Si quelqu'un, en effet, veut aimer la vie et voir des jours heureux, qu'il préserve sa langue du mal et ses lèvres des paroles trompeuses, qu'il se détourne du mal et fasse le bien, qu'il recherche la paix et la poursuive. 1 Pierre 3:10-11 Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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dimanche 15 juillet 2018

Comprendre la politique us à la lumière des salles obscures

LES FILMS PRÉFÉRÉS DU PRÉSIDENT TRUMP…

(source)



1.



Donald Trump a déclaré au New Yorker en 1988 que le film de combat de Jean-Claude Van Damme est un de ses vieux favoris. Le film suit un soldat américain entrant dans une compétition violente et underground d'arts martiaux.
Trump sur "Bloodsport"
Dans son profil new-yorkais, M. Trump a qualifié le film d'action de «film incroyable et fantastique».

Franck Dux, un champion américain de karaté, n'a qu'une obsession : remporter le Kumite, un tournoi clandestin d'arts martiaux organisé à Hong Kong, une rencontre où tous les coups sont permis, y compris les coups mortels ! (source)

2.


"Goodfellas" de Martin Scorsese qui a été l'un de ces films à succès, figure sur la liste des films préférés de Donald Trump, il raconte l’ascension d’un jeune homme et ses amis gravissant les échelons du syndicat du crime organisé.
Trump, louant son «casting de stars», a qualifié le film "Goodfellas" de 1990 de «splendide divertissement».
Les Affranchis (Goodfellas) est un film de gangsters américain réalisé par Martin Scorsese, sorti en 1990.
Le film est basé sur le livre Wiseguy, de Nicholas Pileggi, sorti en 1986, racontant l'histoire vraie de Henry Hill, un gangster new-yorkais. Pileggi participe à l'écriture du scénario avec Scorsese. Le film retrace la montée et la chute d'Henry Hill (joué par Ray Liotta) et de ses amis (interprétés par Robert de Niro et Joe Pesci), des complices de la famille Lucchese, une des cinq familles mafieuses de New York ; la période couverte par l'histoire va de 1955 à 1980.
Originellement, Scorsese voulait appeler le film Wiseguy, du nom du livre de Nicholas Pileggi, mais ce titre était déjà utilisé pour une série télévisée en fin de diffusion ; il se tourna donc vers le titre Goodfellas.
Les Affranchis est un succès au box-office, avec 46,8 millions de $ de recettes rien qu'aux États-Unis, pour un budget de 25 millions $. Il reçoit aussi d'excellentes critiques. Le film est nommé six fois aux Oscars, (Source)

3.


"Le parrain"
Le drame oscarisé sur une famille de criminels italo-américains fait partie des meilleurs films de Trump qui parle de l'original de 1972 «The Godfather : Part II» comme d'un «classique».
Michael Corleone a succédé à son père Vito Corleone à la tête de la famille. Il dirige alors les affaires des Corleone d'une main implacable, en éliminant ses ennemis les uns après les autres. Mais en tentant en vain de ressembler à son père, il ne fera preuve que d'une autorité dévastatrice qui peu à peu l'éloignera des personnes qu'il aime. La deuxième partie du Parrain offre deux histoires parallèles. L’une implique le chef de la Mafia en 1958/1959 après les événements du premier film, l’autre est une suite de flash-back (retours en arrière) sur le parcours de son père, Vito Corleone, de sa jeunesse en Sicile à la création de la famille Corleone à New York. Le jeune Vito est interprété par Robert De Niro (source)

4.

    

Le bon, la brute et le truand

"Les personnages sont bien développés et parfois me rappellent certains des types que j'ai eu à traiter au fil des ans dans les affaires", a déclaré M. Trump à Movieline du film 1966.


Pour conclure sa Trilogie du dollar (également appelée Trilogie de l’homme sans nom) et pour éviter de se répéter, Sergio Leone augmente de deux à trois le nombre de protagonistes : Clint Eastwood et Lee Van Cleef, qui partageaient la vedette dans Et pour quelques dollars de plus, se voient adjoindre Eli Wallach dans ce troisième film. (source)
Le scénario introduit une nouveauté : l'irruption de l'Histoire, avec la guerre de Sécession américaine comme toile de fond. Pendant la Guerre de Sécession, trois hommes, préférant s'intéresser à leur profit personnel, se lancent à la recherche d'un coffre contenant 200 000 dollars en pièces d'or volés à l'armée sudiste. Tuco sait que le trésor se trouve dans un cimetière, tandis que Joe connaît le nom inscrit sur la pierre tombale qui sert de cache. Chacun a besoin de l'autre. Mais un troisième homme entre dans la course : Setenza, une brute qui n'hésite pas à massacrer femmes et enfants pour parvenir à ses fins. (source)

