tout ce qui touche de près ou de loin à la Russie…
HONTE À TOUS CEUX "QUI NE SAVAIENT PAS "
ou plutôt qui n'ont pas voulu savoir et qui soutiennent, avec rage et même haine fanatique, un régime qui persiste, en retournant à ses vomissures, à célébrer la gloire de son passé nazi !
[…] Nous avons encore en mémoire les images des Ukrainiens manifestant contre le pouvoir corrompu et autoritaire de leur président Viktor Ianoukovitch, pro-Russe. C’était en février 2014, et le mouvement entraîna la chute du régime de Kiev. Mais, deux ans après, les promesses de liberté du nouveau gouvernement pro-occidental ont-elles été tenues ? Non, à en croire la remarquable enquête de Paul Moreira : car “la révolution a armé et installé tout près du pouvoir” du président Petro Porochenko des groupes d’extrême droite. Avec le soutien de Washington.[…]
Mais ne pensez pas que cela suffise à tous les aveugles pour recouvrer la vue car de même qu' "il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre" Il n'est pire aveugle que celui qui ne veut rien voir Aussi le réalisateur PAUL MOREIRA a-t-il été obligé de répondre à ces dangereux aveugles qui ont la prétention de guider le peuple Voici un extrait de sa réponse parue sur Mediapart
[…] Quand j'ai commencé cette enquête sur l'Ukraine, j'ai découvert avec sidération à quel point le massacre d'Odessa en mai 2014 avait disparu des mémoires... 45 personnes tuées dans un incendie au coeur d'une grande ville européenne en plein milieu du XXIème siècle. Tout avait été filmé par des dizaines de caméras et de téléphones portables. Autour de moi, personne ne s'en souvenait.
45 Ukrainiens d'origine russe sont morts dans l'incendie d'un bâtiment provoqué par les cocktail-molotovs de milices nationalistes ukrainiennes.
Après une rapide recherche, je découvrais que l'évènement n'avait pas été censuré. Il avait été abordé, évoqué, mais jamais enquêté. Comme s'il gênait.
Pourquoi ? Probablement parce que les victimes étaient d'origine russe. Ces victimes étaient rapportées comme des "personnes", sans qu'on sache qui elles étaient, qui les avaient tuées et pourquoi elles étaient mortes. Des "personnes" qui n'étaient personne. […]
Qu'est ce qui s'est passé ce 2 mai 2014, à Odessa ? Je l'ai découvert après avoir visionnés des heures d'images, interviewé des dizaines de témoins, retrouvé des victimes et des agresseurs, croisé les récits jusqu'à obtenir une relation des faits qui fasse sens de cette furie. Précision importante : je n'ai interviewé et diffusé que les témoins directs des faits, les gens que je voyais à l'image, cela me permettait de filtrer un peu les exagérations et les mensonges qui naissent toujours, du côté des attaquants comme des victimes. Le résultat de ce travail minutieux est au coeur du film qui est diffusé lundi soir par Canal Plus.
Lors de mon enquête sur ce massacre à bas bruit, j'ai vu l'importance des milices nationalistes. Elles étaient en première ligne dans les combats de rue à Maïdan, puis s'étaient formées en bataillons pour aller combattre à l'Est les troupes russes. Mais ces bataillons ne s'étaient pas dissous dans l'armée. Ils ne s'imposaient pas la même discipline. Ils pouvaient servir de supplétifs au gouvernement. Ou bien s'ériger en police parallèle. Et, oui, dans leurs rangs, les signes d'une idéologie néo-nazie étaient patents. […]
Il y a quelques semaines, nous aurions du aller chercher de telles informations sur les chaînes russes, pour se faire alors dénigrer. Et pourtant, après une catastrophe parfois tout change! Du moins c'est l'impression qu'on peut avoir aujourd'hui...
Tout en parlant "d'erreurs" pour rester correct, les révélations faites lors de cette émission sur France Inter sont stupéfiantes! C'est à croire que, paradoxalement, c'est sous l'état d'urgence que les médias se libèrent... ou que le gouvernement nous prépare un 180 degrés géopolitique...
Pour les plus curieux, l'émission complète et sa retranscription pour apprendre aussi les raisons bassement économiques du soutien de la défunte ligue "démocratique anti-Assad": http://www.les-crises.fr/france-inter... .
