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samedi 23 mars 2024
dimanche 28 juin 2020
L'ASSERVISSEMENT DES INDIVIDUS SOUS PRÉTEXTE DE LEUR LIBÉRATION DE TOUTE ENTRAVE GÉNÉRÉE PAR LES LIENS SOCIO-CULTURELS
L’escroquerie de la prétendue « fraude au nom légal »

L’analyse des tenants et des aboutissants de cette supercherie laisse apparaître qu’elle n’est pas si anecdotique que ça…
Valérie Bugault est docteur en droit privé de l’université Panthéon-Sorbonne et avocate. Depuis 2009, elle a cessé ses activités d’avocate pour se consacrer à la diffusion auprès du public du résultat de ses nombreux travaux de recherches. Elle est aujourd’hui analyste de géopolitique (économique, juridique et monétaire) et conférencière. Ses sujets de recherche sont les institutions – nationales et internationales – la monnaie, l’entreprise, le droit et le fonctionnement de l’économie globale.
Elle est auteur de quatre livres, récemment publiés aux éditions Sigest :
– « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », co-écrit avec feu Jean Rémy, publié en juin 2017
– « La nouvelle entreprise », publié en juillet 2018
– « Les raisons cachées du désordre mondial », recueil d’articles, publié le 30 mars 2019
– « Demain dès l’aube… le renouveau », publié en septembre 2019
Elle est auteur de quatre livres, récemment publiés aux éditions Sigest :
– « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », co-écrit avec feu Jean Rémy, publié en juin 2017
– « La nouvelle entreprise », publié en juillet 2018
– « Les raisons cachées du désordre mondial », recueil d’articles, publié le 30 mars 2019
– « Demain dès l’aube… le renouveau », publié en septembre 2019
Une certaine faction, en provenance du Canada, voudrait nous faire avaler la farce appelée « fraude au nom légal » afin de justifier la disparition de l’État et, un pas plus loin, celle de l’identité même des individus. Car nous allons voir que cette escroquerie aurait ainsi pour effet ultime que les individus, pour se libérer de l’état civil et de l’Etat, devraient abandonner leur filiation afin d’échapper à une prétendue fraude consistant à les considérer comme du « capital » dès leur naissance.
Les tenants et les aboutissants civilisationnels de l’escroquerie appelée « fraude au nom légal »
Il y a, derrière cette escroquerie, tout un fatras d’idées toutes aussi saugrenues les unes que les autres et mélangeant, selon la méthodologie habituelle des globalistes, les vraies et les fausses informations.
D’un côté on constate que les États, entités de droit public, sont réellement inscrits en tant qu’entités commerciales sur des registres du commerce anglo-saxon, ce qui a pour effet de leur dénier toute vocation politique. D’un autre côté on veut nous faire croire que l’institution de l’état civil est initialement corrompue et aurait pour effet de nous mettre en esclavage en faisant passer les humains, dès leur naissance, pour du capital. Ce mélange de vrai et de faux, a pour objectif ultime de laisser croire aux individus que l’état civil lui-même est frauduleux ; la conclusion qui s’impose naturellement serait donc, dans l’idéal, de renoncer au susdit état civil et donc à son nom et à sa filiation.
Tiens, comme c’est curieux… cela nous rapproche furieusement de l’objectif globaliste qui tend à faire perdre aux individus leur identité culturelle et personnelle, afin de mieux les contrôler. Car il est plus simple de contrôler un individu isolé de toute histoire, disposant dès lors d’une volonté très amoindrie, qu’un individu rattaché fermement à un groupe humain et à une histoire personnelle et collective.
Dans cet ordre d’idées, la distanciation entre l’état civil des individus ainsi que leur mise sous tutelle commerciale a déjà des antécédents juridiques dans nos pays, anciennement régis par le droit continental. Citons pêle-mêle : la légalisation des méthodes de PMA, de GPA, la survalorisation des droits (et non des devoirs !) de catégories sociales telles que les femmes, les enfants… Les droits sont ainsi toujours appelés en renforts pour mettre en œuvre l’isolement social ; une supercherie consistant à faire appel aux instincts primaires des individus pour les isoler et ainsi atomiser le groupe social lui-même.
C’est précisément cette méthode qui a été utilisée par les banquiers commerçants qui ont, au moment de la Révolution de 1789, mis en avant les droits et libertés individuelles, aujourd’hui appelés Droits de l’Homme, pour mieux faire disparaître la notion de groupe et d’intérêts de groupe. Seule l’exaspération juridique des droits individuels a pu faire oublier que ces derniers n’avaient de valeur que dans le cadre d’un groupe constitué, qu’il aurait fallu préserver ! La méthode, très efficace, a fait ses preuves : on exacerbe des sentiments individualistes tout en organisant la disparition de leur pertinence ! Car on sait ce que l’exacerbation des prétendus « droits individuels » recoupe : une mise en esclavage forcée de l’humanité au profit des dominants économiques ; le monde rêvé des globalistes ! Le « droit » isole pendant que le « devoir rassemble ».
