Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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vendredi 12 avril 2019

"Devoir d'ingérence" à géométrie variable

 Les autorités de Londres ont arrêté le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, suite à un mandat d’extradition pour le compte des autorités américaines.
Ben Wizner, le directeur de l’American Civil Liberties Union’s Speech, Privacy, and Technology Project, a fait la déclaration suivante à ce propos :
"Toute poursuite intentée par les États-Unis contre M. Assange pour les activités de publication de Wikileaks serait sans précédent et inconstitutionnelle" (source)



Julian Assange a été extrait de force, par les autorités britanniques, de l’ambassade équatorienne à Londres où il a passé ses sept ans d’asile.



J.A pénétrant dans la Westminster Magistrate’s Court pour y être traduit en justice


LIRE AUSSI : Qui se soucie aujourd’hui du sort de Chelsea Elizabeth Manning, née Bradley Edward Manning ?

extraits :
" […] Pour rappel, cette activiste et lanceuse d’alertes transgenre avait été condamnée en 2013 par une cour martiale à 35 ans de réclusion pour avoir transmis en 2010 à WikiLeaks plus de 700 000 documents confidentiels, dont plus de 250 000 câbles diplomatiques relatifs aux guerres d’Irak et d’Afghanistan. Il est vrai que faire ce que dicte sa conscience et porter des crimes de guerre à la connaissance du monde, à savoir les morts de civils sous les bombardements américains en Irak et en Afghanistan se paye au prix fort !
Pour avoir fait ce que lui dictait sa conscience, ne pas cautionner l’innommable, parce qu’elle savait, Chelsea Manning a passé sept ans de sa vie en prison, dont trois de détention provisoire. […]
En 2017 à trois jours de son départ de la Maison Blanche, Barack Obama avait annoncé une nouvelle vague de grâces et de réductions de peines. Chelsea Manning figurait sur la liste des 273 condamnés auxquels le président avait souhaité accorder une « seconde chance », selon les mots de la Maison Blanche.  […] Le 8 mars 2019, un juge fédéral a de nouveau placé la lanceuse d’alerte Chelsea Manning en détention jusqu’à ce qu’elle accepte de témoigner dans une enquête visant WikiLeaks. Ayant quelques jours auparavant refusé de témoigner devant un grand jury dans le cadre d’une enquête sur Julian Assange, s’attendait à cette issue. […] "

mardi 23 octobre 2018

Tuer ou ne pas tuer : le dilemme moral ignoré par les robots tueurs


sur le site theconversation.com

par Eric Martel

 

Dépourvus de conscience, les robots tueurs pourraient, demain, ne pas être jugés 
pour leurs actes. Shutterstock

« Si des humains peuvent parfois se montrer inhumains, pourquoi des non-humains ne pourraient-ils pas se faire plus humains qu’eux, c’est-à-dire mieux se conformer aux principes normatifs définissant le fait de se conduire “humainement” ? » (Grégoire Chamayou)

Les robots létaux autonomes suscitent une forte inquiétude auprès du grand public. Cette dernière est alimentée par des mouvements qui militent pour l’interdiction de tels systèmes d’armements. Récemment, le Future of Life Institute a ainsi diffusé un petit film, très inquiétant, où l’on voit des mini drones équipés de systèmes de reconnaissance faciale se poser sur des têtes humaines afin d’y faire exploser leur charge creuse. Heureusement, il ne s’agit là que d’une fiction.


Le robot tueur est par essence beaucoup plus qu’une arme, puisqu’il est apte à choisir et décider de lui même de tirer sur une cible ennemie. Étant dépourvus de conscience, les robots tueurs ne peuvent être tenus pour responsables de leurs actes. Ils ne peuvent donc être jugés, ils doivent répondre à d’autres modes de régulation. L’autonomie des robots tueurs permet non seulement de transformer la conduite des opérations militaires, mais également le paradigme même de la guerre. Les conséquences sociales, voire morales de l’usage des robots tueurs sont donc loin d’être négligeables.


Ces questions doivent être mises en perspective dans le cadre d’un processus global d’automatisation de la guerre. Nous allons nous intéresser ici à un aspect crucial de l’arrivée des robots létaux autonomes : leur capacité à décider de leur propre chef de tirer et donc tuer des combattants ennemis.

