Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8

samedi 17 avril 2021

« LE PASSAGE DU ROYAUME DU CHRIST AU ROYAUME DE L’ANTÉCHRIST » par l’archevêque catholique Carlo Maria Viganò

« Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation, c’est-à-dire la transition d’un monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist » — 

Mgr Carlo Maria Viganò





"Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une planification criminelle encore plus inquiétante conçue par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins - qui sont certes inutiles et nocifs - comme rien moins que de miraculeux.

 

La réputation des entreprises pharmaceutiques


Nous savons que les géants pharmaceutiques – AstraZeneca, Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson – non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de validation des médicaments, mais qu’ils ont une longue histoire de condamnations pour avoir déjà causé de graves dommages à la population, distribuant des vaccins qui se sont révélés être à l’origine de maladies invalidantes.

 

Les conflits d’intérêts


On sait quels conflits d’intérêts macroscopiques existent entre les laboratoires pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les salariés de ces sociétés sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’usage des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils auraient la liberté de faire une évaluation juste et prudente en continuant souvent d’avoir des liens professionnels avec Big Pharma. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du prétendu vaccin – qui a conduit certaines nations à suspendre sa distribution – n’est pas encore considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour interdire son adoption. Les découvertes récentes sur ses effets secondaires graves sont considérées comme exclues de la majorité des cas et en outre en ignorant délibérément la relation causale entre l’inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou long terme.

Immunité contre les effets secondaires

Nous savons que, au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population, les laboratoires pharmaceutiques ont exigé une immunité totale pour les dommages pouvant survenir aux patients, à qui il est demandé de signer un formulaire de décharge avec leur consentement éclairé. Ainsi, avec les bénéfices scandaleux de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.

Secret sur les clauses contractuelles

Nous savons que les clauses contractuelles des accords conclus par les nations et par l’Union européenne avec ces sociétés pharmaceutiques sont inaccessibles et secrètes : même les parlementaires et les représentants politiques ne sont pas autorisés à voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée. Et nous savons que non seulement les mêmes sociétés pharmaceutiques n’assument aucune responsabilité pour les effets secondaires, mais elles déclarent également qu’elles ne garantissent même pas leur efficacité à fournir une immunité contre le virus.

L’origine chinoise du virus

On sait que le virus SRAS-CoV-2 a été selon toute probabilité produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financiers de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.

Complicité du personnel de santé


Nous savons que tous les pays, à de très rares exceptions près, ont immédiatement adopté les protocoles de santé les plus absurdes de l’OMS, à commencer par la malheureuse décision de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes, et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie bilatérale aiguë. Et cela s’est produit avec la complicité exécrable du personnel de santé – des médecins au personnel hospitalier – provoquant des milliers de décès non pas par COVID, comme nous le disent les médias grand public, mais par un traitement incorrect des malades.

 

Délégitimation et boycott des traitements disponibles

On connaît également la campagne acharnée contre l’efficacité des traitements déjà existants, de l’utilisation du plasma hyperimmun à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, malgré le non-respect des normes de santé imposées au cours de ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès. Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne soient pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate en traitement représentent pour les laboratoires pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante de s’y opposer et de les discréditer, jusqu’au au point d’interdire leur utilisation.

Un projet planifié depuis des années

Nous savons que pour mener cette opération criminelle – puisqu’il faut parler de crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple sort malheureux – il était nécessaire d’avoir des années de planification, menées systématiquement, afin d’affaiblir les plans nationaux de pandémie, réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs, créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, et non plus des médecins, qui placent leur propre sécurité sur le lieu de travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des sociétés pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.

Implication du système de santé


On sait que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a non seulement recours au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces. A titre d’exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros de l’heure pour administrer les vaccins dans les centres de vaccination ; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient vacciné ; un lit en réanimation est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après la démolition de la santé publique au cours de la dernière décennie au nom de la réduction des dépenses imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles pour fermer tous les petits hôpitaux qui aujourd’hui, sous prétexte de pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue en prêt avec des contraintes et des conditionnalités qui dans d’autres moments ont été jugés inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service généralisé aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation de la maladie.

Le rôle fondamental des médias

Nous savons que les nations ont accordé des financements aux médias, en guise de contribution à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et il a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne avec un résultat de test positif devrait être considérée comme malade, même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux – de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis, au Canada, en Australie, etc. Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, le conflit d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques a également pu interférer avec les choix des diffuseurs et des journaux, d’une part parce que BigPharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’il est présent au conseil d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une fraude, oserait aller à l’encontre du PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.

Responsabilité des médias sociaux

On sait qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure éhontée et scandaleuse, au point d’effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes confirmés, pour la seule raison qu’ils n’ont pas obéi aux diktats du récit COVID. Même dans ce cas, il n’est pas étonnant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui au fil du temps sont devenues les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.

 Cui prodest ? — À qui cela profite ?

Nous savons également qui sont, en termes économiques, les principaux bénéficiaires de la pandémie : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot des entreprises idéologiquement alignées, et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles sont un obstacle ennuyeux à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, réparties sur tout sur le Vieux Continent et notamment en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur diffusion généralisée perturbe les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui pendant la période de lock-out (« confinement ») ont augmenté leurs profits de manière scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ces livres que nous achetions à la librairie du coin doivent maintenant être commandés en ligne, avec le déjeuner, le toner d’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle. Cette « nouvelle économie » s’est imposée avec arrogance en quelques semaines à peine l’an dernier, grâce à la fermeture simultanée des magasins et aux commandes livrées à domicile imposées aux citoyens.

Éducation

On sait que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure l’enseignement scolaire et universitaire de ce plan, aujourd’hui dispensé par « l’enseignement à distance » avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour assurer un jour l’unification de l’enseignement offert via Internet, en décidant quels enseignants sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’éducation alignée comprendra bientôt un nombre de plus en plus restreint d’enseignants : un seul professeur d’histoire pour tous les élèves d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Ce n’est pas une réalité lointaine, lorsque chaque élève est obligé de se connecter en ligne et ne peut plus utiliser un enseignant de sa propre école, qui a été contraint à la retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes ou des intelligences artificielles inquiétantes qui endoctrinent des millions de jeunes avec la théorie du genre, la doctrine LGBT et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.

Les promoteurs de la pandémie

On sait qui sont les théoriciens de la pandémie comme instrumentum regni, de Bill Gates à George Soros, dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant des organisations dites philanthropiques et des lobbies du pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab, l’OMS et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale, le groupe Bildeberg, le Conseil pour Capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild sous la direction spirituelle de Bergoglio et, plus généralement, de la phalange des multinationales, des banques et des groupes de pouvoir qui appartiennent à ce dôme de conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également, à commencer par l’Église de Satan qui exalte l’avortement comme rituel propitiatoire pour la fin de la pandémie, exactement comme BigPharma exige la production de pseudo-vaccins. avec des fœtus avortés.

 Subjugation de la hiérarchie catholique

Enfin, nous savons – et c’est certainement l’aspect le plus choquant – qu’une partie de la hiérarchie catholique est également présente dans ce plan, qui trouve en Jorge Mario Bergoglio un prédicateur obéissant de la narration de la pandémie et le principal sponsor des vaccins, qui n’a pas hésité à les définir comme «un devoir moral», malgré les très graves préoccupations éthiques et religieuses qu’elles soulèvent. Bergoglio est même allé au point de se faire interviewer par le vaticaniste Domenico Agasso, dans une conversation contenue dans un livre intitulé Dio e il mondo che verrà, pour recommander aux masses l’administration du sérum génique et fournir une approbation officielle et malheureuse de l’idéologie du mondialisme. Et depuis mars 2020, le Saint-Siège s’est montré parfaitement aligné sur le plan mondialiste en ordonnant la fermeture des églises et la suspension de la célébration et de l’administration des sacrements. Si cela n’avait pas vraiment eu lieu, et au contraire si une forte condamnation de ce projet antihumain et antichristique s’était produite, les plus hauts niveaux de l’Église auraient eu du mal à accepter de soumettre les multitudes à des limitations absurdes de leurs libertés naturelles, au nom de non seulement un asservissement idéologique mais évidemment aussi économique et social.

