Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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lundi 19 avril 2021

A STARTUP NATION ? ARE YOU SURE ? OK ! Réflexions passagères d'un O.o.🤔


Si notre pays n’est plus une nation, n’est plus une patrie, n’est plus une république mais une entreprise, une « startup nation », alors nous ne sommes plus des citoyens, même plus des contribuables, mais nous ne sommes pas pour cela des employés licenciables à loisir, nous sommes des ACTIONNAIRES ! 

Chacun de nous est un actionnaire, un petit actionnaire certes, mais un actionnaire tout de même, car s’il existe de très gros actionnaires plus ou moins anonymes de cette société générale qui pèsent plus lourd, il n’empêche que cette entreprise, même si elle marche de plus en plus en mal, même si elle est mal gérée, C’EST AVEC NOTRE ARGENT QU’ELLE FONCTIONNE !

Alors, il n’y a plus de Président de la République élu, encore moins un je ne sais quel « Jupiter » qui règne du haut d’une Olympe mythique, il n’y a aucunement un représentant d’une élite présumée qui aurait la place qu'il mérite parce qu'il le vaudrait bien, encore moins un Père de la nation, il n’y a qu’un PDG , nommé provisoirement par un Conseil d’administration composé des actionnaires de l’entreprise, UN SIMPLE EMPLOYÉ, certes à une place importante dans la hiérarchie, mais un simple employé, payé grassement certes mais par les actionnaires et QUI EST CENSÉ FAIRE L’AFFAIRE. 

L’employé de ce poste – que les ex citoyens prennent stupidement à tort pour le souverain d’un royaume qui n’existe plus depuis longtemps – est censé travailler dans l’intérêt et pour le bénéfice des actionnaires qui le payent et qui peuvent le virer si sa gestion n’est pas satisfaisante et qu’il produit plus de déficits que de plus-value. Or c’est le cas !

C’est donc qu’il ne travaille pas pour les petits mais pourtant nombreux et objectivement indispensables actionnaires que nous sommes. DANS L’INTERET DE QUI TRAVAILLE-T-IL DONC ? De plus gros actionnaires inconnus, qui pèseraient davantage que nous ? Mais qui sont-ils ? Et quel est leur intérêt réel ? On dirait plutôt en effet qu’il travaille pour la concurrence vu cet acharnement à entraver, saboter et bloquer ceux qui produisent, à licencier à tour de bras, et à inscrire un maximum de monde à Pâle Emploi…

Pour travailler pour la concurrence au lieu de l’entreprise qui vous emploie officiellement, il faut être sacrément plus payé en sus, discrètement, pour ce sale boulot, non ? Ou il faut être alors également contraint de le faire par la menace ? Par quelle maffia ?

Bah, nous, les petits actionnaires, pesons plus lourd que nous le pensons et si nous nous réunissons tout simplement en conseil d’administration, nous verrons ce que nous valons et alors nous pourrons virer le mauvais gestionnaire… et contrer « la concurrence » fût-elle insaisissable ! C'est simple et logique non ?


WE ARE THE NATION
 ( dit la chanson )
 Not the Startup nation !

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A STARTUP NATION ? ARE YOU SURE ? OK ! Réflexions passagères d'un O.o.🤔


Si notre pays n’est plus une nation, n’est plus une patrie, n’est plus une république mais une entreprise, une « startup nation », alors nous ne sommes plus des citoyens, même plus des contribuables, mais nous ne sommes pas pour cela des employés licenciables à loisir, nous sommes des ACTIONNAIRES ! 

Chacun de nous est un actionnaire, un petit actionnaire certes, mais un actionnaire tout de même, car s’il existe de très gros actionnaires plus ou moins anonymes de cette société générale qui pèsent plus lourd, il n’empêche que cette entreprise, même si elle marche de plus en plus en mal, même si elle est mal gérée, C’EST AVEC NOTRE ARGENT QU’ELLE FONCTIONNE !

Alors, il n’y a plus de Président de la République élu, encore moins un je ne sais quel « Jupiter » qui règne du haut d’une Olympe mythique, il n’y a aucunement un représentant d’une élite présumée qui aurait la place qu'il mérite parce qu'il le vaudrait bien, encore moins un Père de la nation, il n’y a qu’un PDG , nommé provisoirement par un Conseil d’administration composé des actionnaires de l’entreprise, UN SIMPLE EMPLOYÉ, certes à une place importante dans la hiérarchie, mais un simple employé, payé grassement certes mais par les actionnaires et QUI EST CENSÉ FAIRE L’AFFAIRE. 

L’employé de ce poste – que les ex citoyens prennent stupidement à tort pour le souverain d’un royaume qui n’existe plus depuis longtemps – est censé travailler dans l’intérêt et pour le bénéfice des actionnaires qui le payent et qui peuvent le virer si sa gestion n’est pas satisfaisante et qu’il produit plus de déficits que de plus-value. Or c’est le cas !

C’est donc qu’il ne travaille pas pour les petits mais pourtant nombreux et objectivement indispensables actionnaires que nous sommes. DANS L’INTERET DE QUI TRAVAILLE-T-IL DONC ? De plus gros actionnaires inconnus, qui pèseraient davantage que nous ? Mais qui sont-ils ? Et quel est leur intérêt réel ? On dirait plutôt en effet qu’il travaille pour la concurrence vu cet acharnement à entraver, saboter et bloquer ceux qui produisent, à licencier à tour de bras, et à inscrire un maximum de monde à Pâle Emploi…

Pour travailler pour la concurrence au lieu de l’entreprise qui vous emploie officiellement, il faut être sacrément plus payé en sus, discrètement, pour ce sale boulot, non ? Ou il faut être alors également contraint de le faire par la menace ? Par quelle maffia ?

Bah, nous, les petits actionnaires, pesons plus lourd que nous le pensons et si nous nous réunissons tout simplement en conseil d’administration, nous verrons ce que nous valons et alors nous pourrons virer le mauvais gestionnaire… et contrer « la concurrence » fût-elle insaisissable ! C'est simple et logique non ?


WE ARE THE NATION
 ( dit la chanson )
 Not the Startup nation !

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mardi 15 janvier 2019

Une sortie de crise « par le haut » ?

La crise sociale s’installe ? Vite, les députés lâchent Bercy sur les Français

Le mouvement des Gilets Jaunes n’en finit pas d’agiter l’actualité française, au grand dam du gouvernement et des médias qui, incrédules, sont obligés d’en constater la motivation accrue. Le ministère de l’Intérieur calcule d’ailleurs assez pâteusement 84.000 manifestantsen alignant proprement 80.000 forces de l’ordre, soit à peu près un gardien de la paix par manifestant (sur les photos des manifestations, c’est d’ailleurs la bousculade et seuls le jaune des gilets et le rouge des brassards « POLICE » permettent de distinguer les uns des autres). On le comprend : la situation est donc tendue.