La guerre : une activité très humaine


La guerre est essentiellement une activité régie par des règles et des conventions humaines résultant de normes culturelles et religieuses. Mais elle a également sa propre logique qui défie les conventions. Pour le grand théoricien militaire Clausewitz, elle est « un acte de violence […] qui théoriquement n’a pas de limite ». Ce que les propos d’Eisenhower tendraient à confirmer :

« En ayant recours à la force, on ne savait pas où on allait […] Plus on s’enfonçait profondément dans le conflit, moins il y avait de limites […] sauf celles de la force elle-même. »

Pour résumer, l’on pourrait affirmer comme le général Sherman durant la Guerre de Sécession, avant de faire évacuer puis brûler la ville d’Atlanta, que « la guerre est l’enfer ».

Néanmoins, ces tendances sont contenues, et de façon paradoxale, par les militaires eux-mêmes qui, selon le philosophe Michael Walzer, sont désireux de distinguer « la tâche à laquelle ils consacrent leur vie d’une boucherie pure et simple » par le respect des conventions de la guerre.

Les conventions de la guerre


Les conventions de Genève couvrent deux aspects : le jus ad bellum, droit de déclencher et faire la guerre, et le jus in bello, droit dans la guerre, qui nous concerne particulièrement.

Ce dernier part d’un axiome fondateur : la distinction entre les combattants et les civils. Les premiers ont le droit de tuer en vertu du fait qu’ils peuvent eux-mêmes être tués ; les seconds doivent en être préservés. De cette distinction fondamentale découle quatre grands principes :
  • humanité ;
  • nécessité militaire 
  • proportionnalité ;
  • discrimination.
Deux principes nous intéressent particulièrement. Le premier, le principe de proportionnalité prescrit que s’il est admissible que des civils soient tués afin de détruire des objectifs ennemis d’importance, cela doit être fait dans une juste mesure.

Selon le journaliste Andrew Cockburn, l’armée américaine considérerait aujourd’hui en Afghanistan qu’un ratio de 30 civils tués pour chaque chef taliban abattu serait acceptable.

Le second, le principe de discrimination stipule qu’il faut veiller à clairement différencier les civils des combattants militaires.


Le respect de ces deux principes dépend fortement de l’intensité du conflit en cours. Ainsi au Vietnam, les commandants, déstabilisés par un ennemi fuyant, ordonnaient systématiquement le bombardement des villages d’où quelques coups de feu étaient tirés.

L’opposition aux robots tueurs


Elle se joue principalement sur les deux critères vus précédemment. En ce qui concerne le facteur de discrimination, l’on ne peut nier qu’il représente un point faible de ces machines : comment différencier, en effet, un soldat qui se rend d’un soldat en armes, ou d’un soldat blessé ?

Si, actuellement, les techniques de reconnaissance de forme sont aptes à distinguer des uniformes, elles font néanmoins, comme l’affirme le roboticien Noel Sharkey, des confusions grossières. Par contre, il est très difficile pour un robot d’identifier un soldat blessé, voire un soldat déposant les armes.
À cela s’ajoute le critère de proportionnalité : une machine peut-elle décider d’elle-même combien de civils pourraient être tués afin de détruire sa cible ?

Pour renforcer ces deux grands arguments, les opposants aux robots tueurs posent un principe d’humanité. Ils partent du principe que les humains ne sont pas rationnels puisqu’ils ont des émotions et se fient à leur intuition. Dans leur majorité, ils manifestent une certaine répulsion à l’idée de tuer leur prochain. C’est ainsi que des études effectuées après la Seconde Guerre mondiale ont montré qu’en moyenne seuls 18,75 % des soldats américains placés en situation d’engagement avaient usé de leur arme.


Cette très vive opposition embarrasse les militaires et explique leurs hésitations quant à l’usage de ces armes. Mais nombreux sont ceux qui, au sein de l’institution, pensent que des puissances comme la Chine ou la Russie n’auront certainement pas ces appréhensions morales et n’hésiteront pas à développer à l’avenir ce type d’armements.
L’arrivée des robots tueurs serait donc inéluctable et mériterait d’être anticipée.

Qui est responsable ?


En vertu de ce principe Ronald C. Arkin, un roboticien, propose de concevoir des machines agissant de façon plus éthique que ces sujets imparfaits que sont les combattants humains. Il considère que « confrontés à l’horreur du champ de bataille », les soldats voient leur capacité de jugement brouillée par les émotions et le stress du combat. Ils auraient donc tendance à commettre des atrocités. Les robots létaux autonomes seraient donc la solution permettant de garantir le respect des lois de la guerre.

