Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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mercredi 25 décembre 2024

Y AURAIT-IL QUELQUE MALÉDICTION MENAÇANT LES PROFANATEURS DE NOTRE DAME DE PARIS ?


Maurice de Sully, le fondateur visionnaire :

— Maurice de Sully (né vers 1120, à Sully-sur-Loire décédé  en 1196). Issu d’une famille modeste, probablement paysanne, ii est évêque de Paris en 1160. Il est considéré comme le fondateur de Notre-Dame, puisqu’il lança sa construction en 1163. Il aurait exprimé le souhait d’être inhumé près de son œuvre magistrale.En tant qu’évêque, Maurice de Sully entreprit des réformes importantes comme l'amélioration de la discipline ecclésiastique parmi le clergé parisien;  la promotion des prières principales et de la prédication en langue vernaculaire, rendant la foi plus accessible aux fidèles ; le soutien aux pauvres.




    Une rumeur médiévale prétendait que son tombeau, placé près du chœur, serait un lieu d’apparitions. On disait que son esprit revenait visiter la cathédrale lors des moments de crise, comme une sorte de protecteur spectral de l’édifice.

 

Le mystère du sarcophage découvert en 2022 :

—  Lors des fouilles archéologiques menées après l’incendie de 2019, un sarcophage en plomb datant du XIIIe siècle a été découvert sous le chœur de la cathédrale. Il contenait les restes d’un haut dignitaire ecclésiastique, probablement un évêque ou un chanoine.

    Certains ont surnommé ce sarcophage "le Gardien silencieux de Notre-Dame." Les spéculations vont bon train quant à l’identité du défunt et aux trésors ou secrets qu’il aurait pu emporter dans sa tombe.

  

Le cœur de Louis XIV (et autres reliques royales) :

— Avant la Révolution française, Notre-Dame accueillait diverses reliques royales, dont les cœurs de rois ou de membres de la famille royale. Ces restes étaient souvent placés dans des urnes ou des tombeaux distincts.

    On raconte que, pendant la Révolution, certains révolutionnaires auraient tenté d’utiliser ces reliques royales pour des rituels alchimiques, croyant qu’elles possédaient des pouvoirs mystiques.

 

 Le fantôme du prêtre révolutionnaire :

— En 1793, pendant la déchristianisation, un prêtre aurait refusé de quitter la cathédrale lorsque celle-ci fut transformée en Temple de la Raison. On dit qu’il aurait été exécuté près du chœur.

    Depuis lors, des visiteurs auraient rapporté avoir vu une silhouette vêtue d’une soutane noire dans les couloirs sombres de Notre-Dame, particulièrement lors des périodes de grands travaux ou de troubles.

 

 Le tombeau disparu des chevaliers croisés :

— Selon une vieille tradition, plusieurs chevaliers ayant participé aux croisades auraient été enterrés dans la cathédrale au Moyen Âge. Cependant, leurs tombes auraient été déplacées ou détruites au fil des siècles.

    Certains disent que ces chevaliers ont laissé une malédiction sur quiconque troublerait leur repos éternel. Cette croyance aurait dissuadé plusieurs fouilles sous la cathédrale.

 

Le chat noir de Notre-Dame :

— Une anecdote plus populaire raconte qu’un chat noir aurait été aperçu rôdant autour des tombes dans la cathédrale, notamment à la tombée de la nuit.

    Ce chat aurait été un esprit protecteur ou un messager, veillant sur les sépultures et éloignant les esprits malveillants. Certains touristes affirment encore aujourd’hui voir des chats noirs près de la cathédrale.

samedi 10 août 2024

ICONOCLASME RÉVOLUTIONNAIRE (suite contemporaine)

MacNéron ne décolère pas: on lui refuse ses vitraux modernes à Notre-Dame. Emmanuel Macron n’a pas digéré le refus de la Commission du Patrimoine concernant l’introduction d’un programme de vitraux modernes à Notre-Dame. On lui prête l’intention de passer en force, contre tous les usages de l’Etat.
L’archevêque de Paris ne sera pas un obstacle, puisqu'il est sur la ligne du Président 


source : 
 La Tribune de l'Art Vitraux de Notre-Dame : l'obstination d'Emmanuel Macron – La Tribune de l'Art



