Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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samedi 6 octobre 2018

ARGENT : les salaires mirobolants des fonctionnaires de l’Assemblée nationale


SOURCE

Après la publication de notre étude sur les privilèges choquants des fonctionnaires de l’Assemblée nationale, Europe 1, le 07/06, puis Le Parisien du 25/06, avaient également mené leur propre enquête sur nos révélations. Ils concluaient tous deux sur des chiffres comparables aux nôtres quant aux salaires (primes incluses) des agents de la Chambre basse. Deux autres rapports ont été commandés cet été, mais cette fois en interne de l’Assemblée nationale. L’un devait proposer une réforme ambitieuse pour supprimer ces avantages mirobolants, et l’autre, le rapport Vigier, fournir des éclaircissements sur les mêmes zones d’ombre que nous n’avions pu pénétrer. Le poids des syndicats de fonctionnaires a eu raison du premier, qui a été enterré. Le second est incomplet, l’institution ayant délibérément fait de l’obstruction. Pourtant, ces deux rapports « officiels » reprenaient, ou complétaient, notre étude et appelaient à davantage de transparence ! Et puis, l’accalmie. Plus rien sur ce sujet dans les medias… jusqu’au 27 septembre. Le 27 septembre 2018, Challenges publie un article dans lequel un journaliste déclare avoir enquêté au Palais Bourbon auprès de deux députés, dont les noms ne sont pas révélés, pour découvrir la vérité sur les fonctionnaires de l’Assemblée. Le récit est édifiant et les résultats confirment nos travaux.

Des salaires élevés, des primes nombreuses et en partie inexplicables

L’article révèle des salaires élevés, jusqu’à 2,5 fois supérieurs à la norme générale dans la fonction publique d’État. « Les secrétaires perçoivent, en moyenne, près de 6 000 euros nets par mois et les agents (accueil, logistique) environ 4 800 euros (…), un employé du restaurant ou un gardien tourne à 4 200 euros, autant que le salaire moyen des cadres du privé toutes catégories confondues ». Sans oublier que les deux secrétaires généraux perçoivent 19 000€ nets par mois et les 19 grands directeurs 16 000€ ! Soit de 2 120€ à 5 120€ nets de plus que le président de la République.

Nous y découvrons aussi que treize sortes de primes coexistent, telles que « l’indemnité de doctorat, pour les titulaires d’une thèse. Ou celle qui gratifie de 375 euros mensuels les chauffeurs de ‘personnalités politiques’ ».

Challenges révèle encore que les fonctionnaires peuvent obtenir 25 jours de congés supplémentaires qui s’ajoutent à leurs 5 semaines dues. Pis, certains « stakhanovistes et des tire-au-flanc » font en sorte de ne jamais assumer de travail de nuit tout en bénéficiant des primes attachées aux heures nocturnes. Ce que nous avions dénoncé en juin dernier !

Enfin, et nous l’avions également dévoilé lorsque nous avions révélé le rapport interne (toujours non public) des deux secrétaires généraux de l’Assemblée nationale, les retraites s’élèvent à 7 000€ par mois pour un administrateur, 3 500€ pour une secrétaire et 2 900€ pour un chef d’agents. Ce qui est plutôt conséquent, en comparaison de la retraite moyenne française (1 300€).

Pourtant, ces chiffres ne semblent choquer ni le premier questeur, François Bachelier, ni un conseil du président de l’Assemblée qui n’y voit « rien d’incongru ». À croire qu’ils ne vivent pas dans le même monde que le nôtre. Ahurissant !
Cette enquête confirme nos travaux

L’enquête de Challenges confirme notre étude, comme celle du Parisien et d’Europe 1. Si certains salaires sont ici plus faibles que ceux que nous avions énoncés, globalement nos conclusions et calculs concordent. L’Assemblée nationale refusant de fournir un taux de prime par catégorie, nous avions appliqué un taux moyen à tous. Elle confirme également notre dénonciation de la distribution infondée des primes de nuit et des avantages en congés. Tous la perçoivent, qu’ils aient ou non bien effectué ces heures.
Ainsi convergent les conclusions de toutes les enquêtes citées : celle des deux députés, celle du journaliste de Challenges et celle de l’IREF. Toutes démontrent donc, entre autres, que les secrétaires ont des taux de primes plus élevés que ceux des agents, que certaines primes de nuit sont totalement indues et les avantages en congés, non justifiés.
Notre étude exploratoire, que l’ancien président du Palais Bourbon n’avait pas hésité à qualifier de mensongère, était donc en réalité très proche de la vérité. Elle aura, sans doute, permis à certaines langues de se délier et à certains observateurs de poser les bonnes questions.

vendredi 4 août 2017

Les temps changent… pas toujours dans le bons sens tout de même.