Pour Grégoire Chamayou, le problème se situe à un autre niveau. Jusqu’à présent l’arme qui est une chose et le combattant qui est une personne, donc juridiquement responsable, ont toujours été séparés. Le robot létal autonome est lui un ensemble dans lequel l’arme et le combattant sont confondus : agent et instruments sont liés écartant toute possibilité de responsabilité juridique. Comment juger une machine ? Il voit ainsi une chose qui se met à faire usage d’elle-même.

La possibilité d’accorder le droit de tuer à des machines ne serait pas sans conséquence. Si l’on prend en compte qu’à la guerre, le droit de tuer est habituellement réservé aux combattants en vertu du fait qu’ils peuvent eux-mêmes être tués, considérer qu’ils peuvent être éliminés par une machine « équivaudrait à mettre l’homicide sur le même plan que la destruction d’une pure chose matérielle ».

Cette question n’est pas que militaire. Elle aura forcément des répercussions dans l’usage d’autres systèmes automatiques tels que les voitures autonomes. On le voit déjà avec les répercussions d’accidents mortels ayant impliqué ce type de véhicules : qui est responsable ?

L’auteur a publié le 18 octobre « Robots tueurs. La guerre déshumanisée, les robots et drones autonomes visent zéro mort ».



vendredi 20 février 2015

CATÉCHISME ORTHODOXE : "Tu ne tueras point"

QUE NOUS ORDONNE LE SlXlÈME COMMANDEMENT?

Stanislaw Witkiewicz - Une nuit ukrainienne

Le sixième Commandement nous ordonne de respecter la vie du prochain, comme étant un trésor sans égal, et de ne l’en priver ni directement par un instrument de meurtre ni indirectement par une négligence ou en minant sa santé. Le meurtre est donc un péché mortel. Il peut se commettre ouvertement, ou par embûche avec préméditation, ou dans un moment de colère, soit sur un seul individu, soit par une guerre injuste contre tout un peuple, quand l'existence d'une nation est mise en péril, afin de l'asservir sous un joug étranger, à l'avantage et pour l'agrandissement territorial de l'envahisseur. Un meurtre fut le crime primordial commis à la suite de l'exil de l'Eden de nos premiers ancêtres. Il a souillé la terre du sang fraternel et a appelé la malédiction de Dieu sur Caïn, qui, effaré et tremblant, perdit à jamais la paix de l’âme.

Mais si le meurtre est commis par quelqu’un pour sa défense personnelle, alors la responsabilité du meurtrier se trouve diminuée jusqu'à un certain point. De même que le meurtre que l'on commet pour sa propre défense est un mal nécessaire pour lequel, non le meurtrier mais le provocateur est surtout responsable, la guerre pour la défense de nos autels et de nos foyers est un mal, mais dont le soldat qui se hâte de défendre sa mère patrie ne doit pas supporter la responsabilité qui incombe à l'agresseur. Une guerre dans ces conditions n’est pas en opposition avec le Commandement: « Tu ne tueras pas.» C’est un sacrifice qui, tôt ou tard, sera certainement béni par Dieu qui exècre l'injustice.
(extrait du Catéchisme des Grecs orthodoxes par le Protopresbytre P. Constantin N. Callinicos)

mercredi 19 novembre 2014

Pervomaïsk. Région de Lougansk. le 16 novembre 2014… témoignage de Macha.

La maison de Macha a été frappée ce matin
 par un obus. 


VOIR VIDÉO

"Et le roi leur répondra: 
Je vous le dis en vérité, toutes les fois
 que vous avez fait ces choses
 à l'un de ces plus petits de mes frères,
 c'est à moi que vous les avez faites."
Matthieu 25:40


dimanche 16 novembre 2014

VOL MH17 MALAYSIA AIRLINES : LE MENSONGE DE LA VERSION OFFICIELLE ENFIN RÉVÉLÉ

PROGAGANDE / CONTREPROPAGANDE
par exemple :

LA VERSION OFFICIELLE S'EFFONDRE
Une image d'un satellite espion de l'Ouest montre un avion de chasse ukrainien tirant sur le BOEING du VOL MH17 MALAYSIA AIRLINES


La photo qui pourrait montrer l'implication d'un avion ukrainien dans la destruction de l'avion MH17 de la compagnie aérienne Malaysia Airlines, a été prise par un satellite espion de l'Ouest et a été divulguée aux services russes qui l'ont rendue publique sur la première chaîne de télévision.

