Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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samedi 12 août 2023

L'ESPRIT SOUFFLE OÙ IL VEUT, le perfectionnement sans fin de l'esprit, L'IMMORTALITÉ par St Luc de Crimée

 

Святителю отче Луко, моли Бога о нас!

    «L'esprit humain est le souffle de l'Esprit Divin :  il est donc immortel, au même titre que tous les esprits incorporels tels les anges. Or, les anges sont légion comme l'attestent les Saintes Écritures, et infinis sont les stades de leur développement et de leur perfection. Or, des êtres terrestres, l'homme est la première et l'unique créature spirituelle : certains, parmi eux, font preuve d'un degré de spiritualité, hors du commun, et ont quasiment réussi de leur vivant, à libérer l'esprit de leur corps. Ces hommes-anges s'élèvent dans les airs durant la prière, témoignent d'un pouvoir extraordinaire de l'esprit sur le corps : ils sont une passerelle entre l'esprit lié à l'âme et au corps et l'esprit désincarné.

    Tout l'univers des êtres vivants, voire la nature toute entière révèlent cette grande loi du perfectionnement progressif et infini des formes, il est impossible d'admettre que la plus haute perfection atteinte dans la nature terrestre, la spiritualité de l'homme, n'est point de développement ultérieur au-delà des limites du monde terrestre. Il est impossible d'admettre que la multitude infinie des galaxies soit seulement des masses grandiose de matière inerte, que le monde des êtres vivants s'interrompt à l'homme, ce premier degré du développement spirituel. Qu'est-ce qui peut nous empêcher d'admettre que les astres servent d'habitacle à une multitude d'êtres vivants, dotés de raison, à des formes supérieures d'intellectualité ?

    On rétorque, habituellement qu'aucune vie organique n'est possible dans les conditions physiques, telles qu'elles existent sur les étoiles et les planètes. Mais les esprits incorporels ont-ils besoin de conditions de vie physiques  déterminées comme les êtres organiques ? Ne peut-il pas y avoir des formes corporelles totalement autres que les formes terrestres, adaptées  à des conditions physiques différentes de celles que l'on rencontre sur terre ?

[…] Si la loi du développement et du perfectionnement dans la nature terrestre, est d'une telle limpidité, il n'y a aucun fondement pour prétendre qu'elle s'interrompt au-delà des limites de notre planète, et pour penser que l'esprit apparu premièrement en l'homme, mais révélé aussi dans les êtres les plus simples, sous une forme primitive, n'a pas un développement ultérieur dans l'univers.

    Le monde tire son origine de l'amour divin, et s'il fut donné cette loi aux hommes : « Soyez parfait, comme est parfait, votre Père dans les Cieux », il va de soi que la possibilité d'accomplir ce commandement, la possibilité d'un perfectionnement sans fin de l'esprit doivent aussi être inscrits en eux. C'est dans cette perspective que ça impose. L'existence immortel et éternelle de l'Esprit et une infinité de forme de son perfectionnement. Il est impossible que la loi du perfectionnement infini de l'esprit, dans son approche de la perfection divine, est été octroyé seulement aux hommes, et non pas à l'ensemble de la création, à tout l'univers des êtres spirituel, car ces derniers aussi ont été créés à divers stades de perfection qui surpasse de loin l'infini, l'infime perfection de l'esprit humain.

 Si la matière est parfaite (indestructible), ainsi que l'énergie qu'elle contient dans ses formes physiques, cela signifie que l'énergie spirituelle, autrement dit l'esprit de l'homme et de tout ce qui est vivant, doit être aussi soumis à cette loi. C'est pourquoi, l'immortalité est un postulat irréfutable de notre raison. »
❤️ Saint Luc de Crimée
in L'esprit, l'âme et le corps

mardi 6 mars 2018

Transhumanisme vs Théôsis ?

