Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
Affichage des articles dont le libellé est abus de pouvoir. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est abus de pouvoir. Afficher tous les articles

dimanche 20 octobre 2024

UN ANNEAU POUR LES GOUVERNER TOUS…

 Ὁ δὲ μείζων ὑμῶν ἔσται ὑμῶν διάκονος.

Mais le plus grand d'entre vous sera votre serviteur ;

Ὅστις δὲ ὑψώσει ἑαυτόν, ταπεινωθήσεται: καὶ ὅστις ταπεινώσει ἑαυτόν, ὑψωθήσεται.
et quiconque s'élèvera sera abaissé, et quiconque s'abaissera sera élevé 
(Luc 14-Mathieu 23, 11-13)
    
    «  L'autorité que les institutions religieuses acquièrent (et manifestement exercent) dans les sociétés de toutes les époques est une conséquence de l'investissement de la religiosité par le besoin résolu de protection de soi de l'individu. C'est pourquoi tout doute concernant cette autorité (des institutions et des personnes qui l'incarnent) est vécu comme une menace pour l'individu, une menace pour cette sécurité existentielle — ceux qui s'opposent aux institutions ou les rejettent sont considérés comme des ennemis, souvent comme des ennemis mortels. 
     Cela semble être l'explication du fanatisme, parfois du fanatisme aveugle et sans hésitation, qui fleurit dans les environnements religieux, ou du fait que les guerres de religion sont parmi les plus horribles de l'histoire. La même explication doit également s'appliquer au phénomène du totalitarisme, qui, en tant que mode d'exercice du pouvoir, est né historiquement des institutions religieuses et continue comme un syndrome typique dans presque toutes les formes de vie religieuse organisée (avec des structures exécutives efficaces).
   Par le mot totalitarisme, j'entends la revendication et la tentative (systématiquement organisée) d'une autorité gouvernante de contrôler l'ensemble de la vie, publique et privée, de ceux qui sont sous son autorité, avec pour but de subordonner tous les aspects de la vie (même les convictions, les intentions et les jugements des individus) aux règles établies par cette autorité. Le fait qu'une telle revendication puisse être formulée, mise en place comme un régime organisant la société dans son ensemble, ne peut être simplement le résultat d'une imposition d'en haut. La conformité de la pensée, du jugement et des intentions des individus avec les lignes tracées par l'autorité présuppose en premier lieu un groupe social qui est volontairement (et peut-être avec plaisir) enclin à faire une telle soumission — c'est sur cela que repose l'imposition générale de la revendication. Sans cette masse critique donnée, ou l'inclination latente (et peut-être inconsciente) à la soumission, aucune force ne pourrait imposer et maintenir un régime totalitaire. La soumission et l'obéissance aux ordres venus d'en haut sont, dans la plupart des cas, le résultat de la peur de devenir adulte, la peur de la liberté — un produit de l'instinct de préservation et de protection de soi. Cependant, l'exercice du pouvoir, la capacité de subordonner les autres à soi et de les diriger, constitue un autre type de plaisir supérieur à tout autre — un produit de la satisfaction de l'instinct (tout aussi aveugle) de domination. Avoir autorité sur la pensée, le jugement et la volonté de ses semblables, exercer une autorité « spirituelle » sur eux, dicter leur comportement et leurs pratiques quotidiennes, dominer leurs attitudes psychologiques et contrôler leur relation avec le transcendant doit être équivalent à un sentiment enivrant de pouvoir et d'affirmation de soi. En même temps, la personne qui exerce un tel pouvoir est vénérée par ceux qui ont pris plaisir à se soumettre à lui. Il suscite leur respect. Ils l'honorent ; ils l'admirent. Sa présence évoque la crainte, voire l'extase, principalement lorsque l'autorité qu'il exerce se manifeste non pas comme un pouvoir séculier mais comme un pouvoir supra-mondain, reflétant une autorité métaphysique et jugeant l'avenir éternel des êtres humains, qu'ils « périssent » ou soient « sauvés ». La personne qui exerce un tel pouvoir est alors considérée comme un être presque au-delà des limites du naturel. Il est enveloppé dans la splendeur du sacré. L'imposition de son autorité est irrésistible.
    Le pouvoir irrésistible de l'autorité religieuse est également inévitablement recherché par des individus qui ont peu ou pas de chance de gagner le respect de leurs semblables par leurs propres mérites et leurs propres efforts. Il est difficile pour quiconque de déterminer quand, de manière inappropriée ou indigne pour le bien de la fonction, des individus de ce type (dans presque toutes les traditions religieuses) ont assumé les apparences extérieures ou les marques objectives qui font immédiatement ressortir la « forme » du fonctionnaire et rendent le respect pour lui une exigence. Les robes cléricales comme tenue quotidienne en sont une indication, tout comme les cheveux longs et la barbe—ou, alternativement, une couronne tonsurée et un visage rasé de près. Les révérences, les baisers de main et les prosternations ont également été adoptés pour montrer le respect envers ceux qui exercent un pouvoir sacré, tandis que (sans doute inconsciemment) ce qui est aussi satisfait de cette manière est le besoin de beaucoup d'être confirmés dans leur soumission et le plaisir de quelques-uns à en être les bénéficiaires. 
     Ce qui est inexprimable, inconcevable, invisible et incompréhensible, qui est le domaine dans lequel l'humanité mène sa quête métaphysique, est très facilement substitué par des convictions infrangibles, des dogmes sacrés et des canons saints, dont la gestion exige une autorité renforcée par des prérogatives, des droits et le pouvoir incontesté de les imposer. La nature —le besoin de préservation de soi, de domination, de jouissance par l'individu de sécurité et de plaisir — est toute-puissante. Elle triomphe de nos tentatives humaines de sortir des limites asphyxiantes de la mortalité et de l’ignorance.»