Le président de la République n’était pas content en apprenant la décision de la CNPA de voter contre le projet de remplacement des vitraux de Viollet-le-Duc par des vitraux contemporains. En colère et surpris car dans un premier temps il a cru, et le ministère également, que les fonctionnaires qui représentent ce dernier dans la commission avaient voté contre, le procès-verbal parlant d’un vote à l’unanimité. Or ceux-ci avaient eu l’ordre de voter en faveur du projet présidentiel ce qui, entre parenthèses, pose des questions sur une commission dont l’objectif est de conseiller le ministre de la Culture, alors que le même dit à une partie de ses membres ce qu’ils doivent voter.
Il s’agissait bien d’une unanimité comme nous l’avons écrit, même si le ministère de la Culture prétend aujourd’hui le contraire. Si les abstentions comptent dans les suffrages exprimés, ici il n’y a pas eu d’abstention puisque ces fonctionnaires n’ont pas pris part au vote. Que ceux qui avaient l’ordre de voter pour n’aient pas pris part au scrutin afin de ne pas avoir à voter contre (et en refusant donc même de s’abstenir) dit assez, néanmoins, ce qu’ils en pensent.

Des rumeurs courant au sein du ministère sont remontées jusqu’à nous, indiquant qu’Emmanuel Macron aurait souhaité une enquête interne et des sanctions - contre le directeur général des Patrimoines ou contre les membre de la CNPA, les versions divergent - mais notre enquête nous a convaincu que ce n’était pas le cas, même si l’idée l’a peut-être effleuré. Cela, de toute façon, aurait été trop visible. Il n’y aura donc ni enquête, ni sanction. Mais en revanche, le communiqué du ministère indiquant que le concours se poursuivait et que le projet lauréat serait à nouveau soumis à la CNPA en novembre (voir l’article) a été directement dicté par l’Élysée. Quoi qu’il en soit, le projet est évidemment mal parti, et pas seulement parce que le président de la République est désormais très affaibli.

D’une part, l’association Sites & Monuments nous a confirmé qu’elle attaquerait l’autorisation de travaux qui doit obligatoirement être déposée pour tous travaux sur monument historique. Et nous nous associerons à cette initiative en proposant aux signataires de la pétition - celle-ci est toujours en ligne - d’aider financièrement l’association pour les frais de justice [1].
D’autre part, la procédure présente apparemment de nombreuses irrégularités. Nous en avons déjà identifié trois, sans compter celles que l’avocat engagé par l’association pourra également trouver :

– L’établissement public créé spécialement pour la restauration de Notre-Dame, qui a pour nom « établissement public administratif chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris », a pour mission exactement ce qui est contenu dans son nom, qui a été défini par la loi du 29 juillet 2019 : « assurer la conduite, la coordination et la réalisation des études et des opérations concourant à la conservation et à la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris ». Or c’est bien cet établissement public qui est en charge de la maîtrise d’ouvrage du remplacement des vitraux et qui organise la consultation, comme on peut le lire par exemple sur le site du ministère de la Culture. C’est d’ailleurs Philippe Jost, son président, qui est venu défendre lui-même le projet devant la CNPA. Cela n’a aucun rapport avec la conservation ou avec la restauration de Notre-Dame : toute la procédure est donc nulle.

– Si l’opération ne sera pas financée par la souscription nationale [2], il reste que les vitraux que l’on souhaite enlever ont été déjà restaurés grâce à l’argent de cette souscription nationale. Comment justifier de dépenser ainsi l’argent des donateurs pour restaurer des vitraux que l’on va aussitôt enlever et entreposer inévitablement en caisses ? Cela paraît assez difficile à défendre et semble là encore devoir s’opposer à la loi qui instaurait la souscription nationale.

– Enfin, le vote à l’unanimité est un point important que regarde toujours le Conseil d’État lorsqu’il a à juger des recours. Nous avions écrit que l’unanimité était une chose quasiment unique ; cela s’applique aux projets défendus par le ministère de la Culture, mais l’unanimité peut exister par exemple lorsqu’il s’agit d’imposer un classement d’office. Et dans ce cas, le Conseil d’État prend en compte qu’une commission d’experts se prononce d’une seule voix. L’avis consultatif habituel de la CNPA peut ainsi devenir en pratique, devant la justice administrative, l’équivalent d’un avis conforme.

