Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
Affichage des articles dont le libellé est filiation. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est filiation. Afficher tous les articles

dimanche 28 juin 2020

L'ASSERVISSEMENT DES INDIVIDUS SOUS PRÉTEXTE DE LEUR LIBÉRATION DE TOUTE ENTRAVE GÉNÉRÉE PAR LES LIENS SOCIO-CULTURELS

L’escroquerie de la prétendue « fraude au nom légal »


L’analyse des tenants et des aboutissants de cette supercherie laisse apparaître qu’elle n’est pas si anecdotique que ça…

Valérie Bugault est docteur en droit privé de l’université Panthéon-Sorbonne et avocate. Depuis 2009, elle a cessé ses activités d’avocate pour se consacrer à la diffusion auprès du public du résultat de ses nombreux travaux de recherches. Elle est aujourd’hui analyste de géopolitique (économique, juridique et monétaire) et conférencière. Ses sujets de recherche sont les institutions – nationales et internationales – la monnaie, l’entreprise, le droit et le fonctionnement de l’économie globale.
Elle est auteur de quatre livres, récemment publiés aux éditions Sigest :
– « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », co-écrit avec feu Jean Rémy, publié en juin 2017
– « La nouvelle entreprise », publié en juillet 2018
– « Les raisons cachées du désordre mondial », recueil d’articles, publié le 30 mars 2019
– « Demain dès l’aube… le renouveau », publié en septembre 2019

Une certaine faction, en provenance du Canada, voudrait nous faire avaler la farce appelée « fraude au nom légal » afin de justifier la disparition de l’État et, un pas plus loin, celle de l’identité même des individus. Car nous allons voir que cette escroquerie aurait ainsi pour effet ultime que les individus, pour se libérer de l’état civil et de l’Etat, devraient abandonner leur filiation afin d’échapper à une prétendue fraude consistant à les considérer comme du « capital » dès leur naissance.
Les tenants et les aboutissants civilisationnels de l’escroquerie appelée « fraude au nom légal »
Il y a, derrière cette escroquerie, tout un fatras d’idées toutes aussi saugrenues les unes que les autres et mélangeant, selon la méthodologie habituelle des globalistes, les vraies et les fausses informations.
D’un côté on constate que les États, entités de droit public, sont réellement inscrits en tant qu’entités commerciales sur des registres du commerce anglo-saxon, ce qui a pour effet de leur dénier toute vocation politique. D’un autre côté on veut nous faire croire que l’institution de l’état civil est initialement corrompue et aurait pour effet de nous mettre en esclavage en faisant passer les humains, dès leur naissance, pour du capital. Ce mélange de vrai et de faux, a pour objectif ultime de laisser croire aux individus que l’état civil lui-même est frauduleux ; la conclusion qui s’impose naturellement serait donc, dans l’idéal, de renoncer au susdit état civil et donc à son nom et à sa filiation.
Tiens, comme c’est curieux… cela nous rapproche furieusement de l’objectif globaliste qui tend à faire perdre aux individus leur identité culturelle et personnelle, afin de mieux les contrôler. Car il est plus simple de contrôler un individu isolé de toute histoire, disposant dès lors d’une volonté très amoindrie, qu’un individu rattaché fermement à un groupe humain et à une histoire personnelle et collective.
Dans cet ordre d’idées, la distanciation entre l’état civil des individus ainsi que leur mise sous tutelle commerciale a déjà des antécédents juridiques dans nos pays, anciennement régis par le droit continental. Citons pêle-mêle : la légalisation des méthodes de PMA, de GPA, la survalorisation des droits (et non des devoirs !) de catégories sociales telles que les femmes, les enfants… Les droits sont ainsi toujours appelés en renforts pour mettre en œuvre l’isolement social ; une supercherie consistant à faire appel aux instincts primaires des individus pour les isoler et ainsi atomiser le groupe social lui-même.
C’est précisément cette méthode qui a été utilisée par les banquiers commerçants qui ont, au moment de la Révolution de 1789, mis en avant les droits et libertés individuelles, aujourd’hui appelés Droits de l’Homme, pour mieux faire disparaître la notion de groupe et d’intérêts de groupe. Seule l’exaspération juridique des droits individuels a pu faire oublier que ces derniers n’avaient de valeur que dans le cadre d’un groupe constitué, qu’il aurait fallu préserver ! La méthode, très efficace, a fait ses preuves : on exacerbe des sentiments individualistes tout en organisant la disparition de leur pertinence ! Car on sait ce que l’exacerbation des prétendus « droits individuels » recoupe : une mise en esclavage forcée de l’humanité au profit des dominants économiques ; le monde rêvé des globalistes ! Le « droit » isole pendant que le « devoir rassemble ».

