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MANON BRUNET |
lundi 8 août 2016
samedi 6 août 2016
Les aristocrates à la Lanterne et à Versailles-Plage
source :
http://www.contrepoints.org/2016/08/06/262369-aristocrates-a-lanterne-a-versailles-plage
vendredi 5 août 2016
dimanche 24 juillet 2016
SAUVER LES BANQUES ? Ben voyons ! !!
Faut-il se préparer à sauver les banques ? : http://www.contrepoints.org/2016/07/24/261154-faut-se-preparer-a-sauver-banques
Draghi prépare les esprits à un sauvetage des banques…
22 juillet 2016
par
Thibault Doidy de Kerguelen
Homme blanc, Breton, catholique et hétérosexuel. Accessoirement économiste et Conseiller en gestion de patrimoine. Créateur (entre autres) du site d'information économique MaVieMonArgent.info, du site d'observation de la corruption tous-pourris.fr et de quelques autres...
mario-draghi-Les banques européennes vont mal. Alors, sournoisement, on prépare vos esprits à mettre naturellement la main au portefeuille…
Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, a déclaré hier jeudi qu’un soutien public « pourrait » contribuer à résoudre le problème posé par le niveau élevé des créances douteuses dans le système bancaire dans la zone euro. Il s’exprimait lors de la conférence de presse organisée après la décision de la BCE de laisser inchangés ses taux d’intérêt et son programme d’achats d’obligations sur les marchés. Il a dit que la chute des cours de Bourse de certaines banques constituait un problème pour les autorités monétaires. Un problème? Si cette chute a été particulièrement forte pour les banques affichant un niveau élevé de créances douteuses, il ne va tout de même pas nous faire croire qu’il découvre une situation qu’un analyste comme Jean Pierre Chevallier dénonce chiffres à l’appui tous les jours! Il jette donc une première pierre.
Si vous tenez compte en plus que Mario Draghi tient ces propos huit jours avant la publication des résultats des tests de résistance réalisés par l’Autorité bancaire européenne sur les 51 principales banques de l’Union, nous sommes en droit de nous dire que ces résultats ont toutes les chances d’être encore plus catastrophiques qu’attendu.
Que propose notre magicien « pilote d’hélicoptère »?
Comme d’habitude, il sait déjà exactement ce qu’il obtiendra des gouvernements -lavettes de la pseudo UE. Laissons lui la parole: « Les NPL sont assurément un problème important pour la rentabilité future et pour la capacité des banques à prêter. » « Les réformes en cours dans le secteur bancaire pourraient inclure la création d’un marché spécifique pour les créances douteuses et un soutien public lorsque, dans des circonstances exceptionnelles, le marché des NPL ne fonctionne pas correctement« . « Bien sûr, nous voulons éviter des ventes en catastrophe«
A peine avait il fermer son micro, qu’immédiatement, les valeurs bancaires européennes sont parties à la hausse… Tu parles, ce n’est plus UN parachute, mais trois, plus un filet au cas où les parachutes ne fonctionneraient pas, et un matelas au cas où le filet crèverait.
Et bien NON! NON! NON! Qu’elles crèvent, les banques! En aucun cas le secteur bancaire doit être à l’abri de la faillite. En aucun cas les banques ne doivent avoir la garantie d’être sauvées si elles se sont mises en situation de danger. C’est le meilleur moyen pour les inciter à tous les excès.
Et le « soutien public », comment va-t-il se financer? Par l’endettement? Par la paupérisation de la population? Dans un cas comme dans l’autre, ce sont toujours, à plus ou moins longue échéance, les peuples qui morflent….
La nature a horreur du vide, si les banques explosent, elles seront remplacées. Ce message vaut pour l’ensemble de la classe politique française qui n’a toujours rien compris à l’économie et qui croit toujours que Keynes avait raison… Il avait tort et ses solutions ne servent à rien d’autre qu’à retarder l’échéance et à amplifier l’explosion.
