Si quelqu'un, en effet, veut aimer la vie et voir des jours heureux, qu'il préserve sa langue du mal et ses lèvres des paroles trompeuses, qu'il se détourne du mal et fasse le bien, qu'il recherche la paix et la poursuive. 1 Pierre 3:10-11 Les lèvres mensongères font horreur à l'Éternel, tandis que ceux qui agissent avec fidélité lui sont agréables. Proverbes 12:22 «C'est ce qui sort de l'homme qui le rend impur. En effet, c'est de l’intérieur, c'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l'immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l'homme impur.» Marc 7:20-23 Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. Proverbes 14:5 « Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le père du mensonge. » Jean 8:44 Si les paroles distinguées ne conviennent pas à un fou, les paroles mensongères conviennent d’autant moins à un noble. Proverbes 17:7 « Écarte de ta bouche la fausseté, éloigne de tes lèvres les détours ! Proverbes 4:24 Craindre l'Éternel, c'est détester le mal. L'arrogance, l'orgueil, la voie du mal et la bouche perverse, voilà ce que je déteste. » Proverbes 8:13 « Pierre lui dit : «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? […] Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.»Actes 5:3-4Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.Apocalypse 21.8

vendredi 26 février 2016

BOULEZ de ma jeunesse…

Ça m'a complètement échappé… et j'ai du mal à le supporter.
Boulez est parti.


Pendant des années j'étais abonné aux concerts de l'IRCAM et je ne sais si beaucoup appréciaient cette musique appelée "contemporaine" qu'il serait temps de songer à renommer, dans ceux qui assistaient à ces concerts "d'avant-garde" il y avait une certaine quantité de snobs qui ne venaient que parce cela devait se faire… personnellement j'y étais comme un poisson dans l'eau. Je ne saurais dire rationnellement pourquoi.
La première fois que j'ai entendu du Boulez c'était sur le "transistor" de mes parents, j'étais donc encore à la maison, et cela été une révélation, un éblouissement et une ouverture définitive à cette musique : la sonatine pour flûte et piano de Pierre Boulez à écouter ci-dessous.
Bien que les circonstances de cette découverte restent gravées dans ma mémoire encore aujourd'hui tellement fut forte mon émotion  esthétique, je me demande bien sur quelle station de radio j'ai entendu cette oeuvre. Elles n'étaient  pas si nombreuses à l'époque.  
Je suis devenu un vrai fan de ce compositeur, écoutant tout ce que je pouvais écouter d'enregistrements jusqu'à me procurer les livres qu'il avaient écrits, lire toutes les interviews que je trouvais et adopter ses points de vue, ses jugements souvent sans appel, et ses références… un vrai fan !

 

La musique avait encore une histoire, une progression avec des ruptures certes mais comme des sauts qui s'inscrivaient encore dans un même mouvement de complexification, dans une succession  comme la plupart des arts… et puis tout a éclaté - c'est la logique de la déconstruction - et désormais il n'y a plus - depuis des décennies maintenant - de syntaxe universellement valable, si bien qu'on peut entendre aujourd'hui des compositions de musique de style néo-classique du XXIème s. en même temps que des musiques synthétiques post sérielles et toutes sortes de mixes. Les compositeurs réintroduisent de l'harmonie classique comme les peintres retrouvent la représentation, la figuration, et les écrivains la narration, les récits. La beauté est protéiforme… comme la laideur et la vulgarité d'ailleurs, et qui ne manquent pas de nos jours…
Maxime le minime

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