Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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lundi 28 octobre 2019

Du rejet contre-productif du Bon Usage en tout domaine…

Réflexions passagères d'un O.o.🤔


sur l’échec de l’éducation (entre autres) nationale [2]




Dans la logique "subversive" du rejet de tout pouvoir (confondu à tort avec l'autorité, la maîtrise et le magistère) le rejet du Bon Usage a été généralisé dans l’éducation des enfants et la grammaire en a sérieusement subi les conséquences.
Le principe de la tabula rasa avec le rejet de toute tradition soutenu par la ridicule autant que mensongère voire négationniste illusion que l'histoire commence ici et maintenant a fait des ravages dans l'apprentissage de la discipline du français comme en tout domaine de notre culture.
On a voulu que les enfants comprennent, réfléchissent avant d’obéir aux règles. Ainsi en a-t-il été pour l’apprentissage du bien écrire. Mais on a mis la charrue avant les bœufs. Pourtant on avait eu en même temps que ces projets pédagogiques « généreux » (l’enfer est pavé de bonnes intentions en ce domaine comme en d'autres) des philosophes du langage pour nous rappeler qu’il n’y avait pas de pensée hors du langage, que la pensée s’articule dans le langage. Alors pourquoi diantre avoir pensé et voulu que les enfants apprennent à penser la langue avant ou en même temps que la maîtrise de la langue ? 
Résultats : on a perdu les enfants dans une confuse et dérisoire « réflexion » linguistique avant de leur apprendre à s’exprimer correctement. Le franglais, l'argot et le verlan ont fait beaucoup de progrès en revanche.
La grammaire fut en conséquence enseignée par des enseignants peu spécialistes de la question – (re)formés « à la va vite » dans le cadre de réformes de surface et de surcroît infondées, plus idéologiques que réellement scientifiques – transmise donc dans une évidente incompétence, avec des manuels s’efforçant comme toujours d’être conformes aux directives ministérielles pour être « choisis » par des enseignants ne sachant plus où donner de la tête, offrant une sorte de bricolage « à la système D » peu cohérent parce qu’utilisant des morceaux de théorie de l’un ou l’autre linguiste, sans discernement ni respect de la cohérence de leurs théories particulières et quelquefois contradictoires. 
Il s’agissait d’aboutir au bon usage sans l’enseigner. Il paraît pourtant évident que cela n’était pas possible voire complétement imbécile. 
Que les linguistes, dont c’est le métier, passent leur vie à étudier, rechercher les origines de tel ou tel phénomène d’une langue pour en rendre compte par une théorie cohérente par l’hypothèse d’une structure sous-jacente, c’est une chose légitime mais qu’on le demande à des élèves dont la langue maternelle est encore – mais de moins en moins – le français, est une totale et particulièrement nocive absurdité… encore pratiquée depuis les années 70 dans les écoles de la République. 

Apprend-on à marcher aux enfants en les assommant avec un patchwork de différents extraits de planches anatomiques et de théories anthropologiques diverses ? Bien sûr et heureusement que non, car on aurait des générations de paralytiques ou au mieux de boiteux…
En revanche les enfants mal enseignés bien que mis "au centre du système" paraît-il, s’expriment plus mal que jamais, pour ne rien dire de la diminution de leur capacité de réflexion et de l’augmentation de leur indiscipline rendant tout apprentissage de plus en plus improbable… 

Évidemment on peut également s'apercevoir que le bon usage en matière de relations humaines, autrement dit les règles du Savoir-Vivre et la courtoisie ( qui sont faute de mieux - d'un point de vue chrétien - des béquilles de l'amour) qui ont fait longtemps le confort de qu'on appelle pompeusement dans la Novlangue le "Vivre Ensemble" français, ont été également jetées aux orties car comme la grammaire trop réactionnaire n'est-ce pas ? 
La pseudo libération des mœurs suivie de la survalorisation du jeunisme accompagné de l'égalitarisme mal fondé des sexes et le rejet des règles de Savoir-Vivre, le métissage culturel aidant (tellement vanté pour ses prétendus effets d'enrichissement !?), ont fait en sorte qu'on peut voir avec consternation le nombre d'incivilités et d'agressions à la personne en augmentation constante. 

Le Savoir-Vivre et le sens de la mesure typiquement français rendaient pourtant la vie en France bien plus agréable et attrayante. D'ailleurs bien qu'il soit de bon ton maintenant de cracher dans la soupe avec des "N… la France !" scandés ad nauseam, ce sont bien ces conditions de vie mêmes qui ont attiré jusqu'à nos jours des générations d'immigrants sans qu'ils aient pensé naguère qu'on le leur devait absolument, avec non seulement une totale absence de gratitude mais également un profond et amer ressentiment nourrissant des projets de destruction et de meurtre… suivis de passages à l'acte.

La loi du plus fort est revenue et l'on est prié de dire "Respect!" 


Maxime Martinez

Pour compléter, lire :

dimanche 19 novembre 2017

Assez de révisionnisme !

Pas de limite à la haine et  la libido ressentimentale… 

J'ai déjà commis un article sur les gens de gauche et la contradiction insurmontable du chrétien qui se veut de gauche. Quand j'aurai le temps je ferai la même chose pour les gens "de droite"… mais la gauche je connais bien je l'ai vécue de l'intérieur. Inutile de me raconter des histoires.