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dimanche 17 juillet 2016
L'Ukraine face à la barbarie l'amour
Constantin Kevorkian:
Je n'aurais jamais pensé que moi, athée, j'allais suivre avec une attention si soutenue la procession qui va à Kiev. Elle se rend à la Laure des Grottes de Kiev depuis deux directions à la fois, de l'Ouest et de l'Est de l'Ukraine. Une marche, pleine du sens le plus profond, de plusieurs milliers de gens avec des icônes et leur prière pour la paix. Les nationalistes déchaînés appellent ce qui se passe "une provocation du FSB", traitent les participants de "popes du Kremlin", menacent d'interrompre, de juger, d'anéantir...
Ces sauvages ne comprennent pas ce qui est clair même pour un athée. Cette procession signifie beaucoup plus qu'une marche habituelle de croyants. C'est la dernière tentative de l'Ukraine pacifique de faire appel à la raison de la camarilla qui tue le pays, de ceux qui le poussent encore avec insistance vers une confrontation religieuse. qui sera plus terrible qu'une guerre civile territoriale ou de classe.
La guerre religieuse ne s'arrête pas au moment des traités ou des accords, dans la mesure où, pour les croyants, il y a un seul Juge et il est hors de la juridiction terrestre. Arrêter une guerre religieuse est presque impossible, elle peut couver des décennies, et c'est justement ce que nous risquons d'avoir, dans le cas d'une possible provocation des nationalistes. Les intérimaires que nous avons au pouvoir ne comprennent simplement pas que l'Eglise a vu des centaines et des milliers de gens comme eux, que son expérience se compte par siècles, que lui sont fidèles des millions. Ils veulent "vérifier", provoquer, nuire...
Il fut un temps où le Mahatma Gandhi conduisait des gens qui s'opposaient par la non violence au régime en place. Et même le puissant empire mondial fut obligé de reculer, réalisant que réprimer infiniment la volonté du peuple et ses directions supérieures n'était pas possible. Ce n'est pas une petite lutte mesquine pour des visas ou du shopping bon marché. Ne faites pas le pas fatal, résistez à la tentation des provocations.
Et encore une leçon importante. Cette fois, pour ceux qui, au nom de leur propre tranquillité et confort, ont si vite renié l'Ukraine, Kiev, leurs millions de compatriotes et de coreligionnaires. Les voilà qui marchent, sans armes, couverts des insultes les plus basses de la part des médias. Et la plupart d'entre eux ne sait pas ce qui les attend demain, comment on les accueillera à Kiev, de quelle intensité est le danger qui les menace. Et en dépit de cela, ils avancent. Allez donc à leur rencontre, ne serait-ce que dans vos cœurs.
www.youtube.com/attribution_link?a=Z1FMJF8xZ7w&u=%2Fwatch%3Fv%3D9q37TK_h0wo%26feature%3Dshare
Priez pour ces gens, c'est bouleversant de courage et de foi, et je pense possible que cela se conclue par de nombreux martyrs...
LE CAMION BLANC DE LA MORT
NOUVELLEAKS par Slobodan Despot
http://antipresse.tumblr.com/
LE CAMION BLANC
A 3 h 52 du matin, le 15 juillet, le président de la République française publiait via son compte Twitter un message prévisible, mais à tout prendre stupéfiant :
"Nous allons intensifier nos frappes en Syrie et en Irak. Nous continuerons de frapper ceux qui nous menacent." #Nice (15.07.16 03:52)
Que signifie cette prise de position ?
1) Que l’Elysée, quelques heures à peine après l’attentat, sait déjà tout — ou prétend déjà tout savoir — des mobiles, des soutiens et des réseaux de l’homme qui a commis l’attentat de Nice (identifié comme un Tunisien résidant en France).
2) Que l’Elysée établit un lien direct entre cette tragédie et l’Etat islamique (puisque c’est officiellement l’EI que visent les « frappes » de l’aviation française en Irak et en Syrie).
3) Que l’Elysée pense (ou semble implicitement penser) qu’en « intensifiant les frappes » contre l’EI on pourra remédier au problème des tueries de masses en France, assimilées à du terrorisme islamique lié au courant salafiste.