La photo sensationnelle a été prise dans les dernières secondes du vol Malaysia Airlines au-dessus de l'Ukraine. À la veille d'une importante réunion de dirigeants mondiaux du G20 en Australie, l'objet de l'enquête de la mort des passagers du vol MH17 vient bien à propos. Et cette nouvelle preuve, qui coïncide avec les rapports présentés par le ministère de la Défense de la Russie, l'Union russe des ingénieurs et de nombreux chercheurs indépendants, pourrait être la preuve ultime.









Comme nous l’avions publié en son heure (les experts Allemands et de l'OSCE font l'hypothèse que le vol MH17 aurait pu être attaqué par un chasseur militaire ukrainien [article en espagnol sur le site http://www.elespiadigital.com] ), en Août dernier, l'Union russe des ingénieurs a publié son rapport sur les causes possibles de l'accident qui a été diffusé largement dans les médias alternatifs et sur Internet. Les experts ont procédé à une analyse détaillée de toutes les informations disponibles à partir de toutes les sources, ont fait des calculs techniques et développé leur hypothèse sur les causes de la chute vol MH17. (cliquez sur le lien pour voir le rapport) La conclusion des experts: il n'y a qu'une seule version techniquement possible, la destruction de l’avion de la Malaysia Airlines par des missiles air-air et des canons d’un autre avion.







L'attention est attirée sur un point du rapport : l'absence de toute preuve crédible de lancement de missiles "air-sol". 

Les «Buck» sont en effet caractérisés par le fait qu’ils s’accompagnent d'un nuage de feu, et d’un rugissement assourdissant audible dans un rayon de 10 km, et les traînées sont clairement visibles dans le ciel pendant 10 minutes après le lancement. En bref, il est peu probable qu'un «Buck» lancé à partir de la terre ait été la cause de la tragédie du Boeing 777 vu la présence de dizaines d'observateurs professionnels de tous bords et de milliers de citoyens qui n’ont vu ni enregistré quoi que ce soit de semblable.

Et si des avions ont été vus, ce n’est certainement pas des avions russes. Les arguments de ces experts ont été traduits en anglais et en allemand. Ce fut quand ils ont commencé "à recevoir de grandes quantités d'information, parmi lesquelles il y avait des documents graphiques, des calculs d'ingénierie, et en fin de compte, ce que nous avons maintenant ici," - a déclaré le premier vice-président de l'Union russe des ingénieurs Ivan Andrievsky. "Je suis totalement d'accord avec les résultats de l'analyse des causes de la destruction du Boeing, dit l'homme qui se présente comme un diplômé du MIT, avec vingt ans d'expérience dans l'avionique, George Bilt : Le Boeing " a été abattu par des avions de combat qui étaient à sa poursuite. En un premier temps, ils ont tiré sur l'équipage, puis la cabine a été détruite par des missiles "air-air", ensuite le moteur droit et l'aile droite ont été frappés par des missiles guidés par la chaleur " 



L'image montre clairement la prise de vue d'une chasse à partir de la gauche, juste au-dessus du poste de pilotage. Le terrain, la météo, la taille de l'avion dans l'image est parfaitement compatible avec les circonstances de l'accident. "Nous avons vu une photo prise pas de haut par satellite. Et généralement, ces photos servent à l'espionnage aérien en vue de contrôler un territoire. Selon les coordonnées indiquées dans l'image, nous pouvons supposer que la photo a été prise à partir d'une télévision américaine ou britannique. Nous avons effectué une analyse détaillée de l'image et il n'y a aucun signe de falsification " a déclaré le premier vice-président de l'Union russe des ingénieurs Ivan Andrievsky.


L'homme qui a envoyé la photo où l'on peut voir ce MiG-29 tirer sur le Boeing de passagers civils, quel qu'il soit, était à l'évidence un professionnel. Et il a eu accès à de telles informations. Enfin! Une preuve accablante contre la propagande officielle. Il y a beaucoup plus de raisons de croire que le gouvernement de Kiev a commis un crime en détruisant l'avion délibérément et cyniquement. Et ceux qui ont délibérément et cyniquement dissimulé ces compléments d'information sont sans aucun doute complices de ce massacre. (source)

