Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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mercredi 31 juillet 2019

QUAND L'ÉTAT, ÂPRE AU MOINDRE GAIN, EST ARRÊTÉ DANS SA CUPIDITÉ INSATIABLE…😂

sur actu.fr

Elle ramasse le ticket égaré d’un gagnant de l’Euromillions : le joueur lui verse 12 millions d’euros

L'histoire est digne d'un roman. En 2011, le deuxième plus gros gagnant français à l’EuroMillions avait perdu son ticket... C'est un badaud qui l'a retrouvé. Ils ont partagé...


Elle retrouve le billet gagnant dans la rue et réussit à partager les gains avec le (vrai) gagnant, la chance !
Elle retrouve le billet gagnant de l’Euromillions dans la rue et réussit à partager les gains avec le (vrai) gagnant : quels chanceux ! (©Illustration / Adobe Stock)

Cette histoire rocambolesque pourrait faire l’objet d’un film ! Le 13 septembre 2011, alors que la deuxième plus grosse somme gagnée à l’Euromillions tombe, soit 163 millions d’euros, le vainqueur égare son précieux sésame dans la rue… Ce dernier avait validé son bulletin dans le Calvados.

Une histoire incroyable

C’est une dame qui retrouve par hasard le fameux ticket gagnant dans la rue. Elle se rend le soir du tirage à la Française des jeux. Le (vrai) joueur s’est également rendu à la Française des jeux (FDJ) quelques jours plus tard, en indiquant avoir égaré le reçu et en fournissant toutes les précisions et justifications de nature à établir qu’il était bien l’acheteur du billet.
Face à cette situation assez incroyable, la FDJ a d’abord refusé de verser la somme à l’une ou l’autre des personnes. Dans son règlement, seul le joueur réel avec son reçu peut toucher la somme.
La FDJ leur a donc demandé de se mettre d’accord. Le 5 octobre 2011, ils y sont parvenus : le gagnant a versé 12 de ses 163 millions à la dame qui avait retrouvé le ticket.

Des gains non imposables

Cette fabuleuse histoire ne ressort qu’en ce mois de juillet 2019 grâce au Dauphiné Libéré, qui a repéré l’arrêt de la cour administrative d’appel de Paris
En effet, le 27 juin 2019, le ministère de l’action et des comptes public réclamait que la chanceuse aux 12 millions d’euros paie l’impôt sur le revenu, alors que les gains aux jeux ne sont pas imposables à ce titre, contrairement aux dons. 
La cour administrative d’appel a donné raison à l’heureuse élue, et condamné l’État à lui verser la somme de 2 000 euros. 

Cet arrêt de la CAA de Paris du 27 juin 2019 est le meilleur scénario de comédie française de l'année

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mercredi 18 novembre 2015

AU BATACLAN, LE DIABLE…





AU BATACLAN, LE DIABLE A ÉTÉ DANS LES DÉTAILS... 
L'histoire, mais vue sous un autre angle. Le Diable a joué un rôle très intéressant au Bataclan lors de cette nuit tragique. Le groupe se nommait déjà les "Eagles of Death Metal", c'est à dire "les Aigles de la Mort"... Mais le plus surréaliste est que le chanteur du groupe, un peu mégalo, se fait appeler "The Devil" (Le Diable). Au moment où les islamistes sont entrés dans la salle et ont commencé à arroser la foule des spectateurs avec leurs armes, le "Diable" avait commencé à chanter justement "Kiss the Devil" (Embrasse le Diable), et précisément le passage où il est question "d'embrasser la langue du Diable". Je n'invente rien.

Dingue... 
Ça a hélas donné le "la" pour une soirée vraiment infernale. A croire que ce soir là, le diable est venu leur rendre une petite visite sous les traits des islamistes pour dire qu'il n'était pas sourd. Ici leur video Youtube d'un concert précédent, et les paroles sont ici pour ceux qui auraient du mal à croire toutes ces coïncidences

.


