe ? !” s’est mis à crier Schwab dès que Poutine eut fini de parler. “M. Poutine, la Russie sauvera-t-elle l’Europe ? !” – “Peut-être”, dit Poutine. Parmi les dignitaires réunis, 80 d’entre eux se sont immédiatement inscrits à une conférence privée avec Poutine, cherchant comment être parmi les invités. Après avoir pris tout cela en considération et l’avoir laissé mijoter dans ma tête pendant quelques semaines, je crois que je comprends maintenant ce qu’est le ‘Great Reset’ : c’est un pacte pour un suicide de l’oligarchie. Permettez-moi de vous expliquer…

 

Dans son disours, Poutine a exposé quelques nouvelles idées audacieuses. Je ne sais pas si Schwab a compris que Poutine lui a dit très poliment d’aller au coin et de sucer son pouce, mais en tant qu’homme à idées, Schwab est un désastre. Sa pensée est un mélange de platitudes pompeuses, de vœux pieux et d’incessantes contradictions, le tout servi par une ferveur révolutionnaire sénile digne de Léon Trotsky qui, à 141 ans maintenant, serait en effet assez sénile. Les dirigeants occidentaux semblent avoir accepté le concept du ‘Great Reset’ de Schwab et abusent d’un autre slogan accrocheur : « Reconstruire en mieux ! »

 

Schwab pense que le coronavirus offre une grande opportunité pour son « Grand Reset ». En effet, cet horrible fléau a déjà tué plus d’un tiers de la population mondiale et le monde ne sera plus jamais le même. Oh, attendez, c’est à la ‘Grande Peste’ que je pensais, pas au ‘Great Reset’ – je confonds toujours les deux…

 

D’après les derniers chiffres officiels, le coronavirus n’a tué que 0,02821% de la population mondiale, dont 73,6% de retraités, la plupart des autres étant déjà gravement malades. Beaucoup d’entre eux sont en fait morts du rhume ou de la grippe ou d’une infection bactérienne ou fongique et n’ont été testés positifs au coronavirus que par un test PCR, toujours aussi peu fiable, mais nous ne saurons jamais combien. Le coronavirus a tué un nombre d’enfants qui apparaît à peine dans l’épaisseur du trait et moins de 0,001% de personnes en bonne santé dans leurs années de vie active (18 à 45 ans). Cela représente moins d’une personne sur un million.

 

Le nombre de décès dus à l’introduction d’objets étrangers dangereux, tels que des ampoules électriques, dans l’anus est nettement inférieur, même si l’on peut se demander dans quelle mesure. Dans cette optique – jeu de mot assumé – la position du gouverneur de New York , selon laquelle « aucune mesure, aussi draconienne soit-elle, ne peut être considérée comme imprudente si elle sauve ne serait-ce qu’une seule vie », incite à interdire toutes les ampoules et à rester assis dans le noir en toute sécurité. La sécurité parfaite est impossible et si c’était le cas, ce serait une mauvaise idée : nous serions dans le collimateur pour être lauréat du prix Darwin. La sécurité parfaite ne devrait pas exister. Les idiots sont produits naturellement et nous rendent tous un grand service en mourant le plus tôt possible.

 

Une autre chose qui ne devrait pas exister est le SARS-COV-2 de la Covid-19. Comme vous l’avez peut-être déjà supposé, il s’agit d’un coronavirus. Les coronavirus sont très communs dans toutes sortes d’espèces ; il y en a au moins une douzaine chez l’homme qui ne provoquent pas de maladie particulièrement grave. Un fait communément admis concernant les coronavirus – et la plupart des autres virus, à l’exception spécifique du lyssavirus qui provoque la rage – est qu’ils sont spécifiques à une espèce. Il existe un coronavirus pour chien qui leur donne la diarrhée, un coronavirus pour chat qui les tue, et aucune proximité de chats, de chiens et d’humains au cours de milliers d’années n’a fait sauter ces coronavirus d’une espèce à l’autre.

 

Et puis on s’attend à ce que nous croyions qu’un virus de chauve-souris a sauté sur l’homme. L’analyse du génome du virus a montré qu’il a simultanément emprunté une protéine de pointe à un coronavirus humain lui permettant de pénétrer dans les cellules humaines et le mécanisme de réplication du VIH – qui cause le SIDA – lui permettant de se répliquer dans les cellules humaines. Bien sûr, tout est possible, mais ce qui est plus probable, c’est que quelqu’un a fabriqué ce virus.

 

Est-ce que ce genre de choses arrive ? On pourrait penser qu’une personne qui veut rendre les virus plus mortels a sa place dans une camisole de force dans une cellule capitonnée, mais apparemment certains d’entre eux se sont échappés et sont allés travailler pour le gouvernement américain. Selon la revue Nature, « les chercheurs qui étudient les virus en laboratoire les rendent parfois délibérément plus dangereux pour aider à préparer de meilleures réponses aux épidémies qui pourraient survenir naturellement ». Et parfois, ce qui se passe dans le laboratoire ne reste pas dans celui-ci.