Cet état d’esclavagisme légal par la mise en œuvre de la servitude volontaire via l’exacerbation des « droits individuels » passe par la disparition de l’histoire collective et de l’histoire individuelle. Ainsi, chacun aura remarqué que la disparition des enseignements historiques chronologiques, quelles que soient les matières (y compris dans les sciences dites dures), est maintenant acté par les pouvoirs publics français, lesquels suivent, et même souvent devancent, les lignes de conduites émanant des « instances » internationales contrôlées par les globalistes.
Quant à la disparition de l’histoire individuelle, elle aura pour point d’aboutissement le transhumanisme et se contente aujourd’hui de la légalisation, à marche forcée, de la marchandisation du corps, des produits du corps humain et plus généralement du vivant. Le prétendu État français – seule sa coquille persiste, vidée de toute substance politique réelle – met, une fois de plus, beaucoup de zèle à traduire en terminologie légale, à la mode règlementaire des pays anglo-saxons dominants, l’esclavagisme des individus sous prétexte de leur libération de toute entrave générée par les liens socio-culturels.
Le Canada, origine géographique de la prétendue « fraude au nom légal »
Il faut bien comprendre que l’escroquerie juridique, appelée « fraude au nom légal » vient d’un pays à cheval entre deux cultures : le Canada. Baigné dans le contexte commercialiste véhiculé par le « droit » anglo-saxon, ce pays se souvient vaguement, ou espère vaguement se souvenir, qu’il est possible de concevoir le monde autrement que par le prisme commercialiste déformant. C’est sur un tel substrat culturel que les globalistes ont pu imaginer ce plan, qu’il faut se résoudre à qualifier de diabolique, consistant – une fois de plus – à exploiter l’ignorance et la crédulité publique, afin de faire avancer leur double agenda globaliste consistant à valider :
- L’isolement des individus, réduits à la portion congrue de quasi seuls tubes digestifs aptent à engloutir du sucre et des produits toxiques. Les organes génitaux devenant de simples outils de jouissance, elle-même de plus en plus virtuelle, ce qui permet de contrôler au mieux la démographie tout en laissant aux individus l’illusion de la liberté et du libre choix ;
- La décrédibilisation des États, qui légitimera leur disparition ultérieure.
Une fois de plus, nous nous trouvons, avec cette histoire rocambolesque dite de « fraude au nom légal », dans une situation d’ingénierie sociale consistant à mêler le vrai et le faux tout en validant l’hégémonie anglo-saxonne et la disparition du concept de droit, véhiculé par le seul droit continental, lequel est dès lors relégué aux oubliettes de l’histoire. En l’occurrence, avec cette « fraude au nom légal », les globalistes font avancer leur projet de déconstruction de l’histoire et de disparition du concept même de « civilisation ». Car Histoire et Civilisation supposent – ce sont des conditions sine qua non – une identification claire et précise des individus, seule à même de valider l’existence et la viabilité d’une vie collective effective.
Il convient d’insister sur le fait que par cette prétendue « fraude au nom légal », les tenants du système britannique identifient le « patronyme », issu de l’état civil des personnes, avec la notion de « personne morale » pour prétendre à la fictivité intégrale de toutes les entités juridiques. Confondre personne physique et personne morale est une très grave ignorance des processus de formation du droit car cela revient à confondre abstraction et fictivité ! C’est aussi une manipulation de la psyché humaine dans le sens du nihilisme.
Si la personne morale est une réelle fictivité juridique, inventée de toute pièce pour les besoins du commerce – surtout pour ceux des banquiers-commerçants – le patronyme ne relève pas, et n’a historiquement jamais relevé, d’une quelconque fictivité juridique. Il s’agit d’un processus d’identification, relevant d’une abstraction, comme le langage ou la comptabilité, destinée à permettre la vie en Société, et donc le développement d’une Civilisation. Car en effet, la vie en Société suppose que les individus sachent à qui ils s’adressent. La connaissance et l’identification des êtres par rapport à leur lignée et à leurs ancêtres appartient à ce processus de mise en confiance et de connaissance qui permet l’établissements de relations sociales, fait d’échanges entre les individus. Il faut se souvenir que derrière la filiation se dessine les contours de la transmission des biens matériels et des valeurs immatérielles propres aux différentes lignées.
A cet égard, il n’est ni étonnant ni anodin de constater que le processus d’effacement de l’identification des humains selon leur lignée va de pair, en occident, avec la disparition des héritages, c’est-à-dire des biens matériels. Des individus dénués de biens matériels n’ont peu à peu plus rien à échanger. Il ne leur restera finalement qu’à offrir à leurs maîtres leur force de travail. Ce qui nous ramène, une fois de plus, au brevet déposé par Microsoft en juin 2019 consistant à lier l’affectation monétaire, par minage de monnaie, à une activité physique du corps humain. Nous aurons ici terminé définitivement la phase civilisationnelle de l’Occident pour valider sa disparition, qui entraînera de façon prévisible, celle du genre humain et du vivant !
La mise en cause des fondements de la civilisation occidentale par l’escroquerie appelée « fraude au nom légal »
Certains interprètes de la prétendue « fraude au nom légal » vont jusqu’à incriminer l’Église catholique, qui est en effet historiquement à l’origine de la constitution des états civils, pour prétendre qu’elle est à l’origine de la mise en esclavage commerciale des individus par l’autorisation du « certificat de naissance ». Nous atteignons ici le comble de l’ignorance et de la manipulation ! Il importe de rétablir quelques vérités historiques !
