jeudi 11 juin 2015
mercredi 10 juin 2015
SUR L'INCONTOURNABLE BLOG DE CLAUDE… tellement de choses à apprendre
Sales nouvelles du monde…
- Laurent Brayard : Je suis allé dans le Donbass et j’accuse le gouvernement français!
- Livre de Laurent Brayard: Ukraine, le royaume de l...
- QUI A FINANCÉ HITLER : LA LIBERTÉ EN ÉCHANGE DU SI...
- Niko Pafras: la vraie religion de l'Occident
et bienheureuses nouvelles du Royaume invisible, inconcevables et inexpérimentables aux serviteurs des ténèbres :
VIVEMENT UN PEU D'AIR FRAIS !
Dans une époque d'américanisation à outrance et tous azimuts ( après le nouveau parti "les Républicains", est-ce qu'on va avoir "Les Démocrates" ?) où la médiacratie veut nous imposer un bipartisme avec un match avec deux candidats comme si c'était incontournable alors que ce n'est pas du tout la tradition européenne (à part la GB bien sûr qui n'est autre que les US en Europe), il est bon de savoir qu'il existe d'autres homme politiques. Par exemple :
Nicolas DUPONT-AIGNAN
dimanche 7 juin 2015
samedi 6 juin 2015
LA RUSSIE COMME MODÈLE ? (SIC)
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Отец Алексей.
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Une bonne partie de ceux qui barbotent élégamment dans les eaux si pures (n'est-ce pas ?) et si calmes des piscines couvertes et climatisées des medias mainstream n’a pas encore compris un certain nombre de choses…
D’abord c'est que lors de la GMII, les "soviétiques" non seulement luttaient pour l'idéologie communiste contre l’idéologie nazie mais également, tout autant et peut-être plus, défendaient leur PATRIE ! Certes l’étendard rouge avec la faucille et le marteau de l’URSS avait remplacé l’étendard de l’empire russe mais le sens du sacrifice pour la Patrie demeurait intact. Et ils se sont battus sans s’économiser (pas davantage que l’abominable Staline d’ailleurs ne les a économisés… ) Et si leur poitrine est bardée de médailles qui prêtent à sourire chez les bien pensants occidentaux amateurs de frappes "chirurgicales" commandées de loin, c’est que ce sont de véritables héros, reconnus et célébrés à juste titre par leur patrie.
Quels points communs entre ces deux faits indéniables et à première vue antagonistes ?
Le patriotisme même teinté de communisme et la confession de la foi sous la tyrannie communiste illustrent tous deux l’ardeur, le courage et le don de soi d’un peuple rare et qui ne mérite pas l’opprobre dont les ignorants (au mieux) et les lâches esclaves collabos (au pire et le plus souvent malheureusement) cherchent à les couvrir.
Seul un homme d’état digne de ce nom comme l’était le Général de Gaulle était capable de discerner l’éternelle Russie sous les divers régimes.
Pour finir l’on peut même oser dire que la Russie, qui a pour ainsi dire inventé et à coup sûr expérimenté toutes les utopies sociales jusqu’à nos jours devrait être l’objet de toute notre attention car il est bien possible qu’elle nous offre, encore une fois, un modèle de société qui tendrait à se rapprocher de quelque chose de meilleur que nos prétendues incontournables démocraties dont l’avenir est plus qu’incertain…
vendredi 5 juin 2015
LA DETTE ? QUELLE DETTE ?
LA DETTE MONDIALE EST TELLE QUE MEME LES EXTRA-TERRESTRES NE POURRONT PAS LA PAYER !
Des années 1950 jusqu'à 1975, la littérature de science-fiction mettait en scène des Martiens, des Vénusiennes, des Plutoniens, Neptuniens et autres habitants de galaxies lointaines venant envahir la Terre (un seul auteur avait imaginé l'inverse, les terriens quittant leur planète pour aller sur Vénus afin d'y vivre libres leur sexualité). Eh bien aujourd'hui, les Martiens seraient bien embêtés, une fois installés sur notre planète, car elle risque d'exploser sous le poids de la... dette qu'on a créée.
Vous me direz "c'est le résultat de la planche à billets de ces crétins d'Américains, Japonais et Anglais", et vous aurez parfaitement raison. La dette mondiale a atteint 286% du PIB de la planète selon le Mac Kinsey Instutute, commenté par Economic Collapse -et repris par l'Express Belge (vous n'avez aucune chance de le voir dans l'Express fr, normal).
