Tout au long de l’ère de l’Église, le mystère de l’iniquité a contribué subtilement et insidieusement à favoriser l’incrédulité. L’humanisme d’inspiration satanique, qui avait reçu un tel élan à la Renaissance et au siècle des Lumières, a atteint son apogée nihiliste au début du XXe siècle sous la forme du communisme athée. L’idéologie utopique qui est à la base du communisme, et en fait de la pensée la plus laïque, est rarement clairement comprise, même par ses adeptes ; il fait désormais partie de l’héritage idéologique non examiné de l’ère post-Lumière.
« Il faut comprendre ce qu'est le communisme, a insisté Saint Séraphin Rose. Pas simplement un régime politique ivre de pouvoir, mais un système idéologico-religieux dont le but est de renverser et de supplanter tous les autres systèmes, en particulier le christianisme. Le communisme est en réalité une hérésie très puissante dont la thèse centrale... est le chiliasme ou millénarisme : l'histoire doit atteindre son point culminant dans un état indéfini de béatitude terrestre, une humanité perfectionnée vivant dans une paix et une harmonie parfaites. »
Le communisme a spécifiquement attaqué le pays qui avait le plus conservé ses anciennes traditions chrétiennes : la Sainte Russie. La propagande a présenté le bolchevisme comme un soulèvement politique et social, ce que des individus crédules du monde entier continuent d’imaginer. Mais la « révolution » était bien plus que cela : c’était en réalité une bataille contre le christianisme.
Les bolcheviks détestaient non seulement l’empereur, mais tout ce qu’il représentait. Ils ne se contentaient pas de le voir destitué, mais voulaient que lui et tous les membres de sa famille soient tués, afin que l'ancien lien de la monarchie chrétienne remontant à Constantin le Grand soit rompu à jamais.
La Révolution russe était clairement satanique et tout son succès dépendait de l’extermination du dernier monarque chrétien. Si le communisme avait échoué en Russie, il aurait connu la mort sans gloire qu’il mérite.
Le dernier tsar
L’empereur russe, le tsar Nicolas II, était un homme pieux dont les priorités chrétiennes étaient aussi mal comprises par les observateurs occidentaux que méprisées par Lénine.
Suivant la tradition monarchiste, il était, selon les mots de saint Jean Maximovitch, le porteur et l’incarnation de la vision orthodoxe du monde selon laquelle le tsar est le serviteur de Dieu, l’oint de Dieu. ... Il était profondément pénétré par cette conscience ; il considérait le fait de porter la couronne impériale comme un service rendu à Dieu.
Il était une incarnation vivante de la foi en la Divine Providence qui agit dans les destinées des nations et des peuples et oriente les dirigeants fidèles à Dieu vers des actions bonnes et utiles. Il était donc intolérable pour les ennemis de la foi et pour ceux qui s’efforcent de mettre le raisonnement humain et les facultés humaines au-dessus de tout.
Le tsar a tenté de résister à la Révolution, mais son propre peuple, séduit par les ténèbres intellectuelles du communisme, l’a finalement abandonné. Ainsi, même si la majeure partie du monde ignorait et ignore toujours ce qui s’est réellement passé, la plus grande calamité des temps modernes s’est produite le 17 juillet 1918, lorsque Nicolas II et toute la famille royale ont été assassinés.
Le prêtre Paul Volmensky a écrit que « le meurtre du tsar martyr Nicolas Il... est un indicateur précis que l'Antéchrist est à la porte et que derrière lui se trouvent la seconde venue du Christ et le Jugement dernier. Celui qui retient, le κατέχων a été écarté du chemin et satan agit sans retenue. »
L'assassinat des Romanov n'était que la première rafale d'une tempête de martyres qui frapperait tous les pays touchés par le communisme. Le père Gleb Yakounine, qui a personnellement souffert sous le régime impie, a écrit :
"La signification pour l'histoire mondiale de la mort en martyr de la famille impériale, quelque chose qui la rapproche des événements bibliques les plus significatifs, consiste dans le fait qu'ici prend fin la période constantinopolitaine de l'existence de l'Église du Christ, et qu'un nouvel âge de martyre et d’apocalypse s’ouvre. Cela commence par le sacrifice volontaire du dernier empereur orthodoxe oint et de sa famille.
L'archimandrite Constantin de Jordanville présente cette opinion : « La chute de la Russie a marqué le début de l'époque pré-Antéchrist que nous vivons actuellement. Ce cataclysme a supprimé le « pouvoir de retenue » dans le monde, libérant Satan de son pouvoir temporaire servitude (de mille ans, comme les Écritures le disent allégoriquement ) » (À suivre)
Avec Satan ainsi maîtrisé, le christianisme a connu une croissance constante. À l’époque du Moyen Âge, la société européenne, tant à l’Est qu’à l’Ouest, avait une vision du monde centrée sur le Christ. L'activité missionnaire a prospéré, motivée par le commandement du Seigneur « d'aller par tout le monde et prêcher la bonne nouvelle à toute la création » (Marc 16 : 15).