Christos Yannaras

Version française par Maxime le minime 

d'un extrait de l'ouvrage Against Religion



"Un Anneau Unique pour les gouverner tous, un Anneau Unique pour les trouver, un Anneau Unique pour les amener tous et tous les lier dans les Ténèbres." . R. R. Tolkien  in La Communauté de l'Anneau (1954).

samedi 11 juin 2022

« Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire » – Ariane Bilheran



Ariane Bilheran est diplômée de l’École normale supérieure (Ulm), psychologue clinicienne, Docteur en psychopathologie et philosophe. Spécialiste de la psychologie du pouvoir, elle a prononcé des conférences en France et à l’étranger sur les thèmes de la paranoïa, de l’emprise, du harcèlement, de la manipulation et de l’autorité. Elle a également publié de nombreux ouvrages consacrés à la littérature, la poésie, la philosophie ou la psychologie.

« Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire » – Ariane Bilheran



Ariane Bilheran est diplômée de l’École normale supérieure (Ulm), psychologue clinicienne, Docteur en psychopathologie et philosophe. Spécialiste de la psychologie du pouvoir, elle a prononcé des conférences en France et à l’étranger sur les thèmes de la paranoïa, de l’emprise, du harcèlement, de la manipulation et de l’autorité. Elle a également publié de nombreux ouvrages consacrés à la littérature, la poésie, la philosophie ou la psychologie.

mardi 29 décembre 2020

Démystifier le vaccin contre le virus Corona par le moine agiorite Paul


par le Moine Paul de la Sainte Montagne, biologiste, MD Biologie moléculaire et biomédecine

C'est avec tristesse et émerveillement que nous observons un événement sans précédent dans l'histoire du monde [1]. Au nom de «l'amour» des personnes âgées et des plus vulnérables, la vaccination est programmée pour toutes les personnes du monde entier, afin d'exterminer l'implacable «ennemi invisible», connu sous le nom de virus Corona SARS-Cov2 (COVID19):

• Un cadre juridique nécessaire qui abolira le droit au choix individuel et «défendra» le droit aux prestations de santé publique (loi 4675/2020 pour la Grèce) [2]

• Un autoritarisme gouvernemental d'accompagnement pour le faire respecter.

• Créer une demande et des attentes pour le vaccin (terrorisme-lavage de cerveau par les médias avec le dilemme «vaccin ou incarcération sociale-isolement»).

• Financement unilatéral pour la production du vaccin, pour les contrôles par essais cliniques, pour la production de masse en grandes quantités et pour la livraison dans tous les coins de la planète - aux dépens de la recherche pour trouver et produire des antiviraux spécialisés.

Ce ne sont là que quelques-unes des étapes du protocole déjà implémentées pour atteindre cet événement marquant. Les hommes d'affaires, les journalistes, les responsables gouvernementaux et les ONG internationales propagent presque quotidiennement le vaccin comme une baguette magique qui permettra supposément à l'humanité de revenir à l'ère pré-COVID. D'autre part, au lieu de la communauté scientifique (à l'exception d'une élite excessivement projetée et obsédée par les vaccins), stigmatisant cette désinformation, elle a gardé un «silence de poisson» sur ce que les gens devraient vraiment attendre du vaccin, avec le à l'exception de quelques exemples inspirés, comme le professeur Dr. Yannis Ioannidis [3]. En fait, rien ne ne justifie moins la vaccination mondiale que cette «pandémie» spécifique  l. Voyons pourquoi:

1. Le taux de mortalité particulièrement faible de la maladie, mais aussi sa répartition par âge, indiquent clairement que la vaccination, chaque fois qu'elle devient possible, doit être ciblée. Ce pourcentage est pour l'instant surévalué fictivement (~ 2,5%): d'une part, en raison de la surreprésentation des cas sévèrement positifs du virus [4], et d'autre part, compte tenu du nombre de morts COVID a également inclus les décès de cas trouvés positifs pour COVID mais avec d'autres maladies sous-jacentes (pas le syndrome respiratoire du SRAS) [5]. Des études récentes qui ont estimé le nombre de décès par rapport au nombre réel de personnes exposées au virus - sur la base de tests sérologiques (tests d'anticorps) dans une zone géographique spécifique - ont déterminé que ce pourcentage est de l'ordre de grandeur de la grippe saisonnière (certainement <1%) [6].