Ce simple tweet véhicule une telle charge de contradiction, d’ineptie et de scandale qu’on se prend à trembler pour peu qu’on réfléchisse à ses implications.
Mais où est passé Padamalgam ?
Comment peut-on savoir d’emblée qu’un tueur de masse est un agent de l’Etat islamique, alors qu’il n’était même pas fiché « S » par les renseignements et qu’aucun élément connu de sa vie antérieure ne parlait en faveur d’un tel ralliement ?
Où est passée la prudence scrupuleuse que les pouvoirs politiques et médiatiques imposent à leurs opposants et à la population sous le slogan Padamalgam ? Au nom de quoi la Présidence française a-t-elle évacué a priori l’hypothèse du fait divers violent mais apolitique ? Après tout, n’a-t-on pas relevé, dans les premiers commentaires, que Mohammed Laouej Bouhlel était un voyou violent et qu’il avait des problèmes familiaux ? Après une telle prise de position du sommet de l’Etat, quel juge, quel policier, quel profiler oserait affirmer que le geste de Bouhlel n’était pas motivé par le fanatisme islamique ? Et si d’aventure il l’affirmait, comment les médias traiteraient-ils cette voix dissonante ?
Mais soit : admettons que l’Elysée ait raison, que cet homme ait effectivement agi pour le compte de l’Etat islamique. Quel rapport y aurait-il alors entre les frappes contre l’EI au Moyen-Orient et un geste comme le sien ? Les revers subis récemment par l’EI seraient plutôt de nature à favoriser un déplacement de la guerre sur le terrain de l’adversaire, autrement dit sur le territoire des pays qui le combattent.
Auquel cas, pourquoi la France est-elle la principale, pour ne pas dire la seule cible des terroristes de l’EI ? La contribution de la France aux opérations de la coalition occidentale dans la région est symbolique. D’ailleurs, cette coalition a nettement moins endommagé l’EI que l’alliance de l’aviation russe avec l’armée syrienne. Pourquoi l’EI n’a-t-il pas envoyé un camion blanc rouler sur des civils russes ?
En admettant même que la France soit un sérieux adversaire pour l’EI (ce qu’elle n’est évidemment pas), comment pourrait-elle à la fois combattre l’EI sur le terrain et poursuivre une idylle ostentatoire avec les créateurs et les sponsors de cette créature monstrueuse, à savoir les pétromonarchies du Golfe, les néocons américains et les stratèges de l’Etat d’Israël, qui admettent explicitement (Voir Antipresse 30) favoriser l’EI, lequel en contrepartie ne s’en est jamais pris aux intérêts israéliens ? La France n’a-t-elle pas été ces dernières années l’adversaire le plus acharné de Bashar el-Assad, allant jusqu’à souhaiter sa mort, et le protecteur explicite des islamistes (prétendument « modérés ») en Syrie ?
Voici donc réunis en 140 caractères le scandale (via l’amalgame établi dans les premières heures suivant l’attentat entre l’origine arabe du tueur et le terrorisme islamique), la contradiction (entre les gesticulations et la réalité du terrain) et l’ineptie (consistant à penser que des bombardiers envoyés au Moyen-Orient pourraient empêcher les camions blancs d’écraser le public du Quatorze-Juillet à Nice).
Une démence délibérée ?
De fait, Ineptie, Contradiction et Scandale sont les trois muses de toute la politique islamique de la France, que ce soit sur le plan intérieur ou à l’étranger.
A l’étranger, elle participe à des opérations coloniales qui rendent inhabitables des régions entières et transforment des Etats peu démocratiques mais paisibles en chaudrons de la souffrance, de la haine et du fanatisme. Ces ingérences criminelles sont à la fois l’alibi et la cause réelle du flux de réfugiés qui envahit l’Europe.
A l’intérieur, elle interdit tout débat de fond sur la cohabitation entre la population de souche chrétienne-laïque et le modèle de société islamique et protège la prédication d’un islam littéral, régressif et violent soutenu par les intouchables monarchies du Golfe.