En traduction: notre société va s'écrouler sur elle-même par le poids de la dette, à savoir 3 fois le PIB de toute la planète: "Savez-vous qu'il y a plus de 28.000 dollars de dette à chaque homme, femme et enfant sur cette planète? Et depuis qu'environ 3 milliards de ces gens ne vivent qu'avec 2 dollars par jour, ou moins. Donc, votre part de cette dette sera bien plus importante. Si on prend tout ce que l'économie globale a produit cette année, et encore l'année prochaine, eh bien cela ne suffira pas à rembourser cette dette. Selon le dernier rapport du McKinsey Global Institute Debt and (not much) deleveraging, le montant total de la dette sur cette planète a cru de 142 trillions à la fin de 2007 à 199 trillions aujourd'hui.
This is the largest mountain of debt in the history of the world, and those numbers mean that we are in substantially worse condition than we were just prior to the last financial crisis. When it comes to debt, a lot of fingers get pointed at the United States, and rightly so. Just prior to the last recession, the U.S. national debt was sitting at about 9 trillion dollars. Today, it has crossed the 18 trillion dollar mark. But of course the U.S. is not the only one that is guilty. In fact, the McKinsey Global Institute says that debt levels have grown in all major economies since 2007".
C'est ça la monnaie papier qui ne repose sur rien. Globalement, cela veut dire une dette de 100.000 euros environ pour chaque Français, Belge, Suisse, etc. vu qu'ils ne pourront pas compter sur les Africains, et les pays ravagés genre Bengladesh, etc.
Le Pr Fekete avait dit qu'une catastrophe de nature biblique se préparait avec la monnie de singe dollar. Eh bien, là vous en avez la démonstration parfaite. Lire ici McKinsey, et ici The Economic Collapse et ici encore l'Express Belge Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2015
mardi 2 juin 2015
GPA, "GROSSESSE POUR ARGENT"
Bonne fête les mères de bât !
Une lettre de Maria Poumier sur le site LES GROSSES ORCHADES, LES AMPLES THALAMÈGES..
2015 : dans le monde entier, des femmes se font violer par des conspirateurs masqués, en blouse bleue ou verte, bien payés, et ce jusqu’à l’os, afin que leur organisme accepte de porter le bébé et les rêves de toute puissance de dératés riches du monde entier. On appelle cette nouvelle criminalité la gpa, ou « grossesse pour argent » (Farida Belghoul, celle qui a, entre autres, les mots justes).
On les appelle des mères porteuses ; nous disons des mères de bât, de mères de somme, les nées de la dernière pluie, qui n’ont pas encore pris la mesure de leur dégradation, les bafouées hors compétition, statutairement et par définition. Nous les appelons les mères porteuses de tous les péchés du monde moderne, par procuration et malédiction.
Dans le monde entier, des proxénètes prospectent les nouvelles mines d’or : des femmes pauvres pouvant faire état de leur aptitude à la maternité. Les « équipes médicales » vont les prendre en main, les enfermer, les bourrer d’hormones et de produits visant à tuer leur système immunitaire, afin qu’il héberge une petite vie, arrachée par les mêmes procédés sanguinaires à d’autres femmes, dites « donneuses d’ovocytes », ovocytes violés dans une éprouvette par des vestiges congelés de sperme issus de la masturbation à froid d’un homme quelconque, mais certainement amputé de la cervelle et du cœur.
Fin de l’aventure : nos misérables mères partielles, tronçonnées, écartelées, rongées d’avance par des cancers progammés, seront éventrées, par césarienne, on leur extirpera en vitesse le fruit de leurs entrailles, pour le livrer aux acheteurs pressés d’en finir. Et après, dehors, circulez, les voilà, vos bifetons promis, et maintenant dégagez !
C’est le sort de 80 Indiennes, immigrées plus ou moins légales au Népal, qui portaient les projets d’israélos gays, dont le gouvernement s’est mobilisé pour sauver les nouveaux-nés ou non encore livrés, mais dûment commandés : il fallait sauver à tout prix cette chair d’élection ; il fallait les faire passer avant tous les Népalais déracinés et abattus par le séisme, et bien sûr laisser sur le carreau les dépecées vivantes.
Dans le monde entier, des proxos ignobles recrutent des acheteurs à prix d’or pour leur « nouveau produit » monstrueux, fabriqué par des engrossées jetables en cdd de neuf mois.
La clientèle inclut les vendus des médias qui feront passer la pub pour le nouveau business en douce, sous couvert d’infos ou de débats « sociétaux ».
La clientèle inclut les législateurs qui adorent les dessous chics et les dessous de table.
La clientèle inclut les ministres qui ont été installées précisément là pour faciliter les choses aux dits maquereaux : chez nous, Taubira, Vallaud Belkacem, les fusibles, qui seront un jour remplacées par d’autres femmes encore plus faciles, très faciles à convaincre de faire le sale boulot sous l’étendard du « droit », de « l’égalité », du « féminisme », de la « lutte contre les discriminations ».