Il convient de noter que même si l'épidémie réapparaît, comme c'est le cas pour la grippe, le système de santé y fera face plus efficacement, car il existe maintenant une expérience dans la gestion de la maladie (plus de USI). Par conséquent, les erreurs du «type italien» ne se reproduiront pas, ce qui entraînera une nouvelle réduction du taux de mortalité. Sur la base de ce qui précède, même si un vaccin sûr et efficace est produit (ce qui est particulièrement difficile pour la biologie des virus corona), il peut être justifié de ne l'administrer qu'à des groupes à haut risque, comme c'est le cas avec le vaccin contre la grippe saisonnière. Inutile de dire qu'il n'est pas justifié de l'administrer à des enfants - qui sont dans leur grande majorité asymptomatiques, ni à des personnes qui ont été exposées et sont immunisées contre le virus (test d'anticorps positif), étant donné qu'elles ont déjà ce que le vaccin aurait. leur ont donné.

2. Le virus Covid19, contrairement à la grippe, affecte principalement les personnes des troisième et quatrième groupes d'âge, où se produit le phénomène de sénescence immunitaire [7], c'est-à-dire la réduction de la taille, de la qualité et de la durée de leur réponse immunitaire-protection - ce qui peut survenir après avoir été vacciné. En d'autres termes, l'immunité active induite par le vaccin peut ne pas être capable de protéger les personnes âgées, qui sont la «cible» par excellence du virus corona; par conséquent, la découverte d'une thérapie antivirale devrait être une priorité - en supposant que la protection des personnes âgées est en fait ce qui est souhaité.

3. En lien avec ce qui précède,  l'insuffisance respiratoire aiguë chez les patients gravement malades, survient par un mécanisme immuno-pathologique (une «tempête» produisant des cytokines inflammatoires et réduisant la réponse immunitaire médiée par les CD4 et CD8 T [8]). On craint sérieusement que la vaccination aggrave cette complication immunitaire en cas d'infection virale ultérieure et aggrave par conséquent l'évolution clinique du patient. Un effet similaire a été observé avec le vaccin contre le coronavirus FeCoV, qui affecte les chats et provoque une péritonite. [9].

4. La logique de l'éradication d'une maladie infectieuse grâce à la vaccination mondiale présuppose d'une part l'existence d'un vaccin très sûr et très efficace et, d'autre part, surtout qu'il n'y ait pas d'autres hôtes du virus dans l'environnement naturel . Autrement dit, l'homme doit être la seule espèce à pouvoir héberger le virus. C'est vrai pour le virus de la polio, mais cela ne s'applique pas au coronavirus, car toutes les recherches suggèrent que le virus provient de chauves-souris. Inconnu et controversé reste le lien intermédiaire (hôte?) Qui l'avait transporté depuis les grottes des chauves-souris de la ville de Wuhan. En tout cas, la disparition du virus grâce à la vaccination mondiale ne serait que temporaire - en d'autres termes, un terrible gaspillage de ressources,

5. Les coronavirus, étant des virus à ARN, mutent rapidement, gagnant en diversité génétique et donc antigénique. Cette diversité, en particulier pour les coronae, augmente également par recombinaison d'ARN, en raison du mode de transcription particulièrement incohérent des ARN viraux. Deux types ont déjà été identifiés pour le SRAS-Cov2, S et L [11, 12]. Il est douteux qu'un vaccin puisse offrir à la fois une couverture égale pour toutes les souches du virus qui émergent, ainsi qu'une protection permanente dans le temps, soulignant une fois de plus l'importance et la priorité de trouver des médicaments antiviraux contre le coronavirus. Il est donc fort probable qu'avec le temps, une vaccination mondiale évolue vers des vaccinations mondiales régulières.

Cela pourrait-il être le but? Peut-être que la corona est le prétexte tant attendu pour lancer la transition universelle vers une biologie humaine hybride, où le corps humain sera protégé, renforcé et finalement dépendant des technologies de la plateforme (génie génétique, interface numérique) grâce à des mises à jour régulières de vaccinations. Mais pourquoi toute la ruée vers un vaccin qui non seulement ne promet pas grand-chose, mais qui inquiète la communauté scientifique, surtout s'il est produit à la hâte et mis en œuvre en masse? Enfin, les industries pharmaceutiques sont-elles au service de l'homme ou est-ce le contraire?