N’oublions pas qu’en contrepartie de la perte des fidèles dans les églises et de la réduction drastique des dons pour les conférences épiscopales qui en résulte, il doit nécessairement y avoir une autre forme de financement qu’il ne nous faudra pas longtemps pour découvrir. Je pense que ni la Chine communiste, ni les Rothschild, ni Bill et Melinda Gates (qui, comme je l’ai appris d’une source faisant autorité, ont ouvert un compte à l’IOR, la Banque du Vatican), ni le réseau de partis démocratiques autoproclamés – la gauche internationale – obéissant à l’idéologie mondialiste, ne sont étrangers à cette opération. D’autre part, la Grande Réinitialisation envisage l’établissement d’une Religion Universelle œcuménique, écologique et malthusienne, qui voit en Bergoglio son leader naturel, comme l’a récemment reconnu la Maçonnerie. L’adoration de la pachamama au Vatican, l’accord d’Abou Dhabi, l’encyclique Fratelli tutti et le prochain sabbat d’Astana vont tous dans cette direction, complétant l’inexorable processus dissolutif de l’Église qui a commencé avec le Concile Vatican II.

Si quelque chose ne fonctionne pas, on peut l’utiliser pour autre chose

Il faut reconnaître que l’apparent caractère illogique de ce que nous voyons se produire – le boycott des traitements préventifs, la préconisation de thérapies erronées, de vaccins inefficaces, de verrouillages (confinements) sans utilité, l’utilisation de masques absolument inutiles – prend tout son sens dès que l’on comprend que le but déclaré – vaincre la prétendue pandémie – est un mensonge, et que le véritable but est de planifier une crise économique, sociale et religieuse en utilisant une pseudo-pandémie astucieusement provoquée comme outil. Ce n’est qu’ainsi que nous pouvons comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par diverses nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction, qui fait appel à la collaboration et à la complicité de politiciens et de dirigeants, de médecins et de scientifiques, d’évêques et de prêtres, de journalistes et d’intellectuels, d’acteurs et d’influenceurs, de multinationales et de banquiers, d’employés publics et de spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés, mais cette guerre – ne l’oublions jamais ! – est une guerre idéologique et religieuse.

 Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation, c’est-à-dire la transition d’un monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit le bien. Cette idée détestable d ‘«égalité» qui nous a été inculquée auparavant par les libres penseurs a maintenant été utilisée pour assimiler le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, sous prétexte de reconnaître la liberté d’expression; aujourd’hui, il sert à promouvoir le mal, l’injustice et ce qui ne va pas, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire la bonté, la justice et la beauté. Conformément à cette vision, l’œcuménisme – qui a été initialement introduit dans l’enceinte sacrée par le Concile sous prétexte de ramener les hérétiques et les schismatiques – montre aujourd’hui sa charge antichristique, incorporant toutes les fausses religions dans un panthéon mais proscrivant la religion catholique apostolique, parce qu’elle est la seule vraie et en tant que telle est inconciliable avec l’erreur doctrinale et la déviation morale. Nous devons donc comprendre que si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et que nous ne permettons pas que l’idéologie mondialiste nous soit imposée sous toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, hostes publici parce que nous sommes fidèles à un Dieu jaloux qui ne tolère pas le mélange avec les idoles et la prostitution. La tromperie de liberté, d’égalité et de fraternité propagée par la maçonnerie consiste précisément à usurper la primauté de Dieu pour la donner à Satan, avec le prétexte apparent – qui est en tout cas erroné et immoral – de placer Dieu et Satan sur le même plan de manière à permettre une prétendue liberté de choix qui n’existe pas moralement. Mais le but final, le vrai et inavouable, est fondamentalement théologique, parce que l’auteur de la rébellion est toujours le même, celui qui est éternellement vaincu.

Nemo propheta in patria (Nul n’est prophète en son pays)

Bien sûr, ce que nous voyons se passer aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit pendant des années, si nous n’avions prêté attention qu’à ce que les théoriciens de la Grande Réinitialisation ont déclaré en toute impunité. En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été qualifiés de théoriciens du complot, ridiculisés ou considérés comme fous, ostracisés par l’information main steam et criminalisés, chassés des chaires universitaires et de la communauté scientifique. Aujourd’hui, nous comprenons à quel point les alarmes ont été clairvoyantes et à quel point le mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires est puissant. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser, à la pathologisation de la dissidence – qui  ne peut que déboucher sur une légitimation de camps de détention – et au contrôle de  nos déplacements par l’imposition d’un passeport sanitaire qui est déjà en cours de développement.

Dissonance cognitive

Face à la réalité, cependant, il est difficile de comprendre la raison pour laquelle l’ensemble de la population mondiale s’est laissée convaincre de l’existence d’un virus pandémique qui n’a pas encore été isolé et qu’il a incroyablement accepté les limitations de la liberté personnelle qui, en d’autres temps auraient conduit à la révolution et aux barricades dans les rues. Plus incompréhensible encore n’est pas tant l’absence d’une véritable et convenable réaction sociale et politique, mais l’incapacité de voir la réalité dans toutes ses preuves brutes. Mais cela est dû, on le sait, à l’action scientifique de manipulation des masses qui a inévitablement conduit au phénomène que la psychologie sociale appelle la « dissonance cognitive », c’est-à-dire la tension ou l’inconfort que nous ressentons face à deux opposés et incompatibles et des idées incompatibles. Le psychologue et sociologue Leon Festinger a démontré que ce malaise nous amène à élaborer ces convictions de trois manières, afin de réduire l’incongruence psychologique que détermine la dissonance : changer d’attitude, changer de contexte ou changer de comportement. Les gens ordinaires, incapables de comprendre ou même de reconnaître une quelconque rationalité dans ce que les médias disent de manière obsessionnelle à propos du COVID, acceptent l’absurdité d’un virus grippal présenté comme étant plus dévastateur qu’ebola, car ils ne veulent pas accepter que leurs dirigeants politiques mentent sans vergogne, dans le but d’obtenir la destruction sociale, économique, morale et religieuse d’un monde que quelqu’un a décidé d’annuler. Ils ne savent pas comment accepter que le mensonge puisse être fait passer pour la vérité, que les médecins ne guérissent pas et même tuent leurs patients, que les autorités civiles n’interviennent pas pour arrêter les crimes et les violations flagrantes, que les politiciens obéissent tous à un lobby sans visage, que Bergoglio veut démolir l’Église du Christ pour la remplacer par une parodie maçonnique infernale. Ainsi, dans ce désir de ne pas accepter la tromperie et donc de ne pas vouloir prendre position contre elle et contre ceux qui la promeuvent, ils se réfugient dans le récit dominant commode, suspendant le jugement et laissant les autres leur dire quoi penser, même si c’est irrationnel et contradictoire. Des milliards de personnes se sont volontairement rendues esclaves, victimes sacrificielles du mondialiste Moloch, se laissant persuader de l’inéluctabilité d’une situation aussi surréaliste qu’ absurde. Ou mieux encore : l’absurdité de ce que nous voyons et de ce qui nous est dit semble donner plus de force aux raisons de ceux qui, après deux cents ans de révolution au nom d’une liberté supposée, acceptent la tyrannie comme un fait normal et remontent à la potence avec la résignation de ceux qui sont convaincus, après tout, qu’ils sont coupables en quelque sorte.

Le comportement de ceux qui, au mépris de toute preuve scientifique, pensent pouvoir résoudre cette crise en déplorant l’inefficacité de la distribution des vaccins, ou remédier aux dommages du confinement en garantissant des subventions aux entreprises et aux travailleurs, ne suscite pas moins de consternation. Bref, ils aimeraient choisir d’être exécutés par pendaison ou guillotine, sans faire d’objections à la légitimité de la peine. Et ils s’énervent immédiatement dès que quelqu’un formule des objections, les accusant de théories du complot ou de déni, proclamant qu’ils sont en faveur des vaccins et donnant des attestations de fidélité à l’idéologie dominante. Et ils ne se rendent pas compte que précisément en attribuant des subventions aux entreprises endommagées par le verrouillage, ils légitiment le revenu universel théorisé par la Grande Réinitialisation et qui est également fortement souhaité par le Vatican; ils ne se rendent pas compte qu’il ne peut y avoir de vaccin contre un virus mutant et que l’antigène qui garantirait l’immunité contre une grippe saisonnière ne peut exister tant que le virus n’a pas été isolé plutôt que simplement séquencé. Ils nous rappellent ceux qui, dans la sphère catholique, déplorent les dérives doctrinales et morales de Bergoglio, sans comprendre qu’elles sont en parfaite cohérence avec les fondements idéologiques du Concile. Ici aussi, on le voit, la rationalité s’annule pour faire place à la « dissonance cognitive » et accepter l’absurde.