A la chute de l’empire Romain, la vie sociale a été profondément désorganisée dans les territoires anciennement régis par l’empire romain d’occident. Dans ce contexte d’extrême dénuement social, c’est l’Église catholique qui a entrepris de reconstruire la société en organisant, dans chaque village, des services d’états civils dans le même temps qu’elle réorganisait les territoires en rendant le service de la « justice », sans lequel aucune vie en société n’est possible. Ainsi, l’Église catholique, loin d’organiser le nihilisme social des globalistes d’aujourd’hui, a tout au contraire historiquement posé les fondements d’un renouveau de la vie collective et sociale. Nous sommes là aux antipodes des velléités globalistes actuelles qui veulent nous faire passer des vessies pour des lanternes en mettant le principe même de l’Église catholique au banc des accusés.
Si l’actuelle Église catholique a en effet trahi tous ses engagements historiques, ce n’était pas le cas de celle qui a suivi la chute de l’Empire romain : il faut bien prendre garde, dans ce domaine, de ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain ! Car la civilisation occidentale doit tout à l’Église catholique ! Il est également vrai que cette Civilisation devra sa très prochaine disparition à l’infiltration de l’Église catholique par les globalistes. Pour dire les choses autrement : l’actuelle disparition de la civilisation occidentale est intimement liée à la disparition de l’Église catholique, laquelle a aujourd’hui renié tous ses fondamentaux historiques pour s’imprégner, jusqu’au cou, des intérêts privés propres à la cause globaliste ; lesquels intérêts sont de nature essentiellement esclavagiste. L’Église catholique actuelle est l’antithèse de l’Église catholique qui a initié la Civilisation occidentale.
Valérie Bugault, 18 juin 2020
(source)
mardi 2 juin 2015
GPA, "GROSSESSE POUR ARGENT"
Bonne fête les mères de bât !
Une lettre de Maria Poumier sur le site LES GROSSES ORCHADES, LES AMPLES THALAMÈGES..
2015 : dans le monde entier, des femmes se font violer par des conspirateurs masqués, en blouse bleue ou verte, bien payés, et ce jusqu’à l’os, afin que leur organisme accepte de porter le bébé et les rêves de toute puissance de dératés riches du monde entier. On appelle cette nouvelle criminalité la gpa, ou « grossesse pour argent » (Farida Belghoul, celle qui a, entre autres, les mots justes).
On les appelle des mères porteuses ; nous disons des mères de bât, de mères de somme, les nées de la dernière pluie, qui n’ont pas encore pris la mesure de leur dégradation, les bafouées hors compétition, statutairement et par définition. Nous les appelons les mères porteuses de tous les péchés du monde moderne, par procuration et malédiction.
Dans le monde entier, des proxénètes prospectent les nouvelles mines d’or : des femmes pauvres pouvant faire état de leur aptitude à la maternité. Les « équipes médicales » vont les prendre en main, les enfermer, les bourrer d’hormones et de produits visant à tuer leur système immunitaire, afin qu’il héberge une petite vie, arrachée par les mêmes procédés sanguinaires à d’autres femmes, dites « donneuses d’ovocytes », ovocytes violés dans une éprouvette par des vestiges congelés de sperme issus de la masturbation à froid d’un homme quelconque, mais certainement amputé de la cervelle et du cœur.
Fin de l’aventure : nos misérables mères partielles, tronçonnées, écartelées, rongées d’avance par des cancers progammés, seront éventrées, par césarienne, on leur extirpera en vitesse le fruit de leurs entrailles, pour le livrer aux acheteurs pressés d’en finir. Et après, dehors, circulez, les voilà, vos bifetons promis, et maintenant dégagez !
C’est le sort de 80 Indiennes, immigrées plus ou moins légales au Népal, qui portaient les projets d’israélos gays, dont le gouvernement s’est mobilisé pour sauver les nouveaux-nés ou non encore livrés, mais dûment commandés : il fallait sauver à tout prix cette chair d’élection ; il fallait les faire passer avant tous les Népalais déracinés et abattus par le séisme, et bien sûr laisser sur le carreau les dépecées vivantes.
Dans le monde entier, des proxos ignobles recrutent des acheteurs à prix d’or pour leur « nouveau produit » monstrueux, fabriqué par des engrossées jetables en cdd de neuf mois.
La clientèle inclut les vendus des médias qui feront passer la pub pour le nouveau business en douce, sous couvert d’infos ou de débats « sociétaux ».
La clientèle inclut les législateurs qui adorent les dessous chics et les dessous de table.
La clientèle inclut les ministres qui ont été installées précisément là pour faciliter les choses aux dits maquereaux : chez nous, Taubira, Vallaud Belkacem, les fusibles, qui seront un jour remplacées par d’autres femmes encore plus faciles, très faciles à convaincre de faire le sale boulot sous l’étendard du « droit », de « l’égalité », du « féminisme », de la « lutte contre les discriminations ».