La réalité est que ~ 99% des personnes infectées par le coronavirus survivent. L'accent (c'est-à-dire le financement) doit être mis sur la manière de cibler le 1% de ceux qui ne survivent pas, malgré une multitude d'options pharmaceutiques (immuno-modulateurs, anticorps monoclonaux, inhibiteurs de l'ARN polymérase, protéases, etc.). Déjà, les premiers résultats de la forme d'hydroxychloroquine-azathromycine [13] ainsi que d'un anticorps monoclonal ciblant la glycoprotéine superficielle S du virus [14] sont très encourageants.

Bien entendu, le développement d'un vaccin sûr et efficace fait également partie d'une stratégie antivirale. Cependant, comme analysé, sa production forcée (1 an au lieu d'au moins 6 ans) avec autant de lacunes dans la connaissance de la biologie de la couronne n'est pas indiquée - encore moins sa mise en œuvre de masse obligatoire. C'est une déchéance scientifique tragique (sinon absurde) à l'ère de la biologie moléculaire - dont le but est de fournir à la médecine des traitements spécialisés (voire personnalisés) minimisant les effets secondaires - qu'il y ait discussion uniquement sur l'intervention dans 100% de la population humaine. , afin de «protéger» 1% de celui-ci contre un virus grippal, avec une demi-mesure pharmaceutique suspecte. C'est tout simplement une mauvaise approche,

L'homme, en tant qu'être rationnel avec une pensée critique, a la capacité de choisir volontairement tout ce qui est recommandé par la médecine et la biotechnologie en faveur de sa santé, tout en assumant simultanément les conséquences de ces choix, étant donné que les interventions dans le corps humain sont rarement sans côté. effets. Les vaccins n'échappent pas à cette règle. [15] Le choix de ne pas être vacciné ne met pas en danger la santé publique, tant qu'il n'abolit pas le droit d'une autre personne de recevoir le vaccin - et avec lui, toute protection qu'il offre. Il va donc de soi que la responsabilité de la décision finale pour recevoir un vaccin appartient à la personne vaccinée, car elle devra nécessairement vivre avec les complications qui pourraient survenir. Aucune compensation éventuelle ne peut restaurer des dommages irréversibles à la santé physique et mentale d'une personne.

On peut percevoir d'après ce qui précède que la loi relative à la vaccination obligatoire [2] et la propagande associée en faveur du vaccin - sous le prétexte du virus Covid19 - n'ont ni origine ni référence scientifiques. Ils ne défendent pas mais sapent plutôt le bien de la santé publique, et ils rendent possible les intérêts financiers monstrueux en jeu, ainsi que l'agenda obscur de certains «grands frères» aux appétits de pouvoir. Enfin, ils militent contre la liberté de l'esprit et du corps d'une personne. En tant que tels, ils devraient être rétractés à un niveau scientifique, juridique et principalement spirituel.

Le climat dans lequel ces schémas sont développés et consolidés est la peur. Les Mass Media of Intimidation créent et maintiennent soigneusement ce climat. La peur est une puissante force intérieure de l'homme; il peut paralyser sa volonté, mais il peut même l'acier. La question est de savoir dans quelle direction une personne dirige cette peur. S'il la tourne vers Dieu, le seul digne d'être craint (Luc 4: 5), alors il recevra en retour l'illumination, l'audace et le courage - selon ses paroles: «ayez courage, car j'ai vaincu le monde» (Jean 6:33). Si une personne reste concentrée sur les phobies de cet âge, elle recevra en retour encore plus d'anxiété, de confusion et de lâcheté, selon le psaume: «ils se recroquevillaient dans la peur, là où il n'y avait pas de peur» (Psaume 5: 5). La persistance intentionnelle à dé-sanctifier le sacrement de la Sainte Communion n'est pas par hasard;

Chaque fois que l'on mentionne la salive, les cuillères et autres - par ceux qui ont ciblé la Sainte Communion - le miracle vient à l'esprit de l'aveugle né (Jean 9). Le Seigneur, par une action «sanitairement inacceptable», a restauré les yeux de l'aveugle! Il a mélangé sa salive (un moyen de propager des virus et des bactéries) avec de la terre (une source de millions de germes) et a «étalé» le mélange d'argile sur les orbites de l'aveugle (conjonctive muqueuse: un point d'entrée pour les germes et le début de l'infection). Nous connaissons ce qui s’est ensuivi, tout comme nous savons qu’aucune science n’est capable de ce résultat. Tout simplement, si elle avait eu lieu aujourd'hui, en dehors des pharisiens de l'époque, parmi les accusateurs de Jésus se trouveraient également certains spécialistes des maladies infectieuses à l'esprit étroit.
Je prie du plus profond de mon cœur que Dieu les rendra dignes d'expérimenter la puissance du sacrement. Le Seigneur est là et les invite. Il ne les obligera jamais ...