« Homme perfectible, homme augmenté ? », un numéro hors-série de la « Revue d’éthique et de théologie morale

Recension par Jean-Claude Larchet

Homme_perfectible
Marc Feix et Karsten Lehmkühler (éd.), Homme perfectible, homme augmenté ?, Actes du colloque de l’ATEM (Association des théologiens pour l’étude le la morale), Strasbourg le 29 août 2014, Revue d’éthique et de théologie morale, hors-série, n° 286, Éditions du Cerf, Paris, 2015, 226 p.
Au cours de ces dernières décennies se sont développées aux États-Unis, puis répandues dans le monde occidental, diverses théories qui se rattachent à ce que l’on appelle le courant transhumaniste, qui est puissamment soutenu par de grands groupes internationaux comme Google.
Ce courant vise à un dépassement des limites de l’homme actuel. Il comporte à un premier niveau la promotion de tous les moyens techniques permettant ce que l’on appelle en anglais un human enhancement, c’est-à-dire un perfectionnement et une « augmentation» de l’être humain. Comme le montre cette double traduction, ce dépassement est envisagé à des degrés divers qui peuvent aller d’un simple remède à des maladies ou des infirmités, jusqu’à une amélioration des performances physiques, psychiques et intellectuelles, réalisant un être humain ayant des capacités et des performances supérieures à celles de l’homme actuel. Cela débouche sur le concept plus large de transhumanisme, qui désigne un mouvement qui a l’ambition de créer un homme supérieur, ayant une nature différente de la nature présente, une nature qui accédera notamment à l’incorruptibilité et à l’immortalité, et à une toute-puissance sur elle-même et son environnement, une nature quasiment parfaite.
Cette conception qui remet en cause la conception de l’homme actuel, de ses limites, de son imperfection, et qui ambitionne de changer sa nature même pour lui conférer des qualités quasi-divines ne peut qu’interpeller les chrétiens. L’ATEM (Association des théologiens pour l’étude de la morale), qui réunit des universitaires catholiques et protestants spécialisés dans le domaine de l’éthique ou susceptibles d’apporter leurs compétences à la réflexion éthique, lui a consacré son dernier colloque annuel. Comme chaque année, un numéro hors-série de la Revue d’éthique et de théologie morale contient les Actes de ce colloque.

Une première partie regroupe les communications relatives à une « Approche philosophique et scientifique »:

— Bernard Baertschi, « “Human enhancement”: enjeux et questions principales »
— Jean-Louis Mandel, « Améliorer la condition humaine par la génétique? »
— Ghislain Waterlot, « Entre amélioration et aliénation: réflexions à partir de la “perfectibilité” chez Rousseau et chez Bergson »
— Pascale Lintz, « “Enhancement” et nanotechnologies »
— Otto Schäfer, « La notion d’ “homme végétal”, une piste pour renouveler le discours anthropologique chrétien? »
— Valentine Gourinat, « Le corps prothétique: un corps augmenté?
— Barbara Duarte, « Le piratage corporel ou “body hacking” au service de l’augmentation corporelle »
Une deuxième partie concerne l’« Approche biblique »:
— Christian Grappe, « La notion de perfection dans le Nouveau Testament et les réflexions contemporaines relatives à l’ “human enhancement” »
Une troisième partie contient les exposés se rapportant à l’« Approche d’éthique théologique et de spiritualité »:
— Karsten Lehmkühler, « La théologie face à l’amélioration de l’homme »
— Marie-Jo Thiel, « L’homme augmenté aux limites de la condition humaine »
— Alberto Bondolfi, « Comment argumenter à propos de l’amélioration de la condition biologique de la vie humaine? »
— Jean-Claude Larchet, « La déification (“théôsis”) comme accomplissement de l’homme »
— François Marxer, « Accomplissement, performance, dépassement: quelle excellence choisir? »

Ces communications ont, comme on l’aperçoit à leurs titres, des contenus très variés. Plusieurs d’entre elles ont souligné les limites de l’ambition de créer un homme parfait, tant du point de vue de sa réalisation technique que de son principe même, notant que le christianisme a fortement valorisé l’humilité et la faiblesse, dont le Christ lui-même, comme Dieu qui s’est fait homme, a montré l’exemple, et que le projet du christianisme consiste pour une part à assumer les limites de la nature dans l’état actuel qui est le sien, qui ne sont pas forcément négatives mais peuvent servir de support à une construction et une amélioration spirituelles de soi.
Ayant été invité à présenter le point de vue orthodoxe (qui s’est jusqu’à présent très peu exprimé dans ce débat, non seulement en France mais à l’étranger), j’ai pour ma part, dans l’introduction de mon exposé qui n’a pas été reproduite dans la version éditée, tout d’abord montré les limites internes du courant transhumaniste.