C’est donc avec un sens du timing particulièrement pointu que ceux qui nous gouvernent ont décidé de voter en bonne et due forme quelques modifications dans les textes de loi fiscale. Ces dernières ajoutent une fois encore une belle tranche de complexité à l’usine à gaz fiscale française qui n’en avait guère besoin, en plus d’introduire une révision assez inique du droit fiscal : en étendant de façon grotesque la notion d’abus de droit fiscal, l’administration fiscale va pouvoir tomber à bras raccourcis sur le contribuable français comme jamais, surtout s’il a tenté la moindre optimisation fiscale légale.


La notion n’est pas simple mais elle mérite d’être précisée : jusqu’à récemment, s’il vous venait l’idée saugrenue d’appliquer des dispositions fiscales légales afin de diminuer votre impôt, l’administration pouvait cependant vous redresser fiscalement si elle jugeait que cette opération était exclusivement fiscale. Autrement dit, mener une opération (immobilière, financière, sociale, que sais-je) ne devait en aucun cas être motivé pour des raisons exclusivement fiscales mais devait aussi remplir d’autres critères (aider son voisin, améliorer une situation familiale particulière, …) sous peine d’être disqualifiée. En somme, l’administration fiscale supportait éventuellement que vous bénéficiez d’une réduction d’impôts suite à une optimisation fiscale si cette dernière n’avait pas été réalisée exclusivementpour cette optimisation.


Las. La jurisprudence, déjà minée et particulièrement complexe pour le contribuable lambda, va se voir complètement chamboulée par le vote cette semaine à l’Assemblée d’un amendement modifiant cette définition de l’abus de droit.

[…]

Jusqu’à la fin de l’année dernière, on aurait pu imaginer donner un peu de crédit à Macron en lui accordant d’avoir tenté quelques réformettes et s’être à nouveau heurté au conservatisme français. Les semaines qui se sont écoulées depuis son allocution télévisuelle robotique retirent absolument tout doute sur la capacité réelle du chef de l’État et de tous ses suiveurs à correctement analyser la situation (et, a fortiori, à en tirer un plan d’action opérationnel), et les exemples consternants fournis dans ce billet l’illustrent fort bien : très manifestement, ce qui se passe actuellement dans le pays échappe complètement à l’entendement du gouvernement et des élus.

On sait qu’un remaniement ministériel est à l’étude. On imagine sans mal qu’une dissolution a été envisagée. Aucun de ces bricolages ne saura résoudre le problème : on est maintenant à court « d’argent des autres », i.e. il n’y a plus un rond dans les caisses, et plus aucun courage pour attaquer les causes de cette crise, à savoir une dépense publique délirante et une administration qui en bénéficie devenue complètement folle.

Dès lors, on se perd complètement en conjecture pour imaginer une sortie de crise « par le haut ».

LIRE L'ARTICLE INTÉGRAL  ICI



dimanche 16 décembre 2018

Il n' y a que 230 ans…


Le 5 est le symbole de la liberté, du changement, de la mobilité, du dynamisme, de l’aventure, du mouvement 

Avant, la France empruntait auprès des Français. Les intérêts de la dette de l'État allaient sur le compte des épargnants, des retraités et de ceux qui gèrent leur patrimoine "en bons pères de famille". Les milliards de francs d'intérêts restaient en France. Mieux: toute personne pouvait acheter des Bons du Trésor de la France, il suffisait de le demander à un guichet de banque standard.

Les Français étaient détenteurs de leur dette nationale, comme le Japon.

La loi de 1973 a modifié ce circuit à jamais. Si les intérêts de la dette étaient un fleuve, la Seine par exemple, c'est comme si une puissance étrangère avait creusé un canal pour détourner la Seine et l'amener en Allemagne, au Luxembourg, à Londres, Tokyo, etc., privant le bassin parisien d'eau et changeant la physionomie de la France à jamais.

C'est exactement ce qui s'est passé avec la Loi du 3 janvier 1973 imposée par Giscard et lui seul (lire le livre de Rougeyron). Au lieu d'enrichir les seuls Français, désormais ce ne sont que les banques étrangères, hedge funds de Wall Street et de la City (les banques Japonaises possèdent environ 30% de notre dette à court terme) qui bénéficient de ce pactole (qui, je vous le rappelle, était lui aussi un fleuve).

Et depuis 1973, ce sont des trilliards d'euros d'intérêts payés qui sont partis à l'étranger au lieu d'enrichir les seuls foyers, épargnants et entreprises françaises, soit 45 années consécutives de vol des richesses aux Français.

Magnifique opération... le plus grand hold-up silencieux de l'Histoire avant celui du passage à l'euro.

Les Gilets Jaunes sont le résultat de cet appauvrissement.

Combinés aux "travailleurs détachés" (que Macron avait promis de modifier ou supprimer), à l'immigration massive alors que le chômage détruit le pays depuis 1976 et au vol par vente forcée de nos entreprises (derniers en date: Macron a vendu Alsthom, et il vend aussi nos aéroports ainsi que la Française des Jeux) l'ensemble conduit mécaniquement la France à un appauvrissement encore plus prononcé qui lui-même n'engendre mécaniquement que des chômeurs, comme une horloge déréglée qui accumule chaque jour du retard.

Tout cela, Emmanuel Macron ne veut pas le comprendre (étonnant quand même pour un banquier) ou bien il le comprend très bien, et dans ce cas il est forcément à la solde d'une puissance étrangère qui n'a aucun intérêt à ce que cette loi soit abrogée.


Mais le problème en ce mois décembre 2018 est que la France est endettée à 100% (en réalité elle est à 300% si on prend toutes les dettes des régions, villes, etc.). Vous gagnez 10.000 euros par mois, et vous devez rembourser 10.000 euros, donc il ne vous reste rien au 1er du mois. Du coup qu'ont fait Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron et tous leurs énarques: ils ont supprimé les services publics d'un côté et monter sans cesse les impôts et taxes de l'autre! Et cela fait 30 ans que cela dure

Le souci est que les Gilets Jaunes ont mis le stop, puisque la France est officiellement le pays qui impose le plus ses citoyens. Lisez bien cet article Viepublique.fr de 2017:

"La charge de la dette est l’ensemble des dépenses de l’État consacrées au paiement des intérêts de sa dette. Dans le projet de loi de finances pour 2018, elle s’élève à 41,2 milliards d’euros ... Le paiement des intérêts de la dette représente ainsi aujourd’hui le quatrième poste de dépenses de l’État".

Les banques qui ont acheté notre dette vont "flipper" comme on dit. Maintenant regardez bien l'appauvrissement des Français en termes de SMIC:

"- Un poulet: en 1984, le prix d'un poulet représentait 27 minutes de salaire. En 2014, 30 minutes.

