Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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dimanche 19 janvier 2025

INTERPRÉTATION ORTHODOXE DE L'APOCALYPSE [29] (suite)

 La signification du miracle russe

"Il ne s'agit pas pour nous de nous amuser, de danser sur la tombe de la Russie que nous avons amenée sur son lit de mort, mais plutôt de nous repentir en pleurant..".  Mgr Averky


Pour la première fois depuis près d'un siècle, les chrétiens orthodoxes russes ont officiellement célébré l'Incarnation du Christ le 7 janvier 1992 (selon "l'Ancien Calendrier" traditionnel). Noël n'avait plus été autorisé comme fête sanctionnée par le gouvernement depuis la révolution bolchevique de 1917. Cette fête, représentant la liberté religieuse pour des millions de personnes qui souffrent depuis longtemps, capturait l'esprit miraculeux de l'époque. C’était le point culminant de la chaîne d’événements qui, au-delà de la glasnost et de la perestroïka, avaient conduit à l’effondrement total de l’État soviétique.

La disparition rapide et quasi totale du communisme soviétique a surpris la plupart des spectateurs. Comme ils avaient été impuissants à la provoquer, les dirigeants du monde étaient tout aussi impuissants à prévenir ou à ralentir la détérioration du système totalitaire qui tenait des millions de personnes en otages pendant des décennies.

Il est tentant de considérer la désintégration soviétique comme une victoire directe ou implicite de la démocratie occidentale et du capitalisme de libre marché. Mais si les défauts économiques, sociaux et politiques du communisme sont évidents, ils ne peuvent ni anticiper ni expliquer le bouleversement complet du régime qui avait auparavant mis en péril la planète entière..



    Des principes bien plus profonds que ceux de l’économie ou de la politique sont à l’œuvre dans le « miracle russe ». Pourtant, ces forces sous-jacentes sont restées indétectables et non signalées par les observateurs laïcs parce qu’elles sont spirituelles. Les chrétiens de Russie, en revanche, ne sont pas surpris par ce qui s’est passé, puisqu’ils l’avaient prédit il y a longtemps.

Les visionnaires russes d’avant la révolution voyaient ce qui allait se passer et pourquoi. Ils ont vu comment la misère de leur pays allait commencer et comment elle finirait par se terminer. Ils ont perçu les implications monumentales de tout cela pour le monde entier. Et ils ont parfaitement compris que l’histoire de la Russie était liée à la fin des temps.

En 1905, St Jean de Cronstadt avertit avec insistance : "Russie, si tu abandonnes ta foi, comme beaucoup de membres de la classe intellectuelle l'ont déjà fait, tu ne pourras plus  être la Russie ou la Sainte Russie. Et si le peuple russe ne se repent pas, la fin du monde est proche. Dieu enlèvera le pieux tsar et enverra un fouet en la personne de dirigeants impies, cruels et autoproclamés, qui inonderont la terre entière de sang et de larmes." !

Ces paroles prophétiques se sont réalisées en 1917, lorsque la philosophie marxiste et la rhétorique léniniste ont tellement enflammé la population russe que beaucoup ont perdu contact avec leurs sensibilités chrétiennes orthodoxes. Dans la folie qui s'ensuivit, le tsar Nicolas II et toute sa famille furent brutalement assassinés, mettant fin à la succession de monarques chrétiens qui avait commencé au quatrième siècle avec Constantin le Grand. Au cours des soixante-dix années suivantes, des millions de chrétiens furent tués. L’Église, ainsi que la culture chrétienne qu’elle avait nourrie pendant près d’un millénaire, ont été impitoyablement persécutées.

La révolution russe a réellement commencé en France. C'est là que le slogan humaniste et utopique de « liberté, égalité, fraternité » a été utilisé pour la première fois avec succès pour séparer la population de son héritage chrétien. La cible principale de la Révolution française était la monarchie, fondée sur des principes chrétiens. En détruisant cela, la révolution s'efforçait de faire de l'homme son propre dirigeant, le séparant (en tant que nation) de la protection d'un roi — et du Roi des rois.