La période d'esclavage de Satan est en outre liée à la prédication de l'Évangile du Christ. « Et cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, comme témoignage à toutes les nations, et alors la fin viendra » (Matthieu 24 : 14). Cela a également été donné comme un autre signe des derniers jours : la fin ne peut avoir lieu tant que tous les hommes n'ont pas eu la chance d'entendre et de croire ; personne ne peut prétendre ignorer la Vérité. Comme indiqué dans A Ray of Light de l'Archimandite Panteleimon de Jordanville, « Le message concernant le Christ sera répandu dans toutes les nations du monde ; aucune nation ou tribu, même dans les coins les plus reculés et inconnus de la terre, ne sera laissée sans l'éclairage de l'enseignement du Christ. Le dernier commandement de Jésus-Christ sera soyez accompli -"Allez dans le monde entier et prêchez l'Évangile à toute la création " (Marc 16 : 15). »
Le Livre de l'Apocalypse décrit en une seule phrase les grandes lignes de l'histoire sacrée en termes du règne libre initial de Satan, de sa restriction pendant l'ère de l'Église, de sa libération à la fin des temps et de sa condamnation ultime : « Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. » (Apocalypse 17 : 8).
Cette vision parvint à saint Jean le Théologien pendant sa période d'exil sur l'île de Patmos après la résurrection du Christ. A cette époque, Satan, étant en esclavage, "n'est pas." Avant cela, il « était », et à la fin de l’ère de l’Église, il « sortira de l’abîme ». Au retour du Christ, il « ira à la perdition ».
Saint André développe ainsi la vision de saint Jean : « Cette bête, c'est Satan qui, mis à mort par la Croix du Christ, reviendra, comme on dit, à la fin, à la vie. Par de faux signes et par de faux miracles, il Il agira, par l'intermédiaire de l'Antéchrist, pour renverser la Croix. C'est pourquoi il était et a agi jusqu'au temps de la Croix, puis il n'était plus, dans la mesure où par la passion salvatrice il était rendu impuissant et privé de l'autorité qui lui était attachée qu'il avait sur les peuples par le culte des idoles. »
L'incarcération millénaire de Satan figure parmi les événements véritablement significatifs de l'histoire sacrée.
Si cela ne s’était pas produit, la Terre serait sûrement méconnaissable aujourd’hui. L'"histoire" laïque, ignorant le Christ, ne peut pas comprendre la réalité spirituelle qui sous-tend les événements du monde. Pourtant, les signes des derniers jours ne seront pas reconnus par ceux qui ne comprennent pas clairement la période d’esclavage de Satan. Pourquoi? Parce que finalement le malin devient LIBRE ! " ( À Suivre)
L’image d’une bête à dix cornes apparaît également dans le Nouveau Testament. Saint Jean le Théologien rapporte cette vision «1 Je vis ensuite s’élever de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème.
2 Cette bête que je vis était semblable à un léopard ; ses pieds étaient comme des pieds d’ours ; sa gueule, comme la gueule d’un lion ; et le dragon lui donna sa force et sa grande puissance et une grande autorité. » (Apocalypse. 13 : 1, 2).
Saint Jean révèle que le plus puissant royaume de l'histoire aura peut-être le règne le plus court, désigné au sens figuré par une heure : « Les dix cornes que tu as vues sont dix rois qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité pour une heure comme rois avec la bête. Ils auront tous un même dessein, et ils donneront à la bête leur force et leur puissance.» (Apocalypse 17 : 12, 13).
La bête doit recevoir son soutien terrestre de ces dix royaumes, qui seront « d’un même esprit » avec elle. « Et les dix cornes que tu as vues sur la bête, haïront la prostituée, la réduiront à la dernière désolation et la dépouilleront, mangeront sa chair et la feront périr par le feu. Car Dieu a mis dans leurs cœurs d'accomplir son dessein, d'être d'un même esprit, et de donner leur royaume à la bête, jusqu'à ce que les paroles de Dieu s'accomplissent » (Apocalypse 17 : 16, 17).
Cette vision offre une autre vision de l’anti-héros de la fin des temps. «Cette bête est l'Antéchrist, a déclaré sans équivoque Mgr Averky. "Il est des sept", parce qu'il a fait son apparition de l'un de ces royaumes. »
Les dix cornes font référence aux dix royaumes de l'ancien Empire romain qui s'uniront pour donner à l'Antéchrist sa base politique. Sept le soutiendront volontiers, mais trois nécessiteront de la « persuasion ». Selon saint Cyrille de Jérusalem, « se lèveront ensemble dix rois des Romains, régnant peut-être dans des régions différentes, mais à peu près à la même époque ; et après eux un onzième, l'Antéchrist, qui par son artifice magique s'emparera de sur la puissance romaine ; et sur les rois qui régnèrent avant lui, il en humiliera trois et il gardera les sept autres soumis à lui-même. Lactance, érudit du quatrième siècle, apologiste chrétien et précepteur du fils de l'empereur Constantin, a prophétisé que l'Antéchrist arriverait au pouvoir. au moyen de la guerre et de la conquête : « Une épée traversera le monde, coupant tout et détruisant toutes choses comme une récolte moissonnée. La cause de cette dévastation et de cette confusion sera le fait que le nom Romain, qui gouverne maintenant le monde, sera retiré de la terre. Il n'y aura pas de fin à ces guerres meurtrières jusqu'à ce que dix rois émergent simultanément. Ils diviseront le monde pour le détruire et non pour le gouverner...
