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mercredi 6 juin 2018
vendredi 26 août 2016
LYDIA & LEONID OUSPENSKY
Émilie van Taack, “In memoriam Lydia Ouspensky”
Les éditions Sainte-Geneviève (éditions du Séminaire orthodoxe russe en France) viennent de publier un ouvrage de 204 pages, sous la direction d’Émilie van Taack, In memoriam Lydia Ouspensky (couverture ci-contre). Présentation de l’éditeur : ” Ce livre, publié à l’occasion du 10e anniversaire du rappel à Dieu de Lydia Alexandrovna Ouspensky, rassemble plusieurs écrits dont le principal – “Une vie comme une autre” – est le récit autobiographique que Lydia a laissé de son émigration hors de Russie et de sa vie entre les deux guerres. Dans sa brièveté, ce récit en dit beaucoup sur elle, sur sa famille, et sur la survie des Russes au cours de cette période redoutable. Des portraits, ensuite, écrits par ses amis, Galina Makhrova, Véronique Lossky, Marie-Chantal Savinkov, Valery Sergueev, Emilie Van Taack, composent une image de Lydia et du couple qu’elle formait avec son époux — uni jusqu’à la fin de leur vie, définitivement, en un seul être. Il est impossible de parler de Lydia, en effet, sans évoquer Léonide Alexandrovitch qui fut, dès qu’elle l’eut rencontré, comme la cause à laquelle elle se dévoua, corps et âme. Lydia Alexandrovna Ouspensky est la veuve du célèbre iconographe et théologien de l’icône, Léonide Ouspensky, qui fut rappelé à Dieu en décembre 1987. Elle lui survécut près de vingt ans, jusqu’en octobre 2006. Celle qui s’était effacée volontairement durant toute sa vie derrière son époux, est apparue involontairement, pendant cette période, aux yeux de tous, dans toute sa grandeur, non seulement digne de lui mais semblable à lui et son émule spirituelle. L’existence de Lydia, hors son intérêt propre, a modelé la vie quotidienne de cet iconographe exceptionnel et constitue, en cela, un trésor pour ceux qui s’intéressent à l’icône ou veulent s’y consacrer. C’est un témoignage irremplaçable du mode de vie exigé d’un peintre d’icône et de ses proches pour que l’œuvre parvienne au niveau du commandement de Dieu, dans le sillage de l’adage patristique : « Donne ton sang et reçois l’Esprit ! » (SOURCE)
***
À cette occasion, j'en profite pour faire reparaître l'article que je lui avais consacré en 2013 avec l'enregistrement de sa voix :
UN ÉMOUVANT DOCUMENT INÉDIT :
une causerie sur l’iconographie par LYDIA ALEXANDROVNA OUSPENSKY (1907-2006)
![]() |
Leonid Alexandrovich Ouspensky |
Voici l'enregistrement :
lundi 11 janvier 2016
samedi 30 novembre 2013
UN ÉMOUVANT DOCUMENT INÉDIT : une causerie sur l’iconographie par LYDIA ALEXANDROVNA OUSPENSKY (1907-2006)
![]() |
Leonid Alexandrovich Ouspensky |
Voici l'enregistrement :
vendredi 22 février 2013
FAUSSES ICÔNES
En marche vers l’unité ou en marche vers l’apostasie généralisée ?
J’ai été informé par un iconographe orthodoxe que certains prêtres orthodoxes non seulement font appel à des « iconographes » hétérodoxes voire de simples artistes pour commander leurs icônes mais qu’ils les préfèrent à des iconographes authentiquement orthodoxes. L’on ne peut laisser faire ce genre de pratique sans en informer la communauté.
Voilà bien à l’œuvre les effets de la fausse unité !
Que les hétérodoxes s’essaient avec plus ou moins de succès à la « technique » de l’icône en copiant simplement les modèles traditionnels, dans l’illusion qu’ils retrouvent par-là la fameuse « Eglise indivise » à moindre frais, c’est une naïveté que l’on peut comprendre vu la confusion entretenue des esprits en tout lieu et le peu d’effort intellectuel qui caractérise notre époque identifiant tout, proclamant l’ « égalité » de tout, tout en revendiquant et valorisant paradoxalement à tout propos la moindre différence pour laquelle ils prônent la tolérance après avoir tout réduit au même dans le lit de Procuste.
Que les hétérodoxes, ayant parfaitement appris les techniques de l’icône, représentent des sujets sans rapport avec l’iconographie orthodoxe, ou totalement hétérodoxes voire carrément hérétiques jusqu’à l’impiété et le blasphème cela n’est plus acceptable !
L’icône n’appartient pas à tous, comme la propagande confusionniste – à laquelle adhèrent désormais même des orthodoxes ayant perdu le discernement – le proclame. L’appartenance de l’icône est systémique, elle est un élément spécifique interactif d’un système particulier (l’Orthodoxie) et l’on ne saurait la détacher de son contexte sans en dénaturer le contenu, la fonction et l’usage. Point. L’icône appartient en propre à l’Orthodoxie, et uniquement à l’Orthodoxie elle est un élément constitutif de la foi orthodoxe et ne saurait se partager, pas davantage que tous sans distinction peuvent boire au même calice ! Il n’y a pas plus de communion iconologique indivise que d’ « intercommunion ».