L’opération semble donc mal partie pour le président de la République et l’archevêque de Paris, ardent supporter également de ce projet. On peut tout de même s’interroger sur l’obstination d’Emmanuel Macron, lui qui devrait manifestement avoir d’autres sujets de préoccupation…


mercredi 17 avril 2019

Notre-Dame de Paris : bien sûr que l’on reconstruira…


https://www.contrepoints.org/2019/04/17/341862-notre-dame-de-paris-bien-sur-que-lon-reconstruira

Par Olivier Maurice.
Elle avait survécu aux guerres entre Valois et Plantagenêt qui avaient ravagé la France pendant cent ans. Elle avait survécu aux guerres entre catholiques et huguenots. Elle avait survécu aux bombardements de la Grosse Bertha, aux raids Anglais et Américains, aux combats de la bataille de Paris. Elle avait même survécu à la Terreur et à la Commune et à leurs déchaînements de haine anticléricale, aux massacres de prêtres, de moines, de nonnes, de bedeaux, de diacres, aux burinages des statues, aux pillages des œuvres d’arts, aux profanations de tombeaux qui les avaient accompagnés.
Accident, malveillance ou faute à pas de chance, qu’importe : Notre-Dame a brûlé.
Le désastre s’affiche sous nos yeux sur toutes les chaînes d’information. On essaie de se consoler comme on peut : des œuvres d’arts ont été sauvées, la structure en pierre semble solide, tout n’a pas été détruit, on reconstruira…
Les édifices affectés au culte lors de la promulgation de la loi du 9 décembre 1905 et les meubles les garnissant deviendront la propriété des communes sur le territoire desquelles ils sont situés – loi du 9 décembre 1905
Bien sûr que l’on reconstruira. L’État reconstruira, même s’il n’a pas l’argent et que la grande majorité des fonds proviendront surtout de donations privées et internationales. Même si dans les couloirs des palais, l’anticléricalisme continuera de se mêler de ce que croient les autres et de susurrer qu’il y a mieux à faire avec l’argent public que de financer les lubies des religieux majoritairement réactionnaires et conservateurs. La religion n’est-elle pas la source de tous les maux de la société ? L’État n’a-t-il pas comme devoir de sauver les prolétaires de l’opium du Peuple qui asservit les classes opprimées ?

Gérer le parc d’attraction parisien

Bien sûr que l’on reconstruira. La ville de Paris a tellement investi dans ce rêve de Disneyland municipal dont les revenus touristiques permettent de financer toutes les lubies écolo-bobos, qu’elles soient électriques, cyclistes, théâtrales, postmodernistes ou associatives et non lucratives, qu’elle ne peut laisser un squelette calciné au centre même de son parc d’attraction.
Bien sûr que l’on reconstruira. Mais les choses ne seront jamais plus comme avant. La charpente ne proviendra plus de chênes plantés avant Charlemagne, les reliques du coq ne pourront pas être remplacées, la flèche ne symbolisera plus ce Moyen-Âge de contes de fées qu’avaient fantasmé Viollet-Le-Duc et Napoléon III.
L’État et la ville reconstruiront, même s’ils n’en ont pas l’obligation légale. Même s’ils avaient pourtant celle de veiller à la sécurité et à l’entretien du bâtiment, comme tout propriétaire. Même si cette propriété est le fruit de la confiscation massive des bâtiments religieux dont la grande majorité pourrit au centre des villages, faute de moyens pour les entretenir et qu’elle entre donc dans ce no man’s land de ce qui suit la loi mais fait aussi cette même loi.
Bien sûr que l’on reconstruira. Même si le principe de précaution célébré en grande pompe le matin même précédent l’incendie dans l’interdiction d’utiliser le colorant E171 dans les confiseries ne semble pas s’appliquer aux règles de sécurité des travaux d’entretien de la plus symbolique de toutes les cathédrales du monde. Même si l’accumulation de réglementations, de normes de sécurité, d’obligations légales était soit insuffisante, soit s’est révélée totalement inutile. Même si on trouvera bien un responsable qui n’en est pas un parce qu’il y aura bien parmi les 15 ouvriers présents sur le chantier, quelqu’un qui aura n’aura pas suivi à la lettre près l’une des multiples normes qu’une vie entière ne suffirait pas à consulter.
Bien sûr que l’on reconstruira. Même si la suppression de la propriété privée, que ce soit celle des congrégations religieuses, des entreprises privées ou des individus, dans le but principal de consolider la puissance politique de l’État, même si le monopole sur le patrimoine que détient l’État alors qu’il n’y consacre qu’un budget famélique, même si l’obésité d’un État qui a décrété s’occuper de tout pour le bien de chacun et qu’il empêche surtout chacun de s’occuper de ce qui lui tient à cœur, sont sans doute les premiers responsables d’un drame qui avait pu être évité pendant huit siècles.

jeudi 14 février 2013

FEMEN et frissonner de plaisir… jusqu'à quand ?

Il n’est pas sûr que faire le moindre écho à ces allumées ne leur fasse pas  de la pub, mais la lecture de ce qui suit devrait modérer l’enthousiasme et la satisfaction des intéressées… 


Quelque chose à dire  ou quelque chose à montrer ?

