Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
Affichage des articles dont le libellé est G.K. Chesterton. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est G.K. Chesterton. Afficher tous les articles

lundi 2 novembre 2015

TOLKIEN NOUS RÉVÈLE LE SECRET D’UN MARIAGE HEUREUX

Voici un excellent article  paru sur un blog catho tradi (pardonnez mes lectures hétérodoxes surtout que ça fait la deuxième fois… je le reconnais et fais volontiers mon mea culpa mais cela m'apparaît digne d'être relayé ailleurs que dans une sphère restreinte donc voilà… et en plus je suis sûr de ne pas être le seul à apprécier la littérature de Tolkien, cet écrivain catholique.

TOLKIEN NOUS RÉVÈLE  LE SECRET D’UN MARIAGE HEUREUX

Une lettre que le célèbre écrivain britannique envoya à son fils dévoile un aspect inédit de l’auteur du « Seigneur des anneaux ». 

J.R.R. Tolkien était un romantique. Quand il rencontra sa future femme Edith, à l’âge de 16 ans, ce fut le coup de foudre, et instantanément il entreprit de lui faire une cour informelle. Mais lorsque le prêtre qui était son tuteur découvrit sa romance, il lui interdit tout contact avec Edith avant d’avoir atteint ses 21 ans, afin de ne pas le distraire de ses études. Tolkien obéit à contrecœur. Pendant cinq longues années, il attendit celle qu’il savait être son âme sœur. Le soir de ses 21 ans, il écrivit une lettre à Edith, lui déclarant son amour et lui demandant sa main. Une semaine plus tard, ils étaient fiancés. 

Toute sa vie, Tolkien écrivit des poèmes d’amour à sa femme, et dans ses lettres à ses amis, il parlait d’elle en termes enthousiastes. Mais l’hommage le plus célèbre et le plus durable pour sa femme bien-aimée fut peut-être de tisser leur roman d’amour dans la mythologie de la Terre du Milieu, à travers l’histoire de  … et Luthien. Difficile de trouver un hommage plus émouvant. 

Il écrivit à son fils Christopher : « Je n’ai jamais appelé Edith ‘Luthien’ – mais elle était la source de l’histoire qui, avec le temps, devint la pièce maîtresse du Silmarillion. Elle fut d’abord conçue dans une petite clairière au milieu des bois à Roos, dans le Yorkshire (où je commandais alors un avant- poste de la Garnison de Humber en 1917, et elle avait pu me rejoindre pendant quelques temps). À cette époque, ses cheveux étaient noirs comme du jais, sa peau claire, ses yeux brillants comme tu ne les as jamais vus, et elle pouvait chanter et danser ». 

Même dans la mort, Tolkien ne voulut pas quitter son Edith. Il est enterré à côté d’elle sous une unique pierre tombale, sur laquelle sont gravés les noms de Beren et Luthien. 

L’amour réel implique le renoncement à soi-même 

.R.R. Tolkien a connu 55 ans de bonheur dans le mariage. À l’opposé, le taux de divorce à l’heure actuelle atteint des sommets choquants, et certains abandonnent même le mariage monogamique en assurant qu’il n’est tout simplement ni possible ni sain. Qu’est-ce que Tolkien a fait que ne font pas tant de mariages ? Comment s’y est-il pris ? La réponse est simple : il avait compris que l’amour réel implique le renoncement de soi-même. 



La notion moderne d’amour se réduit au seul sentiment, et se focalise en premier lieu sur le soi. Si quelqu’un vous attire, s’il fait battre votre cœur plus vite, alors vous pouvez dire que vous êtes amoureux, selon les critères de notre temps. Même s’il était profondément attaché à sa femme, Tolkien rejetait cette idée superficielle de l’amour. Il adoptait la vision catholique du véritable amour comme étant tourné vers l’autre – quelque chose qui exige de sacrifier ses instincts naturels et qui est un acte de volonté déterminé. 

Pour illustrer les vues profondes de Tolkien sur l’amour conjugal, voici un extrait d’une lettre à son fils, Michael Tolkien. Elle révèle un aspect de Tolkien qui n’est pas familier à beaucoup. Pour ceux qui n’ont qu’une notion ultra sentimentale de l’amour, ses mots peuvent choquer, voire être agressifs. Pourtant, il dit des vérités qui, une fois comprises et acceptées, peuvent apporter un bonheur véritable et durable au mariage. Voici une version abrégée de cette lettre. 