La clientèle inclut les couples tourmentés par leur stérilité, à qui personne n’a dit à temps qu’il faut faire des gosses à vingt ans, et non pas à quarante, que les premiers conçus ne doivent jamais être avortés parce que ce seront les bébés les plus vigoureux, et ceux qui donneront un sens à la vie de leurs parents, aussi étourdis soient-ils au moment de leur « bêtise », comme ils disent.
La clientèle inclut ces couples muets de honte et de remords et de regrets et de souffrance, abasourdis de découvrir que les soi-disant médecins spécialistes vont les rançonner sans pitié, les balader longuement, en prenant soin de les torturer savamment « pour leur bonheur de futurs parents » (taux de réussite de la pma : 15% !), avant de les expédier dans leurs propres « cliniques de fertilité » situées dans les pays frontaliers qui autorisent ce qui chez nous est interdit, ce qui d’ailleurs, soit dit en passant, est bien pratique, fiscalement parlant.
La clientèle inclut des homosexualistes complices du délire de toute puissance de marchands froids, qui leur apprennent à idolâtrer leur propre jeunesse, et à l’imaginer éternelle, et à assouvir toutes leurs angoisses par l’achat de nouveautés high tech, dont des bébés à croquer. Si bien qu’ils ne conçoivent d’autre sens à leur vie que de se faire encore plus plaisir que les autres, et d’ériger leur narcissisme-cannibalisme en absolu, en norme, sommet de la liberté pour eux, mise au pas et bâillon serré pour les autres, sous peine des foudres des gens de loi de l’Occident moisi.
La clientèle inclut les femmelettes qui laissent s’étioler et mourir en elles la part bien animale, bien saignante, bien hurlante, qui veut qu’elles soient sur terre pour transmettre la vie quoi qu’il en coûte. Elles ignorent ou veulent ignorer l’instinct maternel, elles ignorent ou veulent ignorer que c’est leur devoir à elles d’éduquer les mâles capricieux, lubriques, tyranniques, utopistes, de les ramener à la nature et à la raison.
La clientèle inclut les féministes stupides qui nous mènent au suicide collectif en répétant fièrement que leur corps leur appartient. Et leurs âmes ? Et nos âmes, elles devraient donc appartenir à Satan ?
La clientèle inclut ces grands cerveaux régnants qui voudraient bien reprendre tout le pouvoir sur Dieu, sur leur descendance, sur leurs harems, sur le monde, en mettant le grappin sur la capacité d’invention des uns, et l’appétit sans fond de boniments des autres.
La clientèle inclut tous ceux qui veulent oublier qu’ils ont eu des parents qui ont eu des parents, bref des milliers de générations acharnées à tenter d’être des pères et des mères, à qui ils doivent la vie, malgré toutes leurs faiblesses et les accidents de la vie.
La clientèle inclut … tous ceux qui ne se battent pas pour faire interdire dans le monde entier la fabrication des enfants par le pognon des labos, pour le pognon des proxos, pour le malheur des femmes et des enfants, et des vrais hommes. Signez au moins ici
Les juges suisses viennent de refuser d’entériner le fait accompli devant lequel notre ministre de la justice veut nous faire plier la nuque : les enfants nés de mères porteuses en violation des lois du pays des parents acheteurs garderont la nationalité de leur mère sacrifiée : http://www.aleteia.org/fr/societe/actualites/gpa-la-suiss...
lundi 1 juin 2015
UNIFORMISATION ET SIMPLIFICATION, LES DEUX MAMELLES DE L'INTOXICATION POUR L'EXERCICE DU POUVOIR
"Tu veux conduire le monde par procuration…
Tu aimes être le cerveau pervers de la machine qui tourne…
Ce n'est pas que l'argent… c'est la soif de puissance…"
Tu aimes être le cerveau pervers de la machine qui tourne…
Ce n'est pas que l'argent… c'est la soif de puissance…"
écoutez :
Enregistré dans le cadre des Chantiers Nomades
Rediffusion de juin 2013
Episode 1
"Tu es assistant parlementaire depuis deux ans, encore un et tu passes dans l'autre camp. Tu as toujours rêvé de devenir lobbyiste, tu étudiais à l'ENA et tu rêvais déjà. Tu as pris le chemin classique : un stage au Parlement, un stage à la Commission, assistant parlementaire auprès d'une députée : Commission Environnement santé publique et sécurité alimentaire. Ça, ça cartonne. C'est un des plus gros lobbies du marché, c'est là où tu voudrais rentrer. Tu as déjà commencé à négocier ton changement de statut, si vous arrivez à bloquer la loi, tu commences dans un an à un salaire dix fois supérieur à tes revenus actuels. Ta femme est très contente. Tu joues le jackpot…" A.B.
dimanche 31 mai 2015
ÉVANGÉLISATION ? - TOUT EST À REFAIRE !