"La République à l'époque payait mal ses parlementaires et ses ministres, lesquels menaient des trains de vie modestes, sans commune mesure avec ce à quoi les récentes décennies nous ont habitués. Au surplus il n'y avait pas grand chose dans les assiettes,  pas plus pour les gens au pouvoir que pour les gens ordinaires, mais cela n'avait guère d'importance." 
Simone Veil in Une vie (Stock)

mardi 17 mai 2016

Politique française : Libéralisme ???

Primaires à droite : les imposteurs du libéralisme
Le libéralisme ne se réduit pas à un saupoudrage de réformettes : politiciens, journalistes et faiseurs d’opinion devraient le savoir !



Dans l’histoire de France, le libéralisme a cette fâcheuse habitude soit d’être voué aux gémonies soit de voir son nom travesti.
Habituellement, « libéral » est l’injure suprême, un synonyme d’exploiteur, d’égoïste, de sans cœur. Pour Jean-Luc Mélenchon, la politique de François Hollande, qui constitue une lourde déception, est de plus en plus libérale. Les extrêmes se rejoignant, Marine le Pen ne manque pas une occasion de stigmatiser les dérives libérales du pouvoir en place.
Ce qui est plus nouveau, c’est que des hommes politiques, tant de droite, du centre ou de gauche, revendiquent une étiquette libérale ou que des journalistes caractérisent ainsi leurs propositions sans qu’il s’agisse pour autant de les dénigrer. La situation n’est pas totalement inédite (songeons à l’« Empire libéral »), mais elle retient l’attention. On a ainsi entendu parler d’un « tournant libéral » du Président Hollande. Récemment, la coqueluche des médias, Emmanuel Macron, a affiché son identité de « libéral de gauche ».

Primaires à droite : le bal des imposteurs libéraux

Mais le libéralisme n’est pas l’apanage de la gauche. Les candidats aux primaires à droite rivaliseraient de libéralisme. François Fillon aurait le programme le plus audacieux en la matière, mais maintenant Alain Juppé se dénomme « libéral pragmatique », sans compter les « petits candidats » qui sont loin de rejeter l’étiquette à commencer par Hervé Mariton, dépeint comme « libéral et conservateur ».
D’un certain point de vue, on ne peut que se réjouir de cette situation. Après quatre décennies presque ininterrompues de désastre économique et social, un frémissement libéral semble se manifester. Il témoigne aussi du fait que la dichotomie classique droite/gauche non seulement ne fait plus rêver, mais encore ne masque plus l’emprise des étatistes sur la politique française.
À bien d’autres égards, l’utilisation à tout va du terme libéral agace et plus encore inquiète. Elle manifeste une inculture encyclopédique au sujet du libéralisme dans l’hexagone. À force de qualifier tout et n’importe quoi de libéral, on obscurcit également le débat.
La « loi Macron » ? Libérale. Le projet de loi « El Khomri » ? Libéral. Les propositions à droite de hausser l’âge de départ à la retraite ? Libérales. Le contrat de travail unique ? Libéral. Le revenu universel ? Libéral (c’est Lionel Stoléru, un grand libéral, qui vous le dit !).

Ignorance des grands principes du libéralisme

Emmanuel Macron Libéral
Crédits : René Le Honzec/Contrepoints.org, CC-BY 2.0
Pourquoi cette bouillie en termes d’idées ? Tout simplement parce que les grands principes du libéralisme ne sont pas connus. Il est d’ailleurs fort révélateur que les hommes politiques qui se disent libéraux ou que les journalistes cernent comme tels, ajoutent toujours un terme : on est libéral, certes, mais conservateur ou pragmatique ou encore social. La deuxième partie de l’expression achève de détruire le peu de libéralisme que l’homme politique pouvait présenter.
Ainsi, Alain Juppé, dont toute la carrière s’est construite autour de l’antilibéralisme, serait aujourd’hui libéral. Ce qui ne l’a pas empêché de déclarer qu’il fallait conserver le « modèle social français », issu du Conseil national de la Résistance, regroupement pour l’essentiel de marxistes qui ont inspiré les réformes désastreuses de l’après-guerre. Mais encore faut-il avoir lu le programme du Conseil national de la Résistance…
Il faut donc marteler que le libéralisme ne se réduit pas à un saupoudrage de réformettes dites libérales. Il s’agit d’un courant de pensée cohérent, fondé sur des grands principes à commencer par le respect strict du droit de propriété et l’encadrement drastique des fonctions de l’État.
Malheureusement, depuis le retrait de la vie politique d’Alain Madelin, il n’existe aucun homme politique d’envergure en France qui ait une solide culture libérale. Or, la vérité est dans les principes. Tant que certains hommes politiques se revendiqueront du pragmatisme, il n’y aura rien à attendre d’eux, si tant est bien entendu qu’on puisse en attendre quelque chose en France…
Ainsi que l’écrivait Bastiat, le plus grand penseur libéral français du milieu du XIXe siècle (mais quel homme politique le lit-il ?), le pire pour le libéralisme n’est pas d’être attaqué, mais d’être mal défendu.