Cet état d’esclavagisme légal par la mise en œuvre de la servitude volontaire via l’exacerbation des « droits individuels » passe par la disparition de l’histoire collective et de l’histoire individuelle. Ainsi, chacun aura remarqué que la disparition des enseignements historiques chronologiques, quelles que soient les matières (y compris dans les sciences dites dures), est maintenant acté par les pouvoirs publics français, lesquels suivent, et même souvent devancent, les lignes de conduites émanant des « instances » internationales contrôlées par les globalistes.

Quant à la disparition de l’histoire individuelle, elle aura pour point d’aboutissement le transhumanisme et se contente aujourd’hui de la légalisation, à marche forcée, de la marchandisation du corps, des produits du corps humain et plus généralement du vivant. Le prétendu État français – seule sa coquille persiste, vidée de toute substance politique réelle – met, une fois de plus, beaucoup de zèle à traduire en terminologie légale, à la mode règlementaire des pays anglo-saxons dominants, l’esclavagisme des individus sous prétexte de leur libération de toute entrave générée par les liens socio-culturels.
Le Canada, origine géographique de la prétendue « fraude au nom légal »
Il faut bien comprendre que l’escroquerie juridique, appelée « fraude au nom légal » vient d’un pays à cheval entre deux cultures : le Canada. Baigné dans le contexte commercialiste véhiculé par le « droit » anglo-saxon, ce pays se souvient vaguement, ou espère vaguement se souvenir, qu’il est possible de concevoir le monde autrement que par le prisme commercialiste déformant. C’est sur un tel substrat culturel que les globalistes ont pu imaginer ce plan, qu’il faut se résoudre à qualifier de diabolique, consistant – une fois de plus – à exploiter l’ignorance et la crédulité publique, afin de faire avancer leur double agenda globaliste consistant à valider :
  • L’isolement des individus, réduits à la portion congrue de quasi seuls tubes digestifs aptent à engloutir du sucre et des produits toxiques. Les organes génitaux devenant de simples outils de jouissance, elle-même de plus en plus virtuelle, ce qui permet de contrôler au mieux la démographie tout en laissant aux individus l’illusion de la liberté et du libre choix ;
  • La décrédibilisation des États, qui légitimera leur disparition ultérieure.
Une fois de plus, nous nous trouvons, avec cette histoire rocambolesque dite de « fraude au nom légal », dans une situation d’ingénierie sociale consistant à mêler le vrai et le faux tout en validant l’hégémonie anglo-saxonne et la disparition du concept de droit, véhiculé par le seul droit continental, lequel est dès lors relégué aux oubliettes de l’histoire. En l’occurrence, avec cette « fraude au nom légal », les globalistes font avancer leur projet de déconstruction de l’histoire et de disparition du concept même de « civilisation ». Car Histoire et Civilisation supposent – ce sont des conditions sine qua non – une identification claire et précise des individus, seule à même de valider l’existence et la viabilité d’une vie collective effective.

