jeudi 6 avril 2023
mercredi 5 avril 2023
Sur l'excellent Blog de DE PATRICE GIBERTIE
Alerte: les soucoupes volantes des Martiens fonctionnent au #diésel, leur planete se réchauffe plus vite que la #Terre , c’est pire sur la Lune

La Lune ne possède pas d’atmosphère, donc il n’y a rien qui ne retienne ou ne protège de la chaleur du Soleil, pas d’effet de serre. Et cela a pour directe conséquence de provoquer une énorme différence entre les températures du jour et celles de la nuit. Sur la Lune la température en plein soleil est de 150°C. Et à l’ombre la température est de –150°C !
En 1971 et 1972, les astronautes des missions Apollo 15 et 17 avaient creusé deux trous, de 1,60 m et de 2,30 m de profondeur, dans lesquels ils avaient déposé des sondes en platine, destinées à mesurer la température du satellite.
En comparant les données compilées à l’époque avec les températures relevées récemment, et d’autres études déjà réalisées, les chercheurs texans se sont aperçus que la température montait. Entre les années 1970 et aujourd’hui, les données démontrent que la surface s’est réchauffée d’environ 2 °C. De manière plus importante en surface qu’en profondeur. La faute à qui???? Aux astronautes mais ouiu….Ils devaient rouler en diésel…
Le Pr Lauri Fenton, du Centre de recherche Ames de la Nasa, est formel : la planète Mars, ou plutôt son atmosphère est aussi en pleine phase de réchauffement climatique, pour des causes assez proches de celles que l’on subit actuellement sur Terre.
Selon cette étude, menée conjointement avec l’US Geological Survey, les températures moyennes relevées à la surface de la Planète rouge s’accroissent quatre fois plus rapidement que sur Terre. Les chercheurs estiment que la température de surface martienne aurait augmenté de quelque 0,65°C entre les années 70 et les années 90, soit depuis l’atterrissage des sondes américaines Viking et des premiers relevés précis. Une des premières conséquences de ce réchauffement a été la diminution des calottes polaires martiennes, venant encore en renfort de ce processus par réduction d’albédo.
La comparaison avec la Terre est aisée. Si une zone couverte de neige fond, sa réflectivité, donc son albédo, diminue en proportion. Ainsi, si la glace qui recouvre l’océan Arctique réfléchit 85% du rayonnement solaire, l’eau n’en renvoie plus que 15%. Le reste est absorbé et contribue à réchauffer l’océan, ce qui accélère le processus, etc. Le même phénomène est observé sur Mars, à partir d’autres éléments: les tempêtes soulèvent la poussière qui se dépose sur les calottes en les assombrissant. Leur l’albédo diminue, ce qui entraîne une absorption plus importante du rayonnement solaire. La température du sol augmente encore, la fonte de la glace s’accélère, et ainsi de suite.
Cet effet albédo n’avait jamais été pris en compte jusqu’ici dans l’élaboration des modèles climatiques martiens, mais Lori Fenton et son équipe ont réussi à démontrer que ces variations de luminosité au sol influencent grandement l’environnement martien et accroissent les vents qui sont à l’origine de ces variations, cela dans un cercle vicieux rapidement incontrôlable.
Les variations de température ayant servi à cette étude ont été déterminées sur la base des images thermiques prises par les orbiteurs des deux missions Viking des années 70, et des relevés effectués par Mars Global Surveyor 20 ans plus tard.
Une inconnue cependant demeure. Les chercheurs n’ont encore pu déterminer la cause des nuages de poussière survenus à partir de 1970, et qui ont déclenché tout le processus de perte d’albédo et de réchauffement global.
Nul doute que le diésel utilisé par les Martiens pour leurs soucoupes volantes, soit responsable….
On attend une mission d’Ursula Von Der Leyen pour faire disparaitre les soucoupes thermiques
plus serieusement ci-dessous

lundi 29 juillet 2019
sur ANTIPRESSE : De la banalité des canicules
#CLIMAT | De la banalité des canicules
«En 1132 en Alsace les sources se tarirent et les ruisseaux s’asséchèrent. Le Rhin pouvait être traversé à pied. En 1152 la chaleur était si intense que l’on pouvait faire cuire des œufs dans le sable. En 1160, à la bataille de Bela (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive.En 1276 et 1277, en France, la récolte d’avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur. En 1303 et 1304 la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied. En 1393 et 1394 un grand nombre d’animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur.En 1440 la chaleur fut excessive. En 1538, 1539, 1540 et 1541 les rivières européennes étaient littéralement asséchées. En 1556 il y eut une sécheresse généralisée dans toute l’Europe. En 1615 et 1616 la canicule s’abattit sur la France, l’Italie et les Pays-Bas. En 1646 il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs. En 1676 des canicules à nouveau.Les mêmes événements se reproduisirent au XVIIIe siècle. En 1718 il n’y eut aucune pluie entre les mois d’avril et octobre. Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives. Le thermomètre enregistra 36 degrés Réaumur (45 °C) à Paris. Dans les jardins de la banlieue arrosés les arbres fruitiers fleurirent deux fois pendant la saison.En 1723 et 1724 les températures étaient extrêmes. En 1746 l’été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées. Pendant plusieurs mois il n’y eut aucune pluie. En 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788 les chaleurs d’été furent excessives. En 1811, l’année de la comète, l’été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes.En 1818 les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 °C. En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre afficha des températures de 36 °C les 27, 28 et 29 juillet. En 1832, lors de l’insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés. En 1835 la Seine était presque à sec. En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l’année le thermomètre afficha 34 degrés.»
- On peut vérifier l’authenticité de la source ici: http://tinyurl.com/y62kwyvt.