Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8

vendredi 15 janvier 2021

LA VÉRITÉ FINIRA PAR SORTIR, N'AYEZ PAS PEUR ! par P. Ghelasie Tepes

 Le père Ghelasie Tepes, dans cette vidéo, explique comment les chrétiens orthodoxes devraient rester forts dans leur foi et comment ils ne devraient pas se laisser tromper par des mensonges et des soucis du monde! Il poursuit en expliquant comment la vérité finira par sortir sur les événements mondiaux actuels, et que les chrétiens orthodoxes n'ont rien à craindre parce que le Christ est avec eux et que les portes de l'enfer ne peuvent prévaloir contre l'Église. Enfin, le Père Ghelasie encourage les fidèles à aller à l'Église, à recevoir la Sainte Communion et à se confesser sans craindre de tomber malade.



Qui fabrique des Saints?

L'Église!

Celui qui abandonne l'Église, abandonne la sainteté!

Il abandonne le Christ! Il abandonne tout ce qui est bon, et il suit ce qui est mauvais !

Par conséquent, combattez de toutes vos forces pour qu'ils ne vous trompent pas, car tout sortira au grand jour, la vérité sortira!

Ce qui était autrefois chuchoté à l'oreille sera crié sur les toits ! 

 

 

Attendez et voyez quand les médecins vont crier la vérité ! Nous attendons que des hôpitaux, des rues et des bus ils crient ; combien de mensonges on leur a dit de dire !

Que les médecins et les infirmières dénoncent tout cela ! Nous les attendons !

Parce qu'ils ont des familles et qu'ils ont des enfants, et que tous leurs mensonges, qu'on leur a dit de dire au peuple roumain (au monde entier), viendront hanter leurs propres familles.

Et Dieu ne le permettra pas ! Peut-être que pour les autres nations, Il le permettra (ceux qui sont en dehors de l'Église), mais ici le Christ vient dans la Divine Liturgie!

Allez mentir au Christ ! (sarcastiquement)

Allez mentir à votre prêtre pendant la confession !

Voyons voir ... Et en plus, mes bien-aimés, nous les attendons, car à la fin du jour, le Christ est le Grand Docteur !

Il est le guérisseur de toutes les maladies ! N'est-ce pas vrai ?

Comment pouvons-nous rester et accepter tous ces mensonges, car il y a beaucoup de mensonges ... Laissez-moi vous dire que le père de tous les mensonges est le diable !

Oui ! Si tu disais la vérité, je te reconnaîtrais !

Mais combien de temps encore allez-vous imposer sur nous et nos esprits vos mensonges ! Nous ne pouvons plus le tolérer !

Et par conséquent, nous avons besoin du Christ !

Il est le Chemin, la Vérité et la Vie !

Comment pouvez-vous me séparer du Christ ?! Comment pouvez-vous me séparer de l'Église ?! Comment pouvez-vous me séparer de la Sainte Confession ?! De la sainte communion ?! N'est-ce pas ainsi ?

Comment pouvez-vous me séparer du salut ?! C'est notre foi !

Personne ne pourra le faire !

D'autres ont essayé de le faire avant eux ! Je leur dis toujours de ce micro, et d'ici devant le Saint Autel, si le Christ a dit : « Même les portes de l'Enfer ne prévaudront pas contre Mon Église »; eh bien une maladie ne prévaudra pas contre elle non plus.

Un mensonge ne prévaudra pas contre elle ! Un mal ne prévaudra pas contre elle, ni aucun autre péché! Non ! 

Le Christ va à cet endroit même, et Il voit toutes choses ! Et Il guérit toutes choses ! Et Il rend toutes choses pures et agréables, en accord avec ce dont nous avons besoin.

N'est-ce pas ainsi mes bien-aimés ? Venez avec amour dans les saintes églises ! Ils les ouvriront !

Laissons autant de personnes que possible aller à l'église ! Ils ne tomberont pas malades ! La maladie n'est pas présente à l'Église !

Pas là où est le Christ ! Pas là où est la Vierge Marie ! Pas là où sont les saints !

Pas là où les gens s’agenouillent ! Pas là où nous pleurons et élevons les mains, et où nous venons avec la pureté de notre âme et de notre corps ; autant que possible !

Et pour nous de lever les mains vers les saintes icônes ! N'est-ce pas ainsi ? Et pour nous de crier à Dieu de nous pardonner, d'avoir pitié de nous et de nous guérir ; nous-mêmes, nos familles, nos familles élargies et notre nation !

Ici, nous rencontrons directement le Christ! N'ayez pas peur lorsque vous êtes à côté du Christ!

N'ayez pas peur lorsque vous êtes à côté de la Vierge Marie, des saints et des vrais serviteurs de Dieu !

N'ayez pas peur, car vous allez vaincre !

L'Écriture dit : «Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l'ennemi; et rien ne pourra vous nuire.» (Luc 10:19).

C'est la parole du Christ Sauveur ; c'est Dieu le Verbe !

Piétinez les serpents ! Piétinez les scorpions ! Vous voyez combien il peut être difficile d'arriver ici aux saints monastères et aux saintes églises.

 

Nous voyons comment nous sommes alourdis ! La paresse nous alourdit, ainsi que les soucis de ce monde !

Et plein d'autres choses ; la richesse et ainsi de suite!

Regardez et voyez qu'ils ont la richesse, mais ils ne savent pas quoi en faire!

Ils sont comme un poulet sur un tas d'ordures !

Tous ceux qui possèdent aujourd'hui beaucoup de richesses, aujourd'hui ou demain, ne sauront plus quoi en faire !

Et je leur demanderai alors : « Où sont vos ordures ? Où les avez-vous cachées ? Parce que plus personne n'a besoin de vos ordures ! » N'est-ce pas ainsi ?

Maintenant, pendant que vous en avez encore l'occasion, allez donner à l'Église, allez donner aux personnes âgées, allez donner aux orphelinats, allez donner aux veuves et aux gens qui souffrent et sont pleins de fardeaux.

Parce que, Seigneur, il y en a bien besoin !

Et demain ou le lendemain, vous n'aurez pas besoin d'argent, ni de beaucoup de nourriture, ni de rien d'autre.

