Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8
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mardi 23 février 2021

Comment fabriquer un protocole "scientifique" infaillible pour manipuler les populations et perpétuer des profits monstrueux- sur ARTE

À VOIR SUR ARTE OU SUR YOU TUBE




Comment, des ravages du tabac au déni du changement climatique, on instrumentalise la science pour démentir... la science. Une vertigineuse investigation dans les trous noirs de la recherche et de l'information. 

Pourquoi a-t-il fallu des décennies pour admettre officiellement que le tabac était dangereux pour la santé ? Comment expliquer qu'une part importante de la population croie toujours que les activités humaines sont sans conséquence sur le changement climatique ? Les pesticides néonicotinoïdes sont-ils vraiment responsables de la surmortalité des abeilles ? Pourquoi la reconnaissance du bisphénol A comme perturbateur endocrinien n'a-t-elle motivé que de timides interdictions ? Au travers de ces "cas d'école" qui, des laboratoires aux réseaux sociaux, résultent tous de batailles planifiées à coups de millions de dollars et d’euros, cette enquête à cheval entre l'Europe et les États-Unis dévoile les contours d'une offensive méconnue, pourtant lancée dès les années 1950, quand la recherche révèle que le tabac constitue un facteur de cancer et d'accidents cardiovasculaires. Pour contrer une vérité dérangeante, car susceptible d'entraîner une réglementation accrue au prix de lourdes pertes financières, l'industrie imagine alors en secret une forme particulière de désinformation, qui se généralise aujourd'hui : susciter, en finançant, entre autres, abondamment des études scientifiques concurrentes, un épais nuage de doute qui alimente les controverses et égare les opinions publiques. 

Agnotologie 

Cette instrumentalisation de la science à des fins mensongères a généré une nouvelle discipline de la recherche : l'agnotologie, littéralement, science de la "production d'ignorance". Outre quelques-uns de ses représentants reconnus, dont l'historienne américaine des sciences Naomi Oreskes, cette investigation donne la parole à des acteurs de premier plan du combat entre "bonne" et "mauvaise" science, dont les passionnants "découvreurs" des méfaits du bisphénol A. Elle expose ainsi les mécanismes cachés qui contribuent à retarder, parfois de plusieurs décennies, des décisions vitales, comme le trucage des protocoles, voire la fabrication ad hoc de rats transgéniques pour garantir les résultats souhaités. Elle explique enfin, au plus près de la recherche, pourquoi nos sociétés dites "de l'information" s'accommodent si bien de l'inertie collective qui, dans le doute, favorise le business as usual et la consommation sans frein. Reportage de Franck Cuvelier et Pascal Vasselin (France, 2020, 1h37mn)



    À REGARDER SANS TARDER ET FAIRE CIRCULER

Comment fabriquer un protocole "scientifique" infaillible pour manipuler les populations et perpétuer des profits monstrueux- sur ARTE

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Comment, des ravages du tabac au déni du changement climatique, on instrumentalise la science pour démentir... la science. Une vertigineuse investigation dans les trous noirs de la recherche et de l'information. 

Pourquoi a-t-il fallu des décennies pour admettre officiellement que le tabac était dangereux pour la santé ? Comment expliquer qu'une part importante de la population croie toujours que les activités humaines sont sans conséquence sur le changement climatique ? Les pesticides néonicotinoïdes sont-ils vraiment responsables de la surmortalité des abeilles ? Pourquoi la reconnaissance du bisphénol A comme perturbateur endocrinien n'a-t-elle motivé que de timides interdictions ? Au travers de ces "cas d'école" qui, des laboratoires aux réseaux sociaux, résultent tous de batailles planifiées à coups de millions de dollars et d’euros, cette enquête à cheval entre l'Europe et les États-Unis dévoile les contours d'une offensive méconnue, pourtant lancée dès les années 1950, quand la recherche révèle que le tabac constitue un facteur de cancer et d'accidents cardiovasculaires. Pour contrer une vérité dérangeante, car susceptible d'entraîner une réglementation accrue au prix de lourdes pertes financières, l'industrie imagine alors en secret une forme particulière de désinformation, qui se généralise aujourd'hui : susciter, en finançant, entre autres, abondamment des études scientifiques concurrentes, un épais nuage de doute qui alimente les controverses et égare les opinions publiques. 

Agnotologie 

Cette instrumentalisation de la science à des fins mensongères a généré une nouvelle discipline de la recherche : l'agnotologie, littéralement, science de la "production d'ignorance". Outre quelques-uns de ses représentants reconnus, dont l'historienne américaine des sciences Naomi Oreskes, cette investigation donne la parole à des acteurs de premier plan du combat entre "bonne" et "mauvaise" science, dont les passionnants "découvreurs" des méfaits du bisphénol A. Elle expose ainsi les mécanismes cachés qui contribuent à retarder, parfois de plusieurs décennies, des décisions vitales, comme le trucage des protocoles, voire la fabrication ad hoc de rats transgéniques pour garantir les résultats souhaités. Elle explique enfin, au plus près de la recherche, pourquoi nos sociétés dites "de l'information" s'accommodent si bien de l'inertie collective qui, dans le doute, favorise le business as usual et la consommation sans frein. Reportage de Franck Cuvelier et Pascal Vasselin (France, 2020, 1h37mn)



    À REGARDER SANS TARDER ET FAIRE CIRCULER

jeudi 4 février 2021

Les voix d’outre-tombe de Microsoft


Par Dmitry Orlov – Le 22 janvier 2021 – Source Club Orlov

J’ai écrit dans mon livre de 2016, Shrinking the Technosphere :

« …[Un] mouvement va se développer pour virtualiser les gens dans leur intégralité, y compris leur tête, en les remplaçant par des simulations informatiques. Dans un premier temps, cela sera fait pour que vos proches restent apparemment en vie après leur décès, mais plus tard, les personnes en âge de procréer décideront qu’avoir des enfants virtuels et simulés est beaucoup moins gênant que d’en avoir des physiques, avec tous les frais que cela implique de leur donner des implants neuronaux et plus tard de faire amputer leur corps. Les personnes en âge avancé, craignant l’apparition de la démence, choisiront de faire numériser leur cerveau à l’avance pour éviter de se mettre dans l’embarras sur les médias sociaux.