J’ai fait remarquer en premier lieu que celui-ci a deux fondements:

— Bien que l’on parle à son sujet de transhumanisme ou de posthumanisme, il s’enracine globalement dans l’humanisme né à la Renaissance et développé au XVIIIe siècle par les « Lumières », c’est-à-dire dans une conception qui considère l’homme comme existant d’une manière absolue, indépendamment de Dieu, pour lequel il ne peut y avoir aucun apport surnaturel, mais seulement un apport culturel, c’est-à-dire venant des productions sociales.

— Il est pour l’essentiel lié au progrès technologique, avec l’idée que c’est au moyen des nouvelles technologies surtout (en particulier robotiques, informatiques et génétiques) que l’homme pourra être amélioré, augmenté, transformé et dépassé ; dans ce sens il a une base matérialiste . Dans la mesure où les technologies se fondent sur les sciences, et où le transhumanisme pense que des solutions à presque tous – sinon à tous – les problèmes de l’homme pourront être apportées par les progrès technologiques fondés sur le progrès scientifique, il s’enracine aussi dans le scientisme, un courant philosophique né à la fin du XIXe siècle, selon lequel tout problème de l’existence humaine est susceptible de trouver, actuellement ou dans le futur, une solution dans la connaissance scientifique.
Bien que le mouvement transhumaniste et en particulier les théories de l’enhancement se veuillent ultra-modernes (et même futuristes) on voit donc que leurs fondements reposent sur l’humanisme de la Renaissance, le rationalisme des Lumières, le scientisme du XIXe siècle et le technologisme né à la même époque.
J’ai noté ensuite que, par rapport à ses fondements mêmes, le transhumanisme et ses corrélats présentent cependant un certain nombre de faiblesses : 

1) L’humanisme en tant qu’idéal moral est mis à mal par le transhumanisme dans la mesure où en augmentant la part de technicité dans le fonctionnement physique et psychique de l’être humain, il réduit du même coup la part d’humanité, et pourrait, au terme de sa logique, déboucher sur « un monde sans humain » pour reprendre le titre d’une enquête récente de la chaine de télévision Arte. 

2) La rationalité scientifique sur laquelle repose le technologisme du transhumanisme est mise à mal par la forte part d’illusion que comporte un monde transhumain, actuellement et sans doute à jamais bien plus imaginaire que réel. À cet égard, le transhumanisme, pour une grande part, relève plus de la science-fiction que de la science. Dans l’imaginaire qu’il développe se projette un certain nombre de fantasmes humains, comme un désir de perfection (physique, psychique et intellectuelle), de toute-puissance et d’immortalité acquises par des moyens humains. 

3) Le transhumanisme se montre aveugle quant aux limites de la technologie face au vieillissement du corps humain dans sa totalité et quant à la mort qui constitue l’horizon inévitable de la vie humaine (on voit bien aujourd’hui comment l’augmentation de la durée moyenne de vie, dont la médecine se targue, est corrélée par toutes sortes de maladies dégénératives qui affectent le grand âge et ne trouvent leur solution que dans la mort). 

4) Au lieu d’augmenter l’homme, comme il le prétend, le transhumanisme le diminue parce qu’il se centre essentiellement sur les performances ou les qualités du corps, et l’ampute donc pour une grande part de sa dimension psychique et pour la totalité de sa dimension spirituelle. 

5) Dans la mesure où il vise à améliorer les performances psychiques et intellectuelles de l’homme, il les traite sur un plan essentiellement quantitatif, n’ayant de par sa nature technologique que peu de prise sur le qualitatif. La prétendue capacité de choix réalisée par des moyens informatiques, relève essentiellement de la classification et des probabilités, qui restent du domaine de la quantification. Les fonctions intellectuelles qu’il est susceptible de toucher restent de l’ordre du calcul et sont améliorées du point de vue de la rapidité, de la quantité d’information traitée, et du respect de règles logiques posées au départ. Elles manquent d’intelligence et de compréhension au sens d’appréhension du sens et de référence à des valeurs. 

6) Lorsqu’il vise la qualité, comme c’est le cas de la génétique, le transhumanisme tombe dans des pratiques eugénistes contestables, et fait dépendre les choix de critères individuels (comme le désir ou la fantaisie des parents) ou sociaux (par exemple le besoin d’une société donnée d’avoir plus de filles ou plus de garçons, où, comme on l’a vu à l’époque du nazisme, le désir d’obtenir une race pure) qui sont non seulement discutables mais extérieurs à la personne concernée. 