La clientèle inclut les couples tourmentés par leur stérilité, à qui personne n’a dit à temps qu’il faut faire des gosses à vingt ans, et non pas à quarante, que les premiers conçus ne doivent jamais être avortés parce que ce seront les bébés les plus vigoureux, et ceux qui donneront un sens à la vie de leurs parents, aussi étourdis soient-ils au moment de leur « bêtise », comme ils disent.
La clientèle inclut ces couples muets de honte et de remords et de regrets et de souffrance, abasourdis de découvrir que les soi-disant médecins spécialistes vont les rançonner sans pitié, les balader longuement, en prenant soin de les torturer savamment « pour leur bonheur de futurs parents » (taux de réussite de la pma : 15% !), avant de les expédier dans leurs propres « cliniques de fertilité » situées dans les pays frontaliers qui autorisent ce qui chez nous est interdit, ce qui d’ailleurs, soit dit en passant, est bien pratique, fiscalement parlant.
La clientèle inclut des homosexualistes complices du délire de toute puissance de marchands froids, qui leur apprennent à idolâtrer leur propre jeunesse, et à l’imaginer éternelle, et à assouvir toutes leurs angoisses par l’achat de nouveautés high tech, dont des bébés à croquer. Si bien qu’ils ne conçoivent d’autre sens à leur vie que de se faire encore plus plaisir que les autres, et d’ériger leur narcissisme-cannibalisme en absolu, en norme, sommet de la liberté pour eux, mise au pas et bâillon serré pour les autres, sous peine des foudres des gens de loi de l’Occident moisi.
La clientèle inclut les femmelettes qui laissent s’étioler et mourir en elles la part bien animale, bien saignante, bien hurlante, qui veut qu’elles soient sur terre pour transmettre la vie quoi qu’il en coûte. Elles ignorent ou veulent ignorer l’instinct maternel, elles ignorent ou veulent ignorer que c’est leur devoir à elles d’éduquer les mâles capricieux, lubriques, tyranniques, utopistes, de les ramener à la nature et à la raison.
La clientèle inclut les féministes stupides qui nous mènent au suicide collectif en répétant fièrement que leur corps leur appartient. Et leurs âmes ? Et nos âmes, elles devraient donc appartenir à Satan ?
La clientèle inclut ces grands cerveaux régnants qui voudraient bien reprendre tout le pouvoir sur Dieu, sur leur descendance, sur leurs harems, sur le monde, en mettant le grappin sur la capacité d’invention des uns, et l’appétit sans fond de boniments des autres.
La clientèle inclut tous ceux qui veulent oublier qu’ils ont eu des parents qui ont eu des parents, bref des milliers de générations acharnées à tenter d’être des pères et des mères, à qui ils doivent la vie, malgré toutes leurs faiblesses et les accidents de la vie.
La clientèle inclut … tous ceux qui ne se battent pas pour faire interdire dans le monde entier la fabrication des enfants par le pognon des labos, pour le pognon des proxos, pour le malheur des femmes et des enfants, et des vrais hommes. Signez au moins ici
Les juges suisses viennent de refuser d’entériner le fait accompli devant lequel notre ministre de la justice veut nous faire plier la nuque : les enfants nés de mères porteuses en violation des lois du pays des parents acheteurs garderont la nationalité de leur mère sacrifiée : http://www.aleteia.org/fr/societe/actualites/gpa-la-suiss...
mardi 28 octobre 2014
lundi 6 octobre 2014
MANIF POUR TOUS : plus de 500 000 manifestants… ßon, mais…
- Abolition universelle de la GPA – Gestation Pour Autrui, c’est à dire les mères porteuses
- Retrait de la circulaire Taubira qui organise le contournement de l’interdiction de la GPA
- Non aux conséquences de la loi Taubira : PMA pour les couples de femmes et GPA
- Non à la confusion des genres à l’école : retrait du plan soit disant « égalité »
- Retrait des projets anti-familles : réduction du congé parental, prime de naissance divisée par trois, baisse de l’allocation de complément de mode de garde, baisse du quotient familial
Bon, tout cela est bien beau mais… si vous voulez défendre vraiment la famille, il faudrait un peu moins se préoccuper des unions homosexuelles qui veulent jouer à la poupée, et se mettre à faire des enfants, de nombreux enfants ! parce que, faut-il le rappeler :
« l’accroissement naturel annuel des citoyens de l’Union européenne (soustraction des décès des naissances) n’est, pour les quinze pays d’avant l’élargissement, que de + 400 000, tandis que le solde migratoire annuel est de l’ordre de +1,6 millions de personnes. Autrement dit, l’immigration (légale) est quatre fois plus importante que l’accroissement naturel des citoyens européens (lequel, rappelons-le, comptabilise la natalité des immigrés arrivés les années précédentes). On peut en conclure que la population européenne est en passe d’être remplacée, sur un temps historique relativement court, par des populations non européennes. » (Extrait de: Chauprade, Aymeric. « Chronique du choc des civilisations. » Éditions Chronique)
C'EST COMPRIS ? ALORS AU BOULOT ! Et plus vite que ça !!!
vendredi 3 octobre 2014
GPA : Non à la gestation marchande mondialisée !