- Un appartement de 76m2 à Paris: en 1984, un tel achat représentait 13,3 ans de salaire moyen. Aujourd’hui, cela représente… 23,5 ans de salaire!

- Une maison en France: il y a 30 ans, il fallait compter 5,1 ans de salaire pour acquérir ce bien. En 2014, 9,7 ans!

- Une facture d’eau, pour 120m2: 17h de salaire en 1984 contre 31h en 2014! .

- Une voiture (type Wolkswagen, Golf GTI): 9 mois de salaire contre 14 mois en 2014.

- Une consultation chez le généraliste: 1h13 de salaire en 1984 contre 1h24 en 2014. ", lire ici Notre Temps.

En un mot comme en cent, les Français sont deux fois moins riches qu'en 1984 et presque trois fois par rapport à 1973.

dimanche 9 décembre 2018

LE PROGRAMME DES GILETS JAUNES


NOS 8 DOLÉANCES :


"NOUS RENTRERONS CHEZ NOUS QUAND CES MESURES SERONT APPLIQUÉES."



1. Nous voulons de la démocratie directe à tous les niveaux. Nous voulons un gouvernement d’union nationale avec une régence d’exception pour éviter que les partis politiques, qui sont disqualifiés, n’instrumentalisent notre détresse et notre colère.

2. Nous voulons une baisse de 20% de toutes les taxes et les charges touchant la classe moyenne, les travailleurs pauvres et les entrepreneurs. Baisser ces taxes, c’est monter nos salaires. Nous voulons une action immédiate pour taxer ce qui vaut la peine d’être taxé : les GAFA et les transactions financières.

3. Nous voulons que la France arrête de vivre au-dessus de ses moyens et arrête d’accueillir la misère du monde parce qu’elle est déjà dans la misère avec ses millions de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté. Nous voulons une immigration choisie, qui ne nous détruise pas culturellement. Nous demandons ainsi un retrait du pacte de l’immigration de l’ONU.

4. Nous voulons une relocalisation de toutes les décisions dans les régions, les villes et les communes. L’Etat et ses fonctionnaires à Paris ne sont pas qualifiés pour décider de l’avenir de nos communes.

5. Nous voulons une sortie de la PAC qui corrompt nos agriculteurs en n’allouant ses aides qu’aux productivistes et aux empoisonneurs répandant le cancer en France. Nos impôts ne doivent en aucun cas servir à financer Bayer-Monsanto.

6. Nous voulons la création de barrières commerciales pour empêcher l’Allemagne de nous vendre des produits fabriqués en Roumanie, sous le label "Deutsche Qualität" et d’ainsi détruire nos emplois.

7. Nous voulons le retrait de toutes les aides à la presse pour une vraie séparation des pouvoirs médiatiques et politiques.

8. Nous voulons une action immédiate pour arrêter l’intégration dans l’Europe car elle ne se construit que sur la ruine des petites gens.



Les gilets jaunes à Bruxelles 
lieu même de la tyrannie

écho en Allemagne :

« Je pense qu'il est juste que les gens se défendent et protestent quand la politique dégrade leur vie… ces protestations de sont ni de gauche, ni de droite mais elles se manifestent contre un gouvernement de riches" Sarah Wagenknecht







samedi 8 décembre 2018

BERCY DÉMISSION et non pas MACRON !


MAIS OÙ SONT LES GILETS JAUNES ?

LA NOUVELLE ET SEULE VRAIE BASTILLE !


Ils se sont bêtement laissé détourner du vrai lieu de pouvoir abusif en France…
et ça va saigner pour des prunes ?

POUR CONFIRMER L'ARTICLE PRÉCÉDENT


Voici la liste des 266 impôts et charges

 qui empoisonnent la vie des Français (source):

1 Impôt sur le revenu (IR)

2 Impôt de solidarité sur la fortune (ISF)

3 Impôt sur les sociétés (IS)

4 Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)

5 Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)

6 Taxe d’habitation (TH)

7 Cotisation foncière des entreprises (CFE)

8 Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE)

9 Contribution sur les revenus locatifs (CRL)

10 Taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM)

11 Taxe spéciale d’équipement (désormais remplacée par la taxe d’aménagement)

12 Taxe additionnelle à la TFPNB

13 Taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères (TEOM)

14 Taxe destinée au financement des conseils d’architecture d’urbanisme et de l’environnement (CAUE)

15 Redevance départementale sur l’aménagement des espaces naturels et sensibles (TDENS)

16 Taxe de balayage

17 Taxe locale sur la publicité extérieure (TLPE)

18 Impositions perçues au profit des communautés urbaines

19 Contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie

20 Prélèvement sur les bénéfices tirés de la construction immobilière

21 Taxe hydraulique au profit des voies navigables de France

22 Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP)

23 Contribution additionnelle à l’impôt sur les sociétés

24 Taxe sur la consommation de charbon

25 Taxes générales sur les activités polluantes (TGAP)

26 CRDS (Contribution pour le remboursement de la dette sociale)

27 CSG (Contribution sociale généralisée)

28 Taxe forfaitaire sur les métaux précieux

29 Contribution à l’AGS (Association pour la gestion du régime de garantie des créances des salariés)

30 Redevances pour droit de construire EPAD (Établissement public d’aménagement et de développement)

31 Droit sur les cessions de fonds de commerce et opérations assimilées

32 Droits sur les ventes d’immeubles

33 Droit sur les cessions de droits sociaux

34 Droits de succession et de donation

35 Prélèvement non libératoire forfaitaire sur les dividendes et distributions assimilées

36 Droit du permis de chasse

37 Droit de validation du permis de chasse

38 Taxe sur la musique (SACEM SPRE)

39 Taxe sur les plus-values immobilières autres que terrains à bâtir

40 Impôt sur les plus-values immobilières

41 Cotisation additionnelle versée par les organismes HLM et les SEM

42 Cotisation versée par les organismes HLM et les SEM

43 Redevances perçues à l’occasion de l’introduction des familles étrangères en France

44 Taxe sur les spectacles perçue au profit de l’Association pour le soutien des théâtres privés

45 Taxe sur les transactions financières

46 Taxe annuelle sur les produits cosmétiques

47 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base dite « de stockage »

48 Surtaxe sur les eaux minérales

49 Taxe communale additionnelle à certains droits d’enregistrement

50 Redevances proportionnelles sur l’énergie hydraulique

51 Taxe communale sur les remontées mécaniques

52 Taxe communale sur la consommation finale d’électricité

53 Redevance d’enlèvement d’ordures ménagères (REOM)

54 Taxe sur les cartes grises

55 Redevances communale et départementale des mines

56 Imposition forfaitaire annuelle sur les pylônes

57 Taxes de trottoir et de pavage

58 Prélèvement progressif sur le produit des jeux dans les casinos au profit des communes

59 Taxe sur les activités commerciales non salariées à durée saisonnière

60 Taxe forfaitaire sur la cession à titre onéreux des terrains nus qui ont été rendus constructibles du fait de leur classement