Si le terrorisme islamique était vraiment, aux yeux du pouvoir français, l’ennemi prioritaire qu’il fait semblant de combattre, il ferait fermer les mosquées salafistes, enfermerait ou expulserait sans merci les imams prônant la haine, la violence ou des mœurs contraires aux lois françaises. Il l’a promis au lendemain de Charlie et du Bataclan, il n’en a rien fait. Une mesure évidente consisterait aussi à interdire au titre d’incitation au meurtre les ouvrages religieux qui incitent au meurtre. Cela dégarnirait sérieusement certaines bibliothèques de « centres culturels islamiques ». Cela ne suffirait pas à éradiquer le problème, mais ce serait un signe bien plus clair qu’on s’en occupe que l’envoi de bombes abstraites dans les déserts de Mésopotamie. Plus claire encore serait une action diplomatique, voire militaire, contre le « Daech qui a réussi », autrement dit l’Arabie Séoudite. Bref, comme le dit un chef d’Etat très populaire dans le reste du monde, il s’agirait de « traquer les terroristes au fond des chiottes ». Ce n’est peut-être pas une bonne méthode pour éradiquer le phénomène, mais c’est la seule connue à ce jour.
Mais le pouvoir français ne fait rien de tout cela. Il fait tout le contraire. Il laisse champ libre aux fanatiques et combat ceux qui les combattent tant à l’étranger qu’à domicile. Les circonstances des grands attentats terroristes relèvent à chaque fois des si criantes de sécurité ou d’information — comme la passivité des militaires de la force Sentinelle présents devant Bataclan, la censure des sévices horribles subies par les victimes, ou simplement la non-démission des ministres responsables qui contemplent ces tragédies en observateurs passifs et pleurnichants — qu’on en vient à soupçonner une vile alliance, en France, entre le pouvoir et le chaos.
La fabrique des tueurs
La tuerie de la Promenade des Anglais condense toutes ces aberrations en une scène proprement onirique. Un rêve éveillé — un cauchemar plutôt. La Promenade des Anglais est l’un des hauts lieux de l’Europe civilisée et décadente. Elle était fermée pour accueillir, sous régime d’état d’urgence, la foule des badauds du Quatorze-Juillet. La France sortait d’un mois d’attroupements à haut risque — l’Euro — où il ne s’était absolument rien passé, comme si les terroristes avaient tous été amateurs de football. Et soudain l’on a vu débouler sur ce boulevard inondé de bermudas un camion entièrement blanc — le blanc, couleur de l’Ihrâm, de la sacralisation et de la mort — qui allait tuer au hasard, roulant parfois au pas, comme en slow motion. Sur deux kilomètres, personne n’a pu l’arrêter, aucun des policiers présents (dont un motard héroïque) ne semble avoir eu l’idée de lui tirer dans les pneus. Pas de herse non plus pour protéger efficacement cette zone sensible sous état d’urgence contre les incursions motorisées. Sur deux kilomètres, le camion blanc a roulé dans du beurre. Puis il s’est immobilisé, on ignore encore pourquoi. La cabine fut alors arrosée de balles. C’est là que le terroriste d’un seul soir, tiré du néant tel un agent dormant, le présumé Mohammed Laouej Bouhlel, a trouvé la mort. Comme les frères Kouachi, les tueurs de Charlie Hebdo. Comme Abdelhamid Abaaoud et sa cousine, mitraillés de 5000 cartouches (contre 11 ripostes seulement) dans un appartement de Saint-Denis le 18 novembre 2015. Comme Amedy Coulibaly. Tous ont emporté leurs motifs et leurs carnets d’adresses dans la tombe. La terror-sphère franco-islamique est une sphère du silence.
N’est réelle et incontestable dans cette affaire que la mort. La mort des victimes et celle de leurs bourreaux, et avec elle l’épouvantable souffrance des milliers de survivants. Au-delà de cette réalité qui ne mérite que le recueillement et la compassion, tout est onirique, trouble et déroutant. Et c’est voué à le rester. Les médias de grand chemin y veillent, en commercialisant la souffrance des innocents jusqu’à l’obscénité totale, tout en évitant avec la plus grande pudeur de tourner leur regard du côté où la curiosité professionnelle, le bon sens et le besoin de justice devraient le diriger.
