mardi 25 octobre 2011
jeudi 20 octobre 2011
L'absurdité de l'athéisme selon le Pr. Jean DIMOS

Dieu « veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité »
(1 Tim. 2,4 )
- Comment peut-on caractériser un homme qui nie l'existence de Dieu?
- Ceux qui nient l'existence de Dieu sont ils vraiment incroyants?
- Comment ceux qui nient l'existence de Dieu peuvent-ils justifier leur position?
- Est-ce que ces revendications ont un certain fondement ?
- Est-ce qu’il y a d'autres affirmations signalées par ceux qui nient l'existence de Dieu, et pourquoi ces affirmations ne sont-elles pas correctes ?
- Quels sont les effets sur l’homme de la négation de l'existence de Dieu?
- Dieu, comment voit-Il ceux qui nient Son existence?
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mercredi 19 octobre 2011
JESUS, FILS et VERBE de DIEU selon nos Ecritures
Pour rappeler à ceux qui se prétendent chrétiens, en ne prenant que ce qui convient à leur entendement limité et qui s'arrangent avec la doctrine comme avec les rayons du supermarché pour remplir le chariot de leur foi 'à leur guise' conformément à la radinerie de leur étroit porte-monnaie spirituel, autrement dit ceux qu'on appelle techniquement des "hérétiques"... que Jésus le Christ, est le Fils et le Verbe de Dieu, notre Créateur, notre Seigneur et notre seul Sauveur venu en cemonde pour sauver les pécheurs dont je suis le premier...
Voici donc ce que l'on trouve dans nos Ecritures Saintes et sur quoi se fonde notre foi.
Matthieu 1:23 Ἰδού, ἡ παρθένοσ ἐν γαστρὶ ἕξει καὶ τέξεται υἱόν, καὶ καλέσουσιν τὸ ὄνομα αὐτοῦ Ἐμμανουήλ, ὅ ἐστιν μεθερμηνευόμενον, Μεθ’ ἡμῶν ὁ θεόσ. Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. Matthieu 3:17 Καὶ ἰδού, φωνὴ ἐκ τῶν οὐρανῶν, λέγουσα, Οὗτόσ ἐστιν ὁ υἱόσ μου ὁ ἀγαπητόσ, ἐν ᾧ εὐδόκησα. Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection. Matthieu 8:27 Οἱ δὲ ἄνθρωποι ἐθαύμασαν, λέγοντεσ, Ποταπόσ ἐστιν οὗτοσ, ὅτι καὶ οἱ ἄνεμοι καὶ ἡ θάλασσα ὑπακούουσιν (N ὑπακούουσιν αὐτῷ → αὐτῷ ὑπακούουσιν) αὐτῷ; Ces hommes furent saisis d'étonnement : Quel est celui-ci, disaient-ils, à qui obéissent même les vents et la mer ? Matthieu 8:29 καὶ ἰδού, ἔκραξαν λέγοντεσ, Τί ἡμῖν καὶ σοί, Ἰησοῦ (N Ἰησοῦ → –) υἱὲ τοῦ θεοῦ; Ἦλθεσ ὧδε πρὸ καιροῦ βασανίσαι ἡμᾶσ; Et voici, ils s'écrièrent : Qu'y a-t-il entre nous et