Nos journalistes mainstream appliquent plus que jamais en 2015 la leçon de leur maître qui fut d'abord journaliste, tous les espoirs leur sont permis vu la brillante carrière qui fut celle de Goebbels par la suite…
Petit rappel :
Les élections de 1928 lui permettent de devenir député du parti et de siéger au Reichstag. En mars 1933, il occupe le poste de ministre de l’Information et de la Propagande. En développant les moyens modernes de communication - presse écrite, radio, cinéma -, il répand les idées antisémites dans toute la société allemande. Il fait promulguer une loi qui oblige à adhérer à une Chambre nationale de la culture pour pouvoir exercer une profession artistique ; adhésion refusée à tous les non-aryens. La même année, il fait brûler des livres écrits par des juifs. Il radicalise son régime à l’encontre des sémites notamment lors de la Nuit de cristal au cours de laquelle des synagogues sont détruites et des juifs agressés. Hitler lui donne son soutien, ce qui l’incite à développer de vastes pogroms. Plus de 30.000 juifs sont envoyés en camps de la mort. Dès 1939, alors que le Führer se préoccupe de la guerre, il se concentre sur la Solution finale. Après la disparition d’Hitler le 30 avril 1945, il devient chancelier jusqu’au premier mai, date à laquelle il se donne la mort avec son épouse, après avoir pris le soin d’empoisonner ses six enfants ; il a refusé toute compromission avec les Russes. Durant une grande partie de son existence, Joseph Goebbels a été l’initiateur de haines et de diffusion de propagandes. (source)
Vu l'ampleur des persécutions, on peut comprendre que le courage n'étouffe pas certains de nos élus qui ont certainement la conviction (sans l'avouer peut-être) que la même chose pourrait leur/nous arriver même ici, sur nos terres. Surtout donc ne fâchons personne même quand les autres n'auraient même pas forcément pensé "à mal"… mais bon il est vrai, avec un si joli minois au teint rose ("rose cochon-rose"?) et des yeux bleu azur comme celui-là on ne peut guère passer pour un immigré de confession musulmane… mieux vaut être prudent. Condamnons donc d'entrée tout ce qui de près ou de loin a trait au cochon, pour que ceux qui pourraient nous faire du mal sachent qu'on est copains ( "comme cochons" ? Aïe !…)
Didier Droart
La municipalité de Tourcoing, qui organise ce samedi une fête de la musique, a annulé un spectacle de la compagnie belge Thank You For Coming à cause de son titre : « Boudin & Chansons ».
On peut rire de tout, mais pas avec n’importe qui. Cette sentence s’appliquerait-elle à la politique culturelle de Tourcoing ? Contactée il y a plusieurs semaines, la compagnie avait été choisie dans un premier temps par le service « événementiel » de la ville, qui connaissait son spectacle. « Il y est question de la condition féminine et l’homme y est comparé à un cochon », résume la chargée de diffusion de Thank You For Coming. « Puis nous avons reçu un coup de fil pour annuler au motif que ça pouvait choquer. On a d’abord cru à une blague et on a demandé un mail dans lequel on nous explique que le premier adjoint juge dangereux de faire jouer un spectacle contenant le mot boudin dans son titre. »
« Oui, le cochon peut être tabou »
Premier adjoint au député-maire Gérald Darmanin (Les Républicains), Didier Droart assume : « Je trouvais cela inapproprié dans le cadre d’une fête de la musique. » L’élu explique qu’il ne veut pas « qu’on choque » une partie de la population de confession musulmane et que l’amalgame soit fait avec les apéritifs organisés par l’extrême droite.
Et d’ajouter : « Je ne vois pas le lien avec la fête de la musique. Mais pour un festival de l’humour, on peut travailler avec cette compagnie ».