lundi 2 juillet 2018

L’actualité brûlante des contes de fées



extrait du dernier Drone de Slobodan Despot

[…] un aspect du Petit Poucet qui m’a toujours inspiré de vastes méditations.Qu’on me permette ici de rappeler cet épisode clef du conte de Perrault. S’étant égarés dans les bois, le petit Poucet et ses frères sont recueillis dans une maison qui se trouve être celle d’un ogre. Lequel ogre s’apprête à faire d’eux son petit-déjeuner le lendemain matin — car sa femme, par pitié, l’a persuadé de décaler son festin d’un jour. Or, juste en face d’eux, dans la même chambre, dorment les sept filles de l’ogre, sept petites princesses couronnées qui sont les prunelles des yeux de leur papa. Pour échapper au human breakfast, le petit Poucet intervertit son bonnet et ceux de ses frères avec les couronnes des fillettes modèles. Et le mangeur d’enfants, aveuglé par son avidité, finit par tuer sa propre progéniture...
Or c’est aux filles de l’ogre que je repense toujours, bien davantage qu’à la fratrie du petit Poucet. A elles, et plus précisément à leur conscience. Car si le jeune Poucet, cadet de ses frères, avait assez d’esprit pour sauver sa bande des griffes de ce monstre, on peut supposer que les têtes féminines du même âge n’étaient pas plus idiotes.
Que savaient-elles donc du monstrueux penchant de leur père, ces enfants gâtées? Pouvaient-elles tout ignorer de sa sanglante besogne? Se voilaient-elles la face? Étaient- elles anthropophages, elles aussi? On les imagine mal, avec leurs jolies couronnes, déchiqueter à pleines dents de la chair crue. Je les vois plutôt déguster une tendre escalope du bout de la fourchette, le dos bien droit, en faisant mine d’ignorer qu’elle provient d’un petit garçon de leur âge.
Quand on vit sous le toit d’un ogre, et qu’on ne s’enfuit pas à toutes jambes, la fausse candeur est de mise.
[…]
Vous l’avez deviné: les filles de l’ogre, c’est nous tous! Européens, Occidentaux, cadres et administrateurs du monde entier, bref toute la «suprasociété» globale. Ce dixième ou ce cinquième d’humanité qui vit avec des exigences de confort et de consommation dépassant tout ce que la Terre peut supporter. Tous, nous vivons sous la protection d’un monstre qui se nourrit de chair humaine et qui régurgite de quoi nous alimenter nous aussi. Notre père nourricier, depuis 1945, est l’oncle Sam, qui a assuré notre prospérité, notre impunité — et notre ductilité — pendant trois générations tout en colonisant la planète entière. A l’heure où j’écris, l’oncle Sam maintient la planète sous sa perfusion de bombes, à raison d’une goutte létale toutes les douze minutes, ou 120 par jour, quelque part, n’importe où, sans même être officiellement en guerre avec qui que ce soit. Il consacre les 53% de son budget à la défense, autrement dit à l’agression. Depuis la chute de son meilleur ennemi, l’URSS, il a mis en selle le terrorisme islamique en tant que faux chien fou qu’il lâche sur les indociles ou qu’il fouette et jugule selon ses besoins. Il délocalise la torture, renverse les gouvernements élus, soutient les pires sous-ogres de la planète, pille toutes les ressources du monde grâce à sa joint ventureunique entre l’État et les corporations (finançant les razzias des oligarques avec l’argent des esclaves contribuables), s’emploie à taxer tout l’argent du monde et vit aux dépens du village global comme les voyous des favelas organisent leur petit ménage: l’œil injecté de cocaïne et le revolver sur la tempe de tous leurs voisins.
Bref, notre père nourricier est, hors toute concurrence, le système criminel le plus avide et le plus tentaculaire depuis la chute du nazisme. La disproportion est si criante qu’il apparaît obscène de poursuivre et condamner qui que ce soit d’autreavant que la Méduse atlantique à la chevelure de serpents ne soit neutra- lisée. Mais justement: nul ne peut regarder la Méduse dans les yeux sous peine de pétrification. […]