Comme le Père (le Père Arsenie Boca) nous le disait, quelle belle parole : « Nous n'avons rien et nous avons tout! »

Vous savez que nous chantons toujours dans notre sainte église : « Des riches sont devenus pauvres et ont connu la faim mais ceux qui recherchent le Seigneur ne seront jamais privés d’aucun de ses bienfaits »,

Mes très chers, enrichissez-vous d'amour, de bonté, de sainteté, de miséricorde et de bonnes œuvres ! Enrichissez-vous  vous-mêmes !

Parce que je vous le dis, les saints étaient des gens pauvres ! Et maintenant, si seulement vous pouviez voir à quel point ils sont riches !

Et vous verriez comment ils brillent dans le Royaume de Dieu ; comme des luminaires !

Le Père Cleopa dirait : « Le Soleil est un luminaire. Regardez comme il est grand et beau ! Pensez maintenant au fait qu'au jugement final, des millions de soleils viendront !

Pensez maintenant au fait qu'au jugement final, des millions de soleils viendront !

Comment pourrez-vous regarder le ciel (le paradis), si vous ne pouvez même pas regarder le soleil ! Quand les saints viendront, ils illumineront encore plus que le soleil !

Qu'allons-nous faire ? Nos yeux vont exploser ! Nos esprits vont exploser ! Nos oreilles vont exploser ! N'est-ce pas vrai ? Nous ne pouvons pas les voir !

Eh bien, ici de la Terre, nous devrions les regarder comme ils brillent !

Et qu'est-ce qui les fait briller ? Précisément leur innocence, leur sainteté et leur bonté ; celle des Saints ! Suivons leur exemple, car ils sont innombrables !




DÉSHUMANISATION, ÉTATISATION, ROBOTISATION, MARCHANDISATION : On n'arrête pas le progrès…

 

Les médecins ne sont décidément plus des toubibs...

TRIBUNE (FRANCE SOIR.COM)

La pandémie actuelle, la première dans des pays riches depuis 1920, a définitivement fait basculer la médecine dans la technologie et la technocratie.

Les médecins libéraux, cette catégorie autrefois prestigieuse mais aujourd'hui rentrée dans le rang des "professionnels de santé", ont tout simplement lâché prise.

Certes, depuis longtemps, ces médecins étaient dans la main de la "Sécu": leurs revenus, leurs habitudes de prescription, leurs frais,... tout est codifié, analysé et normalisé. Les médecins libéraux s'en remettent avec une certaine complaisance à ses diktats, compensés par ses facilités. Seule excuse, les employés de la Sécu, ayant une assez haute idée de la santé publique, savaient encore que, sans le premier rempart de la médecine libérale, beaucoup de maladies passeraient à travers les mailles du filet pour exploser un peu plus tard.

Depuis mars 2020, tout s'est modifié avec le coronavirus. La médecine libérale s'est vu interdire de traiter - d'ailleurs, elle a perdu l'habitude d'aller au chevet des patients - et la médecine hospitalière a été placée directement en première ligne par le pouvoir sanitaire. Ce dernier, voulant oublier que l'hôpital public était sporadiquement en grève depuis plusieurs mois, a fait ruisseler sur lui des montagnes de crédits. Des oukases édictés à son profit sont venus rendre obligatoire le transfert direct du quasi-placebo doliprane - mis en vente libre - à la réanimation, sans passage par la case médecine de ville.

Aujourd'hui n'importe quel fonctionnaire à casquette peut vous déclarer malade, cas contact ou cas contact de cas contact, sans qu'un médecin l'ait confirmé, et peut vous expédier à l'hôpital ou, au mieux, en quarantaine. En se fondant au besoin sur le résultat de tests, dont la fiabilité est plus que contestable...

Etrangement, les quelques 100 000 médecins libéraux français n'ont absolument pas réagi pour défendre leur rôle, sans parler de ceux qui sont allés se confiner docilement en oubliant leur serment d'Hippocrate.

On croyait que leur Ordre était là pour les défendre et les piloter dans les batailles contre les microbes. Grosse erreur, l'Ordre, en dehors de défendre des intérêts corporatistes, est là pour servir de relais aux consignes étatiques. On sait que son origine et son histoire ont inscrit cette soumission dans ses gènes.

Et malheur au médecin qui déroge en appliquant un traitement préventif ou curatif : immédiatement détecté et dénoncé par la Sécu et/ou les apothicaires, il se voit "rappelé à l'Ordre".

Et d'ailleurs il n'est pas si facile d'appliquer un traitement. La plupart des produits de traitement de terrain cités ici ou là ne sont plus disponibles ; d'une part, ils ne sont plus fabriqués car, peu chers, ne sont plus assez rentables pour l'industrie pharmaceutique, même pour les génériqueurs. Dans certains cas en outre, les pharmaciens, obéissant eux aussi à leur Ordre, refusent de délivrer.

De toutes façons, des polémiques acharnées et orientées ont presque réussi à discréditer les traitements de base tentés par tel ou tel mandarin. Sans jamais dire qu'il n'y avait aucun autre traitement crédible.

En médecine, la lutte contre les microbes ne passe donc plus par le "colloque singulier" entre le médecin et le malade, mais par des protocoles. Les machines détectent, les institutions décrètent et on applique alors le protocole officiel.

Désormais, les plus hauts personnages de l'Etat, au lieu de s'occuper des grandes options régaliennes, se délectent dans les aléas de la piquoûse. En fait, la messe était dite quand un discours d'investiture récent de Premier ministre a été consacré aux sujets sanitaires du moment : prix du tabac et vitesse sur les routes. Le covid serait arrivé deux ans plus tôt, il en aurait farci tous ses prolégomènes.

On lit ici ou là que la pandémie est moins létale dans les pays peu développés. Au-delà de controverses sur les produits y disponibles pour des traitements précoces, on relèvera seulement que le rôle du médecin dans ces pays, hérité de la courageuse médecine coloniale, y est resté celui du "toubib" de terrain dispensant aux malades les soins à sa portée. Même et surtout en cas d'épidémie.

Lionel Fleury est ancien coordinateur Médias-Santé à l'Université d'Aix-Marseille.

jeudi 14 janvier 2021

dimanche 10 janvier 2021

Les confinements tuent - Les évêques orthodoxes ignorent-ils les victimes?

Voici un article qui fait le point sur la situation dans le monde et plus particulièrement aux USA. Mais on peut facilement faire la transposition pour la France.

Le Christ est né! Glorifiez-le! Nous avons maintenant dépassé la Nativité du Christ sur les calendriers nouveau et ancien. Comme chaque année, les hiérarchies de notre Église ont émis des messages à l'occasion de la fête. Compte tenu de la situation cette année, chaque message que nous lisons comportait une section sur le COVID. Ce qui suit du message du patriarche Kirill est très typique.