toi, Fils de Dieu ? Es-tu venu ici pour nous tourmenter avant le temps ? Matthieu 11:27 Πάντα μοι παρεδόθη ὑπὸ τοῦ πατρόσ μου: καὶ οὐδεὶσ ἐπιγινώσκει τὸν υἱόν, εἰ μὴ ὁ πατήρ: οὐδὲ τὸν πατέρα τισ ἐπιγινώσκει, εἰ μὴ ὁ υἱόσ, καὶ ᾧ ἐὰν βούληται ὁ υἱὸσ ἀποκαλύψαι. Toutes choses m'ont été données par mon Père, et personne ne connaît le Fils, si ce n'est le Père ; personne non plus ne connaît le Père, si ce n'est le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler. Matthieu 14:33 οἱ δὲ ἐν τῷ πλοίῳ ἐλθόντεσ (N ἐλθόντεσ → –) προσεκύνησαν αὐτῷ, λέγοντεσ, Ἀληθῶσ θεοῦ υἱὸσ εἶ. Ceux qui étaient dans la barque vinrent se prosterner devant Jésus, et dirent : Tu es véritablement le Fils de Dieu. Matthieu 27:43 Πέποιθεν ἐπὶ τὸν θεόν: ῥυσάσθω νῦν (N νῦν αὐτόν → νῦν) αὐτόν, εἰ θέλει αὐτόν. Εἶπεν γὰρ ὅτι θεοῦ εἰμι υἱόσ. Il s'est confié en Dieu ; que Dieu le délivre maintenant, s'il l'aime. Car il a dit : Je suis Fils de Dieu. Matthieu 27:54 Ὁ δὲ ἑκατόνταρχοσ καὶ οἱ μετ’ αὐτοῦ τηροῦντεσ τὸν Ἰησοῦν, ἰδόντεσ τὸν σεισμὸν καὶ τὰ γενόμενα, ἐφοβήθησαν σφόδρα, λέγοντεσ, Ἀληθῶσ θεοῦ υἱὸσ ἦν οὗτοσ. Le centenier et ceux qui étaient avec lui pour garder Jésus, ayant vu le tremblement de terre et ce qui venait d'arriver, furent saisis d'une grande frayeur, et dirent : Assurément, cet homme était Fils de Dieu. Marc 1:1 Ἀρχὴ τοῦ εὐαγγελίου Ἰησοῦ Χριστοῦ [υἱοῦ θεοῦ]. Commencement de l'Évangile de Jésus Christ, Fils de Dieu. Marc 1:24 λέγων, Ἔα, (N Ἔα → –) τί ἡμῖν καὶ σοί, Ἰησοῦ Ναζαρηνέ; Ἦλθεσ ἀπολέσαι ἡμᾶσ; Οἶδά σε τίσ εἶ, ὁ ἅγιοσ τοῦ θεοῦ. Qu'y a-t-il entre nous et toi, Jésus de Nazareth ? Tu es venu pour nous perdre. Je sais qui tu es : le Saint de Dieu. Marc 3:11 Καὶ τὰ πνεύματα τὰ ἀκάθαρτα, ὅταν αὐτὸν ἐθεώρει, (N ἐθεώρει προσέπιπτεν → ἐθεώρουν προσέπιπτον) προσέπιπτεν αὐτῷ, καὶ ἔκραζεν, (N ἔκραζεν λέγοντα → ἔκραζον λέγοντεσ) λέγοντα ὅτι Σὺ εἶ ὁ υἱὸσ τοῦ θεοῦ. Les esprits impurs, quand ils le voyaient, se prosternaient devant lui, et s'écriaient : Tu es le Fils de Dieu. Marc 5:7 καὶ κράξασ φωνῇ μεγάλῃ εἶπεν, (N εἶπεν → λέγει) Τί ἐμοὶ καὶ σοί, Ἰησοῦ, υἱὲ τοῦ θεοῦ τοῦ ὑψίστου; Ὁρκίζω σε τὸν θεόν, μή με βασανίσῃσ. et s'écria d'une voix forte : Qu'y a-t-il entre moi et toi, Jésus, Fils du Dieu Très Haut ? Je t'en conjure au nom de Dieu, ne me tourmente pas. Luc 1:32 Οὗτοσ ἔσται μέγασ, καὶ υἱὸσ ὑψίστου κληθήσεται: καὶ δώσει αὐτῷ κύριοσ ὁ θεὸσ τὸν θρόνον Δαυὶδ τοῦ πατρὸσ αὐτοῦ, Il sera grand et sera appelé Fils du Très Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père. Luc 1:35 Καὶ ἀποκριθεὶσ ὁ ἄγγελοσ εἶπεν αὐτῇ, Πνεῦμα ἅγιον ἐπελεύσεται ἐπὶ σέ, καὶ δύναμισ ὑψίστου ἐπισκιάσει σοι: διὸ καὶ τὸ γεννώμενον ἅγιον κληθήσεται υἱὸσ θεοῦ. L'ange lui répondit : Le Saint Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très Haut te couvrira de son ombre. C'est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu. Luc 2:11 ὅτι ἐτέχθη ὑμῖν σήμερον σωτήρ, ὅσ ἐστιν χριστὸσ κύριοσ, ἐν πόλει Δαυίδ. c'est qu'aujourd'hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. Jean 1:1-3 Ἐν ἀρχῇ ἦν ὁ λόγος, καὶ ὁ λόγος ἦν πρὸς τὸν θεόν, καὶ θεὸς ἦν ὁ λόγος. Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Οὗτοσ ἦν ἐν ἀρχῇ πρὸσ τὸν θεόν. Elle était au commencement avec Dieu. Πάντα δι’ αὐτοῦ ἐγένετο, καὶ χωρὶσ αὐτοῦ ἐγένετο οὐδὲ ἓν ὃ γέγονεν. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. Jean 1:10 Ἐν τῷ κόσμῳ ἦν, καὶ ὁ κόσμοσ δι’ αὐτοῦ ἐγένετο, καὶ ὁ κόσμοσ αὐτὸν οὐκ ἔγνω. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l'a point connue. Jean 1:14 Καὶ ὁ λόγοσ σὰρξ ἐγένετο, καὶ ἐσκήνωσεν ἐν ἡμῖν – καὶ ἐθεασάμεθα τὴν δόξαν αὐτοῦ, δόξαν ὡσ μονογενοῦσ παρὰ πατρόσ – πλήρησ χάριτοσ καὶ ἀληθείασ. Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. Jean 1:34 Κἀγὼ ἑώρακα, καὶ μεμαρτύρηκα ὅτι οὗτόσ ἐστιν ὁ υἱὸσ τοῦ θεοῦ. Et j'ai vu, et j'ai rendu témoignage qu'il est le Fils de Dieu. Jean 1:49 Ἀπεκρίθη Ναθαναήλ (N Ναθαναήλ καὶ λέγει αὐτῷ → αὐτῷ Ναθαναήλ) καὶ λέγει αὐτῷ, Ῥαββί, σὺ εἶ ὁ υἱὸσ τοῦ θεοῦ, σὺ εἶ (N εἶ ὁ βασιλεὺσ → βασιλεὺσ εἶ) ὁ βασιλεὺσ τοῦ Ἰσραήλ. Nathanaël répondit et lui dit : Rabbi, tu es le Fils de Dieu, tu es le roi d'Israël. Jean 3:13 Καὶ οὐδεὶσ ἀναβέβηκεν εἰσ τὸν οὐρανόν, εἰ μὴ ὁ ἐκ τοῦ οὐρανοῦ καταβάσ, ὁ υἱὸσ τοῦ ἀνθρώπου ὁ (N ὁ ὢν ἐν τῷ οὐρανῷ → –) ὢν ἐν τῷ οὐρανῷ. Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel. Jean 3:16 (Π) Οὕτωσ γὰρ ἠγάπησεν ὁ θεὸσ τὸν κόσμον, ὥστε τὸν υἱὸν αὐτοῦ (N αὐτοῦ → –) τὸν μονογενῆ ἔδωκεν, ἵνα πᾶσ ὁ πιστεύων εἰσ αὐτὸν μὴ ἀπόληται, ἀλλ’ ἔχῃ ζωὴν αἰώνιον. Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Jean 4:25-26 Λέγει αὐτῷ ἡ γυνή, Οἶδα ὅτι Μεσίασ (N Μεσίασ → Μεσσίασ) ἔρχεται – ὁ λεγόμενοσ χριστόσ: ὅταν ἔλθῃ ἐκεῖνοσ, ἀναγγελεῖ ἡμῖν πάντα. (N πάντα → ἅπαντα) La femme lui dit : Je sais que le Messie doit venir (celui qu'on appelle Christ) ; quand il sera venu, il nous annoncera toutes choses. Λέγει αὐτῇ ὁ Ἰησοῦσ, Ἐγώ εἰμι, ὁ λαλῶν σοι. Jésus lui dit : Je le suis, moi qui te parle. Jean 5:18 Διὰ τοῦτο οὖν μᾶλλον ἐζήτουν αὐτὸν οἱ Ἰουδαῖοι ἀποκτεῖναι, ὅτι οὐ μόνον ἔλυεν τὸ σάββατον, ἀλλὰ καὶ πατέρα ἴδιον ἔλεγεν τὸν θεόν, ἴσον ἑαυτὸν ποιῶν τῷ θεῷ. A cause de cela, les Juifs cherchaient encore plus à le faire mourir, non seulement parce qu'il violait le sabbat, mais parce qu'il appelait Dieu son propre Père, se faisant lui-même égal à Dieu. Jean 5:23 ἵνα πάντεσ τιμῶσιν τὸν υἱόν, καθὼσ τιμῶσιν τὸν πατέρα. Ὁ μὴ τιμῶν τὸν υἱόν, οὐ τιμᾷ τὸν πατέρα τὸν πέμψαντα αὐτόν. afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui n'honore pas le Fils n'honore pas le Père qui l'a envoyé. Jean 5:36-39 Ἐγὼ δὲ ἔχω τὴν μαρτυρίαν μείζω τοῦ Ἰωάννου: τὰ γὰρ ἔργα ἃ ἔδωκέν (N ἔδωκέν → δέδωκέν) μοι ὁ πατὴρ ἵνα τελειώσω αὐτά, αὐτὰ τὰ ἔργα ἃ ἐγὼ (N ἐγὼ ποιῶ → ποιῶ) ποιῶ, μαρτυρεῖ περὶ ἐμοῦ ὅτι ὁ πατήρ με ἀπέσταλκεν. Moi, j'ai un témoignage plus grand que celui de Jean ; car les œuvres que le Père m'a donné d'accomplir, ces œuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c'est le Père qui m'a envoyé. Καὶ ὁ πέμψασ με πατήρ, αὐτὸσ (N αὐτὸσ → ἐκεῖνοσ) μεμαρτύρηκεν περὶ ἐμοῦ. Οὔτε φωνὴν αὐτοῦ ἀκηκόατε (N ἀκηκόατε πώποτε → πώποτε ἀκηκόατε) πώποτε, οὔτε εἶδοσ αὐτοῦ ἑωράκατε. Et le Père qui m'a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi. Vous n'avez jamais entendu sa voix, vous n'avez point vu sa face, Καὶ τὸν λόγον αὐτοῦ οὐκ ἔχετε μένοντα (N μένοντα ἐν ὑμῖν → ἐν ὑμῖν μένοντα) ἐν ὑμῖν, ὅτι ὃν ἀπέστειλεν ἐκεῖνοσ, τούτῳ ὑμεῖσ οὐ πιστεύετε. et sa parole ne demeure point en vous, parce que vous ne croyez pas à celui qu'il a envoyé. Ἐρευνᾶτε (N Ἐρευνᾶτε → Ἐραυνᾶτε) τὰσ γραφάσ, ὅτι ὑμεῖσ δοκεῖτε ἐν αὐταῖσ ζωὴν αἰώνιον ἔχειν, καὶ ἐκεῖναί εἰσιν αἱ μαρτυροῦσαι περὶ ἐμοῦ: Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle : ce sont elles qui rendent témoignage de moi. Jean 6:51 Ἐγώ εἰμι ὁ ἄρτοσ ὁ ζῶν, ὁ ἐκ τοῦ οὐρανοῦ καταβάσ: ἐάν τισ φάγῃ ἐκ τούτου τοῦ ἄρτου, ζήσεται (N ζήσεται → ζήσει) εἰσ τὸν αἰῶνα. Καὶ ὁ ἄρτοσ δὲ ὃν ἐγὼ δώσω, ἡ σάρξ μου ἐστίν, ἣν (N ἣν ἐγὼ δώσω → –) ἐγὼ δώσω ὑπὲρ τῆσ τοῦ κόσμου ζωῆσ. Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde. Jean 8:56-58 Ἀβραὰμ ὁ πατὴρ ὑμῶν ἠγαλλιάσατο ἵνα ἴδῃ τὴν ἡμέραν τὴν ἐμήν, καὶ εἶδεν καὶ ἐχάρη. Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour : il l'a vu, et il s'est réjoui. Εἶπον οὖν οἱ Ἰουδαῖοι πρὸσ αὐτόν, Πεντήκοντα ἔτη οὔπω ἔχεισ, καὶ Ἀβραὰμ ἑώρακασ; Les Juifs lui dirent : Tu n'as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham ! Εἶπεν αὐτοῖσ ὁ (N ὁ → –) Ἰησοῦσ, Ἀμὴν ἀμὴν λέγω ὑμῖν, πρὶν Ἀβραὰμ γενέσθαι, ἐγώ εἰμι. Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, je suis. Jean 10:30 Ἐγὼ καὶ ὁ πατὴρ ἕν ἐσμεν. Moi et le Père nous sommes un. Jean 14:9 Λέγει αὐτῷ ὁ Ἰησοῦσ, Τοσοῦτον (N Τοσοῦτον χρόνον → Τοσούτῳ χρόνῳ) χρόνον μεθ’ ὑμῶν εἰμι, καὶ οὐκ ἔγνωκάσ με, Φίλιππε; Ὁ ἑωρακὼσ ἐμέ, ἑώρακεν τὸν πατέρα: καὶ (N καὶ πῶσ → πῶσ) πῶσ σὺ λέγεισ, Δεῖξον ἡμῖν τὸν πατέρα; Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu, Philippe ! Celui qui m'a vu a vu le Père ; comment dis-tu : Montre-nous le Père. Jean 16:28 Ἐξῆλθον παρὰ τοῦ πατρόσ, καὶ ἐλήλυθα εἰσ τὸν κόσμον: πάλιν ἀφίημι τὸν κόσμον, καὶ πορεύομαι πρὸσ τὸν πατέρα. Je suis sorti du Père, et je suis venu dans le monde ; maintenant je quitte le monde, et je vais au Père. Jean 20:28 Καὶ (N Καὶ ἀπεκρίθη → Ἀπεκρίθη) ἀπεκρίθη Θωμᾶσ, καὶ εἶπεν αὐτῷ, Ὁ κύριόσ μου καὶ ὁ θεόσ μου. Thomas lui répondit : Mon Seigneur et mon Dieu ! |
samedi 15 octobre 2011
Quelle est la vraie Eglise du Christ ?
par Père André Wade
"Aujourd’hui, nous vivons dans la « société pluraliste ». Tous les points de vue sont admis et respectés. Cette liberté comporte un défi théologique pour nous, car elle pose une question fondamentale : où est la vérité ?
Les chrétiens sont d’accord que la création est une raison suffisante pour croire que Dieu existe, et cette vérité est confirmée par la résurrection du Christ, qui est également la preuve de la divinité du Fils de Dieu. Les apôtres ont été les témoins oculaires de la résurrection, et ils en ont été tellement convaincus qu’ils ont tous été prêts à dédier leur vie à annoncer cet événement et sa signification révolutionnaire pour l’homme. En différents temps et lieux, ils ont donné leur vie comme martyrs plutôt que de renier cette vérité, en des circonstances qui rendent invraisemblables les théories d’hystérie collective ou d’un événement mythique et seulement symbolique.