Il convient d’insister sur le fait que par cette prétendue « fraude au nom légal », les tenants du système britannique identifient le « patronyme », issu de l’état civil des personnes, avec la notion de « personne morale » pour prétendre à la fictivité intégrale de toutes les entités juridiques. Confondre personne physique et personne morale est une très grave ignorance des processus de formation du droit car cela revient à confondre abstraction et fictivité ! C’est aussi une manipulation de la psyché humaine dans le sens du nihilisme.
Si la personne morale est une réelle fictivité juridique, inventée de toute pièce pour les besoins du commerce – surtout pour ceux des banquiers-commerçants – le patronyme ne relève pas, et n’a historiquement jamais relevé, d’une quelconque fictivité juridique. Il s’agit d’un processus d’identification, relevant d’une abstraction, comme le langage ou la comptabilité, destinée à permettre la vie en Société, et donc le développement d’une Civilisation. Car en effet, la vie en Société suppose que les individus sachent à qui ils s’adressent. La connaissance et l’identification des êtres par rapport à leur lignée et à leurs ancêtres appartient à ce processus de mise en confiance et de connaissance qui permet l’établissements de relations sociales, fait d’échanges entre les individus. Il faut se souvenir que derrière la filiation se dessine les contours de la transmission des biens matériels et des valeurs immatérielles propres aux différentes lignées.
A cet égard, il n’est ni étonnant ni anodin de constater que le processus d’effacement de l’identification des humains selon leur lignée va de pair, en occident, avec la disparition des héritages, c’est-à-dire des biens matériels. Des individus dénués de biens matériels n’ont peu à peu plus rien à échanger. Il ne leur restera finalement qu’à offrir à leurs maîtres leur force de travail. Ce qui nous ramène, une fois de plus, au brevet déposé par Microsoft en juin 2019 consistant à lier l’affectation monétaire, par minage de monnaie, à une activité physique du corps humain. Nous aurons ici terminé définitivement la phase civilisationnelle de l’Occident pour valider sa disparition, qui entraînera de façon prévisible, celle du genre humain et du vivant !
La mise en cause des fondements de la civilisation occidentale par l’escroquerie appelée « fraude au nom légal »
Certains interprètes de la prétendue « fraude au nom légal » vont jusqu’à incriminer l’Église catholique, qui est en effet historiquement à l’origine de la constitution des états civils, pour prétendre qu’elle est à l’origine de la mise en esclavage commerciale des individus par l’autorisation du « certificat de naissance ». Nous atteignons ici le comble de l’ignorance et de la manipulation ! Il importe de rétablir quelques vérités historiques !

A la chute de l’empire Romain, la vie sociale a été profondément désorganisée dans les territoires anciennement régis par l’empire romain d’occident. Dans ce contexte d’extrême dénuement social, c’est l’Église catholique qui a entrepris de reconstruire la société en organisant, dans chaque village, des services d’états civils dans le même temps qu’elle réorganisait les territoires en rendant le service de la « justice », sans lequel aucune vie en société n’est possible. Ainsi, l’Église catholique, loin d’organiser le nihilisme social des globalistes d’aujourd’hui, a tout au contraire historiquement posé les fondements d’un renouveau de la vie collective et sociale. Nous sommes là aux antipodes des velléités globalistes actuelles qui veulent nous faire passer des vessies pour des lanternes en mettant le principe même de l’Église catholique au banc des accusés.

Si l’actuelle Église catholique a en effet trahi tous ses engagements historiques, ce n’était pas le cas de celle qui a suivi la chute de l’Empire romain : il faut bien prendre garde, dans ce domaine, de ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain ! Car la civilisation occidentale doit tout à l’Église catholique ! Il est également vrai que cette Civilisation devra sa très prochaine disparition à l’infiltration de l’Église catholique par les globalistes. Pour dire les choses autrement : l’actuelle disparition de la civilisation occidentale est intimement liée à la disparition de l’Église catholique, laquelle a aujourd’hui renié tous ses fondamentaux historiques pour s’imprégner, jusqu’au cou, des intérêts privés propres à la cause globaliste ; lesquels intérêts sont de nature essentiellement esclavagiste. L’Église catholique actuelle est l’antithèse de l’Église catholique qui a initié la Civilisation occidentale.
Valérie Bugault, 18 juin 2020

vendredi 3 octobre 2014

GPA : Non à la gestation marchande mondialisée !