Alors un puissant ennemi du Grand Nord se lèvera soudainement contre eux. Lorsqu'il aura détruit les trois qui contrôlent l'Asie, il s'alliera aux autres et deviendra leur chef. Il affligera le monde d’une insupportable tyrannie, et travaillera à des choses abominables et maudites.»
Le P. Boris Molchanoff a proposé ce scénario de guerre : « Il est tout à fait possible que [l'Antéchrist] commence son activité pendant une guerre mondiale, lorsque les nations, endurant toutes les horreurs de celle-ci, n'envisageront aucune autre issue qu’une impasse calamiteuse, car tous les leviers cachés pour la résolution de la guerre seront entre les mains d’une société secrète assistant l’Antéchrist. L'Antéchrist présentera un plan pour la résolution de la crise mondiale qui sera le plus efficace du point de vue de la sagesse politique et sociale : l’établissement d’un ordre politique et social unifié à l’échelle universelle. Épuisée par le choc de la guerre, l'humanité spirituellement aveugle non seulement ne parviendra pas à percevoir ce projet comme un piège insidieux destiné à l'attirer dans un esclavage inéluctable et impitoyable, mais, au contraire, le reconnaîtra comme une œuvre d’érudition et géniale»
Bien que l'Antéchrist soit un homme, il est décrit dans la vision de Saint Jean comme émergeant de la mer et recevant le pouvoir d'un dragon. La mer représente l’humanité et le dragon fait clairement référence à Satan. « Presque tous les interprètes comprennent [que l'Antéchrist]… sort de la « mer de la vie », c'est-à-dire du milieu de la race humaine qui est agitée comme une mer », a écrit Mgr Averky. "... Il ne sera pas un diable incarné comme certains l'ont pensé, mais un homme…. Cette autorité, il la recevra avec l'aide du dragon ou du diable. »
Daniel a également décrit les quatre royaumes comme des animaux prédateurs : « Et quatre grandes bêtes montèrent de la mer, toutes différentes les unes des autres. La première était comme un lion et avait des ailes d'aigle. J'ai regardé jusqu'à ce que ses ailes soient arrachées ; et elle a été soulevée de terre et mise sur deux pieds comme un homme, et un cœur d'homme lui a été donné.
«Et soudain une autre bête, une seconde, comme un ours. Il était relevé d'un côté et avait trois côtes dans la bouche entre les dents. Et ils lui dirent ainsi :
« Lève-toi, dévore beaucoup de chair ! » Après cela, j'ai regardé, et il y en avait une autre, semblable à un léopard, qui avait sur le dos quatre ailes d'oiseau. La bête avait aussi quatre têtes et la domination lui fut donnée.
Après cela, j'ai vu dans mes visions nocturnes, et voici, une quatrième bête, terrible et monstrueuse, extrêmement forte. Il avait d’énormes dents de fer ; elle dévorait, brisait et piétinait les résidus avec ses pieds.Elle était différente de toutes les bêtes qui l’avaient précédé et elle avait dix cornes.
« Je considérais les cornes, et il y avait une autre corne, une petite, parmi elles, devant laquelle trois des premières cornes furent arrachées par les racines (Rome : forme finale du quatrième empire mondial). Et là, dans cette corne, il y avait des yeux comme des yeux d'homme, et une bouche qui prononçait des paroles pompeuses » (Daniel 7 : 3-8).
Encore une fois, il existe un accord général quant aux empires mondiaux que représentent ces bêtes. La première est considérée comme Babylone, la deuxième Médo-Perse, la troisième la Grèce et la quatrième Rome. Dans la vision de Daniel, c'est la quatrième bête qui représente la condition du monde lorsque les sombres événements de la fin des temps doivent se dérouler. Cette bête est bien différente des précédentes. Elle est indomptable et impitoyable, sans aucune retenue. La quatrième bête, comme le quatrième royaume, décrit un monde qui a rejeté Dieu et la vérité.
Dans ce milieu, un leader doit surgir qui combinera tous les pires traits de cette humanité déchue. La vision de cette société et de son chef était si troublante, si profondément anormale que Daniel demanda à Dieu des éclaircissements : « Alors je souhaitai connaître la vérité sur la quatrième bête, qui était différente de toutes les autres, extrêmement terrible... et la dix cornes qui étaient sur sa tête, et l'autre corne qui montait, devant laquelle tombèrent trois, à savoir, cette corne qui avait des yeux et une bouche qui prononçait des paroles pompeuses, dont l'apparence était plus grande que ses semblables.