Aujourd'hui, alors que les peuples de la terre endurent l'épreuve difficile d'une nouvelle maladie, alors que le cœur des peuples est submergé par la peur et l'angoisse pour l'avenir, il est particulièrement important que nous renforcions notre prière collective et individuelle et offrions au Seigneur le travaux diligents des bonnes œuvres. Beaucoup de nos frères et sœurs, en raison de la peste dévastatrice, ne profitent plus de l'occasion de visiter des églises. Laissons nos demandes au Seigneur Miséricordieux afin qu'il renouvelle leur force corporelle et spirituelle, accorde le rétablissement le plus rapide à ceux qui sont malades et envoie son aide aux médecins et à tous les travailleurs médicaux qui, avec le sacrifice de soi, font tout ce qu'ils peuvent pour la santé et la vie des gens.

Soulignement ajouté . C'est une chose normale pour un hiérarque de l'Église de se souvenir des malades, des souffrants, des âmes de ceux qui sont morts d'une épidémie et des travailleurs de la santé. Nous avons des contributeurs qui sont des travailleurs de la santé et des survivants du COVID, nous apprécions donc beaucoup les prières. Mais le COVID n'a pas seulement fait souffrir les personnes infectées, les différentes réponses gouvernementales ont également fait du mal et tué de nombreuses personnes innocentes. D'autres souffriront à mesure que les confinements se poursuivront, et dans certains cas s'intensifieront. Ces pauvres âmes, du moins en ce qui concerne l'Église, ne semblent pas exister.

Taux de survie de Covid-19Les médias et les gouvernements semblent se concentrer uniquement sur la prévention de la transmission d'une maladie avec un taux de survie de 99,5% ou plus pour les moins de 70 ans. Nous nous serions attendus à ce que les successeurs des apôtres adoptent une vision beaucoup plus équilibrée, car les confinements et autres mesures d'atténuation ont clairement un coût en termes de vies humaines et de bien-être. 

Comme toutes les vies comptent pour Dieu, toutes les vies devraient aussi avoir de l'importance pour les chrétiens orthodoxes. Une personne âgée qui meurt du COVID n'a pas moins ou plus de valeur qu'une personne âgée qui meurt de «ne pas s'épanouir» parce qu'elle a perdu espoir alors qu'elle était isolée de sa famille et de ses amis. Un enfant affamé n'a pas moins de valeur qu'un homme obèse à la fin de la soixantaine. L'Église ne peut pas se concentrer uniquement sur certaines vies et ignorer le danger pour d'autres.

Comme l'Église est du Christ, l'Église doit être disposée à utiliser sa voix prophétique pour parler au nom de tous ceux qui souffrent. Notre focalisation actuelle et résolue sur «arrêter la propagation» a causé certaines des souffrances suivantes qui doivent être traitées:

  • En raison du manque de soins de santé / de dépistage, de l'augmentation du chômage et de la perte de possibilités d'éducation - plus d'un tiers des décès en excès aux États-Unis ne sont déjà pas liés au COVID. L'impact des mesures anti-COVID se fera sentir pendant des décennies dans le futur. Le nombre total de décès excédentaires dus aux confinements devrait être 30 fois supérieur aux décès supplémentaires dus au COVID. Cela pourrait finir par être une estimation prudente, en fonction des catastrophes mentionnées dans ce qui suit.
  • Les perturbations économiques tuent et mettent en danger les gens en coupant les chaînes d'approvisionnement alimentaire et en les empêchant de nourrir leur famille. Le nombre de personnes «marchant vers la famine» est passé à 270 millions dans le monde. David Beasley, Directeur exécutif du Programme alimentaire mondial (PAM), a déclaré: «La famine est littéralement à l'horizon et nous parlons des prochains mois.» Il a en outre averti que 2021 risquait de devenir la pire année de crise humanitaire depuis la fondation des Nations Unies. Ce n'est pas seulement un problème dans les pays en développement. 50 millions de personnes en Amérique souffrent d'insécurité alimentaire, dont 17 millions d'enfants.
  • En Amérique, près de 80% des victimes du COVID-19 avaient plus de 65 ans et plus de 40% vivaient dans des maisons de retraite médicalisées, où l'espérance de vie moyenne après l'admission n'est que de cinq mois. Pour protéger ces personnes âgées, les confinements COVID tuent les jeunes. Un Américain âgé de 25 à 44 ans est 3,6 fois plus susceptible de mourir des restrictions utilisées pour «combattre» le COVID que du COVID lui-même.
  • Les recherches du Well-Being Trust montrent que 75 000 Américains devraient mourir de désespoir en 2021 - y compris de l'abus d'alcool et de drogues et du suicide. Les surdoses et les décès par surdose sont à leur plus haut niveau jamais atteint aux États-Unis. 1 jeune Américain sur 4 a sérieusement envisagé le suicide. À l'échelle mondiale, les suicides montent en flèche.
  • 150 millions de personnes dans le monde, dont 8 millions d'Américains, ont été poussées dans l'extrême pauvreté. Les pauvres meurent de toutes sortes de choses que les plus riches ne font pas.
  • La moitié des Américains à faible revenu rapportent une perte d'emploi ou de salaire à la maison en raison de confinements.
  • Les familles ne peuvent pas payer leur loyer, donc pas moins de  34 millions d'Américains  risquent d'être expulsés.
  • Pour l'ensemble de 2020, l'or a gagné 25,1% et l'argent 47,9%. Pourquoi est-ce important? Parce que cela indique que l' inflation s'accélère en raison de toutes les impressions d'argent qui se font pour soutenir les marchés boursiers, les banques et les grandes entreprises. Mais très peu de cet argent va au travailleur moyen, qui ressentira de plus en plus les effets d'une expansion rapide de la base monétaire.

Et bien sûr, comme l'a souligné le patriarche Kirill dans son message, des millions de personnes sont privées du confort des services de l'Église dans des endroits comme la Californie et Chypre. Même Dieu est enlevé à ceux qui n'ont déjà rien d'autre.