Voilà bien à l’œuvre les effets de la fausse unité !
Que les hétérodoxes s’essaient avec plus ou moins de succès à la « technique » de l’icône en copiant simplement les modèles traditionnels, dans l’illusion qu’ils retrouvent par-là la fameuse « Eglise indivise » à moindre frais, c’est une naïveté que l’on peut comprendre vu la confusion entretenue des esprits en tout lieu et le peu d’effort intellectuel qui caractérise notre époque identifiant tout, proclamant l’ « égalité » de tout, tout en revendiquant et valorisant paradoxalement à tout propos la moindre différence pour laquelle ils prônent la tolérance après avoir tout réduit au même dans le lit de Procuste.
Que les hétérodoxes, ayant parfaitement appris les techniques de l’icône, représentent des sujets sans rapport avec l’iconographie orthodoxe, ou totalement hétérodoxes voire carrément hérétiques jusqu’à l’impiété et le blasphème cela n’est plus acceptable !
L’icône n’appartient pas à tous, comme la propagande confusionniste – à laquelle adhèrent désormais même des orthodoxes ayant perdu le discernement – le proclame. L’appartenance de l’icône est systémique, elle est un élément spécifique interactif d’un système particulier (l’Orthodoxie) et l’on ne saurait la détacher de son contexte sans en dénaturer le contenu, la fonction et l’usage. Point. L’icône appartient en propre à l’Orthodoxie, et uniquement à l’Orthodoxie elle est un élément constitutif de la foi orthodoxe et ne saurait se partager, pas davantage que tous sans distinction peuvent boire au même calice ! Il n’y a pas plus de communion iconologique indivise que d’ « intercommunion ».
Toute icône produite par un non orthodoxe n’est pas une icône, c’est une fausse icône.
C’est comme le Gini, « ça a la couleur de l'alcool, ça en a l'odeur, mais ce n'est pas de l'alcool ! » Même si cela a l’apparence trompeuse de l’icône c’est un ersatz, c’est au moins une erreur, sinon un blasphème !
Cependant, le scandale atteint son point culminant quand ce sont des Orthodoxes et qui plus est des prêtres orthodoxes ( !?) qui font l’acquisition de (fausses) icônes les préférant à de véritables icônes. Leur fait-on un prix intéressant pour qu’ils se convainquent que finalement c’est la même chose ? Ne perçoivent-ils pas un seul instant qu’ils offrent ainsi ensuite aux fidèles, sans le leur dire, dans la plus totale irresponsabilité voire indignité, des planches de bois peintes à vénérer totalement étrangères à la foi. Je plains ces « serviteurs » de Dieu, ministres du culte, pasteurs du troupeau, quand ils auront à rendre des comptes devant leur Seigneur…
Voilà les méfaits d’une volonté de paix et de fraternité mal comprises. Voilà les effets de l’idéologie de l’œcuménisme. Voilà les fruits moisissant du confusionnisme paresseux de notre époque.
Les œcuménistes orthodoxes sont à l’image de ces parents contemporains qui voulant « avoir la paix » avec leurs enfants, ont l’illusion qu’ils peuvent être leurs copains, qu’ils vivront tranquillement sans conflit, en pouvant vaquer à leurs loisirs sans être inquiétés. Ils pensent, se convainquent et proclament sous le couvert de la politiquement correcte absence de jugement et de censure, que c’est de l’amour que de les laisser à leurs errances, leurs caprices, leur confusion. Ainsi en est-il de ces œcuménistes orthodoxes qui croient bien faire en évitant à tout prix le conflit avec l’hétérodoxie, confondant le pécheur et le péché, oubliant que l’amour non seulement n’entretient pas l’illusion, le mensonge mais condamne uniquement l’erreur sans condamner celui qui erre. L'amour fraternel corrige fraternellement mais fermement Seul le péché est condamnable certes mais il est à condamner et non à encourager !
En ce sens c’est une erreur particulièrement néfaste d’avoir accepté des hétérodoxes voire des gens sans Dieu dans des cours d’iconographie orthodoxe... Beaucoup, y compris des orthodoxes, sont maintenant dans l’erreur (l’hérésie) jusqu’au cou, dans une erreur funeste, tout comme la grenouille plongée dans un bain dont la température monte progressivement, est en train de cuire insensiblement jusqu'à sa perte...
mercredi 18 mai 2011
L'ICONOGRAPHIE DE L'ANASTASIS, l'Image et la Parole
L'ICONOGRAPHIE DE L'ANASTASIS
Une étude, au sein de l'Eglise orthodoxe, de l'apparition d'un modèle d'icône puis des variantes de cette icône de l'Anastasis, témoin de l'action vivifiante du Christ et de l'Esprit Saint jusqu'à la fin du monde.
Couverture souple, 257 pages
Prix: | €39.00 |
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