Il faut le lire ou le voir pour le croire !
Quand je vous disais que nous étions en plein dans l'ère du mensonge…
lisez et regardez plutôt ce qui suit :
1. extrait d'un forum :

2. à la rado :
Abordant le thème de la lapidation, Marion Ruggieri affirme : « Et vous racontez d’ailleurs que ça été inventé par les chrétiens, que c’était une vielle tradition chrétienne ».
BEN VOYONS…
samedi 30 mai 2015
Bonne nouvelle du monde des People : Milla Jovovich baptise sa fille Daria
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| Gabo Anderson Jovovich, la fille aînée de l'actrice, avec sa petite soeur à l'église . Photo: Milla Jovovich Instagram |
La petite Dasha, fille de l'artiste (mannequin, actrice, styliste, décoratrice, musicienne) Milla Jovovich, et du réalisateur Paul W. S. Anderson son mari, est née le 1er Avril, qui est aussi le jour de la fête de sa sainte patronne Sainte Daria. Le baptême a eu lieu dans l'église orthodoxe russe de la Sainte Transfiguration à Los Angeles, selon Interfax. Le sacrement a été réalisé près de deux mois après la naissance du bébé. Elle a reçu le nom de baptême de Daria. Officiellement, cependant, la petite fille s'appelle Eden Dashiel Jovovich Anderson. La maman, star d'Hollywood, remplit son Instagram en postant chaque jour de nouvelles photos de sa fille sur ce réseau social. Поздравляем !!! (source)
lundi 25 mai 2015
Le gaz, le pétrole et le diable ?
EST-CE QU'ON PARVIENDRAIT À S'EN PASSER OU BIEN TROUVERAIT-ON LA SAGESSE ADAPTÉE ?
"Cette substance collante, sombre et nauséabonde, toxique qui provient des entrailles brûlantes de la Terre, ea l'effet sombre d'une évacuation de Satan. Le résultat de leur exploitation massive par Dinosaurs Seven Oil (Standard Oil, Texaco, Shell, etc.) était une foule de maux, que la ruine du pays, la croissance cancéreuse des villes, le chômage de masse, la pyramide de la corruption, les dictatures déguisées ou ouvertes, la colonisation du pays par des sociétés impérialistes et leurs gouvernements respectifs, principalement installés à Washington." Jaime Galarza Zavala
Le pétrole ce n'est pas l'or noir, c'est l'excrément du diable
Juan Pablo Pérez Alfonso, l’un des fondateurs vénézuéliens de l’OPEP
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| Sable bitumineux au Canada Les nouveaux gazoducs |
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| Pétrole et Terreur |
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| Du pétrole d'un gisement en Irak en train de brûler. Crédit : UK Ministry of Defence La pollution des transports en général
La pollution des transports est une pollution polyfactorielle dont les formes et les conséquences sont multiples. Ci-dessous se trouve une liste des effets les plus critiques :
Pollution atmosphérique bien sûr, c’est la plus évidente car elle se voit. Air vicié et maladies respiratoires dans les villes, dégagement de gaz à effet de serre et réchauffement climatique pour l’ensemble de la planète … avec les conséquences désagréables que cela aura pour les générations futures. Pour plus d’informations, cliquez ici.
Pollution des eaux, avec les marées noires et les dégazages sauvages en mer.
Pollution acoustique, surtout pour les heureux citadins et ceux qui habitent à proximité d’un couloir aérien.
Pollution esthétique, franchement, vous trouvez ça beau un tas de voitures agglutinées devant un feu rouge ? Ou une autoroute qui passe au milieu de votre jardin ? Bon, nous sommes d’accord …
Pollution du système nerveux, le stress des embouteillages, la cohabitation entre automobilistes, les accrochages, les accidents et j’en passe …
Pollution spatiale,
En ville, avec la congestion des centres urbains et la nécessité de disposer d'espaces sans cesse plus importants pour la voirie et les parkings, tout cela au détriment de l’espace de vie de l’Homme.
A la campagne, avec la parcellisation des habitats naturels par les autoroutes et les voies ferrées, entraînant la disparition des grands animaux et donc au global réduisant la biodiversité.
Dernier type de « pollution », et non des moindres, c’est celle qui consiste à piller une ressource non renouvelable. Car non, à l’échelle de l’Homme, le pétrole n’est pas une énergie renouvelable. Pour plus d’informations, cliquez ici.