Les confinements, pour le dire franchement, ne fonctionnent pas. (Voir cette longue liste d'études qui vérifient ce fait.) Et même si ils l'ont fait, ils ne sont pas gratuits. Lorsqu'on parle de confinement [NdR : "lockdown" en anglais rend mieux compte de la dictature sanitaire], il ne s'agit pas d'un débat entre «argent» et «vie». L'activité économique signifie des emplois, et les emplois sont la façon dont les gens ordinaires nourrissent leur famille. Les milliardaires deviennent de plus en plus riches, tandis que les gens ordinaires se débattent, font une overdose et meurent de plus en plus de faim .

Où est l'église? L'Église comprend le mieux la nature humaine et l'histoire humaine. L'Église et ses dirigeants devraient être les premiers à se lever et à dire que victimiser toute la société pour «sauver» les personnes âgées est inacceptable (même si cela a fonctionné). Les hiérarchies l'ignorent-elles? Sont-elles complices de cela? Comme nous l'avons documenté dans cet article sur l' hypocrisie, de nombreux membres du clergé n'ont pas respecté les restrictions COVID. Alors peut-être craignent-ils les réactions négatives du gouvernement s'ils s'expriment?

Quoi qu'il en soit, espérons que le silence de l'Église ne se prolongera pas. 

Toute Sainte Mère de Dieu, intercède pour nous!Orthodoxie du dimanche

À Dieu et au Sauveur tu as donné naissance; 
Je te demande, ô Vierge, 
Des dangers délivre-moi 

Maintenant, je cours vers toi pour trouver refuge, 

avec toute mon âme et mon raisonnement.

Maintenant et pour toujours, et aux siècles des siècles. Amen.

Le corps et l'âme sont malades; 
Juge-moi vraiment digne 
de la direction divine et de tes soins; 
Car toi seule es la Mère de Dieu, 
Toi qui es bonne et qui donnes naissance au Bien.

Nicolas - membre du Vicariat de rite occidental, partie de l'archidiocèse chrétien orthodoxe d'Antioche en Amérique, réfugié COVID de l'archidiocèse grec (SOURCE)


samedi 9 janvier 2021

"Didier Raoult est mon sauveur" : Mylène Demongeot témoigne


Mylène Demongeot, emblématique actrice et compagne du regretté Claude Brasseur dans Camping, a réchappé d'un covid-19 particulièrement véhément… grâce au traitement préconisé par Didier Raoult : plaquenil, azithromycine et hydroxychloroquine. Pour Bas les Masques, elle témoigne.

mercredi 6 janvier 2021

UN APPEL À LA PRIÈRE du Métropolite Néophytos de Morfou

Nous aurons des gens modifiés! Partie 1 

Le métropolite Neophytos de Morfou, dans cette vidéo, explique que le virus actuel n'est que le début d'une série d'événements, et que nous devons utiliser ces temps comme entraînement pour ce qui est à venir. Il poursuit en soulignant que les «injections» destinées à traiter ce virus sont en fait nocives et conduiront à des personnes modifiées de la même manière que les aliments génétiquement modifiés existent.


"Puissiez-vous avoir des années bénies, et puissiez-vous continuer à prier et à dire : «Donne-moi, ô Christ, la foi et la patience des saints! »

D'après ce qu'il semble, et d'après ce que vous pouvez voir, nous sommes entrés dans des années d'une grande patience et d'une grande foi ; la foi des saints.

Car nous aurons besoin de la patience des saints et de la foi des saints ; celui qui est orthodoxe.

Même les personnes qui devraient garder la foi orthodoxe ne le font pas correctement, mais la diluent plutôt ; un agissement extrêmement dangereux.

Pourquoi cet agissement est-il dangereux ? C'est dangereux parce que la vie que chacun vivra sera selon ce que sa propre conscience et ce que sa situation lui permet.

Mais la gloire que nous recevrons dans la vie éternelle dépendra de la foi que nous possédons !

Regardez l'apôtre Tychicus (l'un des soixante-dix apôtres), un jeune homme, très instruit, plein de connaissances ; il aurait pu vivre une vie d'honneur comme homme de loi ou comme médecin.

Et tous les apôtres qui avaient certains talents, comme l'apôtre et évangéliste Luc, l'apôtre Paul ; ce n'étaient pas tous des pêcheurs.

Certains d'entre eux avaient de vastes connaissances et une vaste éducation, et ils étaient très talentueux et avaient des occasions mondaines de faire carrière pour eux-mêmes; pour m'exprimer de manière contemporaine. Et pourtant, pour l'amour du Christ et pour la vérité de l'Évangile, ils ont consacré leur vie à faire du Saint Évangile une chose concrète (pas seulement en le prêchant avec des phrases creuses).

Leur exemple, leur parole et leurs épîtres, pour ceux d'entre eux qui ont écrit, sont à ce jour notre source de soutien et d'orientation spirituels ; depuis vingt siècles.

Les générations vont et viennent, mais les œuvres des saints apôtres restent intactes et elles sont le fondement de notre foi.

C'est pourquoi notre Église est aussi appelée apostolique, et notre foi est aussi appelée apostolique.

Par conséquent, si nous perdons cette foi, ou si nous la diluons, notre salut est en danger ! Notre vie éternelle est en danger ! La gloire éternelle de nos âmes et de nos corps est en danger !

C'est pourquoi nous devons être très sensés et très prudents dans la manière dont nous aborderons la Miséricorde de Dieu dans nos vies, et comment nous confesserons notre foi et la vérité de l'Évangile !

 

L'application de l'Évangile à nos propres vies est le meilleur «passeport» pour arriver à la vie éternelle. Telle est la vie à laquelle aspiraient les saints apôtres et dans laquelle ils se réjouissent ! Nous aussi pouvons être co-habitants avec eux dans la Gloire éternelle, dans la Vie éternelle et dans la Joie éternelle !


Notre époque (l'époque dans laquelle nous vivons) nous offre de nombreuses opportunités pour y arriver. De nombreuses opportunités ! Si nous confessons le Christ qui a été crucifié, qui est ressuscité et qui reviendra avec gloire !

Si nous communiquons le Christ à nos enfants et à nos petits-enfants ! Tout d'abord, à travers notre propre exemple, puis selon l'éducation de chacun et la foi de chacun ; selon ce qu’ils sont capables de faire.

Mais même aujourd'hui, nous devons nous efforcer de construire des bastions de foi ; des forts de résistance.

Des moments très difficiles pour l'humanité adviennent. Il semble que ces moments difficiles commencent tout juste. Lorsque ce virus prendra fin en mai, d'autres sujets de plainte viendront ; bien plus importants que celui-ci.