« Les hommes ne le sont pas [monogames]. Les hommes ne le sont tout simplement pas. La monogamie est pour nous les hommes un exemple d’éthique ‘révélée’, en accord avec la foi, et non avec la chair. Cependant, un monde déchu est par essence un monde où l’on ne peut atteindre le meilleur par une libre jouissance ou par ce qu’on appelle ‘l’accomplissement de soi’ (joli mot qui désigne en général l’autocomplaisance, tout à fait opposée à l’accomplissement des autres), mais par l’abnégation, la souffrance. La foi en le mariage chrétien entraîne ceci : une grande mortification. 

Le mariage est un combat 

Un homme chrétien ne peut y échapper. Le mariage peut aider à sanctifier et à diriger le désir sexuel vers son objet propre ; sa grâce peut l’aider dans la lutte, mais la lutte n’en demeure pas moins. Le mariage ne le satisfera pas...

Aucun homme, si sincèrement qu’il ait aimé sa fiancée ou sa jeune épouse au début, ne lui est resté fidèle, dans son esprit et son corps, dans leur mariage, sans l’exercice délibéré et conscient de la volonté, sans abnégation. Trop peu d’hommes le savent— même ceux qui ont été élevés ‘dans l’Église’. Quand la fascination disparaît, ou simplement s’étiole, ils pensent qu’ils ont commis une erreur, et qu’il leur faut encore trouver la véritable âme sœur. La véritable âme sœur s’avère trop souvent être la première personne sexuellement attirante qui passe. Quelqu’un qu’ils auraient en effet gagné à épouser si seulement... D’où le divorce, pour effacer le ‘si seulement’. » 

Et bien entendu ils ont tout à fait raison : ils ont commis une erreur. Seul un homme très sage, à la fin de sa vie, pourrait énoncer un jugement juste concernant la femme que, parmi toutes les possibilités, il aurait gagné à épouser ! Quasiment tous les mariages, même ceux qui sont heureux, sont des erreurs : dans le sens où presque certainement les deux partenaires auraient pu trouver des compagnons plus adéquats. Mais la véritable « âme sœur » est de fait celle avec laquelle vous êtes marié... 

Comme je le disais, beaucoup de personnes pourraient se sentir offensées par la franchise de Tolkien sur le mariage. « Si tu aimes vraiment quelqu’un, pourraient-ils arguer, cela ne devrait pas être difficile de l’aimer ! Cela ne devrait pas être une lutte. Le mariage, une mortification ? C’est insultant ! Vous ne devez pas vraiment aimer votre femme. » 

Car l’amour réel est un combat contre l’amour de soi. C’est une lutte contre notre nature déchue, très égoïste. C’est une mort qui donne la vie. Et n’importe quel homme qui est honnête avec lui-même admettrait que Tolkien a raison. Le combat pour la chasteté et la fidélité ne finit jamais, quel que soit l’amour que vous avez pour votre femme. L’essence de l’amour, c’est un acte de la volonté. Les sentiments vont et viennent dans le mariage. Ceux qui vivent un mariage heureux sont ceux qui ont choisi : choisi d’aimer leur femme plus qu’eux-mêmes, qui ont choisi de sacrifier leur désir éphémère pour un bonheur durable, qui ont choisi de donner plutôt que de prendre. 

Et vous savez quoi ? Quand vous choisissez d’être fidèle, le bonheur viendra inévitablement. Et cependant, beaucoup abandonnent au moment où les choses deviennent difficiles — au moment précis où, s’ils choisissaient tout simplement d’être fidèles et de se battre, ils trouveraient le bonheur qui les attend au bout du tunnel. Comme l’écrivait G.K. Chesterton, un autre catholique heureux en mariage : « J’ai connu beaucoup de mariages heureux, mais aucun compatible. Tout le but du mariage est de combattre et de survivre au moment où l’incompatibilité devient incontestable. Parce que, de toute façon, l’homme et la femme, en tant que tels, sont incompatibles ».


La vraie joie et le bonheur durable dans le mariage sont possibles. Combien de mariage, y compris celui de Tolkien, l’ont prouvé. Mais nous ne connaîtrons jamais cette joie si nous restons centrés sur nous-mêmes. Vous devez, paradoxalement, vous oublier vous-mêmes pour trouver le bonheur que vous cherchez. 