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| Pollution de l’air en Chine |
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| Continent plastique de 600 000 km² entre Hawai et la Californie |
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| Les pluies acides ont complètement dévasté cette forêt de République Tchèque |
dimanche 24 mai 2015
DIMANCHE du Premier Concile Œcuménique : L'ARIANISME CONTEMPORAIN
[…] L’arianisme n’est pas enseveli. Aujourd’hui, plus que jamais, il est répandu et à la mode. II s’est étalé comme une âme sur le corps de l’Europe contemporaine. Si vous examinez la culture européenne, vous y trouverez caché, dans son fond, l’arianisme. Tout est limité à l’homme, au seul homme. Le Christ, le Dieu-Homme, a été réduit aux cadres de l’homme. Avec le levain de l’arianisme, on a pétri la philosophie de l’Europe, sa science, sa civilisation et, en partie, sa religion. Partout, et systématiquement, le Christ est rabaissé au niveau de l’homme ; le Dieu-Homme est sans cesse séparé de sa chair, l’œuvre d’Arius se perpétue. "La religion aux limites de la raison pure" de Kant, n’est rien de nouveau ; elle est une présentation nouvelle de l’arianisme.
Si nous mesurons le Christ avec le mètre de Kant, qu’obtiendrions-nous ? Nous aurons un Christ homme, un Christ sage, mais jamais le Christ Dieu-Homme. Si avec le critère de Bergson, nous jugeons le Christ, nous aurons quelque chose, comme un peu plus qu’un simple homme. Ainsi donc, que ce soit le premier critère ou le second, ou encore tous les critères de toutes les philosophies humaines, tous, font du Christ Dieu-Homme un homme. Les Schokin, les Slayermayer, sont de fidèles disciples d’Arius, quand ils désincarnent le Dieu Incarné. Le papisme, avec sa morale, est très arien ; sait-il quelle métaphysique se cache derrière sa terrible morale ? Tous ceux-ci, ensemble, ont réussi à empoisonner les masses de l’Europe, avec un vulgaire arianisme. Qui ne connait pas cet arianisme vulgaire de nos intellectuels ? On les entend souvent dire : le Christ est un Grand Homme, un Sage, le plus grand des philosophes, mais jamais qu’il est Dieu.
Mais, direz-vous, d’où vient, de nos jours, tout cet arianisme ? - De ce que l’homme contemporain est devenu la mesure de toute chose. Mesurant tout par lui-même, l’homme européen rejette tout ce qui dépasse l’homme, tout ce qui est plus grand que l’homme. Sa mesure rétrécie, sert à mesurer et à réduire aux limites de l’homme le Dieu-Homme. Le joug du péché étreint la pensée orgueilleuse de l’homme. L’homme refuse de voir et de reconnaître une réalité qui le dépasse. Le combat surhumain de la foi en Christ, le Dieu-Homme, brise ce joug et ouvre la pensée aux réalités infinies. Le Premier Concile Œcuménique a défini une fois pour toutes, le rôle de la pensée, dans l’explication de la personne du Christ Dieu-Homme. Ce rôle est l’obéissance. C’est la foi qui conduit au christianisme ; la pensée doit se laisser conduire. La connaissance est le produit de la foi qui agit dans l’amour, qui œuvre en espérance.
Le relativisme européen, qui règne de nos jours, suit de prés l’arianisme. Le relativisme métaphysique a engendré le relativisme moral. Rien n’est absolu, rien n’est transcendant au monde ou à l’homme, dans le monde ou dans l’homme, ou encore autour du monde ou de l’homme. De ce nouveau relativisme, comme de l’ancien relativisme arien, seule nous sauve la foi en la divino-humanité du Sauveur, en sa consubstantialité avec son Père. Ce terme merveilleux de CONSUBSTANTIEL est notre salut.
Éprouve ta foi et contrôle-la avec le symbole de la foi. Si ta foi n’est pas absolument conforme au Credo - tu es hérétique. Si tu rejettes le CONSUBSTANTIEL, tu n’es pas du Christ mais de l’Anti-Christ, tu es de Judas, parce que l’Église a appelé Arius "Second Judas" (Cf. Stichères des Vêpres du Dim. Des Pères). En fêtant le 1600 ème anniversaire du Premier Concile Œcuménique, l’Église Orthodoxe célèbre la victoire de la foi catholique sur la pensée orgueilleuse et individuelle : la victoire du Dieu-Homme sur l’homme. Si extérieurement, comme le caméléon, l’arianisme change, il n’en demeure pas moins et pour toujours le même en son essence. Mais l’Église Orthodoxe ne change pas sa foi ni sa manière de lutter contre l’arianisme. Comme elle a vaincu l’ancien arianisme, de même elle vaincra chaque arianisme et l’arianisme contemporain de l’Europe y compris. Elle les vaincra par sa foi apostolique, sainte et catholique, armée de la panoplie des saints Pères que Dieu nous a donnée : la Catholicité. La Catholicité est l’arme invincible du Christ. Là où la Catholicité fait défaut, la victoire contre l’arianisme est impossible. Le catholicisme romain (le papisme) a perdu cette "Catholicité", il l’a désertée pour la méthodologie arienne.