Sur le site Causeur.fr
GPA : Les femmes et les enfants d’abord! Non à la gestation marchande mondialisée
Posté par Claire de La Hougue le 19 Juin 2014 à 18:00 Dans Politique
Certains font actuellement un lobbying intensif pour obtenir la légalisation de la gestation pour autrui, soit directement, soit indirectement à travers la reconnaissance de la filiation d’enfants nés d’une mère porteuse à l’étranger. Pourtant, cette pratique est incompatible avec les valeurs fondamentales de notre civilisation, donc contraire au droit tant français qu’international.
Quelles que soient l’affection ou les capacités éducatives des « parents intentionnels », l’enfant né de GPA est remis à autrui par sa mère ou par des intermédiaires contre rémunération ou tout autre avantage, ce qui est la définition de la vente d’enfant, interdite « à quelque fin que ce soit et sous quelque forme que ce soit » par la Convention relative aux droits de l’enfant. Certains prétendent promouvoir une GPA éthique. Même dans ce cas, l’enfant est l’objet d’une convention et on dispose de lui. La faculté de disposer d’un bien est un attribut du droit de propriété, or en droit international, la « condition d’un individu sur lequel s’exercent les attributs du droit de propriété ou certains d’entre eux » s’appelle l’esclavage.
Les enfants issus d’une gestation pour autrui peuvent avoir jusqu’à six « parents » : les parents génétiques (donneurs d’ovocyte et de sperme), la mère porteuse, son mari en vertu de la présomption de paternité et enfin les « parents intentionnels ». Leur filiation est manipulée au point qu’il leur est difficile de savoir qui ils sont. Ils sont conçus dans le but d’être abandonnés, ce qui constitue une grande violence, cause de souffrance et d’insécurité. Pourtant, selon la Convention relative aux droits de l’enfant, « Les Etats parties s’engagent à respecter le droit de l’enfant de préserver son identité » et « prennent toutes les mesures appropriées pour protéger l’enfant contre toute forme de violence (…) ou d’abandon ».
[…]
La mortalité maternelle restant élevée dans certains pays, les décès de mères porteuses ne sont guère rapportés par les médias. Deux affaires ont cependant été rendues publiques en Inde en 2012. En mai, une femme est décédée après avoir mis au monde un enfant pour un couple américain. Elle avait deux enfants, restés orphelins [3]. A l’automne, une autre est morte [4] à cause d’une hépatite contractée pendant la grossesse. Les atteintes à la vie et la santé de la mère ne sont pas réservés aux pays en développement. Au Royaume-Uni en 2005, une mère porteuse est morte en couches [5]. Une autre a été sauvée de justesse [6] aux Etats-Unis en 2011.
[…] LIRE L'ARTICLE INTÉGRAL ICI
dimanche 3 août 2014
Un couple australien abandonne un bébé trisomique à sa mère porteuse thaïlandaise
Un couple australien abandonne un bébé trisomique à sa mère porteuse thaïlandaise | euronews, monde
Le petit Gammy est au cœur d’une histoire dramatique. Ce bébé souffre de trisomie 21 et d’un grave problème cardiaque. Contrairement à sa sœur jumelle bien portante, ses parents australiens ont décidé de l’abandonner à sa mère porteuse thaïlandaise qu’ils avaient engagée.
Pattaramon Chanbua, 21 ans est sous le choc. “Le garçon, c’est la faute des adultes et pourquoi doit-il endurer quelque chose comme ça ? Ce n’est pas de sa faute. Pourquoi doit-il être abandonné quand l’autre bébé a été pris en charge ?” Pattaramon Chanbua qui a déjà deux enfants de 3 et 6 ans avait accepté d‘être mère porteuse en échange de plus de 10.000 euros, pour pouvoir payer l‘éducation de ses enfants et rembourser ses dettes.
L’abandon du petit Gammy suscite une vive polémique en Australie et elle a conduit Tony Abbott, le Premier ministre australien à réagir. “Je suppose que cela illustre les dangers liés à ce type d’action. C’est une très, très, très triste histoire et je déteste penser qu’un enfant puisse être abandonné comme ça”.
Une collecte de fonds sur internet a été lancée en faveur de Gammy. Hier, elle atteignait plus de 67 000 euros.
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dimanche 29 juin 2014
LE VENT SOUFFLE OÙ IL VEUT (Jean 3:8)
S'AGIT-IL ICI D'UNE VOLONTÉ DE L'ESPRIT SAINT ?
Plus de 20 mille personnes ont assisté à l'audience du mercredi avec l'évêque de Rome, qui a fait sa tournée en papamobile et a perdu de manière insolite sa calotte, à cause d'un fort vent.