« La royauté et l'idée d'un pouvoir politique descendant, c'est-à-dire d'un pouvoir politique descendant de Dieu au roi au profit du peuple, ont finalement expiré avec le « républicanisme » de la Révolution française », écrit le père Michel Azkoul. 1789 marque la date traditionnelle du début de la sécularisation complète et radicale du monde occidental. A partir de ce moment, la "démocratie" devient son idéal politique et l'athéisme sa conséquence politique. Dieu est à jamais coupé des affaires humaines, mourant d'une mort tranquille. dans la folie scientifique du XIXe siècle, sans personne pour l'affliger, comme le gémissait Nietzsche. Désormais, l'univers était entre les mains de l'homme et, comme le proclamait August Comte, il en était le « dieu » et l'amour de l'humanité sa religion." 

Le bolchevisme s'est inspiré de la Révolution française, adoptant bon nombre des mêmes objectifs et méthodes, dans le but d'établir une société totalement laïque et athée. (À suivre)


mercredi 8 octobre 2014

À l'occasion de l'exposition consacrée à Louis IX dit Saint Louis à la Conciergerie à Paris


TESTAMENT DE SAINT LOUIS À SON FILS PHILIPPE
Cher fils, parce que je désire de tout mon cœur que tu sois bien enseigné en toutes choses, j'ai pensé que je te ferais quelques enseignements par cet écrit, car je t'ai entendu dire plusieurs fois que tu retiendrais davantage de moi que de tout autre...
Beau fils, la première chose que je t'enseigne, c'est que tu mettes ton cœur à aimer Dieu, car sans cela nul ne peut être sauvé. Garde-toi de rien faire qui déplaise à Dieu, c'est à savoir le péché mortel, et tu devrais plutôt souffrir de toute espèce de tourments que de faire un péché mortel.
Si Dieu t'envoie l'adversité, reçois-la avec patience et rends grâce à Notre Seigneur, et pense que tu l'as méritée, et qu'il la tournera à ton profit. S'il te donne prospérité, remercie-l'en humblement afin que tu ne sois pas plus mauvais, ou par orgueil ou d'une autre façon, à cause de ce qui doit augmenter ta valeur ; car on ne doit pas combattre Dieu avec ses dons.
Confesse-toi souvent, et choisis pour confesseur un prud'homme, qui sache t'enseigner ce que tu dois faire et dont tu dois garder ; et tu dois te tenir et te comporter de telle manière que ton confesseur et tes amis osent te reprendre de tes mauvaises actions. Écoute dévotement le service de la sainte Église sans bavarder ni plaisanter, et de cœur et de bouche, spécialement, à la messe, quand la consécration est faite. Aie le cœur doux et pitoyable pour les pauvres, les misérables et les malheureux, et réconforte-les et aide-les selon ce que tu pourras.
Maintiens les bonnes coutumes du royaume, et abolis les mauvaises : n'aie pas de convoitise à l'égard de ton peuple, et ne charge pas ta conscience d'impôts ni de tailles, si ce n'est pour une grande nécessité.
Si tu as quelque poids sur le cœur, dis-le aussitôt à ton confesseur, ou à quelque prud'homme qui ne soit pas plein de vaines paroles ; ainsi tu le supporteras plus facilement.
Prends garde d'avoir en ta compagnie des prud'hommes loyaux, qui ne soient pas pleins de convoitise, ou religieux, ou séculiers, et parle souvent avec eux. Fuis et évite la compagnie des mauvais. Écoute volontiers la parole de Dieu et retiens-la dans ton cœur, et recherche volontiers prières et indulgences. Aime ce qui t'est profitable et ton bien, et hais tous les maux où qu'ils soient.
Que nul n'ait l'audace de dire devant toi une parole qui incite et provoque au péché, ou de médire d'autrui par derrière en le calomniant ; ne permets pas qu'aucune vilenie soit dite devant toi sur Dieu et sur ses saints. Rends souvent grâce à Dieu de tous les biens qu'il t'a faits, pour être digne d'en avoir davantage.
Pour rendre justice et faire droit à tes sujets, sois loyal et rigide, sans tourner à droite ni de gauche,, mais apporte ton aide au droit, et soutiens la plainte du pauvre jusqu'à ce que la vérité soit manifestée.. Et si quelqu'un intente une action contre toi, ne le crois pas jusqu'à ce que tu en saches la vérité ; car ainsi tes conseillers rendront plus hardiment leur jugement selon la vérité, pour toi et contre toi.
Si tu tiens quelque chose du bien d'autrui, ou par toi ou par tes devanciers, si c'est chose certaine, rends-le sans délais ; et, si c'est chose douteuse, fais en faire une enquête par des individus sages, rapidement et avec diligence.
Tu dois mettre ton attention à ce que tes gens et tes sujets vivent sous toi en paix et suivant le droit. Également, garde les bonnes villes et les communes de ton royaume dans l'état et avec les libertés où tes prédécesseurs les ont gardées : et, s'il y a quelque chose à corriger, corrige-le et remets-le en ordre, et tiens-les en faveur et en amour, car par la force et la richesse des villes importantes, les personnes privées et les étrangers craindront de se mal conduire envers toi, spécialement tes pairs et tes barons.
Honore et aime toutes les personnes de la sainte Église, et prends garde qu'on ne leur soustraie ou réduise les dons et les aumônes que tes devanciers leur auront donnés.
On raconte à propos du roi Philippe, mon aïeul, qu'une fois un de ses conseillers lui dit que les gens de la sainte Église lui causaient beaucoup de torts et de préjudices, en ce qu'ils usurpaient ses droits et réduisaient ses justices ; et que c'était une chose bien étonnante que la façon dont il le supportait. Et le bon roi répondit qu'il le croyait bien ; mais il considérait les bontés et les courtoisies que Dieu lui avait faites, et il préférait laisser aller de son droit que d'avoir des conflits avec les gens de la sainte Église.
Porte honneur et respect à ton père et à ta mère, et garde leurs ordres. Donne les bénéfices de la sainte Église à des personnes de bien et de vie pure, et fais-le avec conseil de prud'hommes et de gens de vie pure.
Garde-toi de commencer une guerre contre un chrétien sans grande délibération ; et, s'il est nécessaire que tu le fasses, alors respecte la sainte Église et ceux qui n'ont rien fait de mal. Si des guerres et des conflits éclatent entre tes sujets, apaise-les le plus tôt que tu pourras.
Sois attentif à avoir de bons prévôts et de bons baillis, et enquiers-toi à leur sujet et au sujet de ceux de ton hôtel, pour savoir comment ils se conduisent et s'il y a en eux quelque vice de trop grande avidité, de fausseté ou de tromperie. Donne-toi de la peine pour que tous les péchés honteux soient enlevés de la terre ; spécialement fais disparaitre, autant que tu le peux, les jurements honteux et l'hérésie. Prends garde que les dépenses de ton hôtel soient raisonnables et mesurées.
Et enfin, très doux fils, fais chanter des messes pour mon âme et dire des prières dans tout ton royaume, et octroie-moi une place spéciale et entière en tous les biens que tu feras.
Beau cher fils, je te donne toutes les bénédictions qu'un bon père peut donner à son fils ; et que la benoîte Trinité et tous les saints te gardent et te défendent de tous maux ; et que Dieu te donne la grâce de toujours faire sa volonté, en sorte qu'il soit honoré par toi, et que toi et nous puissions, après cette vie mortelle, être ensemble avec lui et le louer sans fin.  Amen !