L’Orthodoxie appartient au Christ, parce qu’elle est apostoliquement sainte et patristiquement catholique. Renier les principes de la Catholicité, dans la recherche des solutions, des problèmes de l’Église, c’est s’éloigner de la voie du Christ qui mène, par la Vérité, à la vie éternelle. L’homme orthodoxe se "catholicise" dans la grâce, par la pratique des ascèses et des mystères orthodoxes. II "catholicise" son cœur, quand dans la prière "avec tous les saints" (Eph.3, 18), il se plonge dans la douce éternité de l’amour du Christ. II "catholicise" sa pensée, quand il remplace l’orgueil par l’humilité. II "catholicise" sa volonté, quand il chasse par l’amour en Christ son amour propre. II "catholicise" ses pensées, quand il les baptise dans les eaux limpides de l’éternité et de la divino-humanité du Christ. II "catholicise" son esprit quand il le plonge dans les abîmes du Saint Esprit, II "catholicise" sa personnalité, en s’incorporant, tout entier, au Saint Corps du Christ, en devenant tout entier un même corps avec le Christ, en devenant tout entier "Église", en devenant tout entier ORTHODOXE. Voilà la voie qui mène à la Catholicité apostolique, Sainte, Patristique, l’UNIQUE VOIE. II n’en existe pas d’autre. […] (in La Lumière du Thabor n°13. De l'arianisme source)
vendredi 22 mai 2015
DÉFINITION DE L' HÉRÉSIE ABERRATION ŒCUMÉNISTE
aberration
nom féminin
(latin aberratio, de aberrare, s'écarter de)
définition : Accès de folie, égarement, grave erreur de jugement ; absurdité : C'est une aberration de laisser les enfants jouer près de la route.
Terme d'optique. Aberration de réfrangibilité, diffusion du foyer des rayons lumineux concentrés par un verre biconvexe, qui dépend de ce que, les rayons diversement colorés n'ayant pas la même réfrangibilité, la lentille ne peut les concentrer tous dans le prolongement de son axe.
Aberration de sphéricité. Autre genre de diffusion des rayons lumineux concentrés par un verre biconvexe, qui tient à ce que la figure des lentilles ne permet qu'aux rayons très voisins de l'axe de concourir sensiblement en un point commun, tous les autres, qui éprouvent une réfraction plus forte, coupant l'axe en deçà de ce point ; d'où il suit que le foyer, au lieu de représenter un point, est réellement un espace d'une certaine étendue, et que l'image principale, celle qui se produit à l'endroit où se réunissent le plus de rayons, est comme offusquée par une multitude d'autres images qui rendent la vision confuse.
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| The two-headed snake is an ABERRATION in nature because it should only have one head! (https://brainyflix.wordpress.com/2009/10/15/how-to-use-aberration-in-a-sentence/) |
Voilà une définition scientifique qui devrait être plus politiquement correcte que le mot hérésie qui pour les narines de certains, délicates et promptes à la moindre nausée, sent trop la fumée des bûchers de l'Inquisition…
Il n'empêche, inutile de s'attarder à la lecture de toutes les nouvelles des "églises", pour comprendre qu'il y a, outre la grave erreur de jugement, danger à laisser les enfants jouer près de la route…
La Pateritsa – C’est le bâton pastoral. C’est un symbole de la responsabilité de l’évêque qui doit garder, protéger et diriger le troupeau qui lui a été confié. Les serpents sur la partie supérieure du bâton symbolisent l’évènement lors duquel Moïse a érigé un serpent d’airain sur un poteau pour aider à sauver le peuple juif quand ils ont été mordus par des serpents venimeux ( livre des Nombres 21,6-9). Il dit au peuple de regarder le serpent d’or en cas de morsure de sorte que quiconque qui aurait été mordu et le regarderait aurait la vie sauve.
vendredi 15 mai 2015
Le mensonge et encore le mensonge sans fin, par l'Higoumène Nikon Vorobiev
"J'ai jadis été assez naïf pour vouloir étudier la psychologie dans le but de mieux comprendre l'âme humaine. Que de sottises ne fait-on pas dans sa jeunesse, quand on n'a personne pour vous guider ! je me suis retrouvé comme dans une forêt sans issue. Le prince de ce monde vous aveugle au point que l'on avance à tâtons et que l'on se heurte à un mur, puis à un autre…
La science est mensongère, si l'on prend ses données comme un absolu, car la science de demain annulera celle d'aujourd'hui. L'art, lui, est le plus souvent une falsification délibérée.