mercredi 16 juillet 2014

DEUX SUICIDES DE PATRON PAR JOUR en FRANCE…

"La reprise est là, mais elle est fragile " (François le super menteur)

Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ! (Apocalypse, chapitre 22 v 15)

sur le site Agora Vox :
 Deux suicides de patron par jour  Quand l'entreprise trébuche, ils tombent plus violemment et plus bas ! 
Si les suicides des salariés de Orange, la Poste ou Renault font régulièrement la une des journaux, il y a une profession qui met bien plus fin à ses jour que toutes les autres, ce sont les dirigeants d'entreprises. Lorsqu'un salarié se donne la mort, l'information est traité dans les journaux comme un fait de société alors que le suicide d'un patron est généralement considéré comme un simple fait divers. 
  Le patron est directement exposé aux aléas. Il a investi ses économies dans son outil de travail. En cas de faillite, il se retrouve sans rien ! Il n’a pas droit aux indemnités de chômage ; et parfois sa maison a été vendue pour payer les cautions personnelles ... Il est alors confronté à plusieurs punitions qu'il n'a aucunement mérité comme le dépôt de bilan, les conflits, parfois suivis de divorces, ou dépressions ... L'année 2013 s'est avérée être une année record absolu de défaillance d'entreprises, avec des chiffres parallèles aux suicides d'entrepreneurs. Quand une entreprise va mal, la majorité pense systématiquement aux salariés mais on oublie la souffrance des patrons. Plus impliqués et souvent moins protégés, les chefs d'entreprise en situation de faillite ou fermeture vivent plus intensément que les salariés ces conclusions comme d'insupportables échecs personnels. Dans l'opinion publique et médiatique, le chef d'entreprise n'est jamais dépeint comme une victime. Et pourtant, confrontés à une charge de responsabilité plus importante que la plupart des salariés, et mis à rude épreuve par la crise économique, ils seraient, selon les calculs de l'Observatoire de la santé des dirigeants de PME, deux à se suicider chaque jour. 
 C'est chez les agriculteurs indépendants à leur compte que les taux de suicide sont les plus élevés. Enfermés dans des campagnes, dans des activités adjointes à la solitude, le suicide est l'égal du cancer ou des maladies cardiaques comme première cause de mortalité de cette profession. 
 Que survienne un imprévu majeur, et la santé du chef d'entreprise peut se transformer rapidement en une situation grave. Dans son activité de direction le chef d'entreprise dispose du choix de direction de son environnement, et il est rarement confronté à subir le choc d'un environnement sur lequel il n'a pas de pouvoir. Un impayé, un contrôle fiscal, un client ou salarié harceleur, la perte soudaine d'un gros client, un accident mortel d'un collaborateur, l'obligation de licencier plusieurs salariés font perdre à l'entrepreneur ses envies, ses moyens et son assurance. 

 Deux patrons par jour se suicident en France. En cas d'échec, les dirigeants subissent non seulement le dépôt de bilan, anéantissement de toute une vie de travail, mais aussi parfois la saisie de leur maison et de leurs biens personnels. Un phénomène d'autant moins visible que les patrons ont tendance à minimiser leurs problèmes de santé. Les spécialistes de la souffrance au travail considèrent que la souffrance résulte d’un état de domination. Le patron étant le "dominant", il ne peut pas souffrir. Le dirigeant de PME est dans un management de proximité. Lequel se distingue du "management second" en vigueur dans les grandes entreprises. Les suicides de patrons, et notamment des dirigeants de PME, d'artisans ou de commerçants n'ont jamais été aussi nombreux. Surendettement, dépôt de bilan, licenciements, contrôles fiscaux sont les premières raisons… Le phénomène a pris tellement d'ampleur que de nombreux tribunaux de commerce mettent en place actuellement des cellules psychologiques d'accompagnement à l'échec...
"Je ferai de la droiture une règle, et de la justice un niveau. Et la grêle emportera le refuge de la fausseté, et les eaux inonderont l'abri du mensonge"  (Isaïe 28,17)

mardi 14 janvier 2014

NOUVELLES DU MONDE : Ne mettez pas votre confiance dans les princes [...] qui n'ont pas en eux le salut !

