Aperçus d'un autre monde, d'une autre réalité : [1] Pierre, le petit oiseau blanc
Ceci est arrivé à la belle-mère de ma fille, qui a raconté cet événement de sa vie à l’émission l'Heure de la femme à la BBC.
Elle avait quatre fils, le cadet, Pierre, avait cinq ans. Ils appartenaient à l'Eglise orthodoxe, et Pierre avait l'habitude de dire que quand il serait grand il voulait être prêtre. Ainsi il mettait souvent la robe de chambre de sa mère et se promenait dans la maison en tenant une croix de bois haut dans ses mains comme dans une procession de l'église.
Il est arrivé qu’il est tombé malade atteint d'une double pneumonie et a dû aller à l'hôpital. Quand il est rentré, il n’était pas encore bien fort après sa maladie bien sûr. Un matin, au petit déjeuner, sa mère lui dit : « L'évêque va venir nous voir à onze heures. » Pierre a alors dit tranquillement : «Il ne me verra pas, mais il me bénira. » Sa mère venait de quitter la table du petit déjeuner pour aller dans la cuisine à côté, lorsque l'enfant a dit cela. Son estomac s’est serré, et une question a traversé son esprit : «Que veut-il dire avec " Il ne me verra pas, mais il me bénira " !? »Puis elle a entendu un cri, elle s’est précipitée et a saisi l'enfant qui s’est effondré dans ses bras. Son fils était mort. Elle s’est dirigée vers son salon en le portant dans les bras et s'est arrêtée devant le coin à icônes en regardant les visages saints du Christ, la Mère de Dieu et des Saints. Puis’ m’a-t-elle raconté, le diable a chuchoté dans son cœur : «Crois-tu toujours que Dieu est bon ? » Et à travers ses larmes, elle a répondu silencieusement : «Oui, je crois toujours que Dieu est amour et bon, même si je ne comprends pas toujours ses voies. »
Elle a ensuite mis l'enfant doucement sur le canapé et a téléphoné à son mari à son travail, ses trois autres fils, et au médecin. Le médecin lui a expliqué que dans certains cas très rares lors d’une double pneumonie les poumons adhèrent l’un à l’autre avant de s’ouvrir à nouveau. Dans le cas de Pierre, cela a été mortel. À 11 heures on a sonné à la porte : c’était l’évêque. Elle a à peine pu prononcer : « Pierre est mort. » L’évêque a reçu un choc, a fait le signe de la croix et tout de suite il est entré dans le salon où Pierre était allongé sur le canapé. L'évêque a ensuite fait le signe de la croix sur tout le corps du petit garçon et a prié. La mère s’est alors souvenue de ce que Pierre avait dit: « Il ne me verra pas, mais il me bénira. »
Environ un an plus tard, c'était l'anniversaire de Pierre et la mère était dans sa chambre, se sentant envahie par la tristesse et la douleur. La fenêtre était ouverte et en désespoir de cause, elle a levé les mains en l'air en sanglotant : « Pierre, où es-tu ? » A ce moment, une petite perruche blanche (albinos) a volé dans la salle. Elle a précipitamment fermé la fenêtre de sorte qu'il ne puisse pas ressortir et a remercié Dieu pour ce signe de Pierre. Pourquoi ? Parce qu'elle avait l’habitude de prendre Pierre sur ses genoux, de le câliner et de dire : « Le petit chéri de sa maman » , et il répondait toujours avec fermeté : «Non, je suis ton petit oiseau blanc ». Quand son mari est rentré du travail, elle lui a dit qu’un petit oiseau blanc avait volé dans la chambre de Pierre. Il avait l'air surpris, sachant que c'était l'anniversaire de Pierre, il a fait le signe de la croix en remerciant Dieu et il est sorti pour acheter une cage pour la perruche albinos, qui s’était manifestement échappée de la maison de quelqu'un.