La politique a toujours été pleine de mensonge, de tromperie, de crime. Tout est ici à prendre en sens inverse et ce que l'on appellera vie n'est que vanité des vanités et tout est vanité, et surtout petitesse, vacuité, le mensonge et encore le mensonge sans fin. En un mot "l'époque du mensonge", le règne du prince de ce monde."
Higoumène Nikon Vorobiev
(in Lettres Spirituelles
- Coll. Grands Spirituels Orthodoxes du XX° s. l'Âge d'homme)
mardi 12 mai 2015
Soirée littéraire : Une année sans Dobrica Ćosić au Centre culturel de Serbie, le mardi 19 mai
Notes préparatoires à la soirée littéraire sur Dobrica Ćosić le 19 mai 2015 par Slobodan Despot
Voici un an, en mai 2014, la Serbie et les Etats voisins de l’ex-Yougoslavie ont connu des inondations d’une ampleur biblique. C’est au milieu de ce désastre que le plus grand écrivain et témoin de la Serbie moderne s’en est allé, à 93 ans, sns un bruit. Dobrica Ćosić — que nous avions rebaptisé Dobritsa Tchossitch sur la couverture de ses romans afin de rendre son nom tant soit peu intelligible pour le public français — aura partagé jusqu’à son dernier souffle le sort de son peuple. Il est parti sur la pointe des pieds, refusant les honneurs d’Etat auxquels il aurait eu droit, mais exigeant par testament d’être enterré selon le rite orthodoxe traditionnel, comme tous les siens depuis la nuit des temps. Le communiste militant de sa jeunesse, brisé par les tragédies, les mensonges et les injustices du XXe siècle — siècle du progrès — était devenu un chrétien inavoué mais profond.
L’Antigone de Tito
Le rôle de Dobrica Ćosić est comparable, au sein de sa nation, à celui d’un Victor Hugo en France. Résistant communiste, commissaire politique, apparatchik, il avait fait entendre une voix singulière sitôt qu’il eut pris la plume et publié un étonnant premier roman sur la guerre des partisans: Loin est le soleil. Devenu un intellectuel et un écrivain en vue, il participa au fastueux tour du monde non-aligné de Tito sur son yacht de milliardaire escorté par la marine et l’aviation de guerre. Puis, dès 1968, il troqua son statut contre une stature en osant affronter le dictateur sur son autoritarisme, ses moeurs de nabab, ses manipulations, sa politique nationale. Placé dès lors en résidence surveillée, il resta à jamais l'opposant le plus conséquent du maître de la Yougoslavie, à rebours de son propre milieu, de la bien-pensance internationale et du sentiment populaire, tous subjugués par celui qui fut peut-être le plus grand illusionniste politique du XXe siècle. Il créera par la suite un Comité pour la liberté d’expression qui sera la pépinière des futurs dirigeants démocrates et pro-occidentaux de la Serbie et finira même par adhérer, en 2000, à l’organisation Otpor, le vecteur de la « révolution colorée » qui balaya Milošević, non sans avoir engagé son renom et sa popularité, en 1992, dans le sauvetage de ce qu’il restait de Yougoslavie en devenant l’un des derniers présidents de cette fédération condamnée. D'avoir cru aux promesses de l'Occident sera l'un des regrets les plus amers du soir de sa vie. Ses dernières années — tout son XXIe siècle, en fait — seront consacrées à une amère méditation sur la trahison et la vanité politiques.
Le médium
Dans sa semi-retraite en semi-liberté, il écrira Le Temps de la Mort, l’épopée du combat et de la retraite des Serbes en 1914-1915, l’un des plus grands romans de guerre jamais écrits. En un temps où l’idéologie titiste réprimait toute manifestation de l’identité serbe, son roman, tiré à des centaines de milliers d’exemplaires, servira d’éveilleur de la conscience et de la mémoire nationales avec Le Temps de la Mort. Comme Hugo, comme Dickens, comme Soljénitsyne, Dürrenmatt ou Günter Grass, Dobrica aura capté et incarné, de son vivant, l’esprit de son peuple et de son temps. Lorsque j'ai eu la chance de le rencontrer, à l'âge de vingt ans, il était l'homme le plus influent, le plus aimé et le plus haï de la Yougoslavie post-titiste.