800 ème anniversaire

mercredi 11 juillet 2012

Démocratie et Orthodoxie

"La démocratie est le pire des régimes, à l'exception de tous les autres" (W. Churchill)


"Nous, français, très souvent nous confondons démοcratie et réρublique.
 Les espagnols, les anglais, les belges, les hollandais les scandinaves n'ont pas de leçon de démocratie à recevoir de nous et pourtant le régime politique auquel ils adhèrent très majoritairement est un régime monarchique et non pas républicain. 
En Grande-Bretagne comme en Espagne et en Belgique, la monarchie est dite parlementaire en ce sens que le chef du gouvernement, nommé par la reine ou le roi, est responsable devant le Parlement. Élisabeth II, Juan Carlos, Albert II sont les représentants de l'État au titre de Chefs de l`État, ce sont des arbitres, et les garants de la continuité des institutions. La Grande Bretagne, la Belgique, l'Espagne sont des démocraties non républicaines, des monarchies démocratiques, et inversement il existe des républiques autoritaires, voire dictatoriales et corrompues à un point tel qu'on ne peut parler de démocratie à leur sujet. Le fait même qu'on puisse qualifier de bananières* certaines républiques prouve qu'il ne suffit nullement qu'un régime soit républicain pour que l'on ait affaire à une démocratie. 