 

Non seulement ce virus est susceptible d’avoir été concocté en laboratoire, mais il semble qu’il ait été concocté de manière incompétente. C’est un virus minable qui ne se réplique pas bien : au lieu de fabriquer des particules virales fonctionnelles et bien formées, il fabrique toutes sortes de déchets moléculaires qui provoquent ensuite de graves réactions allergiques. Vous avez probablement entendu parler des tempêtes de cytokines ? La libération de cytokines est essentielle à presque tous les stades de la réponse immunitaire aux allergènes. Les enfants sont immunisés grâce à un organe appelé thymus qui est « le plus grand et le plus actif pendant les périodes néonatale et préadolescente ».

 

Là encore, tout est possible, mais certaines choses sont plus probables que d’autres. Un coronavirus passant spontanément de la chauve-souris à l’homme est extrêmement improbable. Un projet de recherche financé par le gouvernement américain, super effrayant et maléfique, qui tournerait horriblement mal semble non seulement beaucoup plus probable, mais il a aussi une certaine dose d’inévitabilité. Étant donné la dégradation actuelle des États-Unis, à ce stade, presque tout ce que font les États-Unis tend à se transformer en boomerang. Jusqu’à présent, il y a eu 2,31 millions de décès dus au coronavirus dans le monde et 463 000 aux États-Unis, ce qui est huit fois pire par habitant que la moyenne du reste du monde. Bien joué, les intrépides fabricants de boomerangs de gain de fonction, financés par le gouvernement américain !

 

Ce qui est un désastre pour la plupart est une opportunité pour quelques-uns, et Klaus Schwab, pour sa part, semble penser que si la vie vous donne une boîte de boomerangs, alors vous devriez vous dépêcher de les utiliser pour vous assommer. Le point de vue de Schwab est que nous n’aurons pas le coronavirus pour toujours, donc nous devrions vraiment nous dépêcher avec le ‘Great Reset’ ou nous allons manquer la chance de nous tenir tous par la main et de sauter par ce qu’il appelle “la fenêtre d’opportunité” et le monde ne sera plus jamais, le même parce que vous ne pouvez pas vous baigner deux fois dans la même eau d’une rivière, ou inventer votre propre idée stupide car je ne me soucie pas beaucoup de ces absurdités. Schwab ressemble vraiment à une caricature pour le dysfonctionnement cognitif occidental, alors laissons-le dans son coin à sniffer de la colle et retournons à Poutine.

 

Poutine a dit que le système libéral occidental est mort et que la Russie ne plongera pas dans ces absurdités de ‘Great Reset’. Au lieu de cela, il a exposé ses propres principes pour ce qu’on appelle en Russie “État social” : un État qui fonctionne bien et qui sert les intérêts de ses citoyens. L’Occident peut suivre ce programme ou non. Mais si ce n’est pas le cas, un désastre humanitaire de l’ampleur de la Seconde Guerre mondiale semble très probable. Vous pouvez lire l’intégralité de son discours sur le site du Kremlin. Vous pouvez également comparer son discours à celui du Chinois Xi. Xi n’a pas non plus gobé ces absurdités de ‘Great Reset’, et son grand plan semble étrangement bien harmonisé avec celui de Poutine.

 

La bonne façon de faire avancer le monde est un sujet énorme que je réserve pour un autre jour. Ici, je veux juste répondre à la question “Qu’est-ce que le ‘Great Reset’, vraiment ?” Réinitialiser quelque chose, c’est le remettre dans son état initial. Quel était l’état initial de votre compte bancaire lorsque vous l’avez ouvert pour la première fois ? Zéro, exactement ! Et que contrôle un conclave des super-riches du monde ? Les finances, bien sûr ! Je pense qu’il serait plus juste de l’appeler la Grande Annulation. Mais comment les super-riches vont-ils déterminer qui sera annulé et qui ne le sera pas ?

 

Puisque les pauvres, par définition, n’ont rien à annuler et que la classe moyenne n’existe plus qu’en tant que dépositaire d’une dette qui s’annule progressivement, les super-riches n’ont qu’eux-même à annuler. Et comment, je vous prie, vont-ils décider qui sera annulé et qui ne le sera pas ? Lanceront-ils les dés ? Se livreront-ils à des duels ? Laisseront-ils un robot à base d’IA décider ? Toutes ces propositions semblent farfelues ; après tout, nous parlons des bâtards les plus avides du monde qui sont sur le point de tout perdre. Aimeriez-vous que tous vos comptes bancaires soient annulés alors que votre voisin est épargné ? Vous voyez ce que je veux dire ? Non, il n’y a qu’un seul moyen pour qu’ils acceptent tous de partir : sauter de la falaise tous ensemble, en se tenant la main. Dans ce contexte, “Reconstruire en mieux” est un rêve de vie après la mort : le vaisseau spatial de sauvetage d’un futur qui ne viendra jamais.