L’homme n’est pas un robot


Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas complètement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption; certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé ; certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler ; d’autres seront utilisés puis brutalement écartés, ce qui suscitera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler l’arrière-plan du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.

Un avertissement salutaire


D’un autre côté, il y a la puissance de Dieu. Certains d’entre nous, au début, croyaient que la pandémie était réelle et, avec un esprit surnaturel, pensaient que c’était en quelque sorte un châtiment divin pour les graves péchés des individus et des nations : ils appelaient à des actes de réparation et à des prières pour demander à Dieu la fin de la peste. Face à la preuve qu’il n’y a pas de pandémie et que les décès ont été délibérément amenés à exagérer les effets sur la population, il faut considérer le COVID comme un fléau, non pas en soi, mais pour tout ce qu’il a révélé : le plan de Satan pour l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, qui est censé conduire au règne de l’Antéchrist. Le Seigneur nous montre, avec la sévérité d’un père, qu’il veut toujours avertir ses enfants et l’humanité trompée sur les conséquences du péché. Il nous montre quel monde nous attend si nous ne savons pas nous convertir, abandonnant le chemin de la perdition et retournant à lui, à l’obéissance à sa sainte loi et à la vie de grâce.

La réponse des Chrétiens

Mais pour que les nations retournent à Dieu, leurs membres doivent déjà lui appartenir. Pour que le Christ soit Roi des nations, il doit d’abord régner dans nos âmes, nos familles et nos communautés, et il doit régner avant tout dans la sainte Église, sur ses ministres, sur le pape et sur les évêques. Tant que le Dieu vivant et vrai est indigné en étant placé aux côtés des idoles et des démons, nous ne pouvons pas espérer que la Miséricorde Divine mettra fin à ce fléau et vaincra l’ennemi.

Que cette période de préparation pour la Sainte Pâques soit pour nous tous un temps de sainteté : dans la pénitence, le jeûne et le sacrifice, nous devons venir au pied de la Croix et contempler dans la Passion de Notre Sauveur son acte de victoire sur le Mal. Une. En faisant crucifier le Rédempteur sur le bois de la Croix, Satan a marqué sa propre défaite, qui doit encore être rendue définitive à la fin des temps mais qui est la plus certaine et inexorable.

Revenons à Dieu ! Revenons à la Foi, pure et entière, sans compromis avec la mentalité du monde. Revenons à la morale chrétienne, à la sainteté de vie et à la pureté des coutumes. Le nombre des justes retiendra la main droite du Tout-Puissant et permettra à l’Église d’affronter le Calvaire de sa persécution finale avec la même dignité avec laquelle Sa Tête l’a précédée, car la Croix est la voie royale qui mène à la gloire de la Résurrection. La voie large et confortable est celle que nous voyons aujourd’hui et, malheureusement, nous savons très bien où elle mène. Que la puissante protection de la Très Sainte Vierge, Notre-Dame et Reine, nous assiste dans ces moments d’époque : qu’elle soit notre générale dans ce combat spirituel, aux côtés de Saint Michel Archange et de toute la cour céleste."

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò

25 mars 2021
Annonciation de la Vierge Marie

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samedi 10 avril 2021

Vous savez ce qu'il faudrait mon bon monsieur ?… — UNE BONNE GUERRE ! Réflexions passagères d'un O.o.🤔

Vous n'avez pas déjà entendu cette exclamation ? Combien de fois ? Ah mais c'est qu'à force ça donne des idées à certains…

Mais voilà ma bonne dame, aujourd'hui il n'y a plus de conscription ! Seulement une armée de métier. Et en plus, on utilise de plus en plus de missiles et de drones. Juste avec des ordis et des boutons à presser ! Alors ? Comment on fait pour envoyer à la boucherie  ses sujets en masse ? Hein, Messeigneurs les Princes de ce monde ? Mais voilà, plus de patrie, alors plus de patriotes ! C'est ce que vous vouliez non ?Alors comment faire, sans mobilisation patriotique, pour relancer et booster l'économie en voie d'effondrement ? Pour diminuer le nombre de bouches à nourrir ? Ou plutôt pour redonner au consommateur une soif inextinguible de dépenses pour acheter n'importe quoi ? Pour affaiblir la population en lui montrant qui sont les maîtres de leur vie et de leur mort ? Hein ? Le nucléaire c'est tout de même tentant… Wow ! Quelle puissance avec si peu d'efforts ! Oh mais ! C'est que ça vous réveille un libertin ramolli par les épuisants exercices de toutes sortes de perversions ça ! Oh Oui ! Mais… on ne sait pas trop les dégâts que ça peut faire en retour… et pas seulement collatéraux et puis pour combien de temps et en plus on n'a pas prévu assez d'abris anti atomiques pour nous et après… quand on est-ce qu'on va pouvoir en sortir sans irradiation ?

Bon alors, tout de même, vu les bienfaits et les avantages d'une situation de guerre on va en inventer une !

La pub ça marche ! Les gens, même s'ils savent qu'ils se font leurrer avec la pub, même s'ils savent qu'ils lâchent la proie pour l'ombre comme disait ce Lafontaine je crois, (euh…vous vous rappelez qui sait au fait ?) ils achètent quand même : les objets, les lessives, les voitures, les enfants, les idées,  tout !  Alors bandes de consommateurs consentants, on va vous convaincre que c'est tout de même LA GUERRE dans vos pays où vous n'avez plus l'habitude d'être en guerre et où vous avez fini par croire qu'on est installé dans une paix éternelle, désarmés que vous êtes matériellement, physiquement et mentalement !

Il suffit de faire un bonne campagne de promotion, de pub, de communication pour tous ces consommateurs consentants. On a des savoir-faire, des techniques, des médias, des journaux télévisés, des acteurs qui se sont entraînés depuis leur jeunesse pour certains, des experts qui savent vendre et  se vendre, tous bien placés, avec beaucoup d'argent pour acheter les hésitants et menacer, par toutes sortes de moyens discrets ou non, les timides débutants dans le show, et aussi les sceptiques, les récalcitrants, les repentis. 

Bon, alors qu'est-ce qu'on attend ? Allons-y déclarons-le haut et fort, et autant de fois qu'il le faudra :

"NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! "

À force, même s'ils ne voient ni savent contre qui, — il n'y a plus ni patrie  ni patriotes donc, on l'a dit plus haut — tout le monde va le croire d'autant plus qu'on ne ne le voit pas cet ennemi qui se cache et circule sans qu'on sache où il se trouve. Quant à ceux qui n'auront pas la trouille on va les culpabiliser en leur enfonçant bien dans le crâne qu'ils sont non seulement leurs propres ennemis, mais les ennemis de leurs proches et de leurs prochains. Belle guerre civile en perspective donc. Alors on va pouvoir les convoquer,  les conspuer, les confiner, les convoyer, et les condamner s'ils ne se laissent pas convaincre…




Vous savez ce qu'il faudrait mon bon monsieur ?… — UNE BONNE GUERRE ! Réflexions passagères d'un O.o.🤔

Vous n'avez pas déjà entendu cette exclamation ? Combien de fois ? Ah mais c'est qu'à force ça donne des idées à certains…

Mais voilà ma bonne dame, aujourd'hui il n'y a plus de conscription ! Seulement une armée de métier. Et en plus, on utilise de plus en plus de missiles et de drones. Juste avec des ordis et des boutons à presser ! Alors ? Comment on fait pour envoyer à la boucherie  ses sujets en masse ? Hein, Messeigneurs les Princes de ce monde ? Mais voilà, plus de patrie, alors plus de patriotes ! C'est ce que vous vouliez non ?Alors comment faire, sans mobilisation patriotique, pour relancer et booster l'économie en voie d'effondrement ? Pour diminuer le nombre de bouches à nourrir ? Ou plutôt pour redonner au consommateur une soif inextinguible de dépenses pour acheter n'importe quoi ? Pour affaiblir la population en lui montrant qui sont les maîtres de leur vie et de leur mort ? Hein ? Le nucléaire c'est tout de même tentant… Wow ! Quelle puissance avec si peu d'efforts ! Oh mais ! C'est que ça vous réveille un libertin ramolli par les épuisants exercices de toutes sortes de perversions ça ! Oh Oui ! Mais… on ne sait pas trop les dégâts que ça peut faire en retour… et pas seulement collatéraux et puis pour combien de temps et en plus on n'a pas prévu assez d'abris anti atomiques pour nous et après… quand on est-ce qu'on va pouvoir en sortir sans irradiation ?