« Je regardais ; et la même corne faisait la guerre aux saints et prévalait contre eux, jusqu'à ce que l'Ancien des Jours vienne, et... il dit : 'La quatrième bête sera un quatrième royaume sur terre, qui sera différent de tous les autres royaumes, et dévorera toute la terre, la foulera et la brisera en morceaux. Les dix cornes sont dix rois qui se lèveront après eux, il sera différent des premiers ; et il soumettra trois rois » (Daniel 7 : 19-24).
Saint Hippolyte (mort en 236) déclare que la « petite corne » de la vision de Daniel est l'Antéchrist : « Et au milieu d'elles s'élèvera une autre petite corne, qui est celle de l'Antéchrist. » Il sera un leader trompeur qui apparaîtra d’abord doux, puis étouffera impitoyablement ses ennemis jusqu’à dominer le monde entier. L’Antéchrist devrait donc régner à la fin du royaume romain. Saint Cyrille de Jérusalem a écrit que « l’Antéchrist viendra lorsque les temps de l’empire romain seront accomplis et que la fin du monde approchera ». (À suivre)
Il existe un accord assez large parmi les Saints Pères et les érudits modernes sur le fait que les quatre royaumes du rêve de Nabuchodonosor font référence à des empires terrestres spécifiques. Saint Cyrille de Jérusalem expliquait que « le premier royaume [or] qui devint célèbre fut celui des Assyriens, et le second [argent] celui des Mèdes et des Perses ensemble, et après ceux-ci celui des Macédoniens fut le troisième [ bronze], donc le quatrième royaume [fer] est maintenant celui des Romains.» Le royaume romain connut deux périodes distinctes, représentées par les jambes et les pieds. Les jambes de la première période sont entièrement en fer et donc très solides. Pourtant, il y a deux jambes, ce qui suggère la division historique de l’Empire romain entre l’Est et l’Ouest. Les pieds, représentant la seconde période romaine, sont en partie en fer et en partie en argile. Du fait de ce mélange, ils sont plus faibles. Les dix orteils suggèrent les dix nations (appelées « dix cornes » dans Daniel 7 :7) de la phase finale de l'Empire romain à partir de laquelle l'Antéchrist doit faire son apparition. Cette phase, comme nous le verrons, correspond à notre époque moderne.
L'évêque Saint Irénée du IIe siècle a noté la grande division de l'humanité que représentent les dix orteils de la figure : « Pour que le royaume soit divisé, et ainsi aboutisse à la ruine, le Seigneur [déclare quand Il] dit : « Chaque royaume divisé contre lui-même…ne tiendra pas. Il faut donc que le royaume, la ville et la maison soient divisés en dix ; et c'est pour cette raison qu'Il a déjà préfiguré le partage et la division (qui auront lieu). ... Les dix orteils sont donc ces dix rois, entre lesquels le royaume sera partagé, dont certains seront en effet forts et actifs, ou énergiques ; d'autres, encore, seront lents et inutiles, et ne seront pas d'accord ; comme le dit aussi Daniel : « Une partie du royaume sera forte, et une partie en sera brisée. » Comme tu as vu le fer mêlé à l'argile cuite, il y aura des mélanges parmi le genre humain, mais aucune cohésion l'un avec l'autre, tout comme le fer ne peut être soudé à la poterie ? » L'image terrible dans le rêve du roi est un mélange de métaux, de l'or tendre mais précieux au fer dur mais commun. Le commentateur protestant C.I. Scofield a suggéré que ces empires mondiaux reflètent une diminution progressive du raffinement spirituel et une augmentation correspondante de la force matérielle au cours de l'histoire : « De la tête d'or (v. 38) au fer du quatrième royaume (Rome), il y a une déperdition en finesse, mais une augmentation en force (v. 40).
Puis vient la détérioration du quatrième royaume dans cette même qualité-force... Le royaume est divisé en deux, les jambes (empires de l'Est et de l'Ouest), et celles-ci sont à nouveau divisées en royaumes, dont le nombre, lorsque la pierre frappera l'image, sera de dix (orteils). Cette vision de l’histoire est en fait largement répandue." (À suivre)
« Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation, c’est-à-dire la transition d’un monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist » —
"Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une planification criminelle encore plus inquiétante conçue par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins - qui sont certes inutiles et nocifs - comme rien moins que de miraculeux.
La réputation des entreprises pharmaceutiques
Nous savons que les géants pharmaceutiques – AstraZeneca, Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson – non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de validation des médicaments, mais qu’ils ont une longue histoire de condamnations pour avoir déjà causé de graves dommages à la population, distribuant des vaccins qui se sont révélés être à l’origine de maladies invalidantes.