Moine Paul de la Sainte Montagne
Biologiste, MD Biologie moléculaire et biomédecine 
Vouleftiria, Holy Mountain. 

mercredi 31 juillet 2019

QUAND L'ÉTAT, ÂPRE AU MOINDRE GAIN, EST ARRÊTÉ DANS SA CUPIDITÉ INSATIABLE…😂

sur actu.fr

Elle ramasse le ticket égaré d’un gagnant de l’Euromillions : le joueur lui verse 12 millions d’euros

L'histoire est digne d'un roman. En 2011, le deuxième plus gros gagnant français à l’EuroMillions avait perdu son ticket... C'est un badaud qui l'a retrouvé. Ils ont partagé...


Elle retrouve le billet gagnant dans la rue et réussit à partager les gains avec le (vrai) gagnant, la chance !
Elle retrouve le billet gagnant de l’Euromillions dans la rue et réussit à partager les gains avec le (vrai) gagnant : quels chanceux ! (©Illustration / Adobe Stock)

Cette histoire rocambolesque pourrait faire l’objet d’un film ! Le 13 septembre 2011, alors que la deuxième plus grosse somme gagnée à l’Euromillions tombe, soit 163 millions d’euros, le vainqueur égare son précieux sésame dans la rue… Ce dernier avait validé son bulletin dans le Calvados.

Une histoire incroyable

C’est une dame qui retrouve par hasard le fameux ticket gagnant dans la rue. Elle se rend le soir du tirage à la Française des jeux. Le (vrai) joueur s’est également rendu à la Française des jeux (FDJ) quelques jours plus tard, en indiquant avoir égaré le reçu et en fournissant toutes les précisions et justifications de nature à établir qu’il était bien l’acheteur du billet.
Face à cette situation assez incroyable, la FDJ a d’abord refusé de verser la somme à l’une ou l’autre des personnes. Dans son règlement, seul le joueur réel avec son reçu peut toucher la somme.
La FDJ leur a donc demandé de se mettre d’accord. Le 5 octobre 2011, ils y sont parvenus : le gagnant a versé 12 de ses 163 millions à la dame qui avait retrouvé le ticket.

Des gains non imposables

Cette fabuleuse histoire ne ressort qu’en ce mois de juillet 2019 grâce au Dauphiné Libéré, qui a repéré l’arrêt de la cour administrative d’appel de Paris
En effet, le 27 juin 2019, le ministère de l’action et des comptes public réclamait que la chanceuse aux 12 millions d’euros paie l’impôt sur le revenu, alors que les gains aux jeux ne sont pas imposables à ce titre, contrairement aux dons. 
La cour administrative d’appel a donné raison à l’heureuse élue, et condamné l’État à lui verser la somme de 2 000 euros. 

Cet arrêt de la CAA de Paris du 27 juin 2019 est le meilleur scénario de comédie française de l'année

View image on Twitter

73 people are talking about this

mercredi 27 mars 2019

"PATRIARCHE" ? "PÈRE SPIRITUEL" ? "ÉGLISE MÈRE" , Ah bon ?!!!

Je vais dire une chose très simple à propos des agissements de « sa T.S. » Bartholomée sans m'encombrer plus longtemps des savantes controverses canoniques dont au vrai je me fous des fausses raisons qui au final ne servent qu'à fonder le mensonge.



La légitimité ultime proclamée selon laquelle le Patriarche de Constantinople Bartholomée peut agir quand il le veut, comme il le veut, où il le veut et faire ce qu’il veut, sans s’occuper de l’avis de qui que ce soit, et même pas des intéressés eux-mêmes, c’est qu'il a proclamé qu’il est le Patriarche de… « L’ÉGLISE MÈRE » de l’Église de la Russie. 

Alors je dis, comme je l’ai dit dans un autre article* à propos de la soi-disant paternité spirituelle de Bartholomée :

Sacrée conception de la maternité !

Imaginez qu’à l’âge mûr, quand vous avez fait et organisé votre vie et fondé avec amour et fierté une nouvelle famille, avec succès de surcroît, avec votre propre descendance, fidèle aux valeurs et aux principes que vous avez souhaité transmettre et perpétuer, soudain votre génitrice prenne prétexte de son statut ancien de mère pour non seulement se mêler de vos affaires, mais les bouleverser, troubler vos enfants, les manipuler, les contraindre, les menacer, et par là même vous nier tout droit à vous en occuper comme vous l’avez fait si bien jusqu’à présent…`

Non mais, vous accepteriez ça sans étonnement, sans indignation voire colère, sans broncher aucunement, et vous laisseriez tout votre héritage entre ses mains prédatrices ?