Le lendemain du massacre, une vidéo partie des réseaux israéliens circulait en viral sur l’internet. On y voyait les policiers, à l’arrière du camion blanc, qui terrassaient, battaient puis emmenaient un homme en t-shirt gris après la « neutralisation » du chauffeur. Pour le pouvoir et les médias français, à l’heure où j’écris (soit 26 heures après l’événement), cet homme et cette vidéo n’existent toujours pas. Peut-être n’existeront-ils jamais. Le camion blanc doit demeurer une apparition mystérieuse et intimidante à l’instar de Moby Dick, la mythique baleine blanche de Herman Melville. Le pouvoir français et ses relais médiatiques, pour justifier leurs opérations criminelles au Moyen-Orient, ont besoin de scénarios simples et de consommateurs simplets.
Ce qu’ils ne voient pas — ou qu’ils ne voient que trop bien —, c’est qu’à force de fabriquer des abrutis sans pensée et sans racines, ils fourniront toujours plus d’agents dormants à l’Etat islamique, qui pourra les activer d’un claquement du doigt et qui le fait déjà. Le « recrutement » de Bouhlel ne tient peut-être qu’à la conjonction de ses frustrations conjugales avec le visionnage d’une vidéo de l’EI sur l’emploi des camions comme armes de guerre. Quoi de plus simple que d’enrober une vindicte suicidaire de nobles alibis religieux ? Contre cette démocratisation du fanatisme, ni les « frappes » dans le désert ni l’état d’urgence ne pourront rien.
samedi 9 juillet 2016
vendredi 8 juillet 2016
Renaissance des Éditions du Désert en version numérique
Parmi bien d'autres ouvrages :
- Chroniques du Monastère de Séraphimo-Divéyevo – Tome I : Saint Séraphim de Sarov (Métropolite Séraphim / Léonide Tchitchagov)
- Chroniques du Monastère de Séraphimo-Divéyevo – Tome II : Les Moniales et le Monastère (Métropolite Séraphim / Léonide Tchitchagov)
- Instructions écrites du Père Séraphim (Métropolite Séraphim / Léonide Tchitchagov)
- Saint Jean le Russe / Vie et Miracles contemporains
- La Prière selon Saint Séraphim de Sarov / La Garde de la Jérusalem Intérieure (Claude Lopez-Ginisty)
lundi 4 juillet 2016
Qui prétendrait nous priver de toute cette beauté ?
samedi 2 juillet 2016
PRIMATS OU PAPES ? QUELLE VALIDITÉ POUR LE "CONCILE" ?
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John Chryssavgis archidiacre et conseiller théologique du patriarche Bartholomée de Constantinople, désigné pour la rédaction du message final du concile |
EST-CE AINSI QUE LE "Docteur" John Chryssavgis
vendredi 1 juillet 2016
Sur le dernier numéro ( n° 29) du magazine CANARD PC HARDWARE "Comment ils vous espionnent" une analyse sérieuse par des pros
mercredi 29 juin 2016
mardi 28 juin 2016
Il Consiglio ha avuto successo : Le Concile a été couronné de succès
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Le concile de Crète, Vatican II de l'Orthodoxie |
dimanche 26 juin 2016
LA PAUVRETÉ DE NOS JOURS ET SOUS L'ANCIEN RÉGIME…
- SUR LE BLOG de Pierre JOVANOVIC (du31 mai au 2 juin 2016)
- ET SUR LE LE BLOG NOIR DE BROCÉLIANDE (23 mai 2016)
République VS Monarchie par l'historien Henri Guillemin
vendredi 24 juin 2016
Le chemin de notre souveraineté retrouvée…
Et maintenant l’Eurexit !
Sur le BLOG de CLAUDE : un texte bref mais clair du théologien grec Theodore Riginiotis