Par conséquent, nous aurons besoin d'encore plus de patience et encore plus de foi. Nous sommes maintenant au stade de la pratique et des examens. Ces examens passeront et des examens plus difficiles viendront.


C'est pourquoi je vous demande, et je l'ai dit dans d'autres endroits également, que dans chaque ville, le prêtre devrait trouver dix personnes de prière. S'il en trouve plus, tant mieux !

Donnez à chacune des dix personnes à lire chaque jour, à tout moment, deux Cathismes du Psautier de David.

Deux Cathismes prennent environ 15 minutes ... C'est pourquoi nous les appelons Cathismes.

Et là où il est écrit "Gloire au Père ...", nous nous levons et nous signons trois fois en nous prosternant.

 

À la fin, nous commémorerons les noms des vivants et des morts, ceux qui nous aiment et ceux qui nous haïssent, ceux qui nous servent et ceux qui nous font du mal, et les gens qui sont dans la douleur, qui souffrent.

Il y a beaucoup de gens qui ont besoin d'être commémorés et qui ont besoin de notre amour.

C'est la meilleure voie, avec laquelle Dieu m'a éclairé, et que j'ai reçue comme conseil de personnes illuminées, afin que nous puissions construire des bastions de foi dans chaque village et en tout lieu. Faisons des choses concrètes, pas seulement des mots et des sermons !

Comme vous pouvez le voir, la situation s'aggrave ; les temps empirent.


Que devraient faire les chrétiens ? Sont-ils seulement capables de mettre des masques pour se protéger de ces choses ? Lors de la prochaine maladie, nous ne pourrons pas nous protéger avec des masques, ni avec des injections Que ferons-nous alors ?

Les injections se révéleront très dangereuses pour les gens. De la même manière que nous avons des aliments génétiquement modifiés, nous aurons, lentement, lentement, des personnes modifiées.


Par conséquent, les chrétiens doivent faire les choses qui sont difficiles. Les chrétiens sont destinés aux choses difficiles. Les athées sont destinés aux choses faciles ; qui pensent pouvoir changer le monde, mais en fait, ils ne peuvent même pas se changer eux-mêmes.

Le chrétien est celui qui peut changer, c'est lui qui peut transformer, celui qui peut être sanctifié.


 Nous, évêques, avons une grande responsabilité !

Si nous ne pouvons pas influencer le plus grand nombre, nous pouvons aider par la médiation de quelques-uns. Dieu peut faire Son œuvre même avec seulement deux ou trois personnes !

«Car là où deux ou trois sont rassemblés en mon nom, je suis au milieu d'eux» (Matthieu 18:20.)"

samedi 2 janvier 2021

«L'Église ne modifiera jamais ses croyances ou ses pratiques par peur» Homélie de Mgr Irenei




        Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. 


Mes chers frères et sœurs: nous vivons actuellement un moment qui exige la foi - et non la foi en nous-mêmes, ou dans nos structures civiles, dans les gouvernements ou dans la sagesse des hommes. Nous vivons un moment qui exige la foi en Dieu: le vrai Dieu, le seul Dieu : la Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit.


Et ce n'est pas principalement parce que nous sommes confrontés à un péril spécifique d'un virus ou d'une pandémie. Ce n'est pas la raison principale pour laquelle la foi est exigée de nous. Nous ne diminuons pas la gravité de la situation dans laquelle se trouve actuellement le monde : l'épidémie est une réalité, et il y a des mesures pratiques que tous devraient prendre pour lutter contre sa propagation et minimiser son impact. Mais nous avons déjà traversé des pandémies, en tant que race, en tant que société, en tant qu'Église. Nous sommes capables de comprendre, par l'expérience, le besoin de réaction aussi bien que de non-réaction; la nécessité du sérieux ainsi que la nécessité du calme. Et nous savons, aussi par expérience, que toutes les épreuves passent, de la moindre à la plus grande; et partout où l'on peut juger que les circonstances présentes se situent à cette échelle, une chose est sûre: elles passeront, l'Église restera et Dieu nous fera aller de l'avant.


«Ce monde a montré, ces derniers mois, ce qui le régit vraiment - et ce n'est pas la sagesse ou la compassion, ni la science, ni la vérité. C'est la peur

 

Non, l'épidémie n'est pas la raison pour laquelle nous vivons maintenant dans un moment qui exige une vraie foi. La raison de cette nécessité est la peur. Ce monde a montré, ces derniers mois, ce qui le régit vraiment - et ce n'est ni la sagesse ni la compassion, ni la science, ni la vérité. C'est la peur. Depuis de nombreuses années maintenant, le monde cultive cela comme son principe de base de fonctionnement : avec un zèle croissant, il a fonctionné en déterminant ce dont l'homme devrait avoir peur, et qui, et quand - et a fait une norme du concept que la force motrice dans la vie humaine doit être la réaction à une telle peur. Et ainsi nous avons vu le genre humain s'habituer à vivre dans la peur de tout : de la guerre ; d'ennemis connus et imaginés ; de l’économie ; des autres personnes ; de l'histoire; du passé, et surtout du futur ; de la solitude ; de la société ; de la pauvreté et de la richesse ; de l'ignorance, aussi bien que de la connaissance. La liste pourrait s’allonger sans fin. L'homme s'est habitué à avoir peur - de tout. Et la société considère désormais comme une seconde nature de vivre selon cette peur : les États et les gouvernements annoncent ce dont nous devons avoir peur, modifient nos modes de vie en fonction de réponses effrayées de cette peur ; et dès qu'une peur momentanée cesse de nous saisir entièrement, une autre est fournie pour la remplacer.


Il n'est donc pas surprenant que face à une maladie jusqu'alors inconnue, une peur intense soit la réponse. Cette faiblesse a tellement fait son chemin jusque dans le cœur de l'humanité qu'elle ne peut pas s'en empêcher ; et voici, nous avons vu à quel point la peur devient vraiment dévastatrice. Face à une maladie, nous avons vu la peur faire affronter frère contre frère, société contre société; nous avons vu les économies de nations entières détruites, ce qui signifie que des familles n'ont pas les moyens de subvenir à leurs besoins ; nous avons vu la peur bouleverser l'éducation de nos enfants et nos jeunes; nous avons vu la peur augmenter les taux de dépression, de violence domestique et même de suicide à des niveaux inconnus - et encore une fois, nous devons être clairs: ce n'est pas un virus qui a causé ces choses, c'est la peur.