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mardi 4 février 2014
CE QUE PEUT DEVENIR LA MANIF POUR TOUS... par Guillaume Bernard
"Dans le cas plus particulier de la Manif pour tous, ce qui a fait sa force, c’est qu’elle a su rassembler des personnes aux appartenances partisanes diverses qui ont mis leurs différences de côté pour, ensemble, défendre une cause et agir sur l’ensemble de la classe politique. Sa force politique (autre que sa capacité à réunir des foules) ne se réalisera concrètement que si elle refuse tout compromis avec l’ensemble des partis politiques. Elle ne doit se rallier à aucun d’eux car elle aurait tort de croire qu’elle peut attendre autre chose d’un parti qu’une volonté de canaliser électoralement ses sympathisants (par exemple, en offrant des postes à ses « anciens » cadres). Croire qu’elle pourra faire de l’entrisme, obtenir la reconnaissance de ses revendications en « plaçant » certains de ses membres dans un parti, c’est ne pas connaître le fonctionnement (cynique) de la vie politique. Hors mis le cas de personnalités (nationales ou locales), un candidat a besoin, pour être élu, d’une étiquette. Des cadres de la Manif pour tous l’obtiendront sans grandes difficultés, en particulier s’il s’agit d’un scrutin de liste (chaque parti devant avoir des représentants des différents créneaux électoraux). Le « piège » se refermera alors sur eux. Car, pour être réélus, il leur faudra l’investiture du parti qu’ils n’obtiendront, cette fois, qu’en acceptant de mettre leurs idées trop « clivantes » dans leur poche. Pour faire grandir son influence, la Manif pour tous devra se transformer en un authentique lobby n’ayant strictement aucun état d’âme partisan : elle doit prendre tous les partis sans exclusive comme des interlocuteurs mais aussi comme des cibles. Elle trouvera, toujours, sans qu’elle ait besoin de compromis, des parlementaires (convaincus ou en mal de notoriété) prêts à reprendre une proposition de loi fournie, discrètement, clef en main. Puisqu’elle a mis en place une charte pro-famille à destination des candidats aux élections, la Manif pour tous pourrait, par exemple, se focaliser sur la mise en place d’un réseau ayant pour but de contribuer à faire élire ceux qui l’ont signée et battre ceux qui l’ont refusée et ce, quels que soit les partis concernés."
lundi 3 février 2014
Théorie du Genre etc. ou le rôle d'une avant-garde dans un processus révolutionnaire
L'Etat contre son peuple
La Théorie révolutionnaire (si chère à Marx et Lénine) de la lutte des classes, s'est élargie depuis les années soixante à toute catégorie de la population se sentant méprisée, exclue, opprimée ou exploitée et se considérant par conséquent comme un nouveau prolétariat, voire jusqu'à se substituer au prolétariat originel (ouvriers et paysans) considéré désormais comme en voie de disparition et à tout le moins réactionnaire donc douteux. Le modèle de la lutte marxiste s'est donc imposé à tous et autant de mouvements de libération se sont constitués pour parvenir à la Lutte finale. Il s'est agi donc d'utiliser toutes les armes idéologiques et traditionnelles du militantisme et de la lutte révolutionnaire.
Le Léninisme qui considère que les masses aliénées par l'idéologie bourgeoise dominante ne sont bonnes au mieux qu'à se révolter mais sont incapables de mener à bien la Révolution doivent être fermement et sans état d'âme éduquées (et rééduquées) sans relâche, encadrées et disciplinées par une avant-garde formée, éclairée et hiérarchisée qui doit penser et parler à leur place et donner des mots d'ordre auxquels les malheureux aliénés doivent obéir "pour leur bien", d'autant qu'ils ne savent pas, ne sont pas conscients de ce qui est bon pour eux. Le modèle robespierriste certes a bien servi à tous ces révolutionnaires...
Le Trotskisme complète par sa stratégie "entriste" la lutte révolutionnaire et permet la propagation insidieuse des idées révolutionnaires sur tous les terrains idéologiques.
C'est ainsi que sont nés tous ces mouvements et qu'ils perdurent sous diverses formes et étiquettes, militent, luttent, investissent tous les médias pour assurer leur propagande.
Évidemment il était logique et cohérent que tout cela soit repris et soutenu par tout un chacun qui se déclare "de gauche" fût-il même considéré comme "jaune" ou "social traître"comme nos dirigeants actuels. Mais le rôle de l'avant-garde est bien de faire bouger et d'utiliser même les "mous" quitte à les condamner et les exécuter ensuite car la fin justifie tous les moyens : "classe" contre "classe" ! Une tactique comme une autre dans la stratégie révolutionnaire.
Voilà ce qui se passe à l'heure actuelle et il ne faut pas oublier quels sont les fondements et les présupposés de toutes ces tentatives ouvertes ou insidieuses obstinément répétées d'imposer ces "idées révolutionnaires" prétendues justes parce que "scientifiques" et non "idéologiques" comme celles de l'ennemi multiséculaire...
On a pourtant bien vu et revu à quel point les fondements prétendus "scientifiques" du destin prophétisé comme inéluctable du prolétariat étaient assez douteux vu les résultats réels du "socialisme" mis en pratique... De l'URSS au Cambodge, en passant par la Chine et la Corée du Nord, la terreur rouge a fait près de 85 millions de morts.