J'ai donc bien montré comment la "pensée" de gauche — qui naguère se prévalait d'être l'unique lieu de l'intelligence… qui y croit encore ?  — était répétitive, bornée, systématiquement négative, ne sachant que faire naître et alimenter les conflits et la division : lutte des classes, luttes des races, guerre des sexes, conflits de générations  etc. Et ceci aujourd'hui dans notre société contemporaine même. Eh bien lisez le texte terrible de la réponse à Prilepine de Mikhaïl Smoline qu'a traduit Laurence  sur ces communistes soi-disant "orthodoxes" et vous constaterez jusqu'où cet esprit diabolique de division a été à son paroxysme dans "l'art" de susciter des conflits, alimenter l'inimitié, de susciter la haine, de fomenter des complots, de programmer meurtres et massacres dans une totale obsession permanente de rapports de force en lutte pour le pouvoir.



[…] C’est là que se révéla toute la substance spirituelle des bolcheviques, ils tuèrent férocement le Souverain et la Souveraine, et leurs enfants, et leurs parents, et leurs amis, et leurs serviteurs. A ce propos, ils trouvèrent même ensuite la nourrice du souverain, qui l’avait nourrie de son lait, et la fusillèrent avec son mari et sa fille. Voilà quelle « philanthropie » rare parmi les hommes était la leur.
Peut-on se rappeler quelque chose de semblable de l’autre côté ? Volodia Oulianov fut-il fusillé pour l’attentat de son frère contre l’Empereur Alexandre III ? Sa mère, son frère et ses sœurs, qui avaient reçu, un avant le crime, la noblesse héréditaire de la part de ce même Empereur furent-ils fusillés ? Ou bien peut-être, après l’assassinat de l’Empereur Alexandre II, les monarchistes avaient-ils pris de nombreux otages dans le milieu des révolutionnaires et de leurs familles, leurs amis, leurs enfants, pour les fusiller, comme ce fut le cas après l’assassinat d’Ouritski ? […] 
  

La soif de sang et l'obsession exterminatrice ne sont jamais rassasiées. Là s'illustre ce qu'on fait semblant d'ignorer — cela s'appelle sans tergiverser du révisionnisme —l'éclatante vérité de la malignité congénitale de toute pensée "de gauche" dans son éphémère (70 ans tout de même) mais monstrueux triomphe historique.

[…] Il n’y a pas de chrétiens bolcheviques ni de bolcheviques chrétiens, l’un ou l’autre doit forcément tôt ou tard triompher en nous de l’autre. Ici, personne n’arrivera à rester à la fois avec les bolcheviques et le saint Souverain. Il faut choisir entre le bien et le mal et non entre le bon mal et le mauvais bien. C’est seulement dans notre absurde réalité terrestre qu’il peut exister des stalinistes orthodoxes, des bolcheviques blancs, des slavophiles de gauche et autres personnes syncrétiques.[…] 

« Aucun homme ne peut servir deux maîtres : car toujours il haïra l'un et aimera l'autre. On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon (Matthieu 6:24). » On pense toujours à l'argent et à la passion de la cupidité mais il peut s'agir également de la passion du pouvoir et de ses abus et du ressentiment haineux, jusqu'à l'horreur et l'abomination du désir d'extermination de peuples entiers, jusqu'à ses proches mêmes devenus étrangers.

[…] Les commissaires du peuple étaient nommés par le Politburo du Comité central du RSDLP dirigé par Lénine qui fut fondé le 10 octobre 1917 pour la direction politique de la révolte armée. Il comportait un Russe d’une famille de marchands, A.S. Boubnov (fusillé avec sa femme en 1938, sa fille unique condamnée à sept ans de camp et à l’exil à vie), G.E.Zinoviev (Radomyslski Evseï Gerch Aronovitch, fusillé en 1936, sa première femme fut arrêtée en 1934, 1937, 1946, 1951, libérée en 1954, gravement malade, elle mourut bientôt, le fils de sa seconde femme (24 ans) fut fusillé en 1937 ; la femme de son fils fut emprisonnée, et déportéesa troisième femme fut emprisonnée et déportée de 1936 à 1954). L.B. Kamenev (Rosenfeld, fusillé en 1936, sa première femme le fut en 1941, ses deux fils en 1937, sa seconde femme fut fusillée en 1937, son fils placé en orphelinat, plus tard réprimé, son frère, la femme et le fils de celui-ci furent également fusillés), le sang très mêlé et en partie juif V.I Lénine (tombé psychiquement malade), G.I Sokolnikov (Brilliant Girch Iankelevitch) (tué dans un isolateur politique sur ordre de Staline en 1939, on ne sait comment ont fini ses deux premières femmes, la troisième passa dix-huit ans dans les camps et en déportation, sa fille unique fut exilée avec sa mère.) I.V. Staline (sa femme s’est suicidée, son fils fut emprisonné de 1953 à 1961, fut libéré pour quatre mois) et L.D. Trotski (Bronstein Leïba Davidovitch) (t sur ordre de Staline en 1940, sa femme fusillée en 1938, sa fille s’est suicidée, une de ses filles fut réprimée, un autre petit-fils fusillé (19 ans), encore une autre petite-fille a disparu sans laisser de traces, le fils de sa concubine fut fusillé en 1937, la femme d’un autre fils en 1938, un petit-fils disparut sans laisser de traces en 1937).[…]
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