Les conflits d’intérêts
On sait quels conflits d’intérêts macroscopiques existent entre les laboratoires pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les salariés de ces sociétés sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’usage des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils auraient la liberté de faire une évaluation juste et prudente en continuant souvent d’avoir des liens professionnels avec Big Pharma. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du prétendu vaccin – qui a conduit certaines nations à suspendre sa distribution – n’est pas encore considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour interdire son adoption. Les découvertes récentes sur ses effets secondaires graves sont considérées comme exclues de la majorité des cas et en outre en ignorant délibérément la relation causale entre l’inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou long terme.
Immunité contre les effets secondaires
Nous savons que, au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population, les laboratoires pharmaceutiques ont exigé une immunité totale pour les dommages pouvant survenir aux patients, à qui il est demandé de signer un formulaire de décharge avec leur consentement éclairé.Ainsi, avec les bénéfices scandaleux de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.
Secret sur les clauses contractuelles
Nous savons que les clauses contractuelles des accords conclus par les nations et par l’Union européenne avec ces sociétés pharmaceutiques sont inaccessibles et secrètes : même les parlementaires et les représentants politiques ne sont pas autorisés à voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée. Et nous savons que non seulement les mêmes sociétés pharmaceutiques n’assument aucune responsabilité pour les effets secondaires, mais elles déclarent également qu’elles ne garantissent même pas leur efficacité à fournir une immunité contre le virus.
L’origine chinoise du virus
On sait que le virus SRAS-CoV-2 a été selon toute probabilité produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financiers de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.
Complicité du personnel de santé
Nous savons que tous les pays, à de très rares exceptions près, ont immédiatement adopté les protocoles de santé les plus absurdes de l’OMS, à commencer par la malheureuse décision de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes, et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie bilatérale aiguë. Et cela s’est produit avec la complicité exécrable du personnel de santé – des médecins au personnel hospitalier – provoquant des milliers de décès non pas par COVID, comme nous le disent les médias grand public, mais par un traitement incorrect des malades.
Délégitimation et boycott des traitements disponibles
On connaît également la campagne acharnée contre l’efficacité des traitements déjà existants, de l’utilisation du plasma hyperimmun à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, malgré le non-respect des normes de santé imposées au cours de ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès. Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne soient pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate en traitement représentent pour les laboratoires pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante de s’y opposer et de les discréditer, jusqu’au au point d’interdire leur utilisation.
Un projet planifié depuis des années
Nous savons que pour mener cette opération criminelle– puisqu’il faut parler de crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple sort malheureux – il était nécessaire d’avoir des années de planification, menées systématiquement, afin d’affaiblir les plans nationaux de pandémie, réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs, créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, et non plus des médecins, qui placent leur propre sécurité sur le lieu de travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des sociétés pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.
Implication du système de santé
On sait que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a non seulement recours au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces. A titre d’exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros de l’heure pour administrer les vaccins dans les centres de vaccination ; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient vacciné ; un lit en réanimation est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après la démolition de la santé publique au cours de la dernière décennie au nom de la réduction des dépenses imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles pour fermer tous les petits hôpitaux qui aujourd’hui, sous prétexte de pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue en prêt avec des contraintes et des conditionnalités qui dans d’autres moments ont été jugés inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service généralisé aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation de la maladie.
Le rôle fondamental des médias
Nous savons que les nations ont accordé des financements aux médias, en guise de contribution à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et il a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne avec un résultat de test positif devrait être considérée comme malade, même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux – de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis, au Canada, en Australie, etc. Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, le conflit d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques a également pu interférer avec les choix des diffuseurs et des journaux, d’une part parce que BigPharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’il est présent au conseil d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une fraude, oserait aller à l’encontre du PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.
Responsabilité des médias sociaux
On sait qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure éhontée et scandaleuse, au point d’effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes confirmés, pour la seule raison qu’ils n’ont pas obéi aux diktats du récit COVID. Même dans ce cas, il n’est pas étonnant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui au fil du temps sont devenues les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.
Cui prodest ? — À qui cela profite ?
Nous savons également qui sont, en termes économiques, les principaux bénéficiaires de la pandémie : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot des entreprises idéologiquement alignées,et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles sont un obstacle ennuyeux à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, réparties sur tout sur le Vieux Continent et notamment en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur diffusion généralisée perturbe les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui pendant la période de lock-out (« confinement ») ont augmenté leurs profits de manière scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ces livres que nous achetions à la librairie du coin doivent maintenant être commandés en ligne, avec le déjeuner, le toner d’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle. Cette « nouvelle économie » s’est imposée avec arrogance en quelques semaines à peine l’an dernier, grâce à la fermeture simultanée des magasins et aux commandes livrées à domicile imposées aux citoyens.
