Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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mardi 14 août 2018

L’article de Claude "illustré" sur les crimes des Oustachis croates et leurs massacres de Serbes orthodoxes, de Juifs et de Tziganes

…avec la bénédiction (et la participation) de l'Église catholique

 lire sur le Blog  Orthodoxologie










Dans la forêt Uskočka - Exhumation de cadavres de victimes civiles massacrées
 au couteau, au marteau et à la hache— aucune victime par balles.

La Croatie n'a pas toujours eu le visage souriant
 et le comportement ouvert de son actuelle présidente…

Une belle jeunesse, "bien formée"




La continuité

Jean-Paul II priant le "Bienheureux"Stepinac


Benoît XVI priant le  "Bienheureux" Stepinac

La rupture ?



Le pape François a personnellement arrêté la canonisation du cardinal croate Alojzije Stepinac après une lettre adressée à lui par le patriarche orthodoxe serbe Irinej et a décidé de proposer la mise en place d'une commission mixte qui examinera en détail la vie et l' œuvre du cardinal Stepinac.L




Le camp de la mort croate de Jasenovac
 était « pire qu'Auschwitz »

Un article de l'expert israélien de l' Holocauste, le professeur Gideon Greif. (version française Maxime le minime de la source)

professeur Gideon Greif

"Selon lui, les gens qui ont l'intention de canoniser Stepinac sont des « criminels qui se moquent des victimes de Jasenovac » - un camp où, d'après les survivants, la torture était encore plus horrible que d'Auschwitz.

Jasenovac était un camp de la mort pour les Serbes, les Juifs et les Roms , dirigé par le régime oustachi de l'Etat indépendant-allié nazi de Croatie (NDH) pendant la Seconde Guerre mondiale dans les Balkans.

Greif, l'historien en chef de l'Institut israélien pour l' éducation, la documentation et la recherche de l'Holocauste Shem Olam, a déclaré au Vecernje quotidien belgradois Novosti dans une interview que lui et le rabbin Avraham Krieger, qui dirige l'institut, est venu à Belgrade pour exprimer leur opposition à les tentatives croates de réviser l' histoire. 



« Pour ce qui est du cardinal Alojzije Stepinac, je vous dirai brièvement ceci : sa canonisation est un crime en soi, et les gens qui ont l' intention de le canoniser sont des criminels se moquant des victimes. Toute personne qui a soutenu un régime criminel comme le régime oustachi ne mérite pas la moindre récompense » dit Greif.



Il trouve navrant que beaucoup de ses collègues historiens, ne sachent rien de Jasenovac. 

« Ils ne savent même pas dans quel état c’était, et encore moins le localiser. Et l'histoire des victimes à Jasenovac est non seulement une histoire de la mort, mais une histoire des atrocités, du mal, du sadisme, d'inhumanité. Dans les camps de concentration dirigés par les Croates, la mort avait la valeur la plus élevée», dit encore Greif.. 


Il ajoute que Jasenovac et d' autres camps dans leur « système » étaient différents des autres camps nazis parce que, selon les témoignages des survivants, la torture y était beaucoup plus monstrueuse qu'à Auschwitz et dans d' autres camps de concentration nazis. Il est également différent parce qu'il a été créé et exploité sans l'implication de soldats allemands. 



« Ce fut l'enfer sur terre. Voilà pourquoi à Jasenovac, les mains croates sont complètement couvertes de sang », déclare Greif. Le professeur a étudié Jasenovac pendant les deux dernières années, et a annoncé la publication de son livre, « Jasenovac - Auschwitz des Balkans. » Il a observé que Jasenovac était le seul à avoir des camps de la mort pour les enfants. 


« Les Allemands avaient des camps pour les femmes, les hommes ou des camps mixtes, où les enfants étaient avec les adultes, mais les Croates sont allés plus loin et ont même eu des camps pour enfants. Une horreur !», a déclaré Greif, ajoutant que « la vérité terrible et indiscutable » est que même officiers allemands en visite Jasenovac et d' autres camps en Croatie ont été stupéfaits par la brutalité de qu'ils ont vu. 
Le professeur a ensuite rappelé que le 10 Juillet 1941, l'attaché militaire allemand à Zagreb, Edmond von Horstenau, a écrit à Heinrich Himmler que les troupes allemandes ont été les « témoins silencieux de la brutalité des Oustachis sur les Serbes, les Juifs et les Roms. » 
Le professeur a dit que, à cause de toutes les horreurs qu'il a apprises sur les victimes de Jasenovac au cours des deux dernières années, il a décidé de consacrer une partie de son travail à leur vie, en soulignant qu'il était certain que « leurs assassins les Croates et leurs amis » ne réussiraient pas à « effacer les traces de ce crime, et de réécrire l' histoire, et déformant les faits. » 

Vecernje Novosti a également publié un article indiquant que les documents qui cachent la vraie vérité sur le rôle de Alojzije Stepinac sont enfermés dans l'archidiocèse catholique de Zagreb, et inaccessibles. Tous les documents compromettants ont été retirés du dossier de l'État croate de sécurité sur Stepinac et a fini enfermé, aux Archives de l'Etat croate, dit le quotidien. 
Ce « tri » des documents a été fait par les hauts responsables catholiques croates, « alors que certains documents ont été retirés par le premier président de la Croatie, Franjo Tudjman. » 
Les documents restent inaccessibles aux chercheurs et aux historiens, y compris les membres d'une commission mixte composée de représentants de l'Eglise orthodoxe serbe (SPC) et l'Eglise catholique en Croatie, qui ont dialogué pendant un an dans l'espoir de clarifier le rôle de Stepinac pendant la Seconde Guerre mondiale. 