Bon alors, tout de même, vu les bienfaits et les avantages d'une situation de guerre on va en inventer une !

La pub ça marche ! Les gens, même s'ils savent qu'ils se font leurrer avec la pub, même s'ils savent qu'ils lâchent la proie pour l'ombre comme disait ce Lafontaine je crois, (euh…vous vous rappelez qui sait au fait ?) ils achètent quand même : les objets, les lessives, les voitures, les enfants, les idées,  tout !  Alors bandes de consommateurs consentants, on va vous convaincre que c'est tout de même LA GUERRE dans vos pays où vous n'avez plus l'habitude d'être en guerre et où vous avez fini par croire qu'on est installé dans une paix éternelle, désarmés que vous êtes matériellement, physiquement et mentalement !

Il suffit de faire un bonne campagne de promotion, de pub, de communication pour tous ces consommateurs consentants. On a des savoir-faire, des techniques, des médias, des journaux télévisés, des acteurs qui se sont entraînés depuis leur jeunesse pour certains, des experts qui savent vendre et  se vendre, tous bien placés, avec beaucoup d'argent pour acheter les hésitants et menacer, par toutes sortes de moyens discrets ou non, les timides débutants dans le show, et aussi les sceptiques, les récalcitrants, les repentis. 

Bon, alors qu'est-ce qu'on attend ? Allons-y déclarons-le haut et fort, et autant de fois qu'il le faudra :

"NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! …NOUS SOMMES EN GUERRE ! "

À force, même s'ils ne voient ni savent contre qui, — il n'y a plus ni patrie  ni patriotes donc, on l'a dit plus haut — tout le monde va le croire d'autant plus qu'on ne ne le voit pas cet ennemi qui se cache et circule sans qu'on sache où il se trouve. Quant à ceux qui n'auront pas la trouille on va les culpabiliser en leur enfonçant bien dans le crâne qu'ils sont non seulement leurs propres ennemis, mais les ennemis de leurs proches et de leurs prochains. Belle guerre civile en perspective donc. Alors on va pouvoir les convoquer,  les conspuer, les confiner, les convoyer, et les condamner s'ils ne se laissent pas convaincre…




mardi 6 avril 2021

BAD NEWS FOLKS…


 Strategic-culture.org

L'administration Biden en tournée d'agression en Europe contre la Russie et la Chine


Biden a affirmé que la Chine voulait supplanter les États-Unis en tant que leader mondial, comme si cela en soi était un crime.

Cette semaine a été marquée par une incursion frénétique de l'administration Biden pour mettre fin de manière provocante aux tensions avec la Russie et la Chine. Malheureusement, à en juger par l'acquiescement européen, les Américains peuvent revendiquer un certain succès dans leur objectif néfaste. Mais un tel «succès» est un glissement dangereux vers le conflit, une dynamique funeste que les dirigeants flagorneurs de l'Union européenne facilitent.

Le président Joe Biden a déclaré, de manière plutôt malhonnête, qu'il ne cherchait pas à se confronter avec la Russie ni la Chine. Mais il est difficile de conclure autrement des déclarations et des actions de ce président et de ses hauts fonctionnaires depuis qu'il a occupé la Maison Blanche il y a deux mois.

Son secrétaire d’État Antony Blinken - le plus haut diplomate américain - est arrivé en Europe cette semaine dans le cadre de ce qui était la première réunion en personne des dirigeants européens et de l’OTAN avec l’administration Biden. La semaine a débuté avec les États-Unis, le Canada, la Grande-Bretagne et l'Union européenne dévoilant des sanctions coordonnées contre la Chine pour des violations présumées des droits de l'homme.

Blinken a accusé la Chine de «génocide» contre sa minorité ethnique ouïghoure dans la province du Xinjiang. Cette affirmation est basée sur des informations douteuses, que Pékin a rejetées comme des «fausses distorsions» et un prétexte cynique pour intervenir dans ses affaires intérieures. Néanmoins, Washington et ses alliés ont lancé une série d’allégations provocantes contre la Chine, affirmant défendre les «valeurs occidentales».

Quelles «valeurs» sacrées pourraient-elles être? Peut-être des guerres d'agression criminelles? Ou violer le droit international en bombardant des pays souverains sur la base de mensonges, en assassinant des dirigeants étrangers, en faisant de la police raciste leurs propres minorités ethniques, en torturant des diseurs de vérité comme Julian Assange, en bloquant l'approvisionnement en vaccins au reste du monde en pleine pandémie?

Pendant ce temps, Blinken a rencontré des membres de l'OTAN pour un sommet de deux jours à Bruxelles où il a condamné la Russie pour «agression» et «menace de sécurité euro-atlantique». C’est bien, venant de la nation qui a unilatéralement déchiré plusieurs traités de contrôle des armes nucléaires, ramenant ainsi le spectre de l’annihilation mondiale.

Il est manifestement évident que l’administration Biden mène une politique délibérée d’opposition à la fois à la Russie et à la Chine. Le président américain et ses envoyés font beaucoup parler de «valeurs» et d'«ordre international fondé sur des règles». Mais l’ordre du jour ultérieur tente de préserver l’hégémonie présumée de Washington en empêchant l’émergence d’un monde multipolaire. Par nécessité, cela implique que les États-Unis essaient de délimiter le monde en camps «nous et eux» de la diabolisation de leurs rivaux désignés. Cette mentalité de somme nulle, ou gagnant-emporte-tout, est une source de militarisation des relations internationales. De cette manière, les États-Unis visent à faire en sorte que l'Europe et d'autres alliés dépendent de la «protection» américaine. Bref, c'est une politique de fomentation de l'insécurité et des tensions.

Le résultat est exécrable. Car non seulement les relations internationales sont gratuitement déstabilisées au lieu d’engendrer une coopération indispensable pour résoudre les nombreux problèmes de l’humanité, mais la logique est aussi en fin de compte celle de la guerre. Biden et ses lieutenants peuvent dire qu'ils ne veulent pas de confrontation militaire, mais c'est précisément là que mène leur logique. C'est criminel.

Pathétiquement aussi, les politiciens européens - dont beaucoup sont des bureaucrates non élus et très bien payés comme le président du Conseil européen Charles Michel et le chef des affaires étrangères Josep Borrell - parlent d '«autonomie stratégique» et d'affirmation d' «indépendance». C’est alors qu’ils se précipitent pour montrer un alignement servile avec la politique téméraire et insouciante de Washington d’inciter les tensions avec la Russie et la Chine.

Un exemple particulièrement poignant de la servilité européenne a été lorsque le secrétaire d'État Blinken a averti l'Allemagne qu'elle pourrait faire face à des sanctions américaines si elle achevait le projet gazier Nord Stream 2 avec la Russie. S'exprimant comme s'il était le commissaire à l'énergie de l'UE, Blinken a déclaré: «Le président Biden pense que Nord Stream 2 est une mauvaise idée et un mauvais accord pour l'Europe, pour nous et pour l'alliance [de l'OTAN].»

Pourtant, malgré cette ingérence effrontée dans les affaires commerciales européennes, que fait l'UE? Il oblige Washington en imposant de nouvelles sanctions à Moscou et à Pékin. Ces sanctions coupent les intérêts propres de l’Europe à l’égard de la Russie et de la Chine, qui ripostent par des contre-sanctions. Dans le cas de la Chine, des sanctions tit-for-tat pourraient finir par ruiner un accord d'investissement historique qui a été signé il y a seulement trois mois après sept ans de négociations. L’accord global sur l’investissement est potentiellement un gain majeur pour les exportateurs européens vers le plus grand marché de consommation du monde. Lors de sa signature, l'administration Biden a suscité de nombreuses protestations, craignant que l'UE s'oriente vers une plus grande stratégie partenariat économique avec la Chine. Le fait que l'équipe Biden ait réussi cette semaine à saper la connexion UE-Chine est une illustration flagrante de ce qu'est le calcul géopolitique à Washington. C'est aussi une illustration étonnante de l'auto-flagellation européenne et de la subordination aux ambitions américaines. Une élite européenne prend des décisions fondées sur une idéologie tordue de la guerre froide et des préjugés au profit des États-Unis, et non du peuple européen. Et pourtant, cette élite parle de défendre les «valeurs démocratiques»!