Éducation
On sait que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure l’enseignement scolaire et universitaire de ce plan, aujourd’hui dispensé par « l’enseignement à distance » avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour assurer un jour l’unification de l’enseignement offert via Internet, en décidant quels enseignants sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’éducation alignée comprendra bientôt un nombre de plus en plus restreint d’enseignants : un seul professeur d’histoire pour tous les élèves d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Ce n’est pas une réalité lointaine, lorsque chaque élève est obligé de se connecter en ligne et ne peut plus utiliser un enseignant de sa propre école, qui a été contraint à la retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes ou des intelligences artificielles inquiétantes qui endoctrinent des millions de jeunes avec la théorie du genre, la doctrine LGBT et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.
Les promoteurs de la pandémie
On sait qui sont les théoriciens de la pandémie commeinstrumentum regni, deBill GatesàGeorge Soros, dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant des organisations dites philanthropiques et des lobbies du pouvoir, comme leForum économique mondialavec Klaus Schwab, l’OMSet toutes ses branches nationales, laCommission trilatérale, le groupeBildeberg, leConseil pour Capitalisme inclusifdirigé parLady Lynn Forester de Rothschildsous la direction spirituelle de Bergoglio et, plus généralement, de la phalange des multinationales, des banques et des groupes de pouvoir qui appartiennent à ce dôme de conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et lesmouvements satanistes mondiauxse mobilisent également, à commencer par l’Église de Satanqui exalte l’avortement comme rituel propitiatoire pour la fin de la pandémie, exactement comme BigPharma exige la production de pseudo-vaccins. avec des fœtus avortés.
Subjugation de la hiérarchie catholique
Enfin, nous savons – et c’est certainement l’aspect le plus choquant – qu’une partie de la hiérarchie catholique est également présente dans ce plan, qui trouve en Jorge Mario Bergoglio un prédicateur obéissant de la narration de la pandémie et le principal sponsor des vaccins, qui n’a pas hésité à les définir comme «un devoir moral», malgré les très graves préoccupations éthiques et religieuses qu’elles soulèvent. Bergoglio est même allé au point de se faire interviewer par le vaticaniste Domenico Agasso, dans une conversation contenue dans un livre intitulé Dio e il mondo che verrà, pour recommander aux masses l’administration du sérum génique et fournir une approbation officielle et malheureuse de l’idéologie du mondialisme. Et depuis mars 2020, le Saint-Siège s’est montré parfaitement aligné sur le plan mondialiste en ordonnant la fermeture des églises et la suspension de la célébration et de l’administration des sacrements. Si cela n’avait pas vraiment eu lieu, et au contraire si une forte condamnation de ce projet antihumain et antichristique s’était produite, les plus hauts niveaux de l’Église auraient eu du mal à accepter de soumettre les multitudes à des limitations absurdes de leurs libertés naturelles, au nom de non seulement un asservissement idéologique mais évidemment aussi économique et social.
N’oublions pas qu’en contrepartie de la perte des fidèles dans les églises et de la réduction drastique des dons pour les conférences épiscopales qui en résulte, il doit nécessairement y avoir une autre forme de financement qu’il ne nous faudra pas longtemps pour découvrir. Je pense que ni la Chine communiste, ni les Rothschild, ni Bill et Melinda Gates (qui, comme je l’ai appris d’une source faisant autorité, ont ouvert un compte à l’IOR, la Banque du Vatican), ni le réseau de partis démocratiques autoproclamés – la gauche internationale – obéissant à l’idéologie mondialiste, ne sont étrangers à cette opération. D’autre part, la Grande Réinitialisation envisage l’établissement d’une Religion Universelle œcuménique, écologique et malthusienne, qui voit en Bergoglio son leader naturel, comme l’a récemment reconnu la Maçonnerie. L’adoration de la pachamama au Vatican, l’accord d’Abou Dhabi, l’encyclique Fratelli tutti et le prochain sabbat d’Astana vont tous dans cette direction, complétant l’inexorable processus dissolutif de l’Église qui a commencé avec le Concile Vatican II.
Si quelque chose ne fonctionne pas, on peut l’utiliser pour autre chose
Il faut reconnaître que l’apparent caractère illogique de ce que nous voyons se produire – le boycott des traitements préventifs, la préconisation de thérapies erronées, de vaccins inefficaces, de verrouillages (confinements) sans utilité, l’utilisation de masques absolument inutiles – prend tout son sens dès que l’on comprend que le but déclaré – vaincre la prétendue pandémie – est un mensonge,et que le véritable but est de planifier une crise économique, sociale et religieuse en utilisant une pseudo-pandémie astucieusement provoquée comme outil. Ce n’est qu’ainsi que nous pouvons comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par diverses nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction, qui fait appel à la collaboration et à la complicité de politiciens et de dirigeants, de médecins et de scientifiques, d’évêques et de prêtres, de journalistes et d’intellectuels, d’acteurs et d’influenceurs, de multinationales et de banquiers, d’employés publics et de spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés,mais cette guerre – ne l’oublions jamais! – est une guerre idéologique et religieuse.