La difficulté apparaît quand nous nous demandons : « Quel est le vrai enseignement chrétien ? Y a-t-il une Eglise qui est vraie, et laquelle – ou bien aucune ? »
Je propose d’utiliser les méthodes et les arguments employés par les catholiques et par les protestants pour répondre à ces questions, en analysant leurs raisonnements face à la vérité historique. Nous verrons à quelles conclusions ceci nous amènera. ..." LIRE LA SUITE ICI
Les chrétiens sont d’accord que la création est une raison suffisante pour croire que Dieu existe, et cette vérité est confirmée par la résurrection du Christ, qui est également la preuve de la divinité du Fils de Dieu. Les apôtres ont été les témoins oculaires de la résurrection, et ils en ont été tellement convaincus qu’ils ont tous été prêts à dédier leur vie à annoncer cet événement et sa signification révolutionnaire pour l’homme. En différents temps et lieux, ils ont donné leur vie comme martyrs plutôt que de renier cette vérité, en des circonstances qui rendent invraisemblables les théories d’hystérie collective ou d’un événement mythique et seulement symbolique.
La difficulté apparaît quand nous nous demandons : « Quel est le vrai enseignement chrétien ? Y a-t-il une Eglise qui est vraie, et laquelle – ou bien aucune ? »
Je propose d’utiliser les méthodes et les arguments employés par les catholiques et par les protestants pour répondre à ces questions, en analysant leurs raisonnements face à la vérité historique. Nous verrons à quelles conclusions ceci nous amènera. ..." LIRE LA SUITE ICI
(article publié une 1° fois sur le site du P. Julian Nistea)
vendredi 14 octobre 2011
samedi 8 octobre 2011
Au Kosovo, on a voulu imposer une vérité officielle par Dick Marty
Par Armando Mombelli, swissinfo.ch
Ses rapports pour le Conseil de l’Europe, sur les prisons secrètes de la CIA, les listes noires de l’ONU et les crimes au Kosovo, ont créé la stupeur à l’échelle internationale. Dick Marty quitte son activité parlementaire au terme d’une longue lutte pour l’Etat de droit et les principes démocratiques.
extrait de l'interview par swissinfo.ch :
Votre rapport sur le Kosovo aussi a suscité une grande stupeur sur la scène internationale.
D.M .: Au Kosovo, on a voulu imposer une vérité officielle, en disant que, d’un d’un côté on trouvait les gentils, et de l’autre les méchants, et que les pays occidentaux ont bombardé les méchants et soutenu les gentils. Il est vrai que le gouvernement serbe de Milosevic a perpétré d’horribles crimes de guerre, mais affirmer que de l’autre côté, il ne s’est rien produit est un mensonge colossal. Depuis des années, plusieurs rapports de police, des services secrets et des agences internationales, dénonçaient les crimes commis par les deux parties et la collusion entre politique et crime organisé dans la région.
Avec mon rapport pour le Conseil de l’Europe, j’ai finalement dit à voix haute ce que l’on savait déjà. Je n’ai tiré aucun avantage personnel de cette affaire, au contraire. J’ai même suscité une certaine animosité. Mais la vérité ne saurait être complaisante. Je crois que les habitants du Kosovo ont intérêt à connaître la vérité et à avoir une démocratie transparente. Il n’y a pas de justice, sans vérité, et il n’y pas de démocratie sans justice. Une équation très simple, mais qu’il ne faut pas oublier.
Traduction de l’italien: Nicole della Pietra
dimanche 2 octobre 2011
QU'EST-CE QUE L'ORTHODOXIE ? par Père André BORRÉLY
"Pour être pleinement orthodoxe,
la théologie, inséparable de la sagesse et de la prière,
exclut deux comportements hélas fort répandus : le dualisme et le juridisme".