Le président Biden a suivi l’incursion de Blinken en Europe par une vidéoconférence avec les dirigeants de l’UE jeudi. Biden a réprimé la rhétorique hostile envers la Russie et la Chine en raison du fait que l'Europe est embourbée dans les problèmes d'une résurgence de la pandémie de Covid-19. Les collaborateurs de Biden ont probablement réalisé que faire un gros problème sur la Russie ou la Chine lors de sa réunion transatlantique virtuelle semblerait inapproprié compte tenu des circonstances plus urgentes. Cependant, les efforts acharnés pour s'engager avec l'Europe - ou comme le dit par euphémisme la Maison Blanche, «revitaliser les alliances» - démontrent que les planificateurs à Washington font de gros paris pour creuser un fossé entre l'Europe et la Russie, la Chine. En effet, une telle stratégie de division est considérée par les Américains comme vitale pour poursuivre leurs ambitions de maintien de la domination américaine.

Avant son sommet virtuel avec les dirigeants de l'UE, Biden a tenu sa première conférence de presse officielle à la Maison Blanche. Il a déclaré qu'il y avait un défi historique entre «démocratie et autocratie». Et il a nommé le dirigeant russe Vladimir Poutine et le président chinois Xi Jinping comme les «autocrates» ennemis. Ce n'est rien d'autre qu'une tentative de l'establishment américain de créer une nouvelle guerre froide. Au lieu de «démocratie et communisme», le fossé artificiel est maintenant avec la prétendue «autocratie», et Washington s'efforce de sculpter le monde dans cette fausse dichotomie afin de créer un récit et une mission pour justifier sa domination souhaitée.

Biden a affirmé que la Chine voulait supplanter les États-Unis en tant que leader mondial, comme si cela en soi était un crime.

L’ambassadeur de Chine aux États-Unis, Cui Tiankai, a repoussé l’insinuation de Biden sur les mauvaises intentions. Dans une interview accordée à CNN, il a répondu avec éloquence et sérénité: «Notre objectif est de répondre à l'aspiration croissante du peuple chinois à une vie meilleure. Notre objectif n'est pas de concurrencer ou de remplacer un autre pays. Cela n'a jamais été notre stratégie nationale.

Le diplomate chinois a ajouté: «Ce que le monde d’aujourd’hui veut, et ce que le monde de demain voudra, c’est de joindre les efforts de tous les pays pour construire une communauté de nations pour un avenir partagé. Nous ne pensons pas qu’une tentative de diviser le monde en différents camps ou même de construire une approche militaire de confrontation, nous ne pensons pas que ce type d’approche soit une solution. En fait, c'est un problème en soi. »

Concernant le choix historique égoïste de Biden prétendument entre «démocratie ou autocratie», le véritable tournant pour le monde d’aujourd’hui est beaucoup plus grave. C'est entre conflit ou coopération, et finalement guerre ou paix.

Il est de plus en plus évident qui sont les bellicistes.

Les opinions des contributeurs individuels ne représentent pas nécessairement celles de la Strategic Culture Foundation.

samedi 3 avril 2021

« Il est tout à fait possible que ces vaccins soient utilisés pour une dépopulation à grande échelle.» selon l’ex vice-président de Pfizer à l’AFLDS


Source COGIITO

Le 25 Mars 2021 : America’s Frontline Doctors
Exclusive: Former Pfizer VP to AFLDS: ‘Entirely possible this will be used for massive-scale depopulation’

L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS déclarait :

  «Il est tout à fait possible que ce vaccin soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle» .

par Mordechai Sones

America’s Frontline Doctors (AFLDS) s’est entretenu avec l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, pour connaître son point de vue sur le vaccin COVID-19, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, les autorités réglementaires, etc.

D’emblée, le Dr Yeadon a déclaré :

« Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés contre une grande partie de la population mondiale… Je ressens une grande peur, mais je ne suis pas dissuadé de donner un témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.

« JE N’AI ABSOLUMENT AUCUN DOUTE SUR LE FAIT QUE NOUS SOMMES EN PRÉSENCE DE PRODUITS MALÉFIQUES T DANGEREUX.

(CE N’EST PAS UNE DÉCLARATION QUE J’AI DÉJÀ FAITE EN 40 ANS DE CARRIÈRE DE CHERCHEUR).

Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont déterminées à administrer des « vaccins » au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus.

Chez ces personnes, on pourrait même argumenter que les risques valent la peine d’être supportés.

ET IL Y A CERTAINEMENT DES RISQUES QUI SONT CE QUE J’APPELLE « MÉCANISTES », C’EST-À-DIRE INTÉGRÉS DANS LA FAÇON DONT ILS FONCTIONNENT.

« Mais toutes les autres personnes, celles en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas caractérisé.

« A aucune autre époque, il ne serait sage de faire ce qui est déclaré comme étant l’intention.

« PUISQUE JE LE SAIS AVEC CERTITUDE, ET QUE JE SAIS QUE CEUX QUI LE DIRIGENT LE SAVENT AUSSI, NOUS DEVONS-NOUS INTERROGER : QUEL EST LEUR MOTIF ?

« Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent et ce motif ne fonctionne pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose.
Sachant que, par population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le filet, et c’est ce que j’interprète comme un acte maléfique.

« Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant comme je le fais que la conception de ces « vaccins » aboutit, dans le corps des destinataires, à l’expression de la protéine spike, qui a des effets biologiques indésirables propres qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation du sang et activation du ‘système de complément’ immunitaire), je suis déterminé à souligner que ceux qui ne sont pas à risque de ce virus ne devraient pas être exposés au risque d’effets indésirables de ces agents. »

AFLDS : La décision de la Cour suprême d’Israël de la semaine dernière annulant les restrictions de vol du COVID disait :

« À L’AVENIR, TOUTE NOUVELLE RESTRICTION SUR LES VOYAGES À DESTINATION OU EN PROVENANCE D’ISRAËL DOIT, EN TERMES JURIDIQUES, REPOSER SUR UNE BASE COMPLÈTE, FACTUELLE ET FONDÉE SUR DES DONNÉES. »

Dans une conférence que vous avez donnée il y a quatre mois, vous avez dit que

« La durée la plus probable de l’immunité contre un virus respiratoire comme le SRAS CoV-2 est de plusieurs années. Pourquoi est-ce que je dis cela ? Nous disposons en fait des données relatives à un virus qui a balayé certaines parties du monde il y a dix-sept ans, le SRAS, et n’oubliez pas que le CoV-2 est similaire à 80 % au SRAS, donc je pense que c’est la meilleure comparaison que l’on puisse fournir.

« Les preuves sont claires : ces immunologistes cellulaires très intelligents ont étudié toutes les personnes qui avaient survécu au SRAS il y a 17 ans et sur lesquelles ils ont pu mettre la main. Ils ont prélevé un échantillon de sang et ont vérifié s’ils réagissaient ou non au SRAS original, et ils l’ont tous fait ; ils avaient tous une mémoire cellulaire T robuste et parfaitement normale. En fait, ils étaient également protégés contre le CoV-2 du SRAS, car ils sont très similaires ; c’est une immunité croisée.

« Je dirais donc que les meilleures données existantes indiquent que l’immunité devrait être robuste pendant au moins 17 ans. Je pense qu’il est tout à fait possible qu’elle dure toute la vie. Le style des réponses des cellules T de ces personnes était le même que si vous aviez été vacciné et vous revenez des années plus tard pour voir si cette immunité s’est maintenue. Je pense donc que la preuve est vraiment forte que la durée de l’immunité sera de plusieurs années, voire de toute une vie. »

En d’autres termes, une exposition antérieure au SRAS – c’est-à-dire à une variante similaire au CoV-2 du SRAS – confère une immunité au CoV-2 du SRAS.

Le gouvernement israélien invoque de nouvelles variantes pour justifier les bouclages, les fermetures de vols, les restrictions et la délivrance de passeports verts. Compte tenu du verdict de la Cour suprême, pensez-vous qu’il soit possible de prévenir les futures mesures gouvernementales en fournissant des informations précises sur les variantes, l’immunité, l’immunité collective, etc. aux avocats qui contesteront ces futures mesures ?