Deux mondes opposés
Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation, c’est-à-dire la transition d’un monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit le bien.Cette idée détestable d ‘«égalité» qui nous a été inculquée auparavant par les libres penseurs a maintenant été utilisée pour assimiler le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, sous prétexte de reconnaître la liberté d’expression; aujourd’hui, il sert à promouvoir le mal, l’injustice et ce qui ne va pas, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire la bonté, la justice et la beauté. Conformément à cette vision, l’œcuménisme – qui a été initialement introduit dans l’enceinte sacrée par le Concile sous prétexte de ramener les hérétiques et les schismatiques – montre aujourd’hui sa charge antichristique, incorporant toutes les fausses religions dans un panthéon mais proscrivant la religion catholique apostolique, parce qu’elle est la seule vraie et en tant que telle est inconciliable avec l’erreur doctrinale et la déviation morale. Nous devons donc comprendre que si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et que nous ne permettons pas que l’idéologie mondialiste nous soit imposée sous toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels,hostes publiciparce que nous sommes fidèles à un Dieu jaloux qui ne tolère pas le mélange avec les idoles et la prostitution. La tromperie de liberté, d’égalité et de fraternité propagée par la maçonnerie consiste précisément à usurper la primauté de Dieu pour la donner à Satan, avec le prétexte apparent – qui est en tout cas erroné et immoral – de placer Dieu et Satan sur le même plan de manière à permettre une prétendue liberté de choix qui n’existe pas moralement. Mais le but final, le vrai et inavouable, est fondamentalement théologique, parce que l’auteur de la rébellion est toujours le même, celui qui est éternellement vaincu.
Nemo propheta in patria (Nul n’est prophète en son pays)
Bien sûr, ce que nous voyons se passer aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit pendant des années, si nous n’avions prêté attention qu’à ce que les théoriciens de la Grande Réinitialisation ont déclaré en toute impunité.En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été qualifiés de théoriciens du complot, ridiculisés ou considéréscomme fous, ostracisés par l’information main steam et criminalisés, chassés des chaires universitaires et de la communauté scientifique.Aujourd’hui, nous comprenons à quel point les alarmes ont été clairvoyantes et à quel point le mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires est puissant. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser, à la pathologisation de la dissidence – qui ne peut que déboucher sur une légitimation decamps de détention –et au contrôle de nos déplacements par l’imposition d’unpasseport sanitairequi est déjà en cours de développement.
Dissonance cognitive
Face à la réalité, cependant, il est difficile de comprendre la raison pour laquelle l’ensemble de la population mondiale s’est laissée convaincre de l’existence d’un virus pandémique qui n’a pas encore été isolé et qu’il a incroyablement accepté les limitations de la liberté personnelle qui, en d’autres temps auraient conduit à la révolution et aux barricades dans les rues. Plus incompréhensible encore n’est pas tant l’absence d’une véritable et convenable réaction sociale et politique, mais l’incapacité de voir la réalité dans toutes ses preuves brutes. Mais cela est dû, on le sait, à l’action scientifique de manipulation des masses qui a inévitablement conduit au phénomène que la psychologie sociale appelle la « dissonance cognitive », c’est-à-dire la tension ou l’inconfort que nous ressentons face à deux opposés et incompatibles et des idées incompatibles. Le psychologue et sociologue Leon Festinger a démontré que ce malaise nous amène à élaborer ces convictions de trois manières, afin de réduire l’incongruence psychologique que détermine la dissonance : changer d’attitude, changer decontexteou changer decomportement. Les gens ordinaires, incapables de comprendre ou même de reconnaître une quelconque rationalité dans ce que les médias disent de manière obsessionnelle à propos du COVID, acceptent l’absurdité d’un virus grippal présenté comme étant plus dévastateur qu’ebola,car ils ne veulent pas accepter que leurs dirigeants politiques mentent sans vergogne, dans le but d’obtenir la destruction sociale, économique, morale et religieuse d’un monde que quelqu’un a décidé d’annuler. Ils ne savent pas comment accepter que le mensonge puisse être fait passer pour la vérité, que les médecins ne guérissent pas et même tuent leurs patients, que les autorités civiles n’interviennent pas pour arrêter les crimes et les violations flagrantes, que les politiciens obéissent tous à un lobby sans visage, que Bergoglio veut démolir l’Église du Christ pour la remplacer par une parodie maçonnique infernale. Ainsi, dans ce désir de ne pas accepter la tromperie et donc de ne pas vouloir prendre position contre elle et contre ceux qui la promeuvent, ils se réfugient dans le récit dominant commode, suspendant le jugement et laissant les autres leur dire quoi penser, même si c’est irrationnel et contradictoire.Des milliards de personnes se sont volontairement rendues esclaves, victimes sacrificielles du mondialiste Moloch, se laissant persuader de l’inéluctabilité d’une situation aussi surréaliste qu’ absurde. Ou mieux encore : l’absurdité de ce que nous voyons et de ce qui nous est dit semble donner plus de force aux raisons de ceux qui, après deux cents ans de révolution au nom d’une liberté supposée, acceptent la tyrannie comme un fait normal et remontent à la potence avec la résignation de ceux qui sont convaincus, après tout, qu’ils sont coupables en quelque sorte.