Étrangement, cela me rappelle le concert d'Altamont des Rolling Stones, quand un spectateur a été tué par les Hells Angels, pendant que Jaegger chantait "Sympathy for the Devil" ou encore la folie qui s'était emparé de Charles Manson après le tournage du film "Rosemary's Baby". Pour la petite histoire, tout Hollywood sait que dans son histoire, un seul film a battu le record de morts lors d'un tournage. Ce n'est ni Cléopâtre, ni Ben Hur ou les Dix Commandements (où il y a eu des milliers de figurants), mais bien l'Exorciste, tourné juste avec quelques acteurs. 
PS: information à mettre en relation avec la précédente: le curé de Plestin les Grèves a decidé de détruire les statues représentant le Christ, les saints et Marie. "Le prêtre a volontairement poussé une statue de plâtre datant du XIXe siècle et représentant un Christ en pied. Elle s'est littéralement brisée au sol devant le regard médusé des personnes présentes, « qui ont été choquées », raconte Gérard Nicole, vicaire général du diocèse. Il aurait de plus accompagné son geste de l'interjection suivante: "Une de moins""... Dingue! Lire ici Le Telegramme, merci à notre lectrice très attentive Anne. Revue de Presse par Pierre Jovanovic ©  www.jovanovic.com 2008-2015
ATTENTATS DE PARIS : POURQUOI LE BATACLAN ? 
 Si le coeur de tous les Français est avec la famille des victimes innocentes (assassinées sauvagement par une bande d'islamistes persuadés d'être accueillis par une centaine de vierges à leur arrivée de l'autre côté), il est utile de rappeler que François Hollande et Nicolas Sarkozy portent une lourde responsabilité, et que de fait, leurs mains sont imbibées du sang de toutes ces victimes. Celles de Nicolas Sarkozy et de son ami BHL pour avoir déstabilisé la Lybie, celles de Hollande et de son ministre Fabius pour avoir suivi la politique folle d'Obama en Syrie.Les victimes de samedi, avant de mourir, ont eu le loisir d'entendre les explications des terroristes à ce sujet. Et elles étaient à mille lieues d'imaginer que l'engagement du PS en Syrie coiserait leur vie dans la salle de concert du... Bataclan.Comme vous, je me suis demandé tout le temps pourquoi cette attaque sur le... Bataclan. Cette question tournait dans ma tête car le choix de Charonne avait au moins un sens historique. Sorte de clin d'oeil que les organisateurs ont utilisé comme signature.Eh bien, imaginez que le Bataclan a servi pendant très longtemps de lieu de réunion annuelle pour le support et financement en France à l'armée... israelienne. Le Parisien et Le Point ont rappelé cette video instructive qui date de 2008.Point fascinant: le propriétaire historique a vendu le Bataclan à Arnaud Lagardère, il y a à peine quelques semaines de cela, pour repartir vivre en Israel: "La filiale de Lagardère poursuit sa diversification dans le business du spectacle vivant. Les Folies Bergère, Le Casino de Paris, 20% du Zénith et désormais le Bataclan: le développement de Lagardère Unlimited Live Entertainment n’en finit pas. La structure a annoncé qu’elle rachetait 70% de la salle de spectacle parisienne, aux côtés de ses gestionnaires actuels, Jules Frutos et Olivier Poubelle" lire ici Les Echos.Au moins, à la lueur de la video, on comprend mieux pourquoi le Bataclan a été si précisément ciblé par les terroristes: pour faire d'une pierre deux coups. 1) Lagardère est un marchand d'armes et ce sont ses armes, entre autres, qui servent à bombarder la Syrie. 2) Ensuite ça permet de rayer de la carte la salle qui a servi pendant des années au financement de Tsahal.C'est signé. En attendant, des âmes d'innocents sont parties de l'autre côté dans ce que l'on appelle un vrai massacre qui a révolté non seulement la France, mais toute la communauté internationale, ou presque. L'une de nos lectrices a très justement remarqué que si toutes les villes occidentales se sont mises aux couleurs de la France, avec des veillées, des jeux de lumières tricolores, des concerts, des marches, des chants, etc., en revanche peu ou pas de manifestations similaires dans les pays... musulmans. Mais ne faisons pas d'amalgame, comme on dit, c'est juste un oubli. PS: Un attentat meurtrier a eu lieu à Beyrouth juste avant ceux de Paris, mais celui-là n'a ému personne. En fait c'est comme s'il n'avait jamais eu lieu.PS2: Des esprits "malins" sont allés plus loin ce dimanche, et ont mis le feu à la mairie de Villejuif! "Le sinistre, a priori criminel, a ravagé le hall d’accueil ... "On nous a brûlé la piscine et maintenant, c’est la mairie" dit un habitant" Lire ici Le Parisien pour le croire, merci aux lecteurs.