Mais qui pourrait accepter cela ?!

*NOTE : J’avais en effet écrit dans un article précédent, au moment où Bartholomée avait convoqué au Mont Athos en 2008 environ 600 policiers, dont 200 des membres des forces anti-émeutes de la police grecque, bloquant tous les accès au monastère d'Esphigmenou pour expulser ses 105 moines qualifiés  de « menaces nationale » suite à leurs critiques de la stratégie œcuméniste du patriarche et à leur refus de le commémorer dans leurs dyptiques…
"Un père qui n’est capable de répondre à ses propres enfants révoltés (à beaucoup d’égards à juste titre) que par l’appel à une force brutale extérieure à sa famille est-il digne d’être appelé père ? Quelle est l’authentique autorité spirituelle d’un tel père ? 
L’enseignement du Christ nous place constamment devant notre propre responsabilité dans ce qui nous est extérieur et nous irrite ou nous gêne chez autrui. Le Patriarche «de Constantinople» s’il veut conserver ce noble titre n'est-il pas appelé à se poser la question de la responsabilité passée et présente de son patriarcat vis-à-vis de ces 105 moines révoltés d’Esphigmenou, fussent-ils des sortes de Pharisiens forcenés. Pourquoi et comment en est-on arrivé jusqu’à ce point ?


Voilà une Institution – car pour le coup on ne saurait plus donner d’autre nom à ce ministère sacré que celui-là – qui non seulement a été imprévoyante mais qui aggrave chaque jour davantage, par sa façon répétitive et erronée de réagir, le problème que pose ce monastère à son fonctionnement hiérarchique. A une forme indéniable et chrétiennement irrecevable de violente colère doit-on répondre par une réponse de même type ? La force a déjà été utilisée… en vain. La seule solution est-elle d’augmenter l’intensité de la force employée. Toujours plus du même pour toujours plus d’erreur ?



Où est passé l’Amour ?
Est-il donc préférable et plus facile de dialoguer et faire preuve de concessions, disons d’ «amour» avec toutes les autres confessions, religions voire institutions athées sous le noble prétexte poltiquement correct de l'oecuménisme qu’avec ses propres frères ? L’admiration à peine voilée pour l’ex Patriarcat romain et la secrète ( ?) ambition de l’égaler pour se partager le monde religieux chrétien doit-elle aller jusqu’à imiter ce qui n’a même plus cours à Rome à savoir l’excommunication et bientôt l’Inquisition ? Car enfin, même à Rome, on a réussi à réintégrer la majorité des révoltés traditionnalistes contre les conséquences de Vatican II … Le Patriarcat dit œcuménique de Constantinople n'a jamais été un état comme le Vatican ou le Tibet, il ne saurait avoir les mêmes prétentions ni les mêmes revendications, mais il aurait pu être un véritable témoignage de la lumineuse foi chrétienne persécutée, du petit troupeau qui ne doit pas craindre car le Seigneur a vaincu. 

Il aurait pu être un authentique phare spirituel pour toute l'Orthodoxie, toute la Chrétienté, voire toute l'humanité (comme est souvent abusivement présenté le Dalaï Lama) vivant dans sa faiblesse mondaine mais dans sa force pneumatologique le martyre de l'unique Église, confiante en son Seigneur.
Au lieu de cela, ce qui est devenu de plus en plus une simple administration à vocation internationale, néglige, abandonne ses propres fils voire ses propres ministres tout dévoués, placés à des postes clés pour servir une diplomatie hasardeuse, sans leur fournir d'ailleurs les moyens (peut-être réservés à d'autres campagnes autant coûteuses que vaines) pour la mettre en œuvre et pour courir après la reconnaissance du monde, par tous les moyens qui n’ont qu’un rapport indirect avec la foi orthodoxe et tout simplement avec le Christ Notre Seigneur..."  Maxime le minime avril 2008

Pour conclure on s'aperçoit que pour le Patriarche il y a "schismatiques" et "schismatiques"  : les uns sont réintroduits dans l'Église sans même qu'ils aient besoin de se repentir de quelque façon même hypocrite, quant aux autres  ils sont insultés, bousculés, condamnés, et expulsés manu militari de leur lieu de prière.
Pendant des années j'ai suivi les préceptes de Saint Païssios  sur la fidélité à conserver malgré l'indignation… mais je me pose la question : peut-on se sentir encore appartenir à une "famille" dont l'indignité paternelle et maternelle sont si manifestes ?

dimanche 20 janvier 2019

AFIN QUE SE REPENTENT LES GOUVERNANTS AU CŒUR DUR …

ET QU’ILS DEVIENNENT COMPATISSANTS, POUR QU’ILS NE TOURMENTENT PAS LE PEUPLE !