7) La plus grande faiblesse du transhumanisme et de l’enhancement est d’envisager une amélioration et une augmentation de l’être humain sans être capable de poser et de résoudre le problème de leur sens lorsqu’elles dépassent les limites d’une réparation ou d’un rétablissement d’ordre thérapeutique, ni le problème de leur valeur, ni même souvent, le simple problème de leur utilité.
J’ai souligné enfin que le transhumanisme (en dehors de ce cas de visée thérapeutique, très particulier et non caractéristique) pose un problème par rapport à la foi chrétienne : ce mouvement, qui prend souvent la forme d’une idéologie, se positionne en effet sinon contre la religion, du moins comme un substitut (ou ersatz) de celle-ci. 

C’est ce que fait apparaître le corps de mon exposé (édité dans ce volume) dont le but est de présenter le perfectionnement de l’homme et son dépassement tels que les conçoit le christianisme et plus spécialement tel que les ont théorisés, au cours du premier millénaire surtout, les Pères grecs dans leur élaboration de l’anthropologie chrétienne, et particulièrement dans leur doctrine de la déification de l’homme (theôsis).
Jean-Claude Larchet

lundi 8 février 2016

A 17 ANS, IL VEUT QUE SON CERVEAU SOIT CRYOGÉNISÉ

"VOUS SEREZ COMME DES DIEUX" suite
Sur le site fredzone.org
Matthew Deutsch n’est pas un adolescent comme les autres. Âgé de seulement 17 ans, il n’a effectivement qu’un seul rêve : devenir immortel. Il d’ailleurs prêt à tout pour parvenir à ses fins et c’est précisément ce qui l’a poussé à devenir membre de la fondation Alcor, pour que cette dernière puisse congeler son cerveau.
La fondation Alcor a été fondée en 1972 par un couple du nom de Fred et Linda Chamberlain. Il s’agit d’une organisation à but non lucratif et elle est basée en Californie.
Alcor Cryogénisation
Cet adolescent de 17 ans veut vivre éternellement et il est prêt à tout pour ça.
Elle poursuit depuis plusieurs années des recherches dans le domaine de la cryogénisation et elle a été la première à mener des tests sur un être humain, et plus précisément sur le père de son fondateur.

Alcor a ouvert ses portes au début des années 70

En marge, elle est aussi parvenue à congeler et à ranimer des chiens sans aucun déficit neurologique dans les années 80. Ses ingénieurs avaient été unanimement salués par leurs pairs à l’époque.
La cryogénisation a commencé à devenir très populaire à la fin des années 80 suite à la publication du livre Engines of Creation de Eric Drexler. L’ouvrage contenait effectivement un chapitre sur le sujet et le grand public a donc commencé à s’intéresser aux techniques existantes. Quelques années plus tard, Alcor a dépassé le seul des 300 membres.
L’organisation en compte désormais plus de 1 332 et Matthew Deutsch est le plus jeune d’entre eux.
Alcor propose plusieurs formules différentes à ses membres. S’ils le souhaitent, ces derniers peuvent demander à ce que tout leur corps soit cryogénisé mais ce n’est pas une obligation et ils peuvent aussi opter pour une autre formule moins coûteuse pour congeler… leur cerveau.
Les membres de l’organisation doivent évidemment attendre de passer de vie à trépas pour être cryogénisés.

Deux formules de cryogénisation au choix

L’organisation a créé des chambres spécifiques capables de contenir quatre corps et six cerveaux à une température de -196°C. On ne connait pas exactement le processus utilisé mais on sait qu’il s’appuie sur de l’azote liquide pour maintenir les éléments biologiques à cette température.
Matthew a bataillé ferme pour obtenir l’autorisation de ses parents mais ces derniers ont fini par céder et sa mère a même rejoint l’aventure à ses côtés. Même chose pour leurs chiens. Le père a poliment décliné l’invitation, à croire que tout le monde ne rêve pas forcément d’immortalité.
Il est important de rappeler que le processus de cryogénisation comporte des risques. Personne ne sait si le processus utilisé par Alcor est viable sur le long terme.
En attendant, si vous voulez en savoir un peu plus sur le sujet, vous pouvez toujours vous rendre sur le site de l’organisation. Côté prix, il faut compter environ 200 000 $ pour une cryogénisation complète ou 80 000 $ pour le cerveau. (source)

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Le malin doit bien se frotter les mains et se fendre la poire quand il  voit les humains être convaincus que la transgression du  péché originel c'était de commettre "l'acte de chair" comme ils disent…