61 Taxes sur les friches commerciales

62 Taxe sur le ski de fond

63 Taxe sur les éoliennes maritimes

64 Taxe sur les déchets réceptionnés dans une installation de stockages ou un incinérateur de déchets ménagers

65 Taxe pour non-raccordement à l’égout

66 Taxes dans le domaine funéraire

67 Taxe pour obstacle sur les cours d’eau, taxe pour stockage d’eau en période d’étiage et taxe pour la protection des milieux aquatiques, redevances pour pollution diffuses

68 Redevances pour pollution de l’eau et pour modernisation des réseaux de collecte

69 Taxe départementale des espaces naturels sensibles

70 Taxe sur les nuisances sonores aériennes

71 Taxe spéciale sur la publicité télévisée

72 Octroi de mer

73 TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) lubrifiants, huiles et préparations lubrifiantes

74 TGAP lessives

75 TGAP matériaux d’extraction

76 TGAP imprimés

77 TGAP installations classées

78 TGAP déchets

79 TGAP émissions polluantes

80 Redevances spéciales d’enlèvement des déchets non ménagers

81 Taxe sur les produits, déchets et résidus d’hydrocarbures

82 Taxe sur la publicité foncière

83 Taxe sur la valeur vénale des biens immobiliers des entités juridiques

84 Cotisation spéciale sur les boissons alcoolisées

85 Droit de circulation sur les vins, cidres, poirés et hydromels

86 Droit de consommation sur les produits intermédiaires

88 Droit sur les bières et les boissons non alcoolisées

89 Taxe sur les préfix

90 Prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placement et contribution additionnelle

91 Contribution sociale de solidarité des sociétés

92 Contribution due par les laboratoires et les grossistes répartiteurs sur les ventes en gros aux officines pharmaceutiques

93 Contribution à la charge des laboratoires pharmaceutiques non conventionnés avec le comité économique des produits de santé

94 Contribution due par les laboratoires sur leurs dépenses de publicité

95 Prélèvement sur les ressources de différents régimes de prestations familiales

96 Redevance due par les titulaires de titres d’exploitation de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux

97 Droits de plaidoirie

98 Contribution due par les entreprises exploitant des médicaments bénéficiant d’une AMM (autorisation de mise sur le marché)

99 Contribution due par les entreprises fabriquant ou exploitant des dispositifs médicaux sur leurs dépenses de publicité

100 Participation des employeurs occupant 10 salariés ou plus au développement de la formation professionnelle continue

101 Participation des employeurs occupant moins de 10

salariés au développement de la formation professionnelle continue

102 Participation des employeurs occupant 10 salariés ou

plus au financement du congé individuel de formation des

salariés (0,2 % des rémunérations)

103 Taxe de séjour

104 Financement des congés individuels de formation des

salariés sous contrats à durée déterminée CIF-CDD (1 % des salaires versés, ou moins en cas d’accord de branche)

105 Participation au financement de la formation des professions non salariées (à l’exception des artisans et des exploitants agricoles) correspondant à 0,15 % du montant annuel du plafond de la Sécurité sociale

106 Taxe d’apprentissage versements aux centres de formation d’apprentis et aux établissements publics ou privés d’enseignement technologique et professionnel

107 Taxe départementale sur les remontées mécaniques

108 Taxe d’apprentissage versements au titre de la péréquation

109 Contribution au développement de l’apprentissage

110 Taxe d’apprentissage

111 Contribution pour le financement des contrats et

périodes de professionnalisation et du droit individuel à la

formation à 0,15 % et 0,5 %

112 Taxe destinée à financer le développement des actions de formation professionnelle dans les transports routiers

113 Taxe pour le développement de la formation professionnelle dans les métiers de la réparation de l’automobile, du cycle et du motocycle

114 Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés

non bâties, pour frais de chambres d’agriculture

115 Taxe spécifique pour la Chambre nationale de la

batellerie artisanale

116 Taxe pour frais de chambres des métiers et de l’artisanat

117 Taxe pour frais de chambres de commerce et d’industrie

118 Taxe spéciale d’équipement

119 Participation des employeurs à l’effort de construction (1 % logement)

120 Cotisation des employeurs (FNAL, Fonds national d’aide au logement)

121 Taxe annuelle sur les logements vacants

122 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province

123 Taxe sur les titulaires d’ouvrages de prise d’eau, rejet d’eau ou autres ouvrages hydrauliques destinés à prélever ou à évacuer des volumes d’eau

124 Taxe d’aéroport

125 Contributions additionnelles aux primes ou cotisations

afférentes à certaines conventions d’assurance

126 Taxes de protection des obtentions végétales

127 Taxe d’abattage (remplacée par une majoration de la CVO des éleveurs)

128 Taxe sur les céréales

129 Taxe au profit de France Agrimer (anciennement affectée à l’Ofimer)

130 Redevances perçues à l’occasion des procédures et formalités en matière de propriété industrielle ainsi que de registre du commerce et des sociétés, établies par divers textes

131 Majoration de 10 % du montant maximum du droit fixe de la taxe pour frais de chambres de métiers

132 Contribution annuelle des distributeurs d’énergie électrique en basse tension

133 Taxe pour le développement des industries de l’ameublement ainsi que des industries du bois

134 Taxe pour le développement des industries du cuir, de la maroquinerie, de la ganterie et de la chaussure

135 Taxe pour le développement des industries de l’horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie et arts de la table

136 Taxe pour le développement des industries de la mécanique et de la construction métallique, des matériels et consommables de soudage et produits du décolletage, de construction métallique et des matériels aérauliques et thermiques

137 Taxe pour le développement des industries des matériaux de construction regroupant les industries du béton, de la terre cuite et des roches ornementales et de construction

138 Taxe pour le développement de l’industrie de la

conservation des produits agricoles

139 Taxe pour le comité professionnel des stocks

stratégiques pétroliers

140 Droit annuel de francisation et de navigation en Corse ;droit de passeport en Corse

141 Redevance due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente et saisonnière

142 Taxe applicable lors du renouvellement des autorisations de travail aux travailleurs étrangers

143 Droits gradués des greffiers des tribunaux de commerce (inscription des privilèges et sûretés)

144 Contribution spéciale versée par les employeurs des étrangers sans autorisation de travail

145 Taxe perçue à l’occasion de la délivrance du premier titre de séjour

146 Taxes sur les primes d’assurance

147 Contribution au fonds national de gestion des risques en agriculture

148 TVA brute sur les produits pharmaceutiques (commerce de gros)

149 TVA brute sur les tabacs

150 Contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité des sociétés

151 Droits de consommation sur les tabacs (cigares)

152 Taxe annuelle sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces

de stationnement annexées à ces catégories de locaux perçue dans la région Île-de-France