 

Ce qu’ils appellent ‘Great Reset’ est un pacte suicidaire. S’ils se précipitent pour en finir alors que la pandémie de coronavirus, si mortelle soit-elle, fait toujours rage, c’est pour que leur suicide collectif paraisse moins ridicule. Après tout, si la fausse pandémie passe et que le système financier occidental n’implose qu’à ce moment-là, ce sera comme si tous les grands oligarques sortaient simultanément sur leurs balcons, dans leurs temples, installaient des peaux de bananes, soigneusement positionnées sur le parapet du balcon,  et dansaient de manière synchrone en tombant sur les piques des hallebardes décorant la clôture du lieu. La moitié de la planète verrait cela et mourrait aussi de … rire. La pire des morts est une mort ridicule, et l’effondrement financier de l’Occident doit donc se produire pour que l’on puisse dire que “le coronavirus l’a fait !” de manière plausible comme excuse ; d’où la ruée.

 

Club Orlov – Traduction du Sakerfrancophone

jeudi 17 décembre 2020

UN AVENIR RADIEUX, le paradis sur la Terre (ou Mars). Pas besoin de Dieu pour cette nouvelle religion globaliste

 strategika.fr

La Grande Remise à Zéro ou “Great Reset”, c’est quoi ? - Strategika

Rédaction Strategika

4-5 minutes



Source: medias-presse.info – Michelle Marie – 8 décembre 2020


Le 3 juin 2020, en conséquence de la “crise sanitaire mondiale”, le Forum économique mondial (WEF) de Genève a annoncé un sommet pour janvier 2021 à Davos, en Suisse, dont le thème serait “La grande remise à zéro”.    Le WEF est un rassemblement mondial des élites politiques, financières et sociales. Selon le “Telegraph”, 119 milliardaires avaient assisté aux discussions de Davos en 2020. En 2018, 1 200 des participants étaient arrivés en jet privé.   Le communiqué de presse du WEF a poursuivi :   “L’annonce de “La grande remise à zéro” a été faite par S.A.R. le Prince de Galles et le Professeur Schwab lors d’une réunion virtuelle, suivie par les déclarations du Secrétaire Général des Nations Unies António Guterres et de la Directrice Exécutive du FMI Kristalina Georgieva.”   Le professeur Klaus Schwab, fondateur et président du Forum économique mondial, a fait sa propre déclaration le jour même de l’annonce, sous le titre “Le temps est venu d’une “grande remise à zéro””, avec en sous-titre “Dans toute crise, se présente une opportunité”.   L’essence de ses propos et de ses idées exprimées ailleurs, dans ses publications, est résumée ci-après dans une série de tableaux.  


  “Le Covid est une des pandémies les moins mortelles qu’ait connues le monde au cours des 2.000 dernières années”.  



“Le Covid offre l’occasion d’introduire des changements sociaux sans précédent par le biais de la “La Grande Remise à Zéro” …bien des choses changeront pour toujours… et un monde nouveau émergera.”

  


“Un grand nombre d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale… La réponse est en bref : Jamais”. 

 


“Nous deviendrons plus performants dans la manipulation de nos gènes, et ceux de nos enfants”.



“De la poussière “intelligente”, des ordinateurs munis d’antennes, tous plus minuscules qu’un grain de sable, pourront s’organiser à l’intérieur du corps humain.”




“Franchir les frontières nationales impliquera un scan détaillé du cerveau pour évaluer le risque sécuritaire que pose le voyageur”.



“Des appareils externes seront très probablement implantables dans notre cerveau ou notre corps”.



“Les outils de la 4ème révolution industrielle permettront de nouvelles formes de surveillance et de nouveaux mécanismes de contrôle”.



“Le travail des avocats, des médecins, des journalistes ou des bibliothécaires sera sans doute partiellement ou totalement automatisé”.



“L’avenir nous mettra au défi de comprendre ce que signifie être humain”.   


La réunion annuelle du WEF aura en fait lieu à Singapour du 13 au 16 mai 2021, a-t-on annoncé il y a une heure, pour retourner à Davos-Klosters en 2022. C’est le faible nombre de cas de Covid à Singapour qui a motivé ce changement de lieu, Depuis le 1er octobre, la ville-État a accepté des demandes de tenue de réunions d’affaires à grande échelle pouvant accueillir jusqu’à 250 personnes, avec certaines restrictions. Son approche vis-à-vis de ce qu’il est convenu d’appeler la pandémie, a été testée lors d’une conférence sur l’énergie en octobre dernier. Les participants à la manifestation, qui s’est tenue à l’hôtel Marina Bay Sands dans le centre de la ville, ont dû passer un test rapide Covid-19, dont les résultats ont été obtenus en 30 minutes, et télécharger une application de traçage des contacts.   Quant à nous autres, la plèbe, nous pouvons pousser un petit soupir de soulagement à la perspective de ce répit limité qui nous est offert. Qu’il soit l’occasion d’une meilleure préparation de la résistance citoyenne.

Illustration principale: Eric Miller