Sur le site Causeur.fr
GPA : Les femmes et les enfants d’abord!  Non à la gestation marchande mondialisée
Posté par Claire de La Hougue le 19 Juin 2014 à 18:00 Dans Politique



Certains font actuellement un lobbying intensif pour obtenir la légalisation de la gestation pour autrui, soit directement, soit indirectement à travers la reconnaissance de la filiation d’enfants nés d’une mère porteuse à l’étranger. Pourtant, cette pratique est incompatible avec les valeurs fondamentales de notre civilisation, donc contraire au droit tant français qu’international.
Quelles que soient l’affection ou les capacités éducatives des « parents intentionnels », l’enfant né de GPA est remis à autrui par sa mère ou par des intermédiaires contre rémunération ou tout autre avantage, ce qui est la définition de la vente d’enfant, interdite « à quelque fin que ce soit et sous quelque forme que ce soit » par la Convention relative aux droits de l’enfant. Certains prétendent promouvoir une GPA éthique. Même dans ce cas, l’enfant est l’objet d’une convention et on dispose de lui. La faculté de disposer d’un bien est un attribut du droit de propriété, or en droit international, la « condition d’un individu sur lequel s’exercent les attributs du droit de propriété ou certains d’entre eux » s’appelle l’esclavage.

Les enfants issus d’une gestation pour autrui peuvent avoir jusqu’à six « parents » : les parents génétiques (donneurs d’ovocyte et de sperme), la mère porteuse, son mari en vertu de la présomption de paternité et enfin les « parents intentionnels ». Leur filiation est manipulée au point qu’il leur est difficile de savoir qui ils sont. Ils sont conçus dans le but d’être abandonnés, ce qui constitue une grande violence, cause de souffrance et d’insécurité. Pourtant, selon la Convention relative aux droits de l’enfant, « Les Etats parties s’engagent à respecter le droit de l’enfant de préserver son identité » et « prennent toutes les mesures appropriées pour protéger l’enfant contre toute forme de violence (…) ou d’abandon ».
[…]
La mortalité maternelle restant élevée dans certains pays, les décès de mères porteuses ne sont guère rapportés par les médias. Deux affaires ont cependant été rendues publiques en Inde en 2012. En mai, une femme est décédée après avoir mis au monde un enfant pour un couple américain. Elle avait deux enfants, restés orphelins [3]. A l’automne, une autre est morte [4] à cause d’une hépatite contractée pendant la grossesse. Les atteintes à la vie et la santé de la mère ne sont pas réservés aux pays en développement. Au Royaume-Uni en 2005, une mère porteuse est morte en couches [5]. Une autre a été sauvée de justesse [6] aux Etats-Unis en 2011.
[…] LIRE L'ARTICLE INTÉGRAL ICI



dimanche 3 août 2014

Un couple australien abandonne un bébé trisomique à sa mère porteuse thaïlandaise

Un couple australien abandonne un bébé trisomique à sa mère porteuse thaïlandaise | euronews, monde

Le petit Gammy est au cœur d’une histoire dramatique. Ce bébé souffre de trisomie 21 et d’un grave problème cardiaque. Contrairement à sa sœur jumelle bien portante, ses parents australiens ont décidé de l’abandonner à sa mère porteuse thaïlandaise qu’ils avaient engagée. Pattaramon Chanbua, 21 ans est sous le choc. “Le garçon, c’est la faute des adultes et pourquoi doit-il endurer quelque chose comme ça ? Ce n’est pas de sa faute. Pourquoi doit-il être abandonné quand l’autre bébé a été pris en charge ?” Pattaramon Chanbua qui a déjà deux enfants de 3 et 6 ans avait accepté d‘être mère porteuse en échange de plus de 10.000 euros, pour pouvoir payer l‘éducation de ses enfants et rembourser ses dettes. L’abandon du petit Gammy suscite une vive polémique en Australie et elle a conduit Tony Abbott, le Premier ministre australien à réagir. “Je suppose que cela illustre les dangers liés à ce type d’action. C’est une très, très, très triste histoire et je déteste penser qu’un enfant puisse être abandonné comme ça”. Une collecte de fonds sur internet a été lancée en faveur de Gammy. Hier, elle atteignait plus de 67 000 euros. Copyright © 2014 euronews

dimanche 24 mars 2013

Le peuple c'est aussi maintenant et ici ! L'exception française ?

