Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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dimanche 19 novembre 2017

Assez de révisionnisme !

Pas de limite à la haine et  la libido ressentimentale… 

J'ai déjà commis un article sur les gens de gauche et la contradiction insurmontable du chrétien qui se veut de gauche. Quand j'aurai le temps je ferai la même chose pour les gens "de droite"… mais la gauche je connais bien je l'ai vécue de l'intérieur. Inutile de me raconter des histoires.

J'ai donc bien montré comment la "pensée" de gauche — qui naguère se prévalait d'être l'unique lieu de l'intelligence… qui y croit encore ?  — était répétitive, bornée, systématiquement négative, ne sachant que faire naître et alimenter les conflits et la division : lutte des classes, luttes des races, guerre des sexes, conflits de générations  etc. Et ceci aujourd'hui dans notre société contemporaine même. Eh bien lisez le texte terrible de la réponse à Prilepine de Mikhaïl Smoline qu'a traduit Laurence  sur ces communistes soi-disant "orthodoxes" et vous constaterez jusqu'où cet esprit diabolique de division a été à son paroxysme dans "l'art" de susciter des conflits, alimenter l'inimitié, de susciter la haine, de fomenter des complots, de programmer meurtres et massacres dans une totale obsession permanente de rapports de force en lutte pour le pouvoir.



[…] C’est là que se révéla toute la substance spirituelle des bolcheviques, ils tuèrent férocement le Souverain et la Souveraine, et leurs enfants, et leurs parents, et leurs amis, et leurs serviteurs. A ce propos, ils trouvèrent même ensuite la nourrice du souverain, qui l’avait nourrie de son lait, et la fusillèrent avec son mari et sa fille. Voilà quelle « philanthropie » rare parmi les hommes était la leur.
Peut-on se rappeler quelque chose de semblable de l’autre côté ? Volodia Oulianov fut-il fusillé pour l’attentat de son frère contre l’Empereur Alexandre III ? Sa mère, son frère et ses sœurs, qui avaient reçu, un avant le crime, la noblesse héréditaire de la part de ce même Empereur furent-ils fusillés ? Ou bien peut-être, après l’assassinat de l’Empereur Alexandre II, les monarchistes avaient-ils pris de nombreux otages dans le milieu des révolutionnaires et de leurs familles, leurs amis, leurs enfants, pour les fusiller, comme ce fut le cas après l’assassinat d’Ouritski ? […] 
  

La soif de sang et l'obsession exterminatrice ne sont jamais rassasiées. Là s'illustre ce qu'on fait semblant d'ignorer — cela s'appelle sans tergiverser du révisionnisme —l'éclatante vérité de la malignité congénitale de toute pensée "de gauche" dans son éphémère (70 ans tout de même) mais monstrueux triomphe historique.

[…] Il n’y a pas de chrétiens bolcheviques ni de bolcheviques chrétiens, l’un ou l’autre doit forcément tôt ou tard triompher en nous de l’autre. Ici, personne n’arrivera à rester à la fois avec les bolcheviques et le saint Souverain. Il faut choisir entre le bien et le mal et non entre le bon mal et le mauvais bien. C’est seulement dans notre absurde réalité terrestre qu’il peut exister des stalinistes orthodoxes, des bolcheviques blancs, des slavophiles de gauche et autres personnes syncrétiques.[…] 

« Aucun homme ne peut servir deux maîtres : car toujours il haïra l'un et aimera l'autre. On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon (Matthieu 6:24). » On pense toujours à l'argent et à la passion de la cupidité mais il peut s'agir également de la passion du pouvoir et de ses abus et du ressentiment haineux, jusqu'à l'horreur et l'abomination du désir d'extermination de peuples entiers, jusqu'à ses proches mêmes devenus étrangers.

[…] Les commissaires du peuple étaient nommés par le Politburo du Comité central du RSDLP dirigé par Lénine qui fut fondé le 10 octobre 1917 pour la direction politique de la révolte armée. Il comportait un Russe d’une famille de marchands, A.S. Boubnov (fusillé avec sa femme en 1938, sa fille unique condamnée à sept ans de camp et à l’exil à vie), G.E.Zinoviev (Radomyslski Evseï Gerch Aronovitch, fusillé en 1936, sa première femme fut arrêtée en 1934, 1937, 1946, 1951, libérée en 1954, gravement malade, elle mourut bientôt, le fils de sa seconde femme (24 ans) fut fusillé en 1937 ; la femme de son fils fut emprisonnée, et déportéesa troisième femme fut emprisonnée et déportée de 1936 à 1954). L.B. Kamenev (Rosenfeld, fusillé en 1936, sa première femme le fut en 1941, ses deux fils en 1937, sa seconde femme fut fusillée en 1937, son fils placé en orphelinat, plus tard réprimé, son frère, la femme et le fils de celui-ci furent également fusillés), le sang très mêlé et en partie juif V.I Lénine (tombé psychiquement malade), G.I Sokolnikov (Brilliant Girch Iankelevitch) (tué dans un isolateur politique sur ordre de Staline en 1939, on ne sait comment ont fini ses deux premières femmes, la troisième passa dix-huit ans dans les camps et en déportation, sa fille unique fut exilée avec sa mère.) I.V. Staline (sa femme s’est suicidée, son fils fut emprisonné de 1953 à 1961, fut libéré pour quatre mois) et L.D. Trotski (Bronstein Leïba Davidovitch) (t sur ordre de Staline en 1940, sa femme fusillée en 1938, sa fille s’est suicidée, une de ses filles fut réprimée, un autre petit-fils fusillé (19 ans), encore une autre petite-fille a disparu sans laisser de traces, le fils de sa concubine fut fusillé en 1937, la femme d’un autre fils en 1938, un petit-fils disparut sans laisser de traces en 1937).[…]
Article intégral ICI 





mardi 1 août 2017

Des "RUSSES VÉRITABLES" par LAURENCE

https://www.facebook.com/notes/laurence-guillon/le-bien-en-marche/10153884730443867/