153 Taxe sur les salaires

154 Taxes sur les nuisances sonores aéroportuaires

155 Taxes sur les primes d’assurance automobile

156 Contribution de solidarité sur les billets d’avion

157 Taxe affectée au Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes

158 Taxe perçue lors de la mise sur le marché de médicaments vétérinaires, ainsi qu’une taxe annuelle pour certaines

autorisations ou enregistrements

159 Taxe pour l’évaluation et le contrôle de la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et à leurs adjuvants mentionnés à l’article L. 253-1 du code rural et de la pêche maritime et aux matières fertilisantes et supports de culture

160 Taxe applicable aux demandes de validation d’une attestation d’accueil

161 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en Île-de-France

162 Contribution sociale sur les bénéfices

163 Contribution pour frais de contrôle

164 Droits de timbre sur les passeports sécurisés

165 Taxe spéciale sur les huiles végétales, fluides ou concrètes, destinées à l’alimentation humaine

166 Cotisations (normale et supplémentaire) des entreprises cinématographiques

167 Taxe sur les spectacles

168 Taxe sur les spectacles de variétés

169 Taxe sur l’édition des ouvrages de librairie

170 Taxe sur les appareils de reproduction ou d’impression

171 Redevance d’archéologie préventive

172 Taxe additionnelle aux droits d’enregistrement et à la

taxe de publicité foncière perçus au profit des départements

173 Redevances pour pollution de l’eau, modernisation des réseaux de collecte, pollutions diffuses, prélèvement sur la ressource en eau, stockage d’eau en période d’étiage, obstacle sur les cours d’eau et protection du milieu aquatique

174 Taxe sur les passagers maritimes embarqués à destination d’espaces naturels protégés

175 Droit de francisation et de navigation

176 Taxe sur les boues d’épuration urbaines ou industrielles

177 Redevances biocides

178 Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes

179 Taxe intérieure sur les consommations de gaz naturel

180 Taxe intérieure de consommation sur les houilles, lignites et cokes

181 Octroi de mer

182 Contribution sur la cession à un service de télévision

des droits de diffusion de manifestations ou de compétitions sportives

183 Taxe due par les concessionnaires d’autoroutes

184 Droit de sécurité

185 Cotisation pêche et milieux aquatiques

186 Redevances cynégétiques

187 Prélèvement sur le produit des primes ou cotisations

additionnelles relatives à la garantie contre le risque de

catastrophes naturelles

188 Taxe sur les installations nucléaires de base

189 Contribution perçue au profit de l’Institut national de

prévention et d’éducation pour la santé (INPES)

190 Taxe sur les résidences secondaires

191 Taxe spéciale d’équipement pour la région Île-de-France

192 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations

nucléaires de base Recherche

193 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations

nucléaires de base Accompagnement

194 Taxe additionnelle à la taxe sur les installations

nucléaires de base Diffusion technologique

195 Produits des jeux exploités par la Française des Jeux

196 Taxe annuelle d’habitation sur les résidences mobiles  terrestres

197 Droit de licence sur la rémunération des débitants de tabacs

198 Contribution sociale sur les bénéfices

199 TVA brute collectée sur les producteurs de boissons alcoolisées

200 Taxe sur les appareils automatiques

201 Droit sur les produits bénéficiant d’une appellation d’origine ou d’une indication géographique protégée

202 Taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché

203 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux mis sur le marché français

204 Droit progressif sur les demandes d’autorisation de mise sur le marché de médicaments

205 Taxe annuelle due par tout laboratoire public ou privé d’analyses de biologie médicale (CNQ)

206 Taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale (taxe essais cliniques)

207 Taxe additionnelle à la taxe sur les demandes d’autorisation de recherche biomédicale

208 Taxe sur les demandes de visa ou de renouvellement de visa de publicité et sur les dépôts de publicité pharmaceutique

209 Droit sur les inspections menées en vue de la délivrance du certificat de conformité mentionné à l’article L. 5138-4 du code de la santé publique

210 Contribution forfaitaire due par les employeurs de main-d’œuvre permanente

211 Droits fixes des greffiers des tribunaux de commerce

212 Contribution de solidarité en faveur des travailleurs privés d’emploi

213 Taxe de renouvellement (et fourniture de duplicatas) du titre de séjour

214 Taxe applicable aux documents de circulation pour étrangers mineurs

215 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère permanente

216 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère temporaire

217 Taxe due par les employeurs de main-d’œuvre étrangère saisonnière

218 Taxe sur le prix des entrées aux séances organisées dans les établissements de spectacles cinématographiques

219 Taxe sur les services de télévision

220 Taxe sur les ventes et les locations de vidéogrammes

destinés à l’usage privé du public (taxe vidéo et VOD)

221 Taxe et prélèvements spéciaux au titre des films pornographiques ou d’incitation à la violence

222 Taxe sur les contributions patronales au financement de la prévoyance complémentaire

223 Contribution des organismes de protection sociale complémentaire à la couverture universelle complémentaire du risque maladie

224 Contribution solidarité autonomie

225 Contribution sur les avantages de préretraite d’entreprise

226 Contribution sur les indemnités de mise à la retraite

227 Contributions patronales et salariales sur les attributions d’options (stock-options) de souscription ou d’achat des actions et sur les attributions gratuites

228 Taxe portant sur les quantités de farines, semoules et gruaux de blé tendre livrées ou mises en œuvre en vue de la consommation humaine

229 Contribution annuelle au Fonds de développement pour l’insertion professionnelle des handicapés (FIPH)

230 Contribution des employeurs publics au Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP)

231 Contributions additionnelles de 1,1 % au prélèvement de 2 % sur les revenus du patrimoine et les produits de placements

232 Contribution sur les régimes de retraite conditionnant la constitution de droits à prestations à l’achèvement de la carrière du bénéficiaire dans l’entreprise

233 Taxe d’équipement

234 Droits de consommation sur les tabacs (autre tabacs à fumer)

235 Taxe sur les véhicules de société

236 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat chambre de métiers de la Moselle

237 Taxe pour frais de chambre de métiers et de l’artisanat chambre de métiers d’Alsace

238 Taxe pour la gestion des certificats d’immatriculation des véhicules

240 Taxe additionnelle à la taxe annuelle sur les médicaments et les produits bénéficiaires d’une autorisation de mise sur le marché (AMM)

241 Droit progressif sur l’enregistrement des produits homéopathiques

242 Taxe annuelle relative aux dispositifs médicaux et sur les dispositifs médicaux de diagnostic « in vitro » mis sur le marché français