Yeadon : « Ce que j’ai décrit en ce qui concerne l’immunité contre le SRAS est précisément ce que nous observons avec le SRAS-CoV-2.
L’étude provient de l’un des meilleurs laboratoires dans son domaine.

« Donc, en théorie, les gens pourraient tester leur immunité aux lymphocytes T en mesurant les réponses des cellules dans un petit échantillon de leur sang. De tels tests existent, ils ne sont pas « à haut débit » et ils sont susceptibles de coûter quelques centaines de dollars chacun à l’échelle. Mais pas des milliers. Le test dont j’ai connaissance n’est pas encore disponible dans le commerce, mais fait l’objet de recherches uniquement au Royaume-Uni.

« Cependant, je pense que l’entreprise pourrait être incitée à fournir des kits de test « pour la recherche » à l’échelle, sous réserve d’un accord. Si vous deviez vous arranger pour tester quelques milliers d’Israéliens non vaccinés, cela pourrait être une arme à double tranchant. D’après l’expérience d’autres pays, 30 à 50 % des gens étaient déjà immunisés et environ 25 % ont été infectés et sont maintenant immunisés.

« Personnellement, je ne voudrais pas avoir affaire aux autorités selon leurs propres termes :

vous êtes soupçonné d’être une source d’infection jusqu’à preuve du contraire. Vous ne devriez pas avoir à prouver que vous ne représentez pas un risque pour la santé des autres. Ceux qui ne présentent pas de symptômes ne sont jamais une menace pour la santé des autres. Et dans tous les cas, une fois que ceux qui sont concernés par le virus sont vaccinés, il n’y a tout simplement aucun argument pour que quelqu’un d’autre ait besoin d’être vacciné. »

SI J’AI BIEN COMPRIS, UN « VACCIN QUI FUIT » NE FAIT QU’ATTÉNUER LES SYMPTÔMES CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES, MAIS N’ARRÊTE PAS LA TRANSMISSION ; IL PERMET DONC LA PROPAGATION DE CE QUI DEVIENT ALORS UN VIRUS PLUS MORTEL.

Par exemple, en Chine, on utilise délibérément des vaccins non étanches contre la grippe aviaire pour éliminer rapidement les troupeaux de poulets, car les personnes non vaccinées meurent en trois jours. Dans le cas de la maladie de Marek, dont ils devaient sauver tous les poulets, la seule solution était de vacciner 100 % du troupeau, car tous les non-vaccinés couraient un risque élevé de mourir.

L’utilisation d’une fuite de vaccin est donc dictée par l’intention, c’est-à-dire qu’il est possible que l’intention soit de causer un grand tort aux personnes non vaccinées.

Les souches les plus fortes ne se propagent généralement pas dans une population car elles tuent l’hôte trop rapidement, mais si les personnes vaccinées ne sont atteintes que de maladies moins graves, elles transmettent ces souches aux personnes non vaccinées qui contractent des maladies graves et qui en meurent.

Êtes-vous d’accord avec cette évaluation ? De plus, êtes-vous d’accord avec le fait que si les non-vaccinés deviennent les personnes sensibles, la seule solution est une prophylaxie par HCQ pour ceux qui n’ont pas déjà eu le COVID-19 ?

Le protocole Zelenko fonctionnerait-il contre ces souches plus fortes si c’est le cas ?

Et si beaucoup de personnes ont déjà l’ancienne « immunité de 17 ans contre le SRAS » mentionnée plus haut, cela ne les protégerait-il pas contre une super-variante ?

« Je pense que l’histoire de Gerrt Vanden Bossche est très suspecte. Il n’y a aucune preuve que la vaccination conduise ou conduira à des ‘variants dangereuses’. Je crains qu’il ne s’agisse d’une sorte de ruse.

« En règle générale, les variants se forment très souvent, régulièrement, et ont tendance à devenir moins dangereux et plus infectieux avec le temps, à mesure qu’ils s’équilibrent avec leur hôte humain. Les variants ne deviennent généralement pas plus dangereux.

« Aucun variant ne diffère de la séquence originale de plus de 0,3 %. En d’autres termes, tous les variants sont identiques à 99,7 % au moins à la séquence de Wuhan.

« C’est une fiction, et une fiction diabolique, que les variants soient susceptibles d’ »échapper à l’immunité ».

« Non seulement c’est intrinsèquement improbable – car ce degré de similitude entre les variants signifie qu’il n’y a aucune chance qu’une personne immunisée (que ce soit par une infection naturelle ou par la vaccination) soit rendue malade par un variant – mais c’est également soutenu empiriquement par des recherches de grande qualité.

« Les recherches auxquelles je fais référence montrent que les personnes qui se remettent d’une infection ou qui ont été vaccinées possèdent TOUTES un large éventail de cellules immunitaires qui reconnaissent TOUS les variants.

« Cet article montre que la reconnaissance moléculaire étendue par le système immunitaire rend les minuscules changements dans les variants non pertinents.

« Je ne saurais trop insister :

Les histoires autour des variants et du besoin de vaccins complémentaires sont FAUSSES.

Je crains qu’il y ait une raison très maligne derrière tout cela. Elle n’est certainement pas étayée par les meilleures méthodes d’étude de l’immunité. Les affirmations manquent toujours de substance lorsqu’on les examine, et utilisent diverses astuces, comme la manipulation des conditions pour tester l’efficacité des anticorps. Les anticorps sont probablement assez peu importants dans la protection de l’hôte contre ce virus. Quelques « expériences naturelles » ont été réalisées sur des personnes qui ne peuvent malheureusement pas produire d’anticorps, mais qui parviennent à repousser le virus avec succès. Il est certain qu’elles se portent mieux avec des anticorps que sans.

Je mentionne ces rares patients parce qu’ils montrent que les anticorps ne sont pas essentiels à l’immunité de l’hôte, de sorte qu’un test inventé dans un laboratoire sur les anticorps et les variants de virus modifiés ne justifie PAS le besoin de vaccins complémentaires.

« Les seules personnes qui pourraient rester vulnérables et avoir besoin d’une prophylaxie ou d’un traitement sont celles qui sont âgées et/ou malades et qui ne souhaitent pas recevoir de vaccin (ce qui est leur droit).

« La bonne nouvelle, c’est qu’il existe de nombreuses possibilités : l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, le budésonide (stéroïde inhalé utilisé chez les asthmatiques) et, bien sûr, la vitamine D par voie orale, le zinc, l’azithromycine, etc. Ceux-ci réduisent la gravité à tel point que ce virus n’a pas eu besoin de devenir une crise de santé publique. »

Pensez-vous que la FDA fait un bon travail de régulation des grandes entreprises pharmaceutiques ? De quelle manière les grandes entreprises pharmaceutiques contournent-elles le régulateur ? Pensez-vous qu’elles l’ont fait pour l’injection d’ARNm ?

« Jusqu’à récemment, j’avais beaucoup d’estime pour les organismes mondiaux de réglementation des médicaments. Lorsque j’étais chez Pfizer, et plus tard PDG d’une biotech que j’ai fondée (Ziarco, rachetée plus tard par Novartis), nous avons eu des échanges respectueux avec la FDA, l’EMA et la MHRA du Royaume-Uni.

Des interactions toujours de bonne qualité.

« Récemment, j’ai remarqué que la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) avait accordé une subvention à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) ! Est-ce que cela peut être approprié ?

L’AGENCE EST FINANCÉE PAR DES FONDS PUBLICS. ILS NE DEVRAIENT JAMAIS ACCEPTER DE L’ARGENT D’UN ORGANISME PRIVÉ.

 «  Voici donc un exemple où le régulateur britannique est en conflit d’intérêts.

L’Agence européenne des médicaments n’a pas exigé certaines choses, comme l’a révélé le « piratage » de ses dossiers lors de l’examen du vaccin Pfizer.

« Vous pouvez trouver des exemples sur le « Comité Corona » de Reiner Fuellmich en ligne.

« Je ne crois donc plus que les régulateurs soient capables de nous protéger. L »approbation’ n’a donc aucun sens.

 «  Le Dr Wolfgang Wodarg et moi-même avons adressé une pétition à l’EMA le 1er décembre 2020 sur les vaccins génétiques. Ils nous ont ignorés.