En allant en Russie, je me suis mise en conformité avec moi-même, avec le chemin de ma vie, et en effet, j'y ai beaucoup plus de perspectives, je chante à nouveau, je fréquente à nouveau des ethnomusiciens, je fréquente des artistes et des intellectuels vrais et profonds, j'ai de sérieuses chances de publier et de toucher des gens que concernent ce que j'écris. Je pense aussi réaliser un témoignage, par mon choix, devant les Français qui me lisent, mais aussi devant les Russes qu'un tel choix sidère. Une artiste peintre m'a déclaré: "Vous m'avez donné l'occasion de voir qu'une véritable idéaliste peut exister en chair et en os." 
Mais j'ai eu l'impression de repartir au combat alors que je n'aspirais qu"au repos, et c'est bien de cela qu'il s'agit. D'un point de vue matériel et administratif, les choses vont peu à peu se résoudre, naturellement, et ma maison est plus agréable à habiter que celle que j'avais dans le Gard, plus claire, plus grande, mieux chauffée, paradoxalement moins humide (peut-être le bois à la place de la pierre), alors que je vis dans un marécage, une sorte de Camargue froide pleine de roseaux. Je pense que je m'en sortirai mieux sur un plan financier, mais l'aventure me coûte quand même cher, tout changement me fait perdre des plumes, car je gère tout cela très mal. Je suis extrêmement fatiguée par les travaux, les démarches, les allées et venues, le climat, les émotions diverses. Cela va se tasser plus ou moins. 
Mais je me rends compte que le combat se situera bientôt ailleurs: je deviens peu à peu là bas un phénomène, si mon livre est publié, je le deviendrai encore plus et je serai attaquée par les libéraux qui sont scandalisés de m'avoir vu choisir "ce pays", "cette populace" et "cette religion" (rétrograde qui pue la sainte Russie). Je serai également attaquée de l'autre côté par les néocommunistes et négationnistes staliniens par mon refus de participer à cela et de cracher, pour justifier leur idéologie sur les tombes des nombreuses victimes innocentes qu'elle a laissée derrière elle. Pourtant, j'avais fini par faire la paix avec les communistes qui au moins, partageaient avec moi le respect des valeurs humaines établies telle que la famille et la patrie, du moins en ce qui concerne ceux d'aujourd'hui, pas les bolcheviques, évidemment. Et le capitalisme libéral me dégoute tellement, me parait tellement corrupteur et de plus en plus totalitaire, que je me ficherais complètement de voir le pays revenir à une sorte de communisme non idéologique, où les ressources et les organismes d'intérêt général seraient nationalisés, où nulle fortune hypertrophiée et tentaculaire ne serait plus pêrmise et où tout le monde vivrait modestement. Mais c'est que ces gens là viennent systématiquement aboyer dans mes commentaires quand j'évoque Nicolas II ou la collectivisation, colporter d'ignobles calomnies sur tous ces morts et j'en ai même un qui a osé me dire que l'URSS était l'apothéose de l'histoire russe! Mon refus de me laisser embrigader là dedans (si je ne suis pas libérale, alors il me faut être stalinienne) les déçoit et les indigne! Ma position est tout à fait simple: je suis orthodoxe et tsariste, je suis slavophile et médiévale. Tout le reste vient pour moi du démon. Il y a des gens comme moi en Russie, il y en a même pas mal, et je dirais que ce sont les Russes véritables, entre les mondialistes qui n'ont plus ni culture ni patrie et les mutants post-soviétiques. Mais l'existence des deux mouvements issus du progressisme matérialiste et du rationnalisme dont nous crevons tous compromet le mouvement précédent qui allait dans le sens du repentir, de la réconciliation et du retour aux sources. Dans le désastre eltsinien, on n'entendait plus glapir les nostalgiques du goulag et des éxécutions de masse, on entendait seulement les libéraux, cela ne fait pas beaucoup de monde, même s'ils tiennent le moitié des médias. Cependant, les uns nourrissent les autres, et se justifient mutuellement: l'existence de traîtres caractérisés justifie a posteriori la politique de répression stalinienne aux yeux de beaucoup de gens simples exaspérés. Fort heureusement, à l'intérieur de ces deux groupes égarés, il y a des nuances individuelles, qui permettent une osmose par capillarité. Des communistes et même des néostaliniens qui regrettent l'immonde assassinat de la famille impériale ou les diverses purges, et n'ont pas d'antipahie pour l'Eglise Orthodoxe. Des libéraux qui ne renient pas complètement leur patrie mais se laissent embarquer par leur milieu, l'indignation suscitée par la conduite souvent extrêmement répréhensibles des fonctionnaires et qui ne voient pas plus loin que ce qui se passe sour leur nez. Mais partout où se développe la confusion fleurit le mensonge et la haine. Certains commentaires antireligieux délirent positivement de haine: Eglise Orthodoxe = sainte Russie = tout ce qui nous fait honte, alors que nous devrions en être fiers. Cela nous fait honte, parce que nous voudrions être des Américains ou des Allemands (grand Dieu pourquoi?) ou cela nous fait honte, parce que nous avons laissé assassiner tout cela par des aventuriers pour un résultat sinistre et médiocre qui a débouché sur un désastre.
(source :  extrait de Bilan épistolaire)