Messieurs, si vous voulez un mariage heureux et fidèle, vous devez mourir à vous-mêmes. Vous devez faire passer votre femme en premier. Vous devez l’aimer dans le sacrifice et le déni de soi— comme le Christ a aimé son épouse l’Église. Voilà le secret, simple, à côté duquel tant de monde passe.  SOURCE

mercredi 15 décembre 2010

Le DISTRIBUTISME [2] et les Chrétiens orthodoxes


G.K. Chesterton
Le terme et sa définition d'origine vient d’Hilaire Belloc et G.K. Chesterton au début du 20e siècle. Tous deux étaient de fervents catholiques, fortement influencés par la doctrine sociale de Léon XIII, mais aussi déçus par les socialistes. Le terme est tombé dans l'oubli après la mort de Chesterton en 1936 et Belloc en 1953, mais pas les idées. Elles ont profondément influencé E.F. Schumacher, dont le livre Small Is Beautiful a eu un impact profond sur les écologistes du monde entier. Ces dernières années le Distributisme a été directement et consciemment relancé dans les milieux catholiques. Distributist Review  est un site couvrant de nombreux aspects de la pensée distributiste ancienne et nouvelle. IHS presse a republié plusieurs des textes anciens. Certains nouveaux documents impressionnants sont désormais disponibles, en particulier de John Médaille de l'Université de Dallas. Il y fait preuve d’une maîtrise des développements récents de l'économie et de ses fondements mathématiques que l’on ne trouve pas dans les écrivains distributistes des générations précédentes.

Qu’est-ce donc que le Distributisme

Pour répondre à cette question nous allons voir, en quoi le Distributisme est à la fois semblable et contraire aux trois autres grands systèmes économiques qui ont surgi au cours de l'histoire humaine. En fait, aucune société n’est dans un système économique unique, toute société, passée et présente, présente un certain mélange des quatre. Toute société dans laquelle un système prédomine aura également quelques caractéristiques des trois autres. Cependant, même si on trouve toujours de ces mélanges avec des tendances et des philosophies diverses, ces distinctions restent pertinentes.

Quatre systèmes économiques :

Le système économique dominant dans le monde aujourd'hui est le capitalisme. Il a évolué dans sa forme actuelle au cours des cinq cents dernières années. La découverte de l'Amérique, l'avance de la navigation et du commerce à l'époque coloniale, les progrès de la technologie et la révolution industrielle, et la sophistication croissante de la commercialisation, de la comptabilité, de l'informatique, et des modèles mathématiques de l'économie ont contribué à son essor. 

Sur le plan positif, le capitalisme défend la propriété privée des terres et des entreprises, récompense l’association de l'intelligence et du travail acharné, et soutient la démocratie et un gouvernement auquel on a fixé des limites. Le capitalisme exploite la tendance (naturelle) des gens à entrer en concurrence l’un avec l'autre et l’inclination (provenant de la chute et donc par là contre nature) des personnes à la cupidité et l’avidité. Dans son Economics for Helen, Belloc dit que dans un système capitaliste, «Tout homme, bien que pauvre, se sent libre et dans cette mesure, sauve son honneur." Par conséquent, le capitalisme interpelle immédiatement les Américains, qui apprécient la liberté par dessus à peu près tout.
Sur le plan négatif, le capitalisme concentre la richesse entre les mains d'une minorité. L'affirmation selon laquelle un tel système devait se développer en raison des expéditions coloniales ou de la nécessité d'énormes sommes d'argent pour construire des usines au cours de la révolution industrielle est historiquement fausse. Le capitalisme s’est développé à cause de la façon dont les gens - en général des gens déjà riches et puissants - ont conçu des lois et des coutumes pour leur propre avantage. Dans The Servile State, Belloc montre comment l'Angleterre était déjà en marche vers le capitalisme avant la grande époque de la colonisation et bien avant la révolution industrielle. Il a commencé avec la fermeture des monastères en 1535. Le même processus - la modification des lois et des structures au bénéfice des riches - se produit toujours. La tendance actuelle des managers de gagner jusqu'à 600 fois plus que les travailleurs dans leurs entreprises n'est pas une aberration. C’est le résultat naturel et inévitable d'un système capitaliste. Si on laisse se développer ce processus sans contrôle, le capitalisme finit par détruire la liberté. En même temps que les travailleurs sont des agents juridiquement libres, ils sont économiquement impuissants. Franklin Delano Roosevelt a pointé cela du doigt dans son State of the Union address du 11 Janvier 1944. Il y déclare : "Les hommes dans le besoin ne sont pas des hommes libres." Par ailleurs, s’il reste sans contrôle, le capitalisme détruit le pouvoir légitime du gouvernement. Lorsque les entreprises et les sociétés deviennent si importantes que le gouvernement ne peut pas les retenir, elles deviennent le gouvernement. C'est-à-dire que la démocratie est alors finie et c’est la ploutocratie qui prévaut.