PSAUME 51


Pourquoi te glorifier de ta méchanceté, Puissant? 
Tout le jour, ta langue rumine l'iniquité et l'injustice; 
tu es comme un rasoir effilé, tu agis avec ruse. 
Tu préfères la méchanceté à la bonté, 
l’injustice à la droiture, en tes paroles, 
tu aimes toutes les paroles qui détruisent, 
langue perfide. 
C’est pourquoi Dieu te perdra à jamais, 
il t’arrachera de ta tente et te jettera dehors, 
il extirpera ta racine de la terre des vivants. 
Les justes verront, et ils seront saisis de crainte, 
et ils se riront de lui et diront : 
« Le voilà, l'homme qui n’a pas cherché en Dieu son secours, 
mais qui a mis son espoir dans l'abondance de ses richesses, 
sa force dans ses vaines ressources ». 
Et moi, je suis comme un olivier chargé de fruits 
dans la maison de Dieu; 
j’ai mis mon espérance dans la miséricorde de Dieu, 
pour l'éternité, et dans tous les siècles des siècles. 
Je te confesserai éternellement pour ce que tu as fait, 
et j’espérerai en ton Nom, 
car tes saints en connaissent la douceur.
in Les psaumes thérapeutiques
 de St Arsène de Cappadoce
(source)

dimanche 4 novembre 2018

La loi de la jungle, en Ukraine, ce pourrait être aussi la loi de l'entraide, de la coopération, de l'altruisme…


Si l’on écoute les sages paroles de cet homme de bonne volonté  (sans religion) à la recherche de la vérité et qu'on les applique à la situation catastrophique ukrainienne, on se questionne…



Vous croyez que Bartholomée est venu en Ukraine avec ces intentions ?
— C’est effectivement presque le discours qu’il a tenu – hypocritement – mais  en vérité il est juste venu imposer sa volonté.

Vous croyez  qu’il est venu dans cette contrée réellement pour proposer la coopération, l’entraide et apporter la paix ?

— Il a tout simplement fait comme tous ceux qui de nos jours ont été élus (laïcs ou religieux) pour diriger  une quelconque administration ou nation et gouverner,  et qui ont la prétention de savoir ce qui est juste et bon pour le peuple de leurs administrés et de leur imposer par la force leur volonté, sans rien connaître de leur vie réelle, de leurs difficultés, de leurs souffrances, de leurs besoins, de leurs désirs – car le peuple ne sait pas ce qui est bon pour lui n’est-ce pas ? 

Ce qui est déjà révoltant de la part de nos pseudo représentants politiques l’est encore davantage de la part d’un responsable religieux censé apporter la Bonne Nouvelle de l’AMOUR !!!
Quand on lit son discours, on s’aperçoit à quel point on peut faire un discours même chrétien (!) avec la pire des langues de bois, dont toutes les phrases sonnent creux, sous la plus belle et la plus élevée des apparences spirituelles…et c'est terrible.

"Malheur à vous … hypocrites"

samedi 22 septembre 2018

Du "droit" de confondre autorité et pouvoir en milieu ecclésiastique ?



Peu importent les justifications… qu'on aille les chercher dans l'Histoire plus ou moins falsifiée à son avantage, ou bien dans un Droit clairement créé et  institué par le plus fort soucieux de le demeurer, ou bien dans le "bon droit" de ceux qui stupidement ou hypocritement pavent avec soin l'Enfer de leurs "bonnes intentions", ou bien dans l'inouï "droit d'ingérence" inventé, pour l'occasion d'une invasion, au nom de la défense de la Démocratie et des "Droits de l'homme", il s'agit toujours d'invoquer une raison à l'apparence rationnelle et morale, pour imposer sa délirante domination, par tous les moyens, sur un maximum de territoires et de peuples… 

Mais même quand on utilise et manipule habilement la vanité, l'orgueil, l'ambition et la convoitise de tous ceux qui, tout prêts à toutes les plus basses et plus serviles collaborations, ont l'illusion de croire qu'ils ont fait le bon choix - celui du plus fort - persuadés qu'ils vont en tirer avantage et prendre enfin leur place dans l'organigramme des puissants de ce monde pour toujours…

Mais même quand on invoque pour cela un dieu façonné pour son propre profit, en développant l'idéo-théologie adéquate qui justifiera l'absence de scrupules, et le refus de voir et reconnaître son propre péché avec les conséquences mortifères évidentes qui en découleront pour des milliers d'innocents…     

… Il n'empêche que toutes ces manœuvres seront vaines, car tous les empires finissent par s'écrouler, emportant dans leur effondrement tous leurs éphémères puissants et avec eux leurs serviteurs aveuglés dans leurs illusions car…

Ces hommes-là sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ. Et cela n'est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n'est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice. Leur fin sera selon leurs oeuvres. (2 Corinthiens13-15)
Maxime le minime 

dimanche 16 septembre 2018

Bartholomée veut-il associer son nom à une nouvelle st Barthélémy ?