243 Enregistrement des médicaments traditionnels à base de plantes

244 Contribution visée au II de l’article 8 de l’ordonnance no 2003-1213 du 18 décembre 2003

245 Majoration de la taxe de séjour pour les logements haut de gamme

246 Taxe de voirie

247 Taxe sur les ventes et locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (TCA)

248 Péréquation entre organismes de logement social

249 Contribution sur les mises jouées sur les paris sportifs en ligne de la Française des jeux et des nouveaux opérateurs agréés

250 Redevance destinée à financer les missions de service public confiées aux sociétés de courses

251 Prélèvement affecté au Centre des monuments nationaux

252 Taxe sur les jeux en ligne

253 Contribution tarifaire d’acheminement

254 Droit dû par les entreprises ferroviaires pour l’autorité de régulation des activités ferroviaires

255 Imposition forfaitaire sur le matériel roulant circulant sur le réseau de transport ferroviaire et guidé géré par la RATP

256 Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires en Île-de-France

257 Taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et immeubles bâtis résultant de la réalisation d’infrastructures de transport collectif en site propre ou d’infrastructures ferroviaires hors Île-de-France

258 Contribution additionnelle aux prélèvements sociaux mentionnés aux articles L. 245-14 et L. 245-15 du code de la sécurité sociale

259 Contribution de 0,1 % assise sur les rémunérations retenues pour l’assiette de la taxe d’apprentissage

260 Redevance sanitaire d’abattage

261 Taxe sur les voitures particulières les plus polluantes

262 Redevances (pollution et prélèvements) au profit des agences de l’eau

263 Prélèvements sur les jeux d’argent inscrits aux art. L. 137-19 à L. 37-22 du code de la sécurité sociale

264 Versement de transport dû par les entreprises de plus de 9 salariés implantées en province

265 Redevance sanitaire de mise sur le marché de produits de pêche et de l’aquaculture implantées en Île-de-France

266 Redevance sanitaire de transformation de produits de pêche et de l’aquaculture.

lundi 19 novembre 2018

Avanti o popolo, alla riscossa, giubbotti gialli ?



Comment les médias discréditent les Gilets jaunes

Par Phoebe Ann Moses.
Plutôt silencieux aujourd’hui, le gouvernement tente de faire face à la marée « gilets jaunes » qui s’abat sur la France. Mais le travail qui a été fait en amont porte plus ou moins ses fruits : de très nombreux médias ont relayé complaisamment le message gouvernemental qui consiste à diviser pour mieux régner.

Discrédit des Gilets jaunes dans la presse

« Gilets jaunes, qui sont les meneurs ? » titre FranceInfo« Gilets jaunes, que risquent-ils ? »… du même FranceInfo. RTL tente de mettre sous les projecteurs les anti-gilets jaunes, faisant valoir qu’on ferait mieux de s’intéresser au réchauffement climatique.
Et voilà qu’on assiste à une opposition Gilets jaunes contre Gilets bleus. Les méchants qui veulent du carburant pour polluer, et les gentils qui pensent à la planète et à l’avenir de leurs enfants… en occultant totalement le fait que les taxes et les impôts atteignent des sommets pour rembourser une dette… qui sera laissée à leurs enfants, dont les impôts promettent d’être encore plus élevés que les leurs.
Le HuffingtonPost analyse de manière très poussée (et poussive) le choix symbolique du jaune comme couleur de la révolte. Article dans lequel vous n’apprendrez pas, évidemment, que ce choix est surtout lié à la présence obligatoire, sous peine d’amende, du gilet de ladite couleur dans la boîte à gants de votre véhicule…

Des analyses surréalistes

20Minutes propose deux analyses très étonnantes dans un article : « Gilets jaunes : Et si l’argumentaire autour des manifestations du 17 novembre était un peu foireux ? ». La parole est donnée à deux « experts » dont le CV donne le tournis : « Un économiste de Tours et un expert en mobilité de Lille ».
Ils démontent deux arguments avec une facilité déconcertante : non le prix des carburants n’a pas augmenté, puisque votre voiture est plus performante que dans les années 70. Vous pouvez donc rouler beaucoup plus loin avec la même somme à la pompe… Quel éloge du progrès fait par… les entreprises privées !
L’autre « expert » explique, lui, que ce ne sont pas les pauvres qui habitent loin de leur lieu de travail. Ce sont des riches. Qui peuvent se payer le luxe de consommer du carburant. Ou comment donner un nouveau petit coup de pouce à la lutte des classes…
Bien sûr, les pauvres des campagnes vont encore acheter le lait à la ferme à bicyclette…
Selon Le Monde, dans une analyse assez éloignée des réalités, la révolte est nourrie par la suppression de l’ISF. Mais elle n’a rien à voir avec l’Ancien Régime où « était le règne de l’arbitraire et les inégalités fiscales étaient criantes ». Le Monde sait-il au moins que les impôts et les cotisations sociales d’un député n’ont pas exactement le même mode de calcul que ceux d’un indépendant ou d’un salarié ?

Et pendant ce temps-là, les syndicats…

L’absence de soutien des syndicats montre quant à elle que leur survie est bel et bien liée à l’argent collecté par l’État auprès de ses vaches à lait. Philippe Martinez tente de demander une hausse du SMIC : réclamation totalement nulle et non avenue puisque c’est exactement cela qui entraîne une hausse du chômage. Ce ne sont pas quelques euros qui résoudront le problème d’une France en état de coma économique dépassé.
L’argument de l‘entrave à la circulation a aussi beaucoup occupé le discours médiatique. On s’étonnera –ou pas– que ces mêmes médias ne s’en préocuupent guère les jours où la SNCF bloque le pays.
Les communications très médiatiques du gouvernement auront surtout comme conséquence d’attiser les rancoeurs entre les citoyens jaunes et les autres, et de les détourner de leur cible légitime. Une méthode éprouvée et parfois efficace. « Qu’ils mangent de la brioche », avec quelques piécettes lancées, comme un chèque carburant, pourrait bien ne pas les rassasier…

