Si quelqu'un, en effet, veut aimer la vie et voir des jours heureux, qu'il préserve sa langue du mal et ses lèvres des paroles trompeuses, qu'il se détourne du mal et fasse le bien, qu'il recherche la paix et la poursuive. 1 Pierre 3:10-11 Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8

vendredi 15 août 2014

Sur le Monde (2007 !) : Petit rappel historique - l’Organisation des nationalistes ukrainiens

Vous pouvez toujours vous réjouir de l'avancée de l'armée ukrainienne contre ceux que vous voyez comme les suppôts de Poutine mais prenez connaissance de ces quelques "détails" historiques ; ce ne sera pas long et vous saurez peut-être qui vous soutenez…

Emblème de l'OUN

L’OUN, l’Allemagne nazie et le génocide   par Jean-Marie Chauvier, août 2007 

On connaît désormais mieux la guerre d’anéantissement menée contre l’URSS par l’Allemagne nazie et ses alliés en Europe de l’Est : nouvelles archives, relectures des anciennes, enquêtes de terrain affluent. Parmi les « tabous » levés figure le rôle joué par les nationalistes locaux, notamment baltes et ukrainiens, longtemps dissimulé par les Soviétiques, honteux de cette « collaboration », comme par ceux qui les réhabilitent désormais. Après la première guerre mondiale, l’Ukraine est partagée entre l’URSS (Centre et Est), la Pologne (Galicie et Volhynie), la Roumanie (Bucovine) et la Tchécoslovaquie (Ruthénie ou Ukraine subcarpathique). C’est en Galicie orientale, sous le régime polonais et contre lui, que se forment successivement l’Organisation militaire ukrainienne (UVo) en 1920, puis l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) en 1929. Leur fondateur, Evhen Konovaletz, compagnon de Simon Petlioura, prend contact avec Adolf Hitler dès 1922. Et leur idéologue Dmitri Dontsov professe un « nationalisme intégral ». Il oppose le caractère « européen » de l’Ukraine à celui, « asiatique », de la Russie. Le stratège nazi Alfred Rosenberg – et avec lui, dès 1933, l’Abwher, le renseignement militaire – soutient l’OUN. Cet Allemand de la Baltique promet l’autonomie aux nationalistes baltes, ukrainiens, géorgiens, musulmans du Caucase, etc., afin de démanteler l’URSS et d’isoler la Russie. Mais l’alliance entre Berlin et l’OUN sera tumultueuse. Konovaletz est tué en 1938 par un agent soviétique. Andriy Melnik lui succède à la tête de l’OUN, avec le soutien d’Andriy Cheptytskyi, métropolite de l’Eglise gréco-catholique (uniate), « leader spirituel » de la Galicie, passée en 1939 sous régime soviétique. Puis c’est le radical Stepan Bandera qui fait dissidence en 1940 : son OUN-b forme deux bataillons de la Wehrmacht, Nachtigall et Roland, pour prendre part à l’agression menée par l’Allemagne et ses alliés contre l’URSS, le 22 juin 1941. Immédiatement déferle une vague de pogroms. …
(suite de l'article réservée aux abonnés à l'offre d'archives du Monde)

                              Attention Clergé uniate (et non orthodoxe malgré les apparences)
                                                     vénérant "st"(?)Andriy   Cheptytskyi

                              Peu de chances qu'on ait fait lire au "bon pape" un dossier conforme
                              à la réalité  historique des uniates ukrainiens…

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