Et elle s’enracine, en fin de compte, dans la seule peur qu'une société sans Dieu ne peut surmonter : la peur de la mort. La peur virulente qui ronge les cœurs humains est alimentée par l'incapacité laïque, ou le refus pur et simple, de voir au-delà de la mort. L’esprit séculier ne peut pas voir la mort comme autre chose que «la fin», et donc une chose à fuir comme le pire mal. Pour cette raison, éviter la mort est considéré comme le but le plus élevé, le plus grand bien - même si le résultat en est une soi-disant «vie» complètement submergée par la peur, le chagrin et le l’amertume. Mais je vous dis ceci : la mort ne sera jamais évitée en s'accrochant avec crainte à des fragments de vie - ni face au péché, ni face à une maladie. La société d'aujourd'hui est constamment amenée à fonder chacune de ses décisions sur la dichotomie entre la vie et la mort. Mais la mort n'est pas le contraire de la vie : l'opposé de la vie est la peur.


«La mort n'est pas le contraire de la vie: l'opposé de la vie est la peur.»

 

Pour cette raison, je vous le dis : nous vivons maintenant un moment qui exige la foi au Vrai Dieu: le Père qui a envoyé son Fils unique dans le monde et qui donne son Esprit aux fidèles. Un chrétien, qui tient son identité de son baptême dans la vie, la mort et la résurrection de Jésus-Christ, ne peut pas façonner sa vie sur la peur de la mort: car notre Seigneur a vaincu la mort - c'est le pilier le plus central de notre vie en Christ! Nous sommes enfants du Dieu qui est maître de la vie et de la mort, par la volonté duquel la mort se transforme en vie.

 

C'est ainsi que nous avons entendu la lecture de l'Évangile aujourd'hui: en entrant dans la ville de Naïn, Jésus rencontre une veuve qui pleure sur le corps de son fils mort, son fils unique. La réponse du Christ est paisible et divinement calme : Il dit simplement à la femme: `` Ne pleure pas '', puis il se tourne vers le cadavre et dit: `` Jeune homme, je te le dis, lève-toi '' - et le garçon mort s’assoit et commence à parler (cf. Luc 7.13-15). Dieu, qui est Amour, ressuscite l'enfant mort - car c'est l'amour qui est le contraire de la mort, tout autant que la peur est le contraire de la vie.


Il est donc intéressant de noter que le mot que saint Luc utilise pour décrire la réaction des personnes qui ont assisté à ce miracle est en fait «peur» (φόβος /страх). Il écrit, comme nous l’avons entendu : «Alors la peur les envahit tous, et ils glorifièrent Dieu, en disant :« Un grand prophète s’est levé parmi nous », et« Dieu a visité son peuple »» (Luc 7.16). Mais ici, l'évangéliste parle d'un type de peur entièrement différent de celui dont nous sommes témoins dans notre monde aujourd'hui : les gens qui entourent Jésus ont peur – mais il ne s’agit pas d’une terreur, d’une lâcheté ou d’une anxiété face au monde, mais d’une crainte respectueuse dans la puissance de Dieu qui surpasse leur compréhension. Leur `` peur '' est dans leur propre manque de foi : que Dieu Lui-même, le Dieu qui ressuscite les morts et apporte la vie au monde, se tenait au milieu d'eux et ils étaient trop aveugles pour le voir - et maintenant qu'ils le voient, mais cette même crainte les propulse immédiatement à la foi.


Mes frères et sœurs, c'est l'esprit qui vous est demandé aujourd'hui. Il ne suffit pas de porter le nom de «chrétien» comme une sorte d’affiliation ou d’insigne: nous devons vivre, penser et respirer à la manière du Christ notre Dieu. Nous ne pouvons pas Le regarder conquérir la vie, et puis nous-mêmes avoir peur de la mort. Nous ne pouvons pas contempler sa souveraineté sur toutes choses, et ensuite rester craintifs vis à vis du monde ou de notre avenir. Nous ne succomberons pas à la tentation que beaucoup de gens suivent : laisser la peur infecter même une compréhension de Dieu, de sorte que les saints mystères qu'Il fournit comme médecine de l'éternité et don de la vie éternelle - la vie ! - suspectés, comme s'ils pouvaient transmettre la maladie ou la mort. Anathème! C'est un péché, clairement et simplement.

 

 

 

«Le message de l'Église est clair et sans équivoque, et elle ne s'incline pas devant le temps, ni l'histoire, ni les pouvoirs, ni les tentations. Faire corps à elle et à vous aussi aura cette stabilité et cette force. Nous ne changerons jamais nos croyances ou nos pratiques par peur



En tant que peuple chrétien, nous ne sommes en aucun cas contre la coopération avec les gouvernements et les autorités dans les moments difficiles où leurs décrets sont peut-être une gêne, mais ne nous empêchent pas de maintenir nos croyances et de vivre notre vie d'adoration chrétienne dans sa plénitude. Mais une foi juste est une nécessité maintenant, et elle est obtenue par notre obéissance à l'Église qui est le Corps vivant de ce même Seigneur. L'Église ne craint pas les tentations de ce monde : elle est le rocher sur lequel se tiennent ceux qui ne seront pas ballottés par elles. Ses enseignements sont sûrs et vrais, car ils appartiennent à Dieu. Ses pratiques sont justes et appropriées, parce que le Saint-Esprit lui-même les a forgées, sanctifiées et bénies. Son message est clair et sans équivoque, et elle ne s'incline pas devant le temps, ni l'histoire, ni les pouvoirs, ni les tentations. Et ainsi, mes chers fidèles, accrochez-vous à elle - et vous aussi, vous aurez cette stabilité et cette force. Nous ne changerons jamais nos croyances ou nos pratiques par peur, au contraire, nous entrerons dans nos temples et nous nous occuperons de conformer nos vies à celles de Dieu et de trouver là - et seulement là - notre véritable salut.

Amen.

Mgr Irenei  de l'ÉGLISE ORTHODOXE RUSSE À L'ÉTRANGER
Diocèse de Grande-Bretagne et d’Europe occidentale

Cette homélie a été prononcée à l'origine dans la paroisse Saint-Jean de Shanghai à Colchester, en Angleterre, le dimanche 12/25 octobre 2020, à l'issue de la Divine Liturgie en l'honneur des Saints Pères du Septième Concile Œcuménique.