voir aussi

Carton jaune pour Macron

Samedi dernier, le mouvement des Gilets Jaunes a donc bel et bien rassemblé des centaines de milliers de Français, tous d’accord pour protester contre – au départ – les taxes trop élevées sur les carburants puis la pression fiscale dantesque qui s’abat sur une partie croissante de la population.
S’il est probablement un peu tôt pour en tirer un bilan politique (il faudra plusieurs semaines voire plusieurs mois pour voir comment le gouvernement réagira à la mobilisation observée), on peut néanmoins évoquer quelques points saillants de ces manifestations. 
Dans ces derniers, on ne pourra passer leur bilan purement humain : avec plus d’une douzaine de blessés graves et une personne décédée, ce mouvement rappellera qu’à mesure que les positions des uns et des autres se feront plus radicales, les débordements et les issues douloureuses se feront plus fréquentes. Or, tout indique malheureusement que cette radicalisation n’est pas finie. Il n’est pas impensable d’imaginer tout en souhaitant le contraire que, si d’autres mouvements devaient voir le jour prochainement en France, leur violence ira probablement crescendo. 
Un autre élément, plus traditionnel et plus convenu dans ce genre d’événements, est l’éternelle bataille de chiffres entre les participants d’un côté et les institutions de l’autre. Comme on pouvait s’y attendre, on aboutit à une évidente minimisation des chiffres officiels, même s’il faut reconnaître la difficulté d’en collecter de solides : le nombre de points d’action est en pratique mal connu, les forces de l’ordre n’y ont pas toujours été présentes ; le recensement semble délicat et de toute façon sera sujet à caution. 
Quoi qu’il en soit, aboutir à 300.000 personnes et 2000 points nous donne 150 personnes par point de blocage en moyenne… Certaines photos laissent planer le doute sur ce genre de résultats officiels. Là encore, il n’est pas complètement invraisemblable d’imaginer qu’il y a eu, en réalité, bien plus de participants à ce mouvement. Du reste, si l’on se rappelle qu’il était soutenu à plus de 70% par la population, on aura du mal à imaginer qu’il arrive à moins mobiliser que certaines manifestations syndicalistes et traditionnelles, très catégorielles, qui n’ont jamais eu ce genre de soutien et dont la participation officielle était pourtant supérieure à 280.000 péquins. En outre, au contraire des mots d’ordre de beaucoup d’autres mouvements, celui des Gilets Jaunes, essentiellement basé sur une colère fiscale, touche à l’évidence et directement un public beaucoup plus large. 
En terme d’impact réel sur le pays, il sera difficile d’aboutir à une conclusion. Le temps sera nécessaire pour se former une idée. En tout cas, l’élite parisienne et des grandes villes, bien à l’abri de l’utilisation forcée de la voiture, continue à déverser condescendance et mépris sur la classe populaire qui n’a, elle, pas le choix de se déplacer autrement qu’en automobile. Vraisemblablement, cette condescendance et ce mépris vont attiser encore un peu plus le ressentiment de cette base qui n’en peut plus d’un sommet de plus en plus éloigné des réalités de terrain. 
Maintenant, du côté du président de la République, Emmanuel Macron aurait politiquement tort de montrer le moindre signe de faiblesse. 
D’une part, les finances du pays n’autorisent en réalité aucune marge de manœuvre ; diminuer la pression fiscale maintenant alors qu’aucune diminution des dépenses n’est prévue (loin s’en faut), c’est garantir un plus gros déficit et accroître inutilement la nervosité des marchés à l’égard des emprunts de l’État français lorsque tout indique que l’année prochaine, on aura davantage besoin de leur mansuétude. En substance, le président doit montrer au reste du monde que la force reste à l’État et que le plumage peut continuer malgré les cris de souffrance du dindon. 
D’autre part, il serait délicat pour Macron de céder sur le carburant alors que, dans le même temps et dans la plus parfaite décontraction, le Sénat vient de voter une augmentation de 40% des taxes sur les complémentaires. Le moquage de visage serait par trop visible et pourrait déclencher des effets indésirables plus violents.
En pratique, tout ce que le gouvernement peut retenir de cet exercice, c’est que la pression fiscale est maintenant au point haut et que les possibilités d’augmentation directes sont à peu près épuisées. Il ne reste donc plus que les taxes indirectes, cachées et de faible montant par tête de pipe pour ménager des ressources supplémentaires à l’État obèse en pleine panique budgétaire
Certes, il y a maintenant une opportunité crédible de réformes pour l’actuel gouvernement : les partis politiques et les syndicats traditionnels n’ayant ni vu venir cette mobilisation, ni réussi à la récupérer, Macron et le reste du « sommet » pourrait tenter de lancer quelques vraies réformes de fond pour le bénéfice de la « base », en s’appuyant sur la grogne pour la justifier politiquement ; s’il existe un bon moment pour commencer les coupes claires et pour en finir avec les douzaines de dépenses inutiles depuis les associations lucratives sans but jusqu’aux aides à la presse en passant par les comités Théodule, commissions diverses et variées, administrations placard-doré et autres ministères croupions, c’est bien maintenant.
Malheureusement, la revendication la plus souvent entendue lors de ces mouvements spontanés n’a pas été, justement, une baisse drastique des dépenses de l’État, mais une modification de la fiscalité : tristement, pour l’écrasante majorité des Gilets Jaunes, il ne s’agit pas de moins taxer, mais simplement de taxer ailleurs en commençant par d’autres qu’eux.
Autrement dit, le peuple français, lorsqu’il s’exprime, continue toujours de réclamer la même largesse dans l’intervention de l’État mais entend lui poser de nouveaux objectifs sur ceux qu’il doit ponctionner.
C’est tout sauf une solution. 
C’est même une simple extension du problème, avec au mieux une modification des catégories d’individus impactés. Et c’est précisément parce que ces revendications n’ont aucun lien avec ce qu’il devient maintenant crucial de faire que Macron ne lancera aucune réforme majeure.
Dès lors, la pression fiscale ne baissera pas. Les services publics rendus ne s’amélioreront pas. La misère continuera de s’étendre. 
Ce pays est foutu.

jeudi 13 novembre 2014

Où commence la richesse et où est la justice sociale ?

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Allocations familiales : le témoignage choc d'une mère de quatre enfants

Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro
FIGAROVOX/HUMEUR - Une mère de quatre enfants, concernée par la modulation des allocations familiales, raconte son quotidien et ses difficultés à boucler les fins de mois.