» Et cela déclenchera la tendance finale et inexorable qui consistera à remplacer les êtres humains physiques par des simulations informatiques. D’ici là, la puissance de calcul aura progressé au point que les simulations ressembleront étrangement à l’original supposé, pouvant envoyer des textes tels que « Oh mon dieu ! » et « Mort de rire ! » et échanger des selfies de leurs visages de canards simulés devant des lieux touristiques simulés, tout comme le faisaient les originaux autrefois.

» Pour des raisons d’efficacité, les humains simulés ne fonctionneront que pour le bénéfice des quelques humains non simulés restants. Et lorsque le dernier humain restant sera remplacé par une simulation, il sera enfin possible d’éteindre le tout. La technosphère gagne ; la partie est terminée. »

Ce n’était qu’une expérience de pensée futuriste, de simulation d’horreur et d’anti-utopisme. Mais apparemment, ce n’est pas ainsi que lers gens de Microsoft l’a compris ; ils l’a pris comme un encoragement à agir dans ce sens... Pour preuve :

« Microsoft a obtenu un brevet qui lui permettrait de faire un “chatbot”, un robot logiciel de communication en ligne en utilisant les informations personnelles de personnes décédées.

» Le brevet décrit la création d’un robot basé sur “des images, des données vocales, des messages sur les médias sociaux, des messages électroniques” et d’autres informations personnelles. »

Le vieil adage disait : “Sur Internet, personne ne sait si vous êtes un chien”. Le nouveau nous dit ceci : “Sur Internet, personne ne sait si vous êtes un chatbot”. Et ce n’est plus une blague. Si vous ne trouvez pas ce développement incroyablement effrayant, alors expliquez-moi ce que vous entendez par le mot “effrayant” !

traduction du Sakerfrancophone

Les voix d’outre-tombe de Microsoft


Par Dmitry Orlov – Le 22 janvier 2021 – Source Club Orlov

J’ai écrit dans mon livre de 2016, Shrinking the Technosphere :

« …[Un] mouvement va se développer pour virtualiser les gens dans leur intégralité, y compris leur tête, en les remplaçant par des simulations informatiques. Dans un premier temps, cela sera fait pour que vos proches restent apparemment en vie après leur décès, mais plus tard, les personnes en âge de procréer décideront qu’avoir des enfants virtuels et simulés est beaucoup moins gênant que d’en avoir des physiques, avec tous les frais que cela implique de leur donner des implants neuronaux et plus tard de faire amputer leur corps. Les personnes en âge avancé, craignant l’apparition de la démence, choisiront de faire numériser leur cerveau à l’avance pour éviter de se mettre dans l’embarras sur les médias sociaux.

» Et cela déclenchera la tendance finale et inexorable qui consistera à remplacer les êtres humains physiques par des simulations informatiques. D’ici là, la puissance de calcul aura progressé au point que les simulations ressembleront étrangement à l’original supposé, pouvant envoyer des textes tels que « Oh mon dieu ! » et « Mort de rire ! » et échanger des selfies de leurs visages de canards simulés devant des lieux touristiques simulés, tout comme le faisaient les originaux autrefois.

» Pour des raisons d’efficacité, les humains simulés ne fonctionneront que pour le bénéfice des quelques humains non simulés restants. Et lorsque le dernier humain restant sera remplacé par une simulation, il sera enfin possible d’éteindre le tout. La technosphère gagne ; la partie est terminée. »

Ce n’était qu’une expérience de pensée futuriste, de simulation d’horreur et d’anti-utopisme. Mais apparemment, ce n’est pas ainsi que lers gens de Microsoft l’a compris ; ils l’a pris comme un encoragement à agir dans ce sens... Pour preuve :

« Microsoft a obtenu un brevet qui lui permettrait de faire un “chatbot”, un robot logiciel de communication en ligne en utilisant les informations personnelles de personnes décédées.

» Le brevet décrit la création d’un robot basé sur “des images, des données vocales, des messages sur les médias sociaux, des messages électroniques” et d’autres informations personnelles. »

Le vieil adage disait : “Sur Internet, personne ne sait si vous êtes un chien”. Le nouveau nous dit ceci : “Sur Internet, personne ne sait si vous êtes un chatbot”. Et ce n’est plus une blague. Si vous ne trouvez pas ce développement incroyablement effrayant, alors expliquez-moi ce que vous entendez par le mot “effrayant” !

traduction du Sakerfrancophone

mardi 3 novembre 2020

TECHNIQUES D'HYPNOSE, CHIFFRES IRRÉALISTES, TOTALE ET GROSSIÈRE MANIPULATION…

 Depuis le 30 octobre, la France est à nouveau confinée. Face à un Président de la République qui s’est voulu pédagogue, Louis Fouché, médecin anesthésie-réanimation au CHU de Marseille et membre actif du collectif «Réinfo Covid», dénonce «une manipulation» et «une politique sanitaire actuelle injuste, inadaptée et disproportionnée».