Initiation
La traduction de sa trilogie du Temps du Mal consacrée au purges staliniennes fut mon premier travail littéraire. En 1986, jeune étudiant à peine inscrit à l’université de Lausanne, j’avais frappé à la porte de L’Age d’Homme chez Vladimir Dimitrijević, le prestigieux éditeur de Grossman et de Zinoviev, dans l’espoir de décrocher des traductions pour payer mes études. Je lui avais présenté un cahier où je retraduisais (à la main, bien entendu) un grand classique de la littérature yougoslave mal servi par sa première version française. Dimitri n’avait pas même jeté un regard sur ma traduction, mais s’était retourné pour prendre sur son étagère un pavé noir de 800 pages qui m’était bien connu: Le Pécheur, premier volume de la fameuse trilogie! « Essayez plutôt ça », me jeta-t-il froidement.
Ça, c’était le roman le plus scandaleux, le plus lu, le plus commenté des dernières années de la Yougoslavie communiste! Mon frère de lait, soldat dans l’Armée populaire, venait de se faire mettre aux arrêts parce qu’on en avait trouvé un exemplaire dans son barda. Et il m’incombait, à dix-neuf ans, de m’attaquer à ce monument…
Flair ou désinvolture? Je ne me suis jamais expliqué cette confiance instantanée qu’avait accordée le grand éditeur à un étudiant inconnu. Les deux, probablement. Les épreuves du Pécheur, raturées de rouge par ma relectrice Anne Coldefy, bientôt suivies par celles de L’Hérétique et du Croyant, signaient mon entrée en littérature. Y entrer par cette porte-là tenait véritablement de l’initiation.
Mission
Depuis lors, et pendant plus de 25 ans, j’ai entretenu une amitié filiale, constante et détendue avec cet homme qui, par son oeuvre colossale et ses engagements, avait fini par être la voix d’un peuple et d’une époque. Je l’ai accompagné dans les rues où les gens simples l’abordaient avec ferveur et dans les taxis où il ne pouvait payer sa course. Je l’ai vu insulté, l’écume aux lèvres, par des enragés à Paris. Je l’ai retrouvé dans son immense bureau vide de président de la Fédération en 1992. Nous avons parlé religion, science, littérature, gastronomie, femmes. Nous sortions marcher la nuit, d’un pas martial, sur les berges du Danube. Nous projetions un livre d’entretiens sur tous ces sujets que son oeuvre d’essayiste et de romancier n’abordait pas.
Mais je traînais. Je croyais avoir tout mon temps et me faisais des priorités avec des choses triviales. Dobrica était immortel. Il m’attendrait à jamais dans son cabinet où il écrivait sans cesse, des heures durant, au stylo bille sur des feuilles volantes. Puis, un jour du début 2014, en pleine conversation, je l’ai vu subitement s’affaisser et j’ai été pris de panique. Nous n’étions qu’au début de nos échanges, il n’avait pas le droit de s’en aller. Mais s’il s’en allait quand même, que pouvais-je encore, in extremis, retirer de son archaïque sagesse et de son irremplaçable expérience? Dobrica n’était pas une de ces maisons d’ingénieur qu’on peut ravaler sur plans. Il était un distillat d’humanité, un arbre noueux, quasi-centenaire, qu’aucun artiste, aucun savant ne saurait reproduire. La trace qu’il avait laissée sur terre était bien au-delà de notre jugement.
Pris d’affolement, j’ai fait ce que je fais souvent dans les moments d’émotion: j’ai ajouté un cliché à ma photobiographie. Je me suis emparé de mon iPhone et vite, furtivement, j’ai photographié sa main. Sa main gauche, reposant sur l’accoudoir en velours de son fauteuil. Si je ne devais rien conserver d’autre de lui, si ma mémoire s’éventait avant d’avoir été verrouillée par l’écrit, il me resterait toujours cette photographie. Et si j’avais la force, l’assurance et le temps d’écrire cette rencontre cruciale de mon existence, je l’intitulerais La main de Dobrica Ćosić et placerais cette même photographie en frontispice.
Nikos Kazantzákis a écrit l’une des autobiographies les plus bouleversantes de tous les temps sous la forme d’une Lettre au Gréco, son compatriote crétois. Il me semble, pour ma part, qu’il me suffirait d’évoquer cette main, cette fine main de poète et de paysan, pour dire l’essentiel sur ma propre vie et sur le destin du peuple d’où je proviens. C’est l’une des rares vraies tâches que je me sois assignées.
(Illustration : L’une de mes dernières photos de Dobritsa, le 17 février 2014 dans son appartement.)
Soirée littéraire : Une année sans Dobrica Ćosić
Au Centre culturel de Serbie, 123 rue St-Martin (Beaubourg), Paris, le mardi 19 mai à 19h30.
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