« Récemment, nous leur avons écrit en privé, les mettant en garde contre les caillots sanguins, ils nous ont ignorés.

Lorsque nous avons rendu publique notre lettre, nous avons été complètement censurés. Quelques jours plus tard, plus de dix pays ont interrompu l’utilisation d’un vaccin en invoquant des caillots sanguins.

« JE PENSE QUE LES GROSSES SOMMES D’ARGENT DE L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE ET DE LA BMGF CRÉENT UN ENVIRONNEMENT OÙ DIRE NON N’EST PAS UNE OPTION POUR L’ORGANISME DE RÉGLEMENTATION.

Je dois revenir sur la question des « vaccins complémentaires » (piqûres de rappel) et je crains que tout ce récit ne soit exploité et utilisé pour acquérir un pouvoir inégalé sur nous.

« S’IL VOUS PLAÎT, avertissez chaque personne de ne pas s’approcher des vaccins complémentaires. Ils ne sont absolument pas nécessaires.

« Comme ils ne sont pas nécessaires, mais qu’ils sont fabriqués par des entreprises pharmaceutiques et que les autorités de réglementation se sont tenues à l’écart (pas de tests de sécurité),

JE NE PEUX QUE DÉDUIRE QU’ILS SERONT UTILISÉS À DES FINS NÉFASTES.

« Par exemple, si quelqu’un souhaite blesser ou tuer une proportion importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront.

« Je pense qu’il est tout à fait possible qu’ils soient utilisés pour une dépopulation massive. »

Posted in Frontline News and tagged COVID-19, dépopulation, FDA, hydroxychloroquine, immunité, Ivermectin, Mike Yeadon, SARS, SARS CoV-2, vaccine injury

Source COGIITO

Les commentaires sont signés du nom des auteurs et engagent leur seule responsabilité sans que « lesmoutonsenrages » ne prennent en rien à leur compte leur orientation.

« Il est tout à fait possible que ces vaccins soient utilisés pour une dépopulation à grande échelle.» selon l’ex vice-président de Pfizer à l’AFLDS


Source COGIITO

Le 25 Mars 2021 : America’s Frontline Doctors
Exclusive: Former Pfizer VP to AFLDS: ‘Entirely possible this will be used for massive-scale depopulation’

L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS déclarait :

  «Il est tout à fait possible que ce vaccin soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle» .

par Mordechai Sones

America’s Frontline Doctors (AFLDS) s’est entretenu avec l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, pour connaître son point de vue sur le vaccin COVID-19, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, les autorités réglementaires, etc.

D’emblée, le Dr Yeadon a déclaré :

« Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés contre une grande partie de la population mondiale… Je ressens une grande peur, mais je ne suis pas dissuadé de donner un témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.

« JE N’AI ABSOLUMENT AUCUN DOUTE SUR LE FAIT QUE NOUS SOMMES EN PRÉSENCE DE PRODUITS MALÉFIQUES T DANGEREUX.

(CE N’EST PAS UNE DÉCLARATION QUE J’AI DÉJÀ FAITE EN 40 ANS DE CARRIÈRE DE CHERCHEUR).

Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont déterminées à administrer des « vaccins » au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus.

Chez ces personnes, on pourrait même argumenter que les risques valent la peine d’être supportés.

ET IL Y A CERTAINEMENT DES RISQUES QUI SONT CE QUE J’APPELLE « MÉCANISTES », C’EST-À-DIRE INTÉGRÉS DANS LA FAÇON DONT ILS FONCTIONNENT.

« Mais toutes les autres personnes, celles en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas caractérisé.

« A aucune autre époque, il ne serait sage de faire ce qui est déclaré comme étant l’intention.

« PUISQUE JE LE SAIS AVEC CERTITUDE, ET QUE JE SAIS QUE CEUX QUI LE DIRIGENT LE SAVENT AUSSI, NOUS DEVONS-NOUS INTERROGER : QUEL EST LEUR MOTIF ?

« Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent et ce motif ne fonctionne pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose.
Sachant que, par population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le filet, et c’est ce que j’interprète comme un acte maléfique.

« Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant comme je le fais que la conception de ces « vaccins » aboutit, dans le corps des destinataires, à l’expression de la protéine spike, qui a des effets biologiques indésirables propres qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation du sang et activation du ‘système de complément’ immunitaire), je suis déterminé à souligner que ceux qui ne sont pas à risque de ce virus ne devraient pas être exposés au risque d’effets indésirables de ces agents. »

AFLDS : La décision de la Cour suprême d’Israël de la semaine dernière annulant les restrictions de vol du COVID disait :

« À L’AVENIR, TOUTE NOUVELLE RESTRICTION SUR LES VOYAGES À DESTINATION OU EN PROVENANCE D’ISRAËL DOIT, EN TERMES JURIDIQUES, REPOSER SUR UNE BASE COMPLÈTE, FACTUELLE ET FONDÉE SUR DES DONNÉES. »

Dans une conférence que vous avez donnée il y a quatre mois, vous avez dit que

« La durée la plus probable de l’immunité contre un virus respiratoire comme le SRAS CoV-2 est de plusieurs années. Pourquoi est-ce que je dis cela ? Nous disposons en fait des données relatives à un virus qui a balayé certaines parties du monde il y a dix-sept ans, le SRAS, et n’oubliez pas que le CoV-2 est similaire à 80 % au SRAS, donc je pense que c’est la meilleure comparaison que l’on puisse fournir.

« Les preuves sont claires : ces immunologistes cellulaires très intelligents ont étudié toutes les personnes qui avaient survécu au SRAS il y a 17 ans et sur lesquelles ils ont pu mettre la main. Ils ont prélevé un échantillon de sang et ont vérifié s’ils réagissaient ou non au SRAS original, et ils l’ont tous fait ; ils avaient tous une mémoire cellulaire T robuste et parfaitement normale. En fait, ils étaient également protégés contre le CoV-2 du SRAS, car ils sont très similaires ; c’est une immunité croisée.

« Je dirais donc que les meilleures données existantes indiquent que l’immunité devrait être robuste pendant au moins 17 ans. Je pense qu’il est tout à fait possible qu’elle dure toute la vie. Le style des réponses des cellules T de ces personnes était le même que si vous aviez été vacciné et vous revenez des années plus tard pour voir si cette immunité s’est maintenue. Je pense donc que la preuve est vraiment forte que la durée de l’immunité sera de plusieurs années, voire de toute une vie. »

En d’autres termes, une exposition antérieure au SRAS – c’est-à-dire à une variante similaire au CoV-2 du SRAS – confère une immunité au CoV-2 du SRAS.

Le gouvernement israélien invoque de nouvelles variantes pour justifier les bouclages, les fermetures de vols, les restrictions et la délivrance de passeports verts. Compte tenu du verdict de la Cour suprême, pensez-vous qu’il soit possible de prévenir les futures mesures gouvernementales en fournissant des informations précises sur les variantes, l’immunité, l’immunité collective, etc. aux avocats qui contesteront ces futures mesures ?

Yeadon : « Ce que j’ai décrit en ce qui concerne l’immunité contre le SRAS est précisément ce que nous observons avec le SRAS-CoV-2.
L’étude provient de l’un des meilleurs laboratoires dans son domaine.

« Donc, en théorie, les gens pourraient tester leur immunité aux lymphocytes T en mesurant les réponses des cellules dans un petit échantillon de leur sang. De tels tests existent, ils ne sont pas « à haut débit » et ils sont susceptibles de coûter quelques centaines de dollars chacun à l’échelle. Mais pas des milliers. Le test dont j’ai connaissance n’est pas encore disponible dans le commerce, mais fait l’objet de recherches uniquement au Royaume-Uni.

« Cependant, je pense que l’entreprise pourrait être incitée à fournir des kits de test « pour la recherche » à l’échelle, sous réserve d’un accord. Si vous deviez vous arranger pour tester quelques milliers d’Israéliens non vaccinés, cela pourrait être une arme à double tranchant. D’après l’expérience d’autres pays, 30 à 50 % des gens étaient déjà immunisés et environ 25 % ont été infectés et sont maintenant immunisés.

