Un peu de sensibilité féminine dans ce monde de brutes imbéciles...

Un film qu'il faut avoir vu...

سكر بنات Sukkar banat 2007 un film d'une femme Nadine Labaki
bande-annonce en version française
peut-être pas très carêmique...me dira-t-on
certes, mais vu le contexte, ça pourrait rendre moins pessimiste.


Commentaires

Alberto a dit…
Je comprends mal. N’en avez-vous pas assez de ces clichés superficiels, celui du mâle stupide et brutal, reflet romantique du mal et de son contraire absolu : la femelle angélique, inspirée, spirituelle, attentive, protectrice, maternelle etc… ? Vous savez mieux que moi que la souillure, conséquence de la chute originelle, éclabousse tout le monde sans distinction de sexe. Il y a autant de perversion et de méchanceté chez les hommes que chez les femmes. De plus, je vous rappelle que la féminisation du monde, cette molle perte de virilité à laquelle nous assistons depuis quelques décennies fait intégralement partie du processus préparant la venue de l’Antéchrist. C’est inévitable je sais mais on est pas obligé d’applaudir.
Ceci dit, le film que vous nous proposez est peut-être une très belle histoire, c’est plutôt votre entrée en matière qui m’a surpris.
Maxime le minime a dit…
Cher Alberto, c'est avec plaisir que je vous réponds d'une part parce que je vous remercie de votre commentaire d'autre part parce que votre texte mériterait d'être encadré pour sa pertinence et son Impertinence d'ailleurs. J'applaudis des deux mains. Ce post est en fait tout à fait contextuel et ne sert momentanément qu'à tenter de tempérer l'"énergie " que je suis en train de mettre à faire le point justement sur laresponsabilite des femmes de culture islamique dans la fabrication de mâles arrogants et l'entretien de leur violence - dont elles regrettent souvent un peu tard et plus ou moins sincèrement les effets désastreux. Cependant il y a lieu de faire la différence entre les mères de fils et leurs filles dont les productions textuelles et artistiques sont d'un intérêt majeur pour ce qui peut suivre dans nos sociétés. Je vous invite donc à lire la suite et ne pas vous priver de commenter. À bientôt donc !