La représentante du groupe de femmes qui a fait une "performance" dans la cathédrale catholique de Notre Dame de Paris a déclaré « Il faut montrer que les femmes aussi ont quelque chose à dire. Donc on réagit sur tous les sujets » Ah bon !?

J’en doute fortement. Je serais curieux de savoir ce qu’elles se racontent et dans quel état d’excitation elles se trouvent lorsqu’ elles se préparent à intervenir quelque part.

 Pourquoi ne lit-on nulle part que ces jeunes femmes aux corps normés pour être présentables sont tout simplement des exhibitionnistes, qu’elles prennent plaisir à se montrer à moitié nues, qu’elles se trouvent certainement très présentables voire désirables (pas de bourrelets, pas de rides, pas de seins qui tombent n’est-ce pas ! Que du présentable voyons !) et qu’elles sont certainement très excitées non seulement de choquer les présumés  prudes de rencontre, mais plus secrètement d’allumer un désir dont elles savent qu’il ne pourra en aucun cas s’assouvir à leurs risques et périls, à l’abri qu’elles sont de la culture maternante, tolérante, protectrice de toutes les déviances ou paralysée de culpabilité, quoiqu’elles cherchent à prouver le contraire.
D’ailleurs pénètreraient-elles dans une mosquée ? Ce serait un bien grand risque à n’en pas douter une seconde…Elles s'en abtiendront prudemment évidemment.
Pénètreraient-elles même dans un lieu public officiel sans risquer de se faire évacuer vigoureusement et sans tarder ? Bien sûr que non !

Subversion vous avez dit subversion ?

Quel cliché plus normé, éculé et répétitif  que celui de la femme nue associée au clergé catholique !
Féministes ? Quelle  rigolade de s’offrir  nues au regard  sous le prétexte d’ « être présentes sur tous les sujets d’actualité » pour défendre la"cause de femmes" !
Tout simplement des exhibitionnistes pas du tout des féministes !
En fait les Femen  utilisent un  discours idéologique convenu et échangeable dignement sur le marché des idées pour faire leurs petites affaires seins nus,  comme les voyous  d’origine musulmane utilisent l’islam comme légitimation et présentation respectable de leurs voyouteries. 

Sans emploi ?

Ou alors me tromperai-je sur leurs préoccupations qui seraient purement professionnelles et serait-ce qu’on ne  les aurait pas voulues au casting du Crazy Horse... alors, à défaut,  elles se produiraient  gratuitement comme on fait la manche dehors quand, chanteur,  on n’a pas encore trouvé de lieu de concert où l’on puisse se produire… en attendant ardemment d'être "remarquées".

Tout, tout de suite et jouir sans entraves !
Qu’avons-nous à faire de l’importance qu’elles accordent à la jouissance, de ce qui et de qui les fait jouir et de leur manière personnelle de jouir ? Qu’avons-nous à faire de tout cela ? Pas grand-chose. Qu'elles fassent ce qu’elles veulent avec ce qu’elles veulent et qui elles veulent  mais qu’elles nous foutent la paix, cela les regarde. 

C’est bien dommage qu’elles soient convaincues que c’est là la chose la plus importante de leur vie, qu’il faut à tout prix, à tout propos, mettre au centre de leur vie et communiquer là-dessus. C’est un peu réducteur de ce qu’est une personne humaine non ? Dommage, dommage peut-être !
 Il ne me semblait pas d'ailleurs que c'était l'objectif des féministes de naguère de se réduire à un objet de regard concupiscent mais bon... les choses changent si vite de nos jours...

"Mignonne, allons voir si la rose..."
 Allez, parions que dans quelques années quand elles se sentiront moins « présentables » au public (pour « militer » bien entendu, cela va de soi, pas autre chose ! C'est du sérieux pas de la gaudriole.) elles se calmeront un peu… par force non ?

Parce que de toute façon,  la vie avec ses limites se chargera sans aucun doute de leur opposer toutes sortes d’obstacles à leur désir de jouir sans entraves (difficultés relationnelles, embonpoint, rides, relâchement des tissus, maladies, accidents, handicaps, vieillesse, bref, perte de toute séduction et pour finir la mort inéluctable (choisie ou subie malgré les progrès scientifiques) qu’elles commenceront à penser à autre chose peut-être – peut-être  seulement, mais je le leur souhaite, sinon elles seront très,  très malheureuses . Quoique... va savoir, elles se tourneront alors peut-être vers une autre réalité qui leur est pour l’instant parfaitement cachée... c’est clair !