Il y aurait beaucoup à écrire bien sûr, mais comme je ne suis même pas sûr d'être lu par beaucoup, je passe la main :
Voici un extrait d'un article du philosophe et critique littéraire, Damien Le Guay fort pertinent et surtout particulièrement honnête intellectuellement, paru sur le site Atlantico sous le titre
Pourquoi le combat du gouvernement contre "les stéréotypes de genres" dépasse largement le simple enseignement de l'égalité homme/femme
Dimanche 2 janvier, c'était jour de manifestation pour défendre la famille et s'en prendre à la théorie du genre. Ses promoteurs disent qu'elle n'en est pas une (pour ne pas trop effrayer) mais elle y ressemble par sa cohérence et ses présupposés.
Débattre à l’infini pour savoir s’il s’agit ou non d’une « théorie » n’a pas d’intérêt. Dire, comme le répète Vincent Peillon, qu’il n’est question que de promouvoir l’égalité homme/femme, est un peu court. Voir, comme le fait Caroline Fourest, derrière tous ceux qui s’interrogent sur elle des fascistes homophobes, est malhonnête. Le « droit d’inventaire » est nécessaire. Le « sens critique » indispensable. Mais le débat, malheureusement, est étouffé. Étouffé, soit sous les bons sentiments, soit sous l’idée d’une avancée irrésistible de l’égalité – et ceux qui s’y opposent sont des réactionnaires. Ces deux raisons permettent de discréditer les oppositions et de tout faire passer – le nécessaire, le discutable et le franchement inquiétant. Et plutôt que de parler en général, allons regarder, sur le site «ABCD de l’égalité», les outils (vidéo, supports papiers, entretiens) mis à disposition des enseignants pour qu’ils puissent transmettre un message auprès des petits enfants.
Un discours domine : « combattre les stéréotypes de genre » - titre de la conférence de Geneviève Guilpain, philosophe. Véronique Rouyer, psychologue, développe. Un « stéréotype de sexe » est, dit-elle « véhiculé par la famille » mais aussi les médias. « Ce sont des normes liés au masculin et féminin ». Mais (et c’est là où l’idée de combat apparait) ces stéréotypes « ne reflètent pas la réalité des évolutions... de la société de ces trente dernières années ». Il faut donc « travailler sur ces stéréotypes » ou « automatismes de pensées » qui « limitent les possibilités des individus » et « empêchent les filles d’avoir accès à tous les possibles ». Ainsi s’est-elle étonnée que dans les écoles maternelles, les enseignants puissent véhiculer des « appartenances à un groupe de sexe » en établissant des « porte-manteaux pour les filles et d’autres pour les garçons ». Ce sont là, ajoute-t-elle doctement, « des schémas de genre qui fonctionnent comme des stéréotypes de sexes ». Astride de la Motte prend un autre exemple : quand on demande à de jeunes enfants de dessiner une fille et un garçon « ils représentent les filles avec des jupes et les garçons avec des jeans ». Et ajoute-elle, « ce sont des stéréotypes qui justifient le travail de lutte contre les stéréotypes de genre ». Catherine Hugonet, « déléguée à Toulouse aux droits des femmes et à l’égalité » (ministère de Najat Valaud-Belkacem), insiste sur la nécessité d’un travail chez des enfants du primaire car « les préjugés, les stéréotypes ou les identités fortement marquées entre les genres, filles et garçon, se construisent dans la toute petite enfance ». LIRE LA SUITE ICI
Crédit REUTERS/Benoit Tessier
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Dimanche 2 janvier, c'était
jour de manifestation pour défendre la famille et s'en prendre à la
théorie du genre. Ses promoteurs disent qu'elle n'en est pas une (pour
ne pas trop effrayer) mais elle y ressemble par sa cohérence et ses
présupposés.
Débattre à l’infini pour savoir s’il
s’agit ou non d’une « théorie » n’a pas d’intérêt. Dire, comme le répète
Vincent Peillon, qu’il n’est question que de promouvoir l’égalité
homme/femme, est un peu court. Voir, comme le fait Caroline Fourest,
derrière tous ceux qui s’interrogent sur elle des fascistes homophobes,
est malhonnête. Le « droit d’inventaire » est nécessaire. Le « sens critique » indispensable.
Mais le débat, malheureusement, est étouffé. Étouffé, soit sous les
bons sentiments, soit sous l’idée d’une avancée irrésistible de
l’égalité – et ceux qui s’y opposent sont des réactionnaires. Ces deux
raisons permettent de discréditer les oppositions et de tout faire
passer – le nécessaire, le discutable et le franchement inquiétant. Et
plutôt que de parler en général, allons regarder, sur le site «ABCD de
l’égalité », les outils (vidéo, supports papiers, entretiens) mis à
disposition des enseignants pour qu’ils puissent transmettre un message
auprès des petits enfants.