samedi 14 novembre 2015

Attaques sur Paris



Évidemment ils ne sont pas restés en Italie (Al-hijra, ou la doctrine islamique de l'immigration) ou en Grèce

Les réactions orthodoxes après les attentats du 13 novembre à Paris,
- en plus de celle du métropolite Emmanuel, président de l’Assemblée des évêques orthodoxes de France
- L’archevêque Job de Telmessos a adressé un message dans lequel il annonce : “Je bénis que dans les paroisses de notre Exarchat soit célébré ce dimanche un office d’intercession “pour la nation en péril” et de chanter “mémoire éternelle” aux victimes.
- Le patriarche Cyrille de Moscou a exprimé ses condoléances au président François Hollande et à tout le peuple français (en français sur cette page).
- Le patriarche Daniel de Roumanie a diffusé un message de compassion et de solidarité avec le peuple français.
- Sur le site du Séminaire orthodoxe russe en France, cette note: “Pour la paix, unis dans la douleur avec le peuple français“.
- L’archimandrite Sava Janjic du monastère de Dečani au Kosovo a posté sur son compte Twitter plusieurs messages de condoléances et de solidarité avec le peuple français.
- L’archevêque Demetrios (Archidiocèse grec orthodoxe d’Amérique), durant une visite pastorale à Dallas, a exprimé sa profonde tristesse et sa condamnation de l’attaque terroriste barbare qui s’est déroulée à Paris.
- Le métropolite Tikhon, primat de l’Église orthodoxe en Amérique (OCA), a rendu hommage aux victimes du terrorisme en déposant des fleurs devant l’ambassade de France aux États-Unis (photographie ci-dessous, source). Il a ensuite, dans un discours en anglais et en français, présenté ses condoléances au peuple de France, aux citoyens de Paris et au président français. (SOURCE)