La Manif pour Tous a bien eu lieu le 24 mars à Paris, dans un cadre légal et républicain
en tenant compte de la décision du Préfet de Police.

La Manif Pour Tous est un mouvement spontané et populaire, profondément pacifique,
dont toutes les actions se sont déroulées dans un cadre strictement légal, comme l'a démontré la manifestation du 13 janvier à Paris.
La LMPT condamne tout acte violent, toute expression d'homophobie ou d'intolérance
 quelle qu'en soit la forme.
Elle se désolidarise de toute personne ou organisation
 qui détourneraient son nom, son logo ou l'image de ses dirigeants ou porte-parole
pour mener des actions ou tenir des propos qui sortiraient de ce cadre.

La LMPT est une force tranquille, solidaire et ouverte au dialogue.

mercredi 9 février 2011

"Vous serez comme des dieux"" : l'idéologie du "gender" et la guerre des sexes


Il  n' y a  pas de limite à la mégalomanie de l'homme déchu...
Il est peu étonnant que le vous de « vous serez comme des dieux » devienne tu seras comme un dieu… et au diable tous les autres. Une guerre sans fin de chaque individu contre tous. Et le diviseur de se frotter les mains en contemplant son oeuvre.

Un des sens de la vie paradisiaque, qu'elle ait duré dans le temps mais peu de temps et qu'elle soit à restaurer, ou tout simplement qu'elle soit le potentiel de l'homme à réaliser dans cette vie ici et maintenant, n’est-il pas celui de cette harmonie entre l’homme et tout son environnement, entre l’homme et la femme, entre l’homme et la nature entre l’homme et son être propre ; identité et altérité, à l’image trinitaire de l’union sans confusion ni changement, sans division ni séparation, non seulement dans la prise de conscience, l’acceptation et le respect mais dans l’amour de la différence et dans l'amour tout court.

Encore une fois, loin que le prétendu judéo-christianisme porte préjudice à l’harmonie universelle, en ayant - dit-on désormais dans le moindre salonnet - introduit et justifié les abus de pouvoir, les guerres et l’exploitation universelle, il a au contraire à être revisité de toute urgence si l’on ne veut pas multiplier les carnages de toutes sortes justifiés par de paradoxales en apparence, mais en fait trompeuses, idéologies de libération qui n’ont pas cessé d’être présentées à toute occasion, dans une succession sans fin, depuis les années soixante…




Lisez l’article d'Elisabeth Monfort la subversion de l'identité  dans Valeurs actuelles dont voici un extrait :
"Après avoir déconstruit la différence sexuelle, il est nécessaire de déconstruire le couple, la famille et la reproduction. Pour les gender feminists, le couple doit être choisi. La famille fondée sur le mariage monogamique, comme survivance de la domination de l’hétérosexualité, devient polymorphe (bi, pluri, homo, monoparentalité…). La filiation se décline : filiation biologique, intentionnelle, juridique, sociale. L’individu fait son choix dans ce grand marché libertaire. Et enfin, la reproduction doit évoluer. Les techniques permettent une reproduction asexuée (AMP, mères porteuses, utérus artificiel…) et les révisions des lois de bioéthique sont une opportunité pour obtenir satisfaction. Dans ce grand bouleversement, la loi enregistre les revendications individuelles et crée de nouveaux droits arbitraires et déconnectés du bien commun et de la stabilité de notre communauté humaine.Il est urgent de réagir. C’est la mission que s’est donnée l’Alliance pour un nouveau féminisme européen : analyser et informer pour construire une société pacifiée, fondée sur le respect et la coopération plutôt que sur la rivalité et la compétition. Il s’agit bien de nouveaux rapports entre les hommes et les femmes, égaux en droits et d’une égale dignité."