(version en français de la source par Maxime le minime)

RÉSISTANCE ORTHODOXE



vendredi 1 janvier 2021

TOUS MES VŒUX POUR 2021



Un peu las des mauvaises nouvelles je reprends les vœux de Jacques Brel du 1er janvier 1968 (Europe 1)

"Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques uns. Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer et d’oublier ce qu’il faut oublier. Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences. Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil et des rires d’enfants. Je vous souhaite de respecter les différences des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir. Je vous souhaite de résister à l’enlisement, à l’indifférence et aux vertus négatives de notre époque. Je vous souhaite enfin de ne jamais renoncer à la recherche, à l’aventure, à la vie, à l’amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille. Je vous souhaite surtout d’être vous, fier de l’être et heureux, car le bonheur est notre destin véritable." Jacques Brel


mardi 29 décembre 2020

Démystifier le vaccin contre le virus Corona par le moine agiorite Paul


par le Moine Paul de la Sainte Montagne, biologiste, MD Biologie moléculaire et biomédecine

C'est avec tristesse et émerveillement que nous observons un événement sans précédent dans l'histoire du monde [1]. Au nom de «l'amour» des personnes âgées et des plus vulnérables, la vaccination est programmée pour toutes les personnes du monde entier, afin d'exterminer l'implacable «ennemi invisible», connu sous le nom de virus Corona SARS-Cov2 (COVID19):

• Un cadre juridique nécessaire qui abolira le droit au choix individuel et «défendra» le droit aux prestations de santé publique (loi 4675/2020 pour la Grèce) [2]

• Un autoritarisme gouvernemental d'accompagnement pour le faire respecter.

• Créer une demande et des attentes pour le vaccin (terrorisme-lavage de cerveau par les médias avec le dilemme «vaccin ou incarcération sociale-isolement»).

• Financement unilatéral pour la production du vaccin, pour les contrôles par essais cliniques, pour la production de masse en grandes quantités et pour la livraison dans tous les coins de la planète - aux dépens de la recherche pour trouver et produire des antiviraux spécialisés.

Ce ne sont là que quelques-unes des étapes du protocole déjà implémentées pour atteindre cet événement marquant. Les hommes d'affaires, les journalistes, les responsables gouvernementaux et les ONG internationales propagent presque quotidiennement le vaccin comme une baguette magique qui permettra supposément à l'humanité de revenir à l'ère pré-COVID. D'autre part, au lieu de la communauté scientifique (à l'exception d'une élite excessivement projetée et obsédée par les vaccins), stigmatisant cette désinformation, elle a gardé un «silence de poisson» sur ce que les gens devraient vraiment attendre du vaccin, avec le à l'exception de quelques exemples inspirés, comme le professeur Dr. Yannis Ioannidis [3]. En fait, rien ne ne justifie moins la vaccination mondiale que cette «pandémie» spécifique  l. Voyons pourquoi:

1. Le taux de mortalité particulièrement faible de la maladie, mais aussi sa répartition par âge, indiquent clairement que la vaccination, chaque fois qu'elle devient possible, doit être ciblée. Ce pourcentage est pour l'instant surévalué fictivement (~ 2,5%): d'une part, en raison de la surreprésentation des cas sévèrement positifs du virus [4], et d'autre part, compte tenu du nombre de morts COVID a également inclus les décès de cas trouvés positifs pour COVID mais avec d'autres maladies sous-jacentes (pas le syndrome respiratoire du SRAS) [5]. Des études récentes qui ont estimé le nombre de décès par rapport au nombre réel de personnes exposées au virus - sur la base de tests sérologiques (tests d'anticorps) dans une zone géographique spécifique - ont déterminé que ce pourcentage est de l'ordre de grandeur de la grippe saisonnière (certainement <1%) [6].

Il convient de noter que même si l'épidémie réapparaît, comme c'est le cas pour la grippe, le système de santé y fera face plus efficacement, car il existe maintenant une expérience dans la gestion de la maladie (plus de USI). Par conséquent, les erreurs du «type italien» ne se reproduiront pas, ce qui entraînera une nouvelle réduction du taux de mortalité. Sur la base de ce qui précède, même si un vaccin sûr et efficace est produit (ce qui est particulièrement difficile pour la biologie des virus corona), il peut être justifié de ne l'administrer qu'à des groupes à haut risque, comme c'est le cas avec le vaccin contre la grippe saisonnière. Inutile de dire qu'il n'est pas justifié de l'administrer à des enfants - qui sont dans leur grande majorité asymptomatiques, ni à des personnes qui ont été exposées et sont immunisées contre le virus (test d'anticorps positif), étant donné qu'elles ont déjà ce que le vaccin aurait. leur ont donné.

2. Le virus Covid19, contrairement à la grippe, affecte principalement les personnes des troisième et quatrième groupes d'âge, où se produit le phénomène de sénescence immunitaire [7], c'est-à-dire la réduction de la taille, de la qualité et de la durée de leur réponse immunitaire-protection - ce qui peut survenir après avoir été vacciné. En d'autres termes, l'immunité active induite par le vaccin peut ne pas être capable de protéger les personnes âgées, qui sont la «cible» par excellence du virus corona; par conséquent, la découverte d'une thérapie antivirale devrait être une priorité - en supposant que la protection des personnes âgées est en fait ce qui est souhaité.

3. En lien avec ce qui précède,  l'insuffisance respiratoire aiguë chez les patients gravement malades, survient par un mécanisme immuno-pathologique (une «tempête» produisant des cytokines inflammatoires et réduisant la réponse immunitaire médiée par les CD4 et CD8 T [8]). On craint sérieusement que la vaccination aggrave cette complication immunitaire en cas d'infection virale ultérieure et aggrave par conséquent l'évolution clinique du patient. Un effet similaire a été observé avec le vaccin contre le coronavirus FeCoV, qui affecte les chats et provoque une péritonite. [9].