Commentaire sur sur le site boulevard Voltaire
Lorsque les quatre tueurs ont fait irruption dans la salle de concert du Bataclan, un témoin, un survivant, rapporte qu’ils ont crié « Allahou akbar ! ». L’un d’entre eux a prononcé quelques phrases où il était question de la Syrie. Puis ils ont ouvert le feu. Ils ont tiré aveuglément sur la foule des spectateurs. Ils ont tiré dans le tas. Au nom de Dieu. De leur Dieu. Le Dieu du carnage.
Ça devait arriver. On le savait. On ne savait ni où ni quand ni comment. On ne connaissait ni le lieu ni le jour ni l’heure, mais on le savait. C’est arrivé. Paris a connu sa nuit la plus sanglante, la plus meurtrière depuis la Deuxième Guerre mondiale. Une nuit de massacre, de sang et de mort.
Les précautions prises, les mesures adoptées en vertu du plan Vigipirate, poussé à l’écarlate, n’ont servi de rien, et pas plus les malheureux soldats qui patrouillaient trois par trois au pied de la tour Eiffel ou dans les halls d’Orly et de Roissy que les vigiles qui priaient courtoisement les dames d’ouvrir leur sac à l’entrée des grands magasins. La veille encore, le ministre de l’Intérieur se félicitait de la vigilance qui avait permis à la police de déjouer un vague projet d’attentat contre la base navale de Toulon. Pendant ce temps, dans le secret le plus absolu, quelques dizaines de fanatiques armés jusqu’aux dents dont l’enquête nous dira s’ils étaient fichés comme « radicalisés », dangereux, déjà partis ou revenus de Syrie, mettaient la dernière touche à la préparation de leur raid sauvage.
La France avait pris le parti, avec les moyens dont elle dispose, de participer aux opérations de bombardement menées depuis des mois dans le ciel de l’Irak et de la Syrie par l’étrange coalition qui poursuit dans le désordre et l’inefficacité des buts compliqués et des ennemis variables au Moyen-Orient. On annonçait à son de trompe au début de cette semaine le départ pour la région de notre unique porte-avions flanqué d’une frégate britannique et d’un bâtiment belge. Pouvions-nous imaginer que nos actions qui, pour limitées qu’elles soient, frappent à quatre heures d’avion de Paris les positions djihadistes et leurs alentours, resteraient indéfiniment sans réplique ? Pouvions-nous imaginer que Daech ou Al Qaida, qui disposent en Europe d’une cinquième colonne infiltrée dans la population n’exerceraient aucune représaille contre notre pays ? Ce n’est ni dans leur caractère ni dans leurs habitudes.
Nous nous sommes impliqués dans un conflit qui ne connaît ni trêve ni frontières, où l’adversaire ne fait aucune distinction entre le front et l’arrière, entre militaires et civils, entre innocents et coupables. Nous nous retrouvons, hébétés, en première ligne. 
Nous avons vécu la nuit dernière, pour la première fois, une situation qui est depuis des années le quotidien de Bagdad, de Kaboul, de Beyrouth, de Damas ou de Mogadiscio dont nous suivons distraitement le martyre à travers les quelques lignes et les quelques secondes que veulent bien leur accorder nos médias dès lors que le nombre des victimes d’un attentat y dépasse les dizaines.
La guerre que nous nous flattions de tenir à distance nous a rattrapés. Elle est sur nous, nous sentons son haleine brûlante sur nos villes, nos aéroports, nos gares, nos stades, nos théâtres, nos cinémas, nos cafés, nos restaurants, nos écoles, nos collèges, nos lycées, nos facultés, nos stades, nos métros, nos commissariats, nos avenues, nos rues. Les cibles sont partout, nous sommes tous des cibles et les assassins sont parmi nous, prêts à frapper où ils veulent, quand ils veulent. Il faut nous rendre à l’évidence : nous ne pouvons faire la guerre au loin et avoir la paix chez nous.
Le gouvernement, dans l’urgence, a décrété l’état d’urgence. Il a décidé, face au terrorisme, de reprendre le contrôle de nos frontières que la grande invasion pacifique des migrants ne lui avait pas paru justifier. Face à la réalité de la menace terroriste, il a dans les faits, en cas de flagrant délit, rétabli la peine de mort rayée de notre droit, et il ne se trouvera personne, espérons-le, pour le lui reprocher. Peut-être va-t-il se décider à mettre hors d’état de nuire les quelques milliers d’individus repérés et fichés comme dangereux, peut-être va-t-il se décider à donner le coup de pied qui s’impose dans la fourmilière salafiste, à incarcérer ou à expulser les prêcheurs de haine, les propagandistes de la soumission, les adeptes de la violence et d’une manière plus générale tous ceux qui, vivant en France ou titulaires de papiers français, sont dans leur tête et se conduisent dans leurs actes comme de fidèles ressortissants du califat des Barbares. Peut-être comprendra-t-il enfin que les islamistes ne nous offrent le choix qu’entre la soumission et la guerre et que, tout compte fait, s’il faut faire la guerre, il vaut mieux, comme disait le vieux Louis XIV, la faire à nos ennemis qu’à nos enfants.
Passé le moment de la stupeur, le temps du deuil et l’appel à l’unité nationale, que nos dirigeants prennent et assument leurs responsabilités, et qu’ils sachent qu’ils seront jugés aux actes.