Il est des moments où une pause obligatoire (suite au décès de mon père en l'occurence) vous interdit de continuer à écrire comme d'habitude et vous permet ensuite finalement de réfléchir un peu à ce que l'on fait..
Ainsi j'aurais bien envie quelquefois de parler davantage de ce qui se passe dans notre pays plutôt que de spiritualité d'autant que l'un n'est pas sans influence sur l'autre…

Ainsi en est-il de cette loi du mariage pour tous qui nous avait préoccupé en son temps et qui constituera à n'en pas douter un écueil de plus dans la vie des enfants à venir qu'ils soient orthodoxes ou rien du tout : Voilà le bilan fait par le magazine Le Point

 
"Environ 7 000 mariages ont été célébrés entre des personnes de même sexe sur un total de 238 000 unions en France en 2013, a annoncé mardi l'Institut national de la statistique (Insee). Parmi les couples mariés à la suite de la loi du 17 mai 2013 ouvrant le mariage et l'adoption aux couples homosexuels, trois sur cinq sont des couples d'hommes, précise l'Insee.
Au sein des couples de même sexe, les hommes se sont mariés à 50 ans en moyenne et les femmes à 43 ans, contre respectivement 37 et 34 ans pour les mariés de sexe différent. "Les mariés de même sexe de 2013 sont ainsi plus âgés que ceux de sexe différent, mais cette différence est sans doute pour partie liée au fait qu'il s'agit de la première année d'ouverture du mariage aux conjoints de même sexe", peut-on lire dans la dernière publication de l'Insee consacrée aux mariages."
Lire la suite de l'article du Point ici
En fait on ne voit pas pourquoi les homosexuels, au bout d'un moment , accorderaient davantage de valeur au mariage que les hétéros, les divorces ont d'ailleurs commencé semble-t-il...

Le Point est loin d'être ma seule référence mais ce magazine sérieux produit  des articles qui attirent souvent mon attention par leur pertinence.

 Je ne cesse de penser au psaume qui donne ce judicieux conseil  "Ne mettez pas votre confiance dans les princes" : comment peut-on faire preuve de tant d'hypocrisie et de cynisme ou bien alors de naïve autosatisfaction extrême quand on prend connaissance dans cet article de l'évaluation de la future retraite de notre premier ministre dont on connaît la popularité plus basse que jamais (25 % d'opinions favorables) mais qui prétend toujours être près du peuple, défendre le peuple, vouloir let tout faire pour le bien du peuple, préoccupé de réduire juste avant de supprimer les injustes inégalités sociales, bref un gouvernement so-cia-lis-te si vous n'aviez pas compris ! Eh ! au fait ne dit-on pas qu'il est chrétien ? Alors cet article a tout à fait sa place dans mon blog.
Regardez plutôt et évaluez votre propre retraite et vous m'en direz des nouvelles car quand dans notre splendide république on élit démocratiquement quelqu'un voilà à quoi il faut s'attendre :

Le caricaturiste a fait preuve à mon avis de beaucoup d'imagination quand il a affublé le premier ministre de tels haillons

 "Voyons d'abord la retraite de Jean-Marc Ayrault : (...)
d'abord, 2 000 euros par mois comme ancien maire de Saint-Herblain, puis de Nantes ; 2 000 euros de plus comme ancien président du district de l'agglomération nantaise, puis de la communauté urbaine ; et 1 800 euros encore au titre de l'Éducation nationale, puisque Jean-Marc Ayrault est toujours officiellement "professeur d'allemand depuis 1973", selon sa dernière biographie officielle. Une carrière de professeur pour le moins fictive, mais prise en compte par l'administration si son fonctionnaire a continué à "cotiser", même s'il n'exerce plus, et même si les cotisations en question sont plus ou moins fictives et plutôt plus que moins. Mais passons ! C'est un autre débat.
Nous en sommes à 5 800 euros par mois auxquels il faut ajouter une retraite de conseiller général que nous allons oublier (impossible d'avoir des informations), mais surtout une pension "plein pot" d'ancien député, de 6 650 euros par mois, à quoi s'ajoutent 2 500 euros environ en tant qu'ancien président de groupe à l'Assemblée nationale. Soit un total de 14 950, arrondi à 15 000, soit 180 000 euros par an. Tout cela, bien entendu, sans compter sa retraite d'ex-Premier ministre, impossible à prévoir aujourd'hui... Arrivé à ce stade et dans l'hypothèse où Jean-Marc Ayrault, qui aura 64 ans le 25 janvier, bénéficierait de sa retraite pendant une vingtaine d'années, Charles Gave se pose la question de savoir de quelle fortune devrait disposer un indépendant non salarié et non fonctionnaire pour s'offrir pendant vingt ans une retraite identique de l'ordre de 180 000 euros par an, laquelle est, de plus, garantie par l'État français.(source L'exorbitante retraite d'Ayrault !"

Compris ? Alors calculez combien de ministres et d'élus vont profiter de nos impôts à vie ! Et surtout n'est-ce pas, n'oubliez pas (surtout si vous êtes plutôt modernistes…) quand vous irez à la Liturgie Dimanche, de bien prier "pour ceux qui nous gouvernent" on ne sait jamais !