4. La logique de l'éradication d'une maladie infectieuse grâce à la vaccination mondiale présuppose d'une part l'existence d'un vaccin très sûr et très efficace et, d'autre part, surtout qu'il n'y ait pas d'autres hôtes du virus dans l'environnement naturel . Autrement dit, l'homme doit être la seule espèce à pouvoir héberger le virus. C'est vrai pour le virus de la polio, mais cela ne s'applique pas au coronavirus, car toutes les recherches suggèrent que le virus provient de chauves-souris. Inconnu et controversé reste le lien intermédiaire (hôte?) Qui l'avait transporté depuis les grottes des chauves-souris de la ville de Wuhan. En tout cas, la disparition du virus grâce à la vaccination mondiale ne serait que temporaire - en d'autres termes, un terrible gaspillage de ressources,

5. Les coronavirus, étant des virus à ARN, mutent rapidement, gagnant en diversité génétique et donc antigénique. Cette diversité, en particulier pour les coronae, augmente également par recombinaison d'ARN, en raison du mode de transcription particulièrement incohérent des ARN viraux. Deux types ont déjà été identifiés pour le SRAS-Cov2, S et L [11, 12]. Il est douteux qu'un vaccin puisse offrir à la fois une couverture égale pour toutes les souches du virus qui émergent, ainsi qu'une protection permanente dans le temps, soulignant une fois de plus l'importance et la priorité de trouver des médicaments antiviraux contre le coronavirus. Il est donc fort probable qu'avec le temps, une vaccination mondiale évolue vers des vaccinations mondiales régulières.

Cela pourrait-il être le but? Peut-être que la corona est le prétexte tant attendu pour lancer la transition universelle vers une biologie humaine hybride, où le corps humain sera protégé, renforcé et finalement dépendant des technologies de la plateforme (génie génétique, interface numérique) grâce à des mises à jour régulières de vaccinations. Mais pourquoi toute la ruée vers un vaccin qui non seulement ne promet pas grand-chose, mais qui inquiète la communauté scientifique, surtout s'il est produit à la hâte et mis en œuvre en masse? Enfin, les industries pharmaceutiques sont-elles au service de l'homme ou est-ce le contraire?

La réalité est que ~ 99% des personnes infectées par le coronavirus survivent. L'accent (c'est-à-dire le financement) doit être mis sur la manière de cibler le 1% de ceux qui ne survivent pas, malgré une multitude d'options pharmaceutiques (immuno-modulateurs, anticorps monoclonaux, inhibiteurs de l'ARN polymérase, protéases, etc.). Déjà, les premiers résultats de la forme d'hydroxychloroquine-azathromycine [13] ainsi que d'un anticorps monoclonal ciblant la glycoprotéine superficielle S du virus [14] sont très encourageants.

Bien entendu, le développement d'un vaccin sûr et efficace fait également partie d'une stratégie antivirale. Cependant, comme analysé, sa production forcée (1 an au lieu d'au moins 6 ans) avec autant de lacunes dans la connaissance de la biologie de la couronne n'est pas indiquée - encore moins sa mise en œuvre de masse obligatoire. C'est une déchéance scientifique tragique (sinon absurde) à l'ère de la biologie moléculaire - dont le but est de fournir à la médecine des traitements spécialisés (voire personnalisés) minimisant les effets secondaires - qu'il y ait discussion uniquement sur l'intervention dans 100% de la population humaine. , afin de «protéger» 1% de celui-ci contre un virus grippal, avec une demi-mesure pharmaceutique suspecte. C'est tout simplement une mauvaise approche,

L'homme, en tant qu'être rationnel avec une pensée critique, a la capacité de choisir volontairement tout ce qui est recommandé par la médecine et la biotechnologie en faveur de sa santé, tout en assumant simultanément les conséquences de ces choix, étant donné que les interventions dans le corps humain sont rarement sans côté. effets. Les vaccins n'échappent pas à cette règle. [15] Le choix de ne pas être vacciné ne met pas en danger la santé publique, tant qu'il n'abolit pas le droit d'une autre personne de recevoir le vaccin - et avec lui, toute protection qu'il offre. Il va donc de soi que la responsabilité de la décision finale pour recevoir un vaccin appartient à la personne vaccinée, car elle devra nécessairement vivre avec les complications qui pourraient survenir. Aucune compensation éventuelle ne peut restaurer des dommages irréversibles à la santé physique et mentale d'une personne.

On peut percevoir d'après ce qui précède que la loi relative à la vaccination obligatoire [2] et la propagande associée en faveur du vaccin - sous le prétexte du virus Covid19 - n'ont ni origine ni référence scientifiques. Ils ne défendent pas mais sapent plutôt le bien de la santé publique, et ils rendent possible les intérêts financiers monstrueux en jeu, ainsi que l'agenda obscur de certains «grands frères» aux appétits de pouvoir. Enfin, ils militent contre la liberté de l'esprit et du corps d'une personne. En tant que tels, ils devraient être rétractés à un niveau scientifique, juridique et principalement spirituel.

Le climat dans lequel ces schémas sont développés et consolidés est la peur. Les Mass Media of Intimidation créent et maintiennent soigneusement ce climat. La peur est une puissante force intérieure de l'homme; il peut paralyser sa volonté, mais il peut même l'acier. La question est de savoir dans quelle direction une personne dirige cette peur. S'il la tourne vers Dieu, le seul digne d'être craint (Luc 4: 5), alors il recevra en retour l'illumination, l'audace et le courage - selon ses paroles: «ayez courage, car j'ai vaincu le monde» (Jean 6:33). Si une personne reste concentrée sur les phobies de cet âge, elle recevra en retour encore plus d'anxiété, de confusion et de lâcheté, selon le psaume: «ils se recroquevillaient dans la peur, là où il n'y avait pas de peur» (Psaume 5: 5). La persistance intentionnelle à dé-sanctifier le sacrement de la Sainte Communion n'est pas par hasard;

Chaque fois que l'on mentionne la salive, les cuillères et autres - par ceux qui ont ciblé la Sainte Communion - le miracle vient à l'esprit de l'aveugle né (Jean 9). Le Seigneur, par une action «sanitairement inacceptable», a restauré les yeux de l'aveugle! Il a mélangé sa salive (un moyen de propager des virus et des bactéries) avec de la terre (une source de millions de germes) et a «étalé» le mélange d'argile sur les orbites de l'aveugle (conjonctive muqueuse: un point d'entrée pour les germes et le début de l'infection). Nous connaissons ce qui s’est ensuivi, tout comme nous savons qu’aucune science n’est capable de ce résultat. Tout simplement, si elle avait eu lieu aujourd'hui, en dehors des pharisiens de l'époque, parmi les accusateurs de Jésus se trouveraient également certains spécialistes des maladies infectieuses à l'esprit étroit.
Je prie du plus profond de mon cœur que Dieu les rendra dignes d'expérimenter la puissance du sacrement. Le Seigneur est là et les invite. Il ne les obligera jamais ...

Moine Paul de la Sainte Montagne
Biologiste, MD Biologie moléculaire et biomédecine 
Vouleftiria, Holy Mountain.