COMMENTAIRE : Quand l'aveuglement le dispute à la stupidité…

Il est aisé de faire le lien et on peut se rendre compte de la parfaite cohérence entre les tirs ciblés à distance sur les populations civiles ukrainiennes de l'Est à terre et la destruction en vol du Boeing de passagers civils. C'est le même mépris des populations civiles, femmes et enfants, le même cynisme, la même duplicité, la même hypocrisie, le même mépris de la vie. Ce sont bien les mêmes qui pilonnent des écoles, des stades, des hôpitaux, des églises.…

Alors oui ! en effet ! Les "Européistes" de l'Ouest plaignant ces pauvres manifestants démocrates de la place Maïdan (en s'aveuglant soigneusement sur les groupes néo-nazis qui sont au plus violent des combats de rue à l'époque) menacés paraît-il par la dictature [ex mais toujours] soviétique selon eux, oui il faut vite intégrer ces Ukrainiens dans l'Union européenne des droits de l'homme, de la démocratie, de la paix perpétuelle, de la liberté et de la prospérité. On les veut avec nous au plus tôt les pauvres ! 

Faut-il rappeler nos Classiques :

"Bazile : La calomnie, Monsieur
Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j’ai vu les plus honnêtes gens prêts d’en être accablés. Croyez qu’il n’y a pas de plate méchanceté, pas d’horreurs, pas de conte absurde, qu’on ne fasse adopter aux oisifs d’une grande ville, en s’y prenant bien : et nous avons ici des gens d’une adresse ! ... D’abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l’orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano vous le glisse en l’oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout à coup, on ne sais comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s’enfler, grandir à vue d’œil ; elle s’élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au Ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ?" (Beaumarchais   « Le barbier de Séville, II-8 »)

mercredi 12 novembre 2014

CROYEZ-VOUS QU'IL S'AGISSE DE DÉGÂTS COLLATÉRAUX ? NON ! CE SONT DES CIBLES !




Armez-vous de courage et regardez cette vidéo
Voilà sur qui l'armée nationale ukrainienne, avec ses mercenaires et ses groupes néonazis
 envoie ses obus et ses missiles :
de dangereux militaires russes impérialistes croyez-vous ?
 Non ! De pauvres civils ukrainiens sans défense !

Bien souvent je me dis que l'homme est l'homme et qu'il y aura toujours de fidèles serviteurs du malin qui se réjouissent avec leur maître de la laideur, du mensonge, de l'esclavage, de la misère, du malheur et de la mort qu'ils propagent avec une joie perverse… et je veux arrêter d'en parler, je n'ai plus envie de partager ces terribles nouvelles. Je veux seulement parler des belles choses de l'Orthodoxie. Alors j'ai envie de cesser de communiquer là-dessus, d'autant que je touche si peu de personnes… et mon témoignage est si faible… mais je ne peux me résoudre à me retirer et à être complice du mal qui prospère. On ne peut voir le mal extérieur qui prospère autour de nous sans le dénoncer pas plus qu'il y a lieu d'éviter le mal qui prospère en nous. 
Je déteste autant le mal qui se répand en moi que le mal que je vois autour de moi.

 Voilà cette vidéo, c'est terrible, horrible, cela vous donne envie de hurler, de vous battre… mais il n'y a que la prière et nos corps, ces incroyables merveilles de la création de Dieu, déchiquetés par ces infâmes bourreaux, ne sont pourtant que des habits éphémères car notre Seigneur miséricordieux prend toutes ces âmes innocentes entre ses mains pour les remplir de la joie calme et de l'amour infini de son Royaume Céleste, laissant aux bourreaux la sombre joie qui les mène droit en enfer - il n'y a pas à en douter et ce n'est ni une consolation, ni une vengeance, c'est seulement ce qui les attend car c'est déjà le monde auquel ils adhèrent et qui leur colle à la peau où qu'il aillent, quoi qu'il fassent. Ils croient détruire des âmes qu'ils haïssent mais ils n'abîment et détruisent que les corps qui les habillent pour un temps. 



Pour information :
Les ombudsmans internationaux ont confirmé les crimes de guerre de Kiev


par La Voix de la Russie
 Human RightsWatch a confirmé que les localités du Donbass étaient pilonnées pendant le cessez-le-feu depuis les territoires contrôlés par les structures fortes ukrainiennes. Les ombudsmans ont présenté le rapport approprié le 12 novembre 2014 à Genève.

jeudi 23 octobre 2014

Pour quelles raisons mystérieuses, les atrocités ukrainiennes ne semblent-elles pas être remarquées par l’Occident ?