Le CPS est opposé à la canonisation de Stepinac, qui est la raison pour laquelle le pape François l'an dernier a suspendu la procédure… 

mardi 8 septembre 2015

NAZISME ET CATHOLICISME : rétablir la vérité.

Toute l'Église catholique n'a pas suivi les églises ukrainienne, slovaque ou croate… pendant la 2ème GM. Il faut le dire et le rappeler !
Quelles que soient les dérives ecclésiologiques et théologiques qu'en tant qu'Orthodoxes, et en tant que chrétien culturel seulement, on puisse reprocher à l'Église catholique, et qui ont donné pour résultats la situation lamentable dans laquelle se trouve aujourd'hui l'Europe chrétienne, il faut rendre justice à tous ces hommes martyrisés pour leur foi par les nazis.
De nos jours  cela ne semble pas suffire - même ajouté aux massacres des chrétiens d'Orient et d'Asie - aux nouveaux inquisiteurs anti-chrétiens collabos qui enquêtent, fouillent et dénoncent, sans discernement souvent, et la plupart du temps avec le plus parfait parti pris, et la plus grande mauvaise foi, aveuglés par leur rage, tout ce qui reste de chrétien sur cette terre d'Europe, spirituellement dévastée. C'est de cela qu'ils vivent, ils sont grassement payés pour médire, calomnier, désinformer, mentir sans le moindre état d'âme sur ceux qui leur paraissent seulement tenir un tant soit peu fermement à leur foi chrétienne. Ainsi en est-il pour Guillaume Zeller nouveau rédacteur en chef de la chaîne d'information i-Télé, rebaptisée CNews - lire l'article de Pauline de Préval sur site Atlantico


De 1938 à 1945, 2 720 prêtres, religieux et séminaristes sont déportés dans le camp de concentration de Dachau, près de Munich. Regroupés dans des « blocks » spécifiques qui conserveront pour l'histoire le nom de « baraques des prêtres », 1 034 d'entre eux y laisseront la vie. Polonais, Belges, Allemands, Français, Italiens, Tchèques, Yougoslaves : derrière les barbelés de Dachau, l'« universalité de l'Église » est palpable. Ces hommes qui, dans une Europe encore christianisée, jouissaient d'un statut respectable, parfois éminent, se retrouvent projetés dans une détresse absolue. La faim, le froid, les maladies, le travail harassant, les coups des SS et des kapos, les expériences médicales ou les transports d'invalides ont raison de ces hommes de tous les âges. Quelques-uns sombreront dans le désespoir et s'effondreront, d'autres la grande majorité d'entre eux ne fléchiront pas, peut-être soutenus par leur foi. Partageant le sort commun des déportés, les prêtres de Dachau s'efforcent de maintenir intacte leur vie spirituelle et sacerdotale. Une chapelle, la seule autorisée dans tout le système concentrationnaire, leur apporte un secours considérable. Cette expérience unique dans l'histoire de l'Église éclaire d'un jour nouveau les rapports entre le nazisme et le christianisme. Près de 70 ans après sa libération, le camp de concentration de Dachau demeure le plus grand cimetière de prêtres catholiques du monde.



Voici la première étude exhaustive sur l'attitude de l'Eglise catholique face à la persécution des Juifs de France entre 1940 et 1944. Une recherche fondée sur l'exploitation de documents inédits: fonds de congrégations religieuses, correspondances privées, archives épiscopales, dont les notes intimes du 
cardinal Suhard, archevêque de Paris sous l'Occupation... 
Sylvie Bernay montre que l'Eglise, contrairement à une idée reçue, se montre très réservée face à l'application des premières mesures antijuives. Son rejet des persécutions éclate au grand jour lors des rafles de l'été 1942, marqué par la protestation des évêques contre un régime de plus en plus compromis dans la mise en oeuvre de la "Solution finale". Les documents découverts révèlent que les protestations des évêques de la zone libre ont été concertées avec le Vatican. 
Sylvie Bernay décrit pour la première fois les moyens employés par le Saint-Siège et l'épiscopat français pour empêcher la reprise des grandes rafles à l'automne 1942 et protéger les persécutés. Une typologie des sauvetages montre aussi comment se sont formés sept "diocèses refuges" en zone 
sud, autour du cardinal Gerlier et des évêques qui encouragent le placement des personnes dans les congrégations religieuses. Une somme magistrale qui invite à repenser le rôle de l'Eglise 
sous l'Occupation.