Nathalia VITRENKO, leader du parti socialiste progressiste d'Ukraine, présidente de la communauté des femmes orthodoxes d'Ukraine, condamne sévèrement l'action illégitime du président Porochenko, de Philarète et du patriarche de Constantinople Bartholomée. (traduction et sous-titres de Laurence)

LE MASSACRE DE LA SAINT BARTHÉLÉMY

Si une guerre civile fratricide sanglante
 explose en Ukraine,
 l'on pourra associer deux fois le nom de Bartholomée (ou Barthélémy) dans l'Histoire
à une abomination…


SAUVE TON PEUPLE SEIGNEUR
 ET BÉNIS TON HÉRITAGE,
 ACCORDE À TES FIDÈLES
 LA VICTOIRE SUR LES ENNEMIS ET SAUVEGARDE PAR TA CROIX
 LES NATIONS QUI T'APPARTIENNENT !


samedi 15 septembre 2018

"Ces hommes auront beaucoup de mal à répondre devant Dieu"

Nihil novum sub sole

Sur le blog de Claude on trouve la traduction d'une analyse du  prêtre André Novikov, documentée, détaillée, pertinente et percutante d'un discours du Patriarche de Constantinople Bartholomée, à la Synaxe des Archevêques du Patriarcat de Constantinople, qui a eu lieu à Istanbul du 1er au 4 septembre 2018 ; cette analyse a certes beaucoup de mérite d'un point de vue ecclésial et on ne peut qu'être d'accord avec la considération désolée de son auteur :
"Il est lamentable de voir comment, après tant de siècles de lutte contre le papisme romain, l'Église de Constantinople elle-même tombe dans la même hérésie, la même séduction que le papisme. L'imposition du pouvoir sur la plénitude de l'Orthodoxie par le Phanar, comme ce fut le cas avec le Pape en son temps, est une tentative présomptueuse et orgueilleuse de s'emparer de la position de "Chef [Tête] de l'Église" de Notre Seigneur Jésus Christ, de réviser l'ecclésiologie apostolique et patristique, de devenir au-dessus de l'Église, de détruire la structure canonique de l'Église, de priver les Églises locales de cette véritable liberté si caractéristique et distinctive qui a toujours été celle de la Sainte Orthodoxie. Le papisme du Phanar ose ignorer et annuler le podvig [exploit spirituel] de l'opposition au papisme occidental, baigné dans le sang des martyrs et dans la souffrance des confesseurs de la foi orthodoxe."

une image vaut mille mots…

+++++++++++++++++

Cependant il est à craindre que la division entre les Églises Orthodoxes s'installera durablement en Ukraine (mais pas seulement) où cela risquera de produire autant de sang que par le passé, si l'on juge à ce dont sont capables (comme ils l'ont déjà montré) les schismatiques ukrainiens, qui sont soutenus par les nationalistes néo-nazis n'hésitant pas à manifester leur haine de tout ce qui est plus ou moins lié à la Russie, par des incendies d'églises, des persécutions, des attentats, voire des massacres, et une guerre civile généralisée à l'horizon avec ces déplacements de populations… 

Évidemment, et tout simplement, à cause du projet mégalomaniaque d'un homme à l'ambition démesurée, fondée — selon la stratégie classique de ceux qui veulent abusivement prendre le pouvoir  — sur la falsification des textes fondateurs…mais pas seulement, car un coup de force, un coup d'état ne peut se faire qu'avec la certitude d'être soutenu par des forces adéquates puissantes. Cependant celles-ci ont un prix.  Ainsi quoi que puisse être l'apparence de la puissance constantinopolitaine obtenue (sur qui voudra bien l'accepter) il n'en demeurera pas moins une nécessaire et servile obéissance aux chefs de  la stratégie US pour faire avancer davantage en Europe le projet explicite de domination du monde entier. Les suprémacistes américains ne sont pas près d'abandonner leur projet, avec la totale bonne conscience qu'ils en ont le droit et …le devoir, Dieu et ses "chefs religieux", la Démocratie et la civilisation étant de leur côté, n'est-ce pas ?

À d'autres moments de l'Histoire certains ont eu une semblable devise:  
"Gott mit uns" ou "Allahu akbar"

Maxime le minime



vendredi 4 août 2017

Les temps changent… pas toujours dans le bons sens tout de même.


"La République à l'époque payait mal ses parlementaires et ses ministres, lesquels menaient des trains de vie modestes, sans commune mesure avec ce à quoi les récentes décennies nous ont habitués. Au surplus il n'y avait pas grand chose dans les assiettes,  pas plus pour les gens au pouvoir que pour les gens ordinaires, mais cela n'avait guère d'importance." 
Simone Veil in Une vie (Stock)