Témoignage de Ehynars Graudinsh (transcrit aussi Enorst Gronych) , politologue et défenseur des droits de l'homme (Lettonie) à l’émission 'Politika'. Il parle des crimes commis par les forces ukrainiennes dans le Donbass, des charniers découverts dans la région, de la destruction systématique de l'infrastructure, de la catastrophe humanitaire totale... Parmi les participants à l’émission - le chef (ambassadeur) de la Délégation de l'UE en Russie, Vygaudas Ušackas,
L'émission complète (en russe): https://www.youtube.com/watch?v=7yYi3...
Les morgues de Donetsk par Graham Phillips: https://www.youtube.com/watch?v=enaDJ...




AUTRE SOURCE 

Le 30 septembre 2014, enterrée au milieu des 9 minutes de la dernière édition du reportage de Channel 1 à la télévision russe, on trouve une déclaration de 23 secondes de l’enquêteur Enorst Gronych de l’organisation Latvian Center for Human Rights, dans laquelle il annonce devant la caméra qu’il a récemment questionné les habitants d’un village évacué il y a peu par les forces de répression de la junte [l’armée ukrainienne et les éléments paramilitaires engagés contre les séparatistes, NdT], qui lui ont parlé de cas répétés de viols en groupes sur des jeunes filles âgées de 12, 13 et 14 ans par des bandits ukrainiens.


Enorst Gronych de l’organisation Latvian Center for Human Rights
Enorst Gronych de l’organisation Latvian Center for Human Rights

D’après Gronych, ce type de comportement s’inscrit dans la définition d’un génocide.
En fait, les chaines de télévision russes ont également rapporté des découvertes de fosses communes, de nombreux cas de civils sortis de leur voiture et abattus sommairement, des fosses communes pleines de corps abattus avec les mains liées dans le dos, et des cas de tortures, de tortures, et toujours plus de tortures, des passages à tabac systématiques. Des svastikas découpés sur la peau, des blessures à l’arme blanche, des os cassés, des traumatismes à la tête, des dommages aux reins, sont apparemment les traitements classiques que toute personne emprisonnée (quelle que soit la raison de sa détention) peut attendre des libérateurs de la Junte.
Par ailleurs, il devient de plus en plus évident que près de la moitié des prisonniers de guerre novorussiens, qui sont échangés contre des prisonniers ukrainiens suivant les termes du récent accord de cessez-le-feu, ne sont pas des combattants, mais des civils enlevés dans le seul but de les échanger.
Il n’est pas difficile d’imaginer ce qui est vraiment arrivé à la moitié manquante : la plupart d’entre eux ont été torturés et tués par des bandits ukrainiens avinés (dans un contraste saisissant, les prisonniers ukrainiens [en Novorussie], ont été correctement traités, lavés, nourris, habillés et on leur a donné le choix de rester en Russie ou de retourner en Ukraine).
Pour toute personne un peu familière avec le nationalisme ukrainien et les nationalistes ukrainiens, tout ceci n’est pas une surprise. Non-seulement cela correspond tout-à-fait avec ce qui se passe dans le reste de l’Ukraine contrôlée par la Junte, mais cela correspond également avec les pratiques des nationalistes ukrainiens du temps de Bandera, et avant.
Non, ce qui est surprenant, c’est le silence de plomb en Occident à propos de ces événements. Pour quelqu’un comme moi, qui se rappelle nettement les protestations indignées des Organisations non gouvernementales, des médias et des gouvernements occidentaux à propos des violations des droits de l’homme en Tchétchénie, en Bosnie ou au Kosovo (certaines d’entre elles à propos de faits totalement fictifs !), il est hallucinant de voir comment, pour quelques raisons mystérieuses, les atrocités ukrainiennes semblent ne pas être remarquées par l’Occident.
Les mêmes Occidentaux, qui sont absolument outragés par l’arrestation d’activistes des Pussy Riot, et qui semblent croire sérieusement qu’organiser une parade Gay Pride à Moscou relève des droits de l’homme, sont apparemment totalement indifférents au viol en groupe de jeunes filles de 12 ou 14 ans.
Qu’est-ce que cela nous dit de l’Occident, des ses valeurs, de ses dirigeants, de ses médias, de ses habitants ?
Le SakerTraduit par Étienne pour vineyardsaker.fr
Source : The West’s Ignorance of Ukraine Atrocities is an Outrage (Russia Insider, anglais, 30-09-2014)