Le Vocabulaire technique et critique de la philosophie d'Αndré Lalande définit le mot démοcratie : État politique dans lequel la souveraineté appartient â la ιοtalité des citoyens, sans distinction de naissance, de fortune ou de capacité. Le mot vient du grec δημοκρατία, (= souveraineté du peuple) qui lui-même est composé de δημος /dêmοs (= peuple) et κράτος / kratοs, pouvoir, souveraineté. Toutefois, le mot dêmos évoque la notion plus restrictive de citoyens (la citoyenneté n'étant pas fοrcément donnée à toute la population.


Nous devons relativiser le concept de démocratie en nous référant au fait que l'Église n'est pas une démocratie, non point parce qu'elle ne le serait pas encore et qu'elle serait appelée à le devenir. A l'instar de l'Église romaine et à la différence du Protestantisme, l'Orthodoxie a un sacerdoce hiérarchique et sacramentel qui n'est pas une délégation reçue des fidèles, mais l'autorité, issue de l'ordination, permettant au prêtre et à l'évêque de célébrer et d'assurer à la communauté la garantie du témoignage apostolique. L'Église n'est pas la simple congrégation d'hommes adhérant à l'Évangile, une communauté indifférenciée, de type charismatique. Loin de vouloir donner en exemple quelques cas exceptionnels, l'Église a parfois pris position contre une approche trop démocratique de l'élection au sacerdoce. C'est ainsi que le 13° canon du Synode de Laodicée a formulé l'interdiction suivante : "On ne doit pas laisser á la foule l'élection de ceux qui sont destinés au sacerdoce". Qu'il soit catholique-romain ou orthodoxe, un prêtre n'est pas un pasteur dans le sens que les protestants donnent à ce mot pour désigner leurs ministres. Un pasteur protestant en retraite est comparable à un douanier ou à un instituteur retraité. Un prêtre est sacerdos in aeternum."
*A l'origine il s'est agi de pays peu développés, dont l'industrie reposait sur la seule production de bananes, et étaient dirigés par une petite ploutocratie autoritaireP. André Borrely

dimanche 17 avril 2011

L’humilité victorieuse parmi les humbles. Dimanche des Rameaux


Béni soit Celui qui vient au nom du Seigneur !
Hosanna au plus haut des Cieux !

Zacharie 9:9 « Exulte avec force, fille de Sion! Crie de joie, fille de Jérusalem! Voici que ton roi vient à toi: il est juste et victorieux, humble, monté sur un âne, sur un ânon, le petit d'une ânesse.»

Jn 12, 14-16 : « Jésus, trouvant un petit âne, s'assit dessus selon qu'il est écrit: Sois sans crainte, fille de Sion: voici que ton roi vient, monté sur un petit d'ânesse.
Cela, ses disciples ne le comprirent pas tout d'abord; mais quand Jésus eut été glorifié, alors ils se souvinrent que cela était écrit de lui et que c'était ce qu'on lui avait fait. »

Matthieu 21:5 «21 Lorsqu'ils approchèrent de Jérusalem et qu'ils furent arrivés à Bethphagé, vers le mont des Oliviers, Jésus envoya deux disciples 2 en leur disant: «Allez au village qui est devant vous; vous y trouverez tout de suite une ânesse attachée et un ânon avec elle; détachez-les et amenez-les-moi. 3 Si quelqu'un vous dit quelque chose, vous répondrez: 'Le Seigneur en a besoin.' Et à l'instant il les laissera aller.»
4 Or [tout] ceci arriva afin que s'accomplisse ce que le prophète avait annoncé:
5 Dites à la fille de Sion: 'Voici ton roi qui vient à toi, plein de douceur et monté sur un âne, sur un ânon, le petit d'une ânesse.'
6 Les disciples allèrent faire ce que Jésus leur avait ordonné. 7 Ils amenèrent l'ânesse et l'ânon, mirent leurs vêtements sur eux, et Jésus s'assit dessus. 8 Une grande foule de gens étendirent leurs vêtements sur le chemin; d'autres coupèrent des branches aux arbres et en jonchèrent la route.
9 Ceux qui précédaient et ceux qui suivaient Jésus criaient: «Hosanna au Fils de David! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur! Hosanna dans les lieux très hauts!»
10 Lorsqu'il entra dans Jérusalem, toute la ville fut troublée. On disait: «Qui est cet homme?»
11 La foule répondait: «C'est Jésus, le prophète de Nazareth en Galilée.».»


HASTA LA VICTORIA SIEMPRE !