J'ai beaucoup de chance. J'ai un super job, je vais être franche et parler cash, je gagne environ 4000 euros net (prime et 13e mois compris), je bosse à temps plein, et beaucoup, j'ai 4 enfants. Mon mari, il est enseignant chercheur, il gagne environ 3000 euros net. J'ai un peu honte, je ne veux pas me plaindre, pour moi, tout baigne. Et la misère, je travaille dessus tous les jours, je la voie, je la pleure. Mais dès juillet prochain, mes 460 euros d'allocations seront divisés par 2.
Mon grand-père m'a appris à bien gérer mon budget, je ne suis jamais dans le rouge, je fais des choix et avec 4 enfants, il faut en faire.
Mais depuis quelques jours, je dors mal. Pourtant, Laurence Rossignol1 nous dit sur RMC vendredi dernier que pour des gens comme moi, 460 euros d'allocations pour 4 enfants, «ça ne compte pas». Et Erwan Binet2 ajoute que pour des gens comme moi, ces allocs servent à partir faire des voyages au bout du monde alors que certains n'ont pas de quoi manger (LCP).
Dons j'ai repris mes comptes, parce que je me suis dit, pourquoi moi, qui suis donc riche, je n'arrive pas à partir au bout du monde avec mes allocs et j'attends mes 460 euros avec impatience chaque mois?
Bon, d'abord, c'est simple, il faut se loger à 6 en région parisienne. J'ai donc emprunté beaucoup d'argent pour les 25 prochaines années, je rembourse chaque mois 2700 euros pour 100m² en très proche banlieue parisienne. Je sais, j'aurais pu acheter un appartement plus loin de Paris, moins sympa, c'est vrai. Mais plus loin, ça veut dire plus de baby-sitter et voir moins mes enfants. Et puis, j'avais fait mes calculs, nous ne sommes pas dépensiers, je pouvais mettre environ 500 euros de côté chaque mois avec cet emprunt; alors on s'est lancé, il faut prendre des risques dans la vie me suis-je dit.
A cela s'ajoute les frais de garde des enfants: 360 euros de crèche (j'ai la chance d'avoir eu une place!), 400 euros de baby-sitter (après déduction d'impôt) et 180 euros de cantine.
Les repas, pour 6: 1000 euros par mois ; on essaye de manger des légumes, c'est le ministère de la santé qui le dit.
Ajoutons les charges du syndic de l'immeuble: 130 euros (beaucoup plus quand il faut faire des travaux dans cette vieille bâtisse), 2 téléphones portables et une box: 90 euros, une mutuelle 50 euros, l'assurance de la voiture 40 euros, l'assurance habitation 55 euros. Comme je travaille à temps plein avec 4 enfants, je prends une femme de ménage 2h par semaine (mon mari n'a pas la même vision que moi du ménage, ça m'économise donc un divorce): 100 euros par mois (plus les charges, moins la déduction fiscale), comptons les activités de mes enfants: 60 euros par mois.
L'impôt sur le revenu: 200 euros (grâce aux déductions des frais de garde d'enfants) et 120 euros d'impôts locaux (taxe foncière et taxe d'habitation).
Passons aux vêtements (pour 6). C'est affreux, les enfants changent chaque année de pointure donc par an, j'achète 4 paires de baskets, 4 paires de chaussures en cuir (sur Leboncoin ….) et puis 4 paires de sandales quand même car l'été, il fait chaud. Ca fait 12 paires de chaussures par an. On n'a pas parlé des manteaux d'hiver (x4), des pyjamas chaud (x4) et léger (x4), un bon pull chaud (x4), un pull léger, des pantalons qui craquent et des chaussettes perdues….
Bon disons, par mois, en vêtement, en faisant les soldes, 100 euros pour 4 enfants.
Un cadeau de noël par an et un cadeau d'anniversaire (x4)? Le coiffeur x6 (j'ai longtemps coupé les cheveux de mes garçons mais après une erreur de rabot, ils vont chez le coiffeur: 10 euros pour les garçons), les transports x6, le train ou l'essence et le péage pour aller chez leurs grands-parents chaque vacances car je travaille: 200 euros.
Par chance, on ne fume pas. Par chance, nos parents ont des maisons à la campagne, et on a décidé de s'inscrire sur un site d'échange d'appartement l'an prochain, quand notre appart sera fini. Car par obligation, on a acheté un appartement avec tout à refaire, c'était moins cher donc on fait régulièrement des travaux, quelques litres de peinture, une fenêtre qui empêche mes enfants de geler l'hiver dans leur chambre. 200 euros par mois en ce moment. Ajoutons l'électricité et le gaz: 150 euros.
J'entrerai dans le détail, je vous dirais que mon mari donne ses cours dans le sud et paye donc lui-même ses billets de train chaque semaine: 300 euros.
Bon, si mes calculs sont exacts, nous sommes autour de 6500 euros de dépenses environ, ajoutons que je touche 460 euros d'alloc ; mais vous remarquerez que je ne me suis pas achetée de vêtement et mon mari non plus, une sortie, un musée (6 entrées)? Ou passe le reste de l'argent? je ne sais pas, ce mois-ci, c'est l'ordinateur familial qui a rendu l'âme, le mois prochain, il faudra changer les pneus de notre voiture, ensuite il y a Noël et en janvier, mon mari part 15 jours donner des cours à l'étranger, j'aurai beaucoup de baby-sitter à payer. Tout cela fait qu'au plus, nous mettons 500 euros de côté par mois, et souvent moins. C'est beaucoup mais c'est peu pour des riches qui ne vont pas au restaurant, et qui ne voyagent pas!
Bref, comme je suis une bonne gestionnaire, que je n'ai jamais été dans le rouge, et que ce mois-ci, j'ai mis 200 euros de côté (rentrée oblige, même si mes enfants sont dans le public, n'en déplaise à M. Binet!), je me suis réveillée cette nuit, en me disant que l'an prochain, avec 230 euros d'allocs en moins, je devrais piocher dans mes économies. Mon grand-père disait toujours qu'il fallait être fier de payer beaucoup d'impôt. Il disait aussi que bien gérer quand on a une grande famille, c'est capital. Devais-je emprunter en prévoyant la hausse des impôts et la baisse des allocs? Le gouvernement avait promis que les hausses d'impôt, c'était fini, je ne pouvais pas savoir que l'an prochain, il me retirerait 2760 euros sur un an, quasiment un mois de salaire de mon mari.
Bien sûr, je n'aurais pas fait moins d'enfant si je l'avais su, mais je n'aurais pas acheté cet appartement peut-être. Bien sûr, je veux donner plus à ceux qui ont moins mais j'espère pouvoir payer plus tard les études de mes 4 enfants. Et faire des projets?
Le gouvernement change les règles au beau milieu du jeu, nous avons des emprunts, à la mesure de ce que nous gagnons. Alors, je ne veux pas faire pleurer dans les chaumières, je veux bien payer s'il le faut mais je ne veux plus jamais entendre que je me moque de perdre la moitié de mes allocs, c'est une insulte à toutes les familles nombreuses comme la mienne, qui sont, elles, de bonnes gestionnaires.

Liens:

  • 1 http://plus.lefigaro.fr/tag/laurence-rossignol
  • 2 http://plus.lefigaro.fr/tag/erwan-binet
  • 3 http://www.lefigaro.fr/vox/economie/2014/10/23/31007-20141023ARTFIG00157-allocations-familiales-plafonner-les-prestations-oui-mais-les-cotisations-aussi.php
  • 4 http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/10/17/01016-20141017ARTFIG00400-avec-la-modulation-des-allocations-familiales-nous-allons-perdre-6000-euros-par-an.php
  • 5 http://www.lefigaro.fr/vox/economie/2014/10/09/31007-20141009ARTFIG00236-et-si-on-soumettait-les-allocations-familiales-a-l-impot-sur-le-revenu.php
  • 6 http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/09/27/20002-20140927ARTFIG00101-conge-parental-comment-cela-se-passe-ailleurs-en-europe.php