Mais cette union, cette réunion, cette unité, qu'on l'appelle comme on veut, (au fait ne s'agirait-il pas plutôt de communion entre frères ?) entre chrétiens ne sera que de surface si elle ne se fonde pas sur le roc de la foi authentique partagée par tous, et si les erreurs profondes, qui ne mènent depuis des siècles qu'à la confusion des esprits, à la dénaturation de la doctrine, au relativisme personnel ou communautaire aveugle, et pour finir à l'hérésie et à la perdition des âmes, et si donc ces erreurs mortelles ne sont pas corrigées à temps et à contre-temps.
Bien heureusement nous avons des serviteurs de Dieu comme le Père André à qui l'on ne peut reprocher d'avoir des comptes à régler mais qui bien au contraire aiment l'homme - tous les hommes - autant que leur foi et leur Dieu, et qui, bien qu'à la retraite de leur service à l'autel, ne cesseront de témoigner jusqu'à leur mort avec toute leur intelligence et toute leur foi de la Vérité. Lisez son article :
"Le dualisme est responsable d'une multitude de déchirures que l'œcuménisme est jusqu'ici impuissant à raccommoder. Si les chrétiens sont désunis, c'est bien parce qu'ils ont introduit la division entre la sainte Écriture et la Tradition, entre la parole et les rites sacramentels, entre les clercs et les laïcs, entre l'autorité et la liberté, entre la foi et les œuvres, entre le corps et l'âme, entre la pensée et la vie, entre la connaissance et l'amour, entre la foi et la raison, entre la philosophie et la théologie, entre les réalités spirituelles et les choses sensibles, entre le terrestre et le céleste, entre le temps et l'éternité, entre la contemplation et l'action, entre la nature et la personne, entre la nature et la grâce, ou entre la nature et le surnaturel. Et ce dualisme paraît s'être prolongé dans la société déchristianisée avec la théorie marxiste de la lutte des bourgeois et des prolétaires. On peut même se demander s'il n'y a pas quelque chose de cela dans un certain féminisme.
Quant au juridisme, c'est un fait bien établi que la propension du droit est de nous donner un pouvoir: avoir un droit, c'est détenir un pouvoir. Le droit nous habilite à revendiquer, à exiger, au besoin par la contrainte, ce qui nous est dû. Le droit constitue une barrière qui s'oppose aux empiètements d'autrui sur notre individualité. Il délimite la sphère en laquelle nous pouvons agir en toute indépendance sans que notre activité puisse être entravée par autrui. En outre, le droit est essentiellement rationnel. Il se fonde sur l'esprit humain en tant que faculté d'ordre et puissance normative, comme raison qui légitime notre action et rend ses conditions moralement et socialement exigibles. La mentalité juridique nous accoutume inévitablement à une objectivation des situations existentielles, elle développe en nous la propension à substituer à l'indétermination dynamique de la vie, à l'unicité de l’évènement survenu dans la vie personnelle, des modèles de vie définitifs et impersonnels se référant à l'objectivité du cas général. Plus une théologie est juridique, plus elle tend à rationaliser le mystère, moins elle est capable de réconcilier la pensée et la vie, la science et la sagesse, la connaissance et l'amour, et, plus généralement, toutes les réalités que divise la mentalité dualiste. Les Byzantins furent toujours étrangers au présupposé occidental selon lequel l'Église est une institution divine dont l'existence interne pourrait être définie de façon appropriée en des termes juridiques. Les concepts juridiques ne sauraient épuiser la réalité la plus profonde de l'Eglise. Et c'est l'honneur et la grandeur de l'Orthodoxie d'avoir toujours témoigné de cette manière de sentir la vie en Christ." LIRE LE TEXTE intégral > ICI
(extrait d'un article du Père André Borrély "Qu'est-ce que l'Orthodoxie ?" in Orthodoxes à Marseille bulletin n°138 sept-oct 2011 - abonnement (20 euros) par chèque bancaire à l'adresse : 1 rue Raoul Ponchon 13010 Marseille)
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