Si quelqu'un, en effet, veut aimer la vie et voir des jours heureux, qu'il préserve sa langue du mal et ses lèvres des paroles trompeuses, qu'il se détourne du mal et fasse le bien, qu'il recherche la paix et la poursuive. 1 Pierre 3:10-11 Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8

jeudi 4 juillet 2019

L'ISLAMISATION de la FRANCE


Histoire de l'islamisation française 1979 - 2019


Présentation de l'éditeur

La France, de près ou de loin, côtoie l'islam depuis ses débuts. De la conquête de l'Espagne et la maîtrise de la Méditerranée jusqu'aux guerres de décolonisation, en dehors de quelques rares périodes d'accalmie, cette relation ne fut qu'une longue suite de guerres et de conflits. Mais, depuis la fin des années soixante et l'arrivée en métropole d'une immigration musulmane de plus en plus importante, un changement majeur s'est produit : l'islam ne fait plus seulement valoir ses revendications au-delà des frontières mais au coeur de l'hexagone. Préceptes vestimentaires et alimentaires, place de la religion à l'école et dans l'entreprise, liberté d'expression et de conscience, statut de la femme, relations avec les fidèles d'autres religions : depuis maintenant quarante ans les élites politiques et médiatiques se voient sans cesse confrontées au défi d'une religion puissante qui n'a jamais rien cédé. Qu'ont-elles fait, qu'ont-elles dit et écrit pour défendre notre bien commun, la République ? Quasiment rien. C'est ce renoncement que ce livre se propose de rappeler, sans y ajouter quoi que ce soit. Rappeler les faits, les décisions. Redonner à lire les textes et les discours qui les ont accompagnés, tels qu'ils furent écrits et prononcés, au mot près. Dire l'histoire telle qu'elle fut et telle qu'elle avance. Sous nos yeux.

Ce livre présente quarante chapitres, un par an, d’inégales longueurs et correspondant chacun à un événement représentatif de l’islamisation de la France, de 1979 à 2019.
Chaque chapitre traite d’un thème particulier qui fait l’objet de développements ne s’en tenant pas à l’année de référence. Le contenu des chapitres est principalement constitué de la présentation d’une sélection de propos publics et de décisions dont la teneur a le plus souvent été oubliée depuis lors…

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Le Dalaï-Lama met en garde contre l’islamisation de l’Europe



Lors d'une interview donnée à la BBC, le dalaï-lama a surpris par son positionnement vis-à-vis des réfugiés qui entrent chaque année dans l'UE. Selon lui, «l'Europe est pour les Européens» et ne peut accueillir qu'une partie «limitée» des migrants.

Voilà un point de vue qui n’a pas manqué de surprendre. Dans une interview diffusée par la BBC le 27 juin, le dalaï-lama a mis en garde contre l’islamisation de l’Europe mais aussi contre une potentielle africanisation du Vieux-Continent. Au cours de cet entretien fourni, au milieu de questions sur la Chine ou les Etats-Unis, le 14e dalaï-lama, de son vrai nom Lhamo Dhondup, a expliqué que «les pays européens devraient prendre ces réfugiés et leur offrir une éducation et une formation avec l’objectif de les faire rentrer sur leurs propres terres avec certaines compétences».

Confirmant des propos tenus depuis plusieurs années dans divers quotidiens ou lors de conférences en Suède, aux Pays-Bas ou encore en Angleterre, il a précisé que l’Europe était «pour les Européens». Il a également mis en garde contre la possibilité que l’Europe ne devienne «un jour un pays musulman [ou] un pays africain» étant donné l’afflux de réfugiés sur son sol depuis plusieurs années. Selon lui, un «nombre limité» de migrants devrait être autorisé à rester sur le continent. «Je pense qu’ils sont mieux sur leurs propres terres. Mieux vaut garder l’Europe pour les Européens», a expliqué le moine bouddhiste de 83 ans.

Selon les chiffres fournis par l’Union européenne (UE), environ 4,4% des 512 millions de résidents européens sont originaires de pays tiers. Par ailleurs, selon ces mêmes données, 2,4 millions de migrants sont entrés dans l’UE en 2017 en provenance de nations extra-européennes.