Le comportement de ceux qui, au mépris de toute preuve scientifique, pensent pouvoir résoudre cette crise en déplorant l’inefficacité de la distribution des vaccins, ou remédier aux dommages du confinement en garantissant des subventions aux entreprises et aux travailleurs, ne suscite pas moins de consternation. Bref, ils aimeraient choisir d’être exécutés par pendaison ou guillotine, sans faire d’objections à la légitimité de la peine. Et ils s’énervent immédiatement dès que quelqu’un formule des objections, les accusant de théories du complot ou de déni, proclamant qu’ils sont en faveur des vaccins et donnant des attestations de fidélité à l’idéologie dominante. Et ils ne se rendent pas compte que précisément en attribuant des subventions aux entreprises endommagées par le verrouillage,ils légitiment lerevenu universelthéorisé par la Grande Réinitialisationet qui est également fortement souhaité par le Vatican; ils ne se rendent pas compte qu’il ne peut y avoir de vaccin contre un virus mutant et que l’antigène qui garantirait l’immunité contre une grippe saisonnière ne peut exister tant que le virus n’a pas été isolé plutôt que simplement séquencé. Ils nous rappellent ceux qui, dans la sphère catholique, déplorent les dérives doctrinales et morales de Bergoglio, sans comprendre qu’elles sont en parfaite cohérence avec les fondements idéologiques du Concile. Ici aussi, on le voit, la rationalité s’annule pour faire place à la « dissonance cognitive » et accepter l’absurde.
L’homme n’est pas un robot
Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas complètement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption; certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé ; certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler ; d’autres seront utilisés puis brutalement écartés, ce qui suscitera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler l’arrière-plan du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.
Un avertissement salutaire
D’un autre côté, il y a la puissance de Dieu. Certains d’entre nous, au début, croyaient que la pandémie était réelle et, avec un esprit surnaturel, pensaient que c’était en quelque sorte un châtiment divin pour les graves péchés des individus et des nations : ils appelaient à des actes de réparation et à des prières pour demander à Dieu la fin de la peste. Face à la preuve qu’il n’y a pas de pandémie et que les décès ont été délibérément amenés à exagérer les effets sur la population, il faut considérer le COVID comme un fléau, non pas en soi, mais pour tout ce qu’il a révélé : le plan de Satan pour l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, qui est censé conduire au règne de l’Antéchrist. Le Seigneur nous montre, avec la sévérité d’un père, qu’il veut toujours avertir ses enfants et l’humanité trompée sur les conséquences du péché. Il nous montre quel monde nous attend si nous ne savons pas nous convertir, abandonnant le chemin de la perdition et retournant à lui, à l’obéissance à sa sainte loi et à la vie de grâce.
La réponse des Chrétiens
Mais pour que les nations retournent à Dieu, leurs membres doivent déjà lui appartenir. Pour que le Christ soit Roi des nations, il doit d’abord régner dans nos âmes, nos familles et nos communautés, et il doit régner avant tout dans la sainte Église, sur ses ministres, sur le pape et sur les évêques. Tant que le Dieu vivant et vrai est indigné en étant placé aux côtés des idoles et des démons, nous ne pouvons pas espérer que la Miséricorde Divine mettra fin à ce fléau et vaincra l’ennemi.
Que cette période de préparation pour la Sainte Pâques soit pour nous tous un temps de sainteté : dans la pénitence, le jeûne et le sacrifice, nous devons venir au pied de la Croix et contempler dans la Passion de Notre Sauveur son acte de victoire sur le Mal. Une. En faisant crucifier le Rédempteur sur le bois de la Croix, Satan a marqué sa propre défaite, qui doit encore être rendue définitive à la fin des temps mais qui est la plus certaine et inexorable.
Revenons à Dieu ! Revenons à la Foi, pure et entière, sans compromis avec la mentalité du monde. Revenons à la morale chrétienne, à la sainteté de vie et à la pureté des coutumes. Le nombre des justes retiendra la main droite du Tout-Puissant et permettra à l’Église d’affronter le Calvaire de sa persécution finale avec la même dignité avec laquelle Sa Tête l’a précédée, car la Croix est la voie royale qui mène à la gloire de la Résurrection. La voie large et confortable est celle que nous voyons aujourd’hui et, malheureusement, nous savons très bien où elle mène. Que la puissante protection de la Très Sainte Vierge, Notre-Dame et Reine, nous assiste dans ces moments d’époque : qu’elle soit notre générale dans ce combat spirituel, aux côtés de Saint Michel Archange et de toute la cour céleste."