Si quelqu'un, en effet, veut aimer la vie et voir des jours heureux, qu'il préserve sa langue du mal et ses lèvres des paroles trompeuses, qu'il se détourne du mal et fasse le bien, qu'il recherche la paix et la poursuive. 1 Pierre 3:10-11 Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8

mercredi 6 février 2019

GILETS JAUNES, faut-il toujours abandonner notre liberté individuelle au profit des politiciens ?

4 questions essentielles
 que les Gilets jaunes
 doivent se poser


Votre colère et votre courage ont étonné. Vous n’étiez pas attendus, vous vous êtes imposés. Mais pourquoi solliciter sans cesse les politiciens ? Pourquoi vous, femmes et hommes libres de France, réduisez-vous à ce point votre liberté sans même en avoir conscience ?
Démocratie représentative ou démocratie directe ? Croyez-vous vraiment que le problème soit là ? Même si vous êtes entendus, les référendums resteront rares et ne résoudront rien. Ils ne changeront pas l’accaparement par l’État du produit de votre travail à un niveau jamais atteint dans l’histoire de l’humanité.

L’État confisque votre liberté sur la moitié de votre richesse

J’emploie le mot État au sens large : l’ensemble des institutions publiques nationales, locales, sociales.
L’État n’est pas une divinité qui apporte des bienfaits. Il est simplement une structure gérée par des politiciens avides de pouvoir. Plus vous les sollicitez, plus ils accumulent de pouvoir et moins vous êtes libres. Il s’agit là d’une constante du gouvernement des hommes depuis des millénaires et la France n’y échappe pas.
N’oubliez pas que l’État est la seule structure disposant de la violence légitime. En lui demandant toujours plus, vous augmentez le champ de la coercition et vous réduisez le champ de la liberté.
Aujourd’hui en France, les représentants politiques élus décident de l’affectation de 56 % du produit intérieur brut. Cela signifie que sur plus de la moitié du produit de votre travail, votre liberté se résume à élire des représentants qui décideront des dépenses à votre place. Sur plus de la moitié de ce que vous produisez par vos efforts quotidiens, vous n’avez aucun pouvoir individuel de décision. Ce sont les politiciens qui prennent des décisions collectives en votre nom.

L’État ne donne que ce qu’il prend

L’État ne peut donner que ce qu’il prend. En lui demandant toujours plus, vous vous privez d’une partie du produit de votre travail. Car ce que vous donne l’État par ses dépenses, vous l’avez payé par les impôts et cotisations obligatoires, qu’ils soient à votre charge ou fictivement à la charge des entreprises. Et le jeu des politiciens depuis plus d’un demi-siècle a été constant : répondre oui aux demandes du peuple pour disposer d’un pouvoir financier croissant. Ils ont donc sans cesse augmenté impôts et cotisations pour se prévaloir devant les électeurs de réalisations diverses.
Mais leur malignité a été plus loin. Craignant l’impopularité, ils n’ont pas eu le courage politique d’augmenter les impôts et cotisations à la hauteur des dépenses publiques et ils vous ont endetté pour des décennies. Ils se prévalent devant vous, électeurs, de multiples réalisations financées par des dettes décidées par eux mais qui sont les vôtres. Vous avez sur les épaules 2300 milliards d’€ de dette publique.

La démocratie directe vous divisera et favorisera les politiciens

En disposant chaque année de 56 % de tout ce que produit le pays, les politiciens ont accumulé un pouvoir gigantesque.
Croyez-vous vraiment que des référendums à répétition changeront cette situation ? Ils consisteront évidemment à demander encore et toujours plus à l’État. Le oui l’emportera presque toujours si les politiciens promettent que l’État donnera davantage : augmenter les dépenses par l’endettement par exemple, voire même réduire les impôts tout en augmentant les dépenses. Les députés des deux Républiques précédentes avaient déjà fortement tendance à utiliser de façon irresponsable une telle démagogie. Imaginez alors le délire médiatique des tribuns dans les campagnes référendaires ! Ils promettront n’importe quoi pour gagner l’élection.

Servitude volontaire ou liberté ?

Vous êtes d’abord et avant tout des femmes et des hommes libres. Votre liberté vous permet d’agir sans le relais de la politique dans de nombreux domaines. Nul ne songe à retirer à l’État ses prérogatives régaliennes : justice, police, diplomatie, armée, infrastructures routières, etc. Mais pour le reste, faut-il toujours abandonner notre liberté individuelle au profit des politiciens ? N’est-il pas infantile de quémander des avantages auprès de l’autorité publique ?
Ceux qui vous ont promis la liberté avec la démocratie directe vous ont trompés. La question fondamentale est ailleurs. Faut-il plus d’État, donc plus d’impôts et de dépenses publiques ? Ou faut-il moins d’État, donc plus de liberté individuelle ?
Vous êtes à la croisée des chemins. Vous pouvez emprunter la route de la servitude en n’étant que les solliciteurs des politiciens. Vous pouvez choisir celle de la liberté en devenant les acteurs de votre destin.

1 commentaire:

Père Joachim a dit…

Regrettable que plus d'orthos ne commentent. Grand décalage entre bla bla religieux à odeur "orthodoxe" et la saine "ORTHOPRAXIE".

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