« Personnellement, je ne voudrais pas avoir affaire aux autorités selon leurs propres termes :

vous êtes soupçonné d’être une source d’infection jusqu’à preuve du contraire. Vous ne devriez pas avoir à prouver que vous ne représentez pas un risque pour la santé des autres. Ceux qui ne présentent pas de symptômes ne sont jamais une menace pour la santé des autres. Et dans tous les cas, une fois que ceux qui sont concernés par le virus sont vaccinés, il n’y a tout simplement aucun argument pour que quelqu’un d’autre ait besoin d’être vacciné. »

SI J’AI BIEN COMPRIS, UN « VACCIN QUI FUIT » NE FAIT QU’ATTÉNUER LES SYMPTÔMES CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES, MAIS N’ARRÊTE PAS LA TRANSMISSION ; IL PERMET DONC LA PROPAGATION DE CE QUI DEVIENT ALORS UN VIRUS PLUS MORTEL.

Par exemple, en Chine, on utilise délibérément des vaccins non étanches contre la grippe aviaire pour éliminer rapidement les troupeaux de poulets, car les personnes non vaccinées meurent en trois jours. Dans le cas de la maladie de Marek, dont ils devaient sauver tous les poulets, la seule solution était de vacciner 100 % du troupeau, car tous les non-vaccinés couraient un risque élevé de mourir.

L’utilisation d’une fuite de vaccin est donc dictée par l’intention, c’est-à-dire qu’il est possible que l’intention soit de causer un grand tort aux personnes non vaccinées.

Les souches les plus fortes ne se propagent généralement pas dans une population car elles tuent l’hôte trop rapidement, mais si les personnes vaccinées ne sont atteintes que de maladies moins graves, elles transmettent ces souches aux personnes non vaccinées qui contractent des maladies graves et qui en meurent.

Êtes-vous d’accord avec cette évaluation ? De plus, êtes-vous d’accord avec le fait que si les non-vaccinés deviennent les personnes sensibles, la seule solution est une prophylaxie par HCQ pour ceux qui n’ont pas déjà eu le COVID-19 ?

Le protocole Zelenko fonctionnerait-il contre ces souches plus fortes si c’est le cas ?

Et si beaucoup de personnes ont déjà l’ancienne « immunité de 17 ans contre le SRAS » mentionnée plus haut, cela ne les protégerait-il pas contre une super-variante ?

« Je pense que l’histoire de Gerrt Vanden Bossche est très suspecte. Il n’y a aucune preuve que la vaccination conduise ou conduira à des ‘variants dangereuses’. Je crains qu’il ne s’agisse d’une sorte de ruse.

« En règle générale, les variants se forment très souvent, régulièrement, et ont tendance à devenir moins dangereux et plus infectieux avec le temps, à mesure qu’ils s’équilibrent avec leur hôte humain. Les variants ne deviennent généralement pas plus dangereux.

« Aucun variant ne diffère de la séquence originale de plus de 0,3 %. En d’autres termes, tous les variants sont identiques à 99,7 % au moins à la séquence de Wuhan.

« C’est une fiction, et une fiction diabolique, que les variants soient susceptibles d’ »échapper à l’immunité ».

« Non seulement c’est intrinsèquement improbable – car ce degré de similitude entre les variants signifie qu’il n’y a aucune chance qu’une personne immunisée (que ce soit par une infection naturelle ou par la vaccination) soit rendue malade par un variant – mais c’est également soutenu empiriquement par des recherches de grande qualité.

« Les recherches auxquelles je fais référence montrent que les personnes qui se remettent d’une infection ou qui ont été vaccinées possèdent TOUTES un large éventail de cellules immunitaires qui reconnaissent TOUS les variants.

« Cet article montre que la reconnaissance moléculaire étendue par le système immunitaire rend les minuscules changements dans les variants non pertinents.

« Je ne saurais trop insister :

Les histoires autour des variants et du besoin de vaccins complémentaires sont FAUSSES.

Je crains qu’il y ait une raison très maligne derrière tout cela. Elle n’est certainement pas étayée par les meilleures méthodes d’étude de l’immunité. Les affirmations manquent toujours de substance lorsqu’on les examine, et utilisent diverses astuces, comme la manipulation des conditions pour tester l’efficacité des anticorps. Les anticorps sont probablement assez peu importants dans la protection de l’hôte contre ce virus. Quelques « expériences naturelles » ont été réalisées sur des personnes qui ne peuvent malheureusement pas produire d’anticorps, mais qui parviennent à repousser le virus avec succès. Il est certain qu’elles se portent mieux avec des anticorps que sans.

Je mentionne ces rares patients parce qu’ils montrent que les anticorps ne sont pas essentiels à l’immunité de l’hôte, de sorte qu’un test inventé dans un laboratoire sur les anticorps et les variants de virus modifiés ne justifie PAS le besoin de vaccins complémentaires.

« Les seules personnes qui pourraient rester vulnérables et avoir besoin d’une prophylaxie ou d’un traitement sont celles qui sont âgées et/ou malades et qui ne souhaitent pas recevoir de vaccin (ce qui est leur droit).

« La bonne nouvelle, c’est qu’il existe de nombreuses possibilités : l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, le budésonide (stéroïde inhalé utilisé chez les asthmatiques) et, bien sûr, la vitamine D par voie orale, le zinc, l’azithromycine, etc. Ceux-ci réduisent la gravité à tel point que ce virus n’a pas eu besoin de devenir une crise de santé publique. »

Pensez-vous que la FDA fait un bon travail de régulation des grandes entreprises pharmaceutiques ? De quelle manière les grandes entreprises pharmaceutiques contournent-elles le régulateur ? Pensez-vous qu’elles l’ont fait pour l’injection d’ARNm ?

« Jusqu’à récemment, j’avais beaucoup d’estime pour les organismes mondiaux de réglementation des médicaments. Lorsque j’étais chez Pfizer, et plus tard PDG d’une biotech que j’ai fondée (Ziarco, rachetée plus tard par Novartis), nous avons eu des échanges respectueux avec la FDA, l’EMA et la MHRA du Royaume-Uni.

Des interactions toujours de bonne qualité.

« Récemment, j’ai remarqué que la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) avait accordé une subvention à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) ! Est-ce que cela peut être approprié ?

L’AGENCE EST FINANCÉE PAR DES FONDS PUBLICS. ILS NE DEVRAIENT JAMAIS ACCEPTER DE L’ARGENT D’UN ORGANISME PRIVÉ.

 «  Voici donc un exemple où le régulateur britannique est en conflit d’intérêts.

L’Agence européenne des médicaments n’a pas exigé certaines choses, comme l’a révélé le « piratage » de ses dossiers lors de l’examen du vaccin Pfizer.

« Vous pouvez trouver des exemples sur le « Comité Corona » de Reiner Fuellmich en ligne.

« Je ne crois donc plus que les régulateurs soient capables de nous protéger. L »approbation’ n’a donc aucun sens.

 «  Le Dr Wolfgang Wodarg et moi-même avons adressé une pétition à l’EMA le 1er décembre 2020 sur les vaccins génétiques. Ils nous ont ignorés.

« Récemment, nous leur avons écrit en privé, les mettant en garde contre les caillots sanguins, ils nous ont ignorés.

Lorsque nous avons rendu publique notre lettre, nous avons été complètement censurés. Quelques jours plus tard, plus de dix pays ont interrompu l’utilisation d’un vaccin en invoquant des caillots sanguins.

« JE PENSE QUE LES GROSSES SOMMES D’ARGENT DE L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE ET DE LA BMGF CRÉENT UN ENVIRONNEMENT OÙ DIRE NON N’EST PAS UNE OPTION POUR L’ORGANISME DE RÉGLEMENTATION.

Je dois revenir sur la question des « vaccins complémentaires » (piqûres de rappel) et je crains que tout ce récit ne soit exploité et utilisé pour acquérir un pouvoir inégalé sur nous.

« S’IL VOUS PLAÎT, avertissez chaque personne de ne pas s’approcher des vaccins complémentaires. Ils ne sont absolument pas nécessaires.

« Comme ils ne sont pas nécessaires, mais qu’ils sont fabriqués par des entreprises pharmaceutiques et que les autorités de réglementation se sont tenues à l’écart (pas de tests de sécurité),

JE NE PEUX QUE DÉDUIRE QU’ILS SERONT UTILISÉS À DES FINS NÉFASTES.

« Par exemple, si quelqu’un souhaite blesser ou tuer une proportion importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront.

« Je pense qu’il est tout à fait possible qu’ils soient utilisés pour une dépopulation massive. »

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Source COGIITO

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