Dieu est Esprit, comme le Christ nous l’a dit quand Il a parlé à la femme samaritaine au puits : «Dieu est Esprit, et ceux qui l'adorent doivent l'adorer en esprit et en vérité» (Jean 4.24) . Et dans le verset précédent, il nous dit que «ce sont là les adorateurs que le Père demande. » Dieu cherche des âmes qui ont compris que Dieu est Esprit et l'adorent en esprit et en vérité. C'est Dieu qui choisit : « Vous ne m'avez pas choisi, mais je vous ai choisis… »
Dieu a un libre arbitre, comme Il a donné à l'homme et aux anges d'avoir un libre arbitre. Dieu décide quelle offrande Il est prêt à accepter et quelle est celle qu’Il rejette. Il a accepté l'offrande d’Abel, mais a rejeté celle de Caïn.
Dieu connaît le cœur des hommes, leurs motivations, leur volonté, que ce soit envers Dieu et pour Dieu ou envers et pour soi.
Les parents de Pierre étaient réconfortés dans leur douleur et renforcés dans leur foi parce qu'ils ont compris le langage de l'esprit et ont su reconnaître le message donné par Die.
Elle a ensuite mis l'enfant doucement sur le canapé et a téléphoné à son mari à son travail, ses trois autres fils, et au médecin. Le médecin lui a expliqué que dans certains cas très rares lors d’une double pneumonie les poumons adhèrent l’un à l’autre avant de s’ouvrir à nouveau. Dans le cas de Pierre, cela a été mortel. À 11 heures on a sonné à la porte : c’était l’évêque. Elle a à peine pu prononcer : « Pierre est mort. » L’évêque a reçu un choc, a fait le signe de la croix et tout de suite il est entré dans le salon où Pierre était allongé sur le canapé. L'évêque a ensuite fait le signe de la croix sur tout le corps du petit garçon et a prié. La mère s’est alors souvenue de ce que Pierre avait dit: « Il ne me verra pas, mais il me bénira. »
Environ un an plus tard, c'était l'anniversaire de Pierre et la mère était dans sa chambre, se sentant envahie par la tristesse et la douleur. La fenêtre était ouverte et en désespoir de cause, elle a levé les mains en l'air en sanglotant : « Pierre, où es-tu ? » A ce moment, une petite perruche blanche (albinos) a volé dans la salle. Elle a précipitamment fermé la fenêtre de sorte qu'il ne puisse pas ressortir et a remercié Dieu pour ce signe de Pierre. Pourquoi ? Parce qu'elle avait l’habitude de prendre Pierre sur ses genoux, de le câliner et de dire : « Le petit chéri de sa maman » , et il répondait toujours avec fermeté : «Non, je suis ton petit oiseau blanc ». Quand son mari est rentré du travail, elle lui a dit qu’un petit oiseau blanc avait volé dans la chambre de Pierre. Il avait l'air surpris, sachant que c'était l'anniversaire de Pierre, il a fait le signe de la croix en remerciant Dieu et il est sorti pour acheter une cage pour la perruche albinos, qui s’était manifestement échappée de la maison de quelqu'un.
Dieu est Esprit, comme le Christ nous l’a dit quand Il a parlé à la femme samaritaine au puits : «Dieu est Esprit, et ceux qui l'adorent doivent l'adorer en esprit et en vérité» (Jean 4.24) . Et dans le verset précédent, il nous dit que «ce sont là les adorateurs que le Père demande. » Dieu cherche des âmes qui ont compris que Dieu est Esprit et l'adorent en esprit et en vérité. C'est Dieu qui choisit : « Vous ne m'avez pas choisi, mais je vous ai choisis… »
Dieu a un libre arbitre, comme Il a donné à l'homme et aux anges d'avoir un libre arbitre. Dieu décide quelle offrande Il est prêt à accepter et quelle est celle qu’Il rejette. Il a accepté l'offrande d’Abel, mais a rejeté celle de Caïn.
Dieu connaît le cœur des hommes, leurs motivations, leur volonté, que ce soit envers Dieu et pour Dieu ou envers et pour soi.
Les parents de Pierre étaient réconfortés dans leur douleur et renforcés dans leur foi parce qu'ils ont compris le langage de l'esprit et ont su reconnaître le message donné par Die.
Olga Giel. February, 1993. East House, Beech Hill, Mayford, Woking, Surrey
(Version française par Maxime le minime de la source)
(Version française par Maxime le minime de la source)
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