« Oui, le cochon peut être tabou, je vous l’accorde. Mais n’est-ce pas une raison pour lever le voile ? Doit-on laisser à quelques pseudo-nazis le droit de mettre le cochon en étendard ? », répond avec humour le metteur en scène de la compagnie Sara Amari, qui précise qu’elle est de confession musulmane. Des indemnités sont réclamées. (source : La Voix du Nord)
"Je me méfie toujours des informations qui circulent sur la toile, et qui sont souvent déformées ou de pure invention, dans le but de polémiquer. Mais l’information que je viens de recevoir me semble tout à fait exacte, même si je n’ai pas réussi à trouver la date précise du fait qu’elle rapporte.L’ancien maire de la ville d’Istres, pour répondre à la demande de l’imam de la ville, a fait enlever et remplacer le petit cochon d’un manège par un taureau pour ne pas choquer les enfants musulmans !!!…
Vraiment, on est en plein délire !!! Dans notre pays de tradition chrétienne, l’islam devient roi. Il y avait déjà les noms de nos fêtes chrétiennes – Noël, Pâques – retirés des calendriers ; il y avait l’interdiction, dans certaines écoles, de faire des sapins de Noël, et voilà maintenant que les imams s’en prennent aux animaux de nos manèges ! Mes petits-enfants aimaient l’histoire des « Trois petits cochons ». Je vais devoir brûler ce livre qui faisait leur bonheur !!! (...)
Et nos élus de dire amen, de faire le dos rond devant tous ces abus ! Et pendant ce temps, en Irak, nos frères chrétiens paient de leur vie leur fidélité à la religion qui est la leur depuis deux mille ans ! Jusqu’où ira-t-on dans la flagornerie et dans la servilité ?!…"
Dans l'ouvrage Les Statuts gouvernementaux du juriste sunnite El-Mawerdi (972-1058) dont la traduction française est à la bibliothèque de l'Institut du Monde Arabe, l'ouvrage étant une référence, on lit : "ils ne peuvent élever en pays d'islam de nouvelles synagogues ou églises, qui sont, le cas échéant démolies à leur détriment" page 308, édité par les Editions du patrimoine Arabe et Islamique...non par d'obscurs extrémistes minoritaires.
Le refus du statut de Dhimma comprenant vexations et impôt (jizya) a pour conséquence l'extermination des Chrétiens, la loi islamique est très claire. Page 31 des Statuts Gouvernementaux ont lit effectivement: "Combattre ceux qui, après y avoir été invités, se refusent à embrasser l'islam, jusqu'à ce qu'ils se convertissent ou deviennent tributaires"
Voir les divers ouvrages rappelant cette règle de Charia à L'Institut du Monde Arabe :
La Risâla (L'Epître), d’Ibn Abî Zayd Al-Qayrawânî (922-996), est l’épître de référence chez les sunnites de rite malékite. Le rite malékite est officiel au Maroc et en Algérie, majoritaire en Tunisie et au Sénégal. Le rite malékite a été choisi par l’Institut de théologie de la Grande Mosquée de Paris, et les milliers de pratiquants en France, issus du Maghreb, suivent les prescriptions des « Savants » de cette école juridique.
Concernant le jîhâd voici le scan du chapitre 30, page 85, issu de l’exemplaire de l’Institut du Monde Arabe édité par l’Office des Publications Universitaires, Alger (code bibliothèque 244.221 IBN A).
Si les "infidèles" refusent l' "invitation" (le fameux appel) à embrasser l'islam, ou le statut de dhimmi, ils doivent être combattus par les armes :
Entre anticommunisme et antinazisme l'histoire véritable de la lutte d'un prêtre orthodoxe russe P. Alexander Ioannina pour faire renaître la foi dans une société communiste anti chrétienne, sauver ses fidèles et rester fidèle à sa patrie, sans armes, pendant l'occupation allemande durant la II° Guerre mondiale.
Voilà un film de Vladimir Khotinenko de 2009 d'après le roman d'Alexandre Seguin qui donne un aperçu de la confusion qui a pu être faite et qui a perduré en Ukraine entre la Résistance à la terreur communisme et l'adhésion au nazisme se présentant comme l'opportunité de vaincre le persécuteur... mais on ne s'allie pas impunément au malin...
Je ne sais pas comment le film est distribué mais on ne trouve que cette copie (licite ?) sur YouTube à laquelle on a adjoint fort heureusement des sous-titres en anglais
Acteurs: Sergey Makovetskiy, Nina Usatova, Liza Arzamasova, Anatoliy Lobotskiy
Production Co: Orthodox Encyclopedia Film Company Country: Russia
Distributor: Tritona Studio (http://www.tritonafilm.ru)
Official site www.pop-movie.ru
Une image du film représentant le P. Alexandre s'opposant sans arme à l'oppression nazie
et ci-dessous une photo récente du clergé uniate ukrainien officiant sous les drapeaux des néo-nazis