Au cours des deux derniers siècles, le système censé remplacer le capitalisme était le socialisme. Son promoteur le plus célèbre fut Karl Marx. L'essence du socialisme est que le gouvernement d'un État possède et contrôle tous ou presque tous des moyens de production et de distribution. Plutôt que de laisser l'économie à la cupidité et la manipulation des propriétaires privés, ou de laisser guidée par une "main invisible" (selon les mots d'Adam Smith), l'Etat interviendrait. La grande force du socialisme, quand il était simplement une théorie, c'est que ses partisans étaient très conscients des injustices du capitalisme. Lorsque les pays ont mis le socialisme en pratique, cependant, ses inconvénients se sont révélés dans le sang. Beaucoup ont perdu leurs biens, la santé et même leur vie pour le socialisme. Car toutes les promesses ayant été faites, le socialisme est devenu l'un des systèmes les plus tyrannique et oppressifs de toute l'histoire, déplaçant simplement la concentration des richesses et du pouvoir des mains de propriétaires à celles de gestionnaires bureaucratiques et des dirigeants de l'Etat. Il s'est avéré être bien pire que le capitalisme.


A certains moments de l'histoire un troisième type de système économique a été employé. Belloc l’a appelé "l'état servile." Il est assez répandu dans l'Antiquité. L'Egypte ancienne fut un exemple de ce type d'économie. Dans l'Égypte antique le Pharaon possédait tout et tout le peuple constituait en fait ses esclaves. La Sparte antique et l'Empire romain dépendait aussi du travail des esclaves, tout comme les États confédérés d'Amérique plusieurs siècles plus tard. Malgré des inconvénients moraux évidents, l'état servile a quelques avantages très forts : il est remarquablement stable et les gens se sentent et sont vraiment en sécurité, sachant qu'ils seront nourris et pris en charge. Ces avantages peuvent être si forts que les gens ont parfois été appelés à soutenir un état servile, même au prix d’une perte de liberté et de dignité.

Hilaire Belloc
Les auteurs distributistes parlent de l'état servile de deux façons. D'une part, certains semblent croire que l'élément essentiel est que les gens réellement et en toute légalité possèdent d’autres personnes. Dans cette perspective, une économie servile diffère d'une économie capitaliste et socialiste précisément pour des raisons de droit. Rares sont les économies capitalistes qui ont dégénéré en états serviles, bien que, selon Belloc c’était une chose assez probable. Chesterton se demandait même si la force brutale serait de retour comme un moyen de contraindre les gens à travailler. On peut facilement montrer, en revanche, que les économies socialistes se sont vraiment transformées en Etats serviles. D'autre part, d'autres auteurs parlent de l'état servile de manière plus lâche, en soulignant que les gens vivant dans les systèmes capitalistes sont traités comme des esclaves. Le terme "salaire de l'esclave" est une figure de rhétorique, mais l'intensité des sentiments qu'elle véhicule en font presque un terme avec un sens littéral. Le quasi-esclavage des travailleurs a été évident de manière flagrante dans le capitaliste de l’Angleterre du 19ème siècle et a été abondamment illustré dans les romans de Charles Dickens. Dans l'Amérique d'aujourd'hui, nous avons un très haut niveau de vie et même nos plus pauvres vivent mieux que les pauvres des pays en développement. Mais nous avons aussi maintenant une économie mondialisée. Les esclaves du capitalisme américain contemporain ne vivent pas en Amérique, mais dans les pays où les gens travaillent pour moins d'un dollar l'heure et où 60 dollars par semaine ne suffisent pas pour vivre.

Le quatrième système est le Distributisme, mais c'est un terme particulièrement trompeur. (à suivre)
(Version française de Maxime le minime d'après le site In communion de l'Orthodox Peace Fellowship)