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NdR : Vienne le jour où l'on se rende compte enfin en milieu chrétien quel qu'il soit, non seulement qu'il n'y a aucun danger pour notre salut à être en contact avec les Bouddhismes et les bouddhistes mais qu'il y a avantage à essayer de comprendre de quoi il retourne. Il va falloir de façon urgente savoir où est réellement la menace et cesser de composer avec ce qui venant du diable nous veut réellement du mal et cesser de répéter des platitudes sans réflexion sur ce qui ne nous a jamais mis en danger. Père Placide de bienheureuse mémoire avait eu cette intuition que l'Orthodoxie pouvait avantageusement s'intéresser aux bouddhistes occidentaux.
Cela ne plaira sans doute pas à beaucoup de mes frères orthodoxes mais tant pis, je ne suis plus à un ostracisme près. Je sais réellement de quoi je parle pour avoir été sincèrement bouddhiste, avoir étudié les doctrines et pratiqué le zazen. J'ai la conviction qu'il y a plus d'avantages à s'intéresser aux doctrines et aux pratiques bouddhistes qu'à ce qui subsiste de la pauvre Église Catholique si éloignée de ses racines et qui n'est devenue qu'une sorte d'ONG collaborant lâchement sans honte à tout ce qui a pu - successivement, dans notre histoire récente comme plus lointaine - détruire l'Église et réduire de plus en plus le troupeau. Il n'est que de voir à quel point les réactions à l'incendie de Notre Dame auront été faibles alors que cet incendie n'est que le couronnement de tous ceux qui ont été tentés ou réussis dans des lieux plus discrets parce que médiatisés le moins possible.  Il n'y a pas grand chose à attendre de cette organisation à part cesvaines  réunions diplomatiques ou bavardes…
J'ai décidé de reprendre ce que j'avais écrit il y a maintenant des années (14 ans) sur le forum orthodoxe francophone à propos des Bouddhismes et de le développer chaque fois que j'en aurais l'occasion :

Je suis convaincu, et pas seulement par l'expérience de mon cheminement qui est celui d'autres de ma génération, que le contact avec les Bouddhismes offre non seulement un puissant adjuvant dans ce travail indispensable de libération des schémas occidentaux qui polluent notre Christianisme mais également qu'une connaissance plus approfondie de traditions aussi riches et multiséculaires que les Bouddhismes peut nous montrer encore davantage, par confrontation, cette richesse de la nôtre en retour - dont nous sommes tellement convaincus à juste titre nous tous dans ce forum. Ce regard sur cette autre tradition - au sens authentique de transmission, à quoi ne peut malheureusement pas prétendre le Catholicisme - demande évidemment que nous descendions un peu du piédestal où nous place un peu trop aisément ce qui en occident s'est perdu ou déformé. Mais cela vaut la peine de comparer ces deux médecines de l'être (car il s'agit de cela dans mes préoccupations) statut auquel ne peut prétendre que l'Orthodoxie à l'exclusion des "soeurs" occidentales.
Je suis bien aussi navré que Jean Louis [Palierne - mémoire éternelle] que les bouddhismes aient pris la place qu'aurait dû prendre l'Orthodoxie si nos hiérarques s'étaient investis dans la mission, au lieu d'un côté de faire des complexes et d'essayer d'avoir leur place dans le concert des puissances (?) de ce monde et d'un autre de se contenter d'assurer une aumônerie pour les ressortissants des pays orthodoxes émigrés... C'est toute une partie de notre population frustrée dans sa quête spirituelle qui a été abandonnée et qui aurait été aussi émerveillée par l'authentique Orthodoxie que par les sagesses extrême-orientales. Au lieu de cela on s'est acharné - et on le fait encore ! - à dire que ce n'est entre Eglises qu'une affaire de détails ( en d'autres lieux on appelerait ça du révisionnisme !...)

Jean-Louis Palierne avait bien compris ma démarche qui avait réagi à ma proposition par ces mots :

Je pense du reste qu'il n'a pas tort : nous nous focalisons en ce moment sur le catholicisme romain, qui n'est à tout prendre qu'un abcès, une maladie survenue à une partie du troupeau de l'Église du Christ - maladie que nous ne sommes guère en mesure de guérir si le Médecin ne la guérit pas Lui-même ! Alors qu'en effet il y a dans le bouddhisme réel, profond, des choses qui nous aideraient à mieux comprendre notre trésor.
Comme dans toute sagesse humaine, au fond, quand elle est supérieure, ou quand elle tend vers le haut.
Mais peut-être aussi certains d'entre nous ne seraient-ils pas suffisamment préparés à étudier autre chose que ce qu'ils connaissent déjà ? Ou craindraient-ils de se laisser glisser hors de la Foi - alors qu'il n'y a rien à craindre à connaître la sagesse : la Bible elle-même a emprunté des textes, ou des idées, à la sagesse des Grecs. Le Livre de la Sapience (comme nous disions dans ma jeunesse), l'Ecclésiaste, le Livre des Proverbes en sont imprégnés...

À SUIVRE… 

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