Un discours domine : « combattre les stéréotypes de genre »
- titre de la conférence de Geneviève Guilpain, philosophe. Véronique
Rouyer, psychologue, développe. Un « stéréotype de sexe » est, dit-elle
« véhiculé par la famille » mais aussi les médias. « Ce sont des normes liés au masculin et féminin ». Mais (et c’est là où l’idée de combat apparait) ces stéréotypes « ne reflètent pas la réalité des évolutions... de la société de ces trente dernières années ». Il faut donc « travailler sur ces stéréotypes » ou « automatismes de pensées » qui « limitent les possibilités des individus » et « empêchent les filles d’avoir accès à tous les possibles ». Ainsi s’est-elle étonnée que dans les écoles maternelles, les enseignants puissent véhiculer des « appartenances à un groupe de sexe » en établissant des « porte-manteaux pour les filles et d’autres pour les garçons ». Ce sont là, ajoute-t-elle doctement, « des schémas de genre qui fonctionnent comme des stéréotypes de sexes ». Astride de la Motte prend un autre exemple : quand on demande à de jeunes enfants de dessiner une fille et un garçon « ils représentent les filles avec des jupes et les garçons avec des jeans ». Et ajoute-elle, « ce sont des stéréotypes qui justifient le travail de lutte contre les stéréotypes de genre ». Catherine Hugonet, « déléguée à Toulouse aux droits des femmes et à l’égalité » (ministère de Najat Valaud-Belkacem), insiste sur la nécessité d’un travail chez des enfants du primaire car « les
préjugés, les stéréotypes ou les identités fortement marquées entre les
genres, filles et garçon, se construisent dans la toute petite enfance ».
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-combat-gouvernement-contre-stereotypes-genres-depasse-largement-simple-enseignement-egalite-hommefemme-damien-guay-970604.html#WIGZJYV4LKuBf2ya.99
Pourquoi le combat du gouvernement contre “les stéréotypes de genres” dépasse largement le simple enseignement de l’égalité homme/femme
Le collectif de la Manif pour tous
a manifesté une nouvelle fois dimanche 2 février, réunissant selon la
préfecture 80 000 personnes, pour protester contre "la théorie du genre"
à l'école. L'occasion de décortiquer les différents niveaux de celle-ci
dans ses objectifs.
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Pourquoi le combat du gouvernement contre “les stéréotypes de genres” dépasse largement le simple enseignement de l’égalité homme/femme
Le collectif de la Manif pour tous
a manifesté une nouvelle fois dimanche 2 février, réunissant selon la
préfecture 80 000 personnes, pour protester contre "la théorie du genre"
à l'école. L'occasion de décortiquer les différents niveaux de celle-ci
dans ses objectifs.
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lundi 13 mai 2013
L'usine à bébés c'est maintenant !
« Nous ne pouvons pas faire de distinction dans les droits, que ce soit la PMA, la GPA ou l'adoption. Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence ? C'est faire un distinguo qui est choquant ». Pierre Bergé...
Nigeria : 17 adolescentes enceintes libérées d'une usine à bébés.
Dix-sept jeunes filles ont vécu un calvaire au Nigeria. Elles ont été faites prisonnières d'une maison afin d'être mises enceintes dans le but de vendre les nourrissons, rapporte Lemonde.fr. La police du pays les a libérées, comme nous l'ont appris des sources officielles vendredi. Onze enfants en bas âge ont également été retrouvés dans cette "fabrique à bébés". Les adolescentes, âgées de 14 à 17 ans, ont raconté à la police qu'elles avaient toutes été mises enceintes par un jeune homme de 23 ans, actuellement en prison ainsi que par le garde qui surveillait l'endroit. "Les jeunes filles ont affirmé qu'elles n'étaient nourries qu'une seule fois par jour et n'étaient pas autorisées à quitter la maison", apprend-on. Un trafic d'êtres humains très important au Nigéria La femme soupçonnée d'avoir organisé ce trafic est toujours recherchée. Les voisins ont été très surpris de la nouvelle. Ils pensaient qu'il s'agissait d'un orphelinat ou un refuge pour femmes enceintes. Le Nigeria est le pays qui génère le plus de trafic d'êtres humains d'après un rapport publié le mois dernier par l'Union Européenne. Ce n'est pas la première fois qu'un tel réseau est démantelé. En mai 2011, la police avait déjà libéré 32 jeunes filles enceintes. On leur avait offert entre 25 000 et 30 000 naira (191 dollars) selon le sexe de leur bébé.NB :
Par Julie Caron le 11 mai 2013 à 14h59 , mis à jour 11 mai 2013 à 17h55 (source)
- GPA : L’Ordre des médecins dit non
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Les maires pourraient refuser les mariages indifférenciés sans s’exposer à des poursuites pénales pour discrimination « homophobe
sondage psychoentants.fr
jeudi 11 avril 2013
La gloire historique des "sages" du Sénat ! mariage, PMA, GPA
De la naïveté du riche pharisien le nez coincé dans son nombril...
« Pierre Bergé a eu ces fortes paroles :
« Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? C’est faire un distinguo qui est choquant ».
Quel bel aveu de marchandisation du corps au bénéfice de consommateurs d’un genre nouveau. Çà c’est de l’ultralibéralisme en effet. Bravo Pierrot ! Les patron(ne)s homosexuel(le)s pourront donc exploiter sans états d’âme la force de travail, c'est-à-dire de reproduction, de ces employés. Des usines de mères porteuses baptisées « maternités pour tous » assureront-elles à leurs patrons du futur, pour éviter la hausse des prix, les économies d’échelle qu’une demande en plein boom rendra nécessaire ? Point de rupture de stocks sur le marché utérin où la gauche caviar fera ses emplettes.» LIRE LA SUITE ICI
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