L'aide miraculeuse de Père Païssios à un plombier

"Je suis plombier de profession. Un jour de juillet 1997, j’avais terminé mon travail et je rassemblais mes outils pour les mettre dans la voiture. C’était déjà la fin du jour et je ne voyais pas très bien. Il y avait un câble avec deux crochets aux extrémités où l’on accroche habituellement les vêtements – là il n’y en avait plus. Je finissais de ramasser les outils, et c’est alors qu’en me relevant pour aller à la voiture j’ai heurté un des crochets, qu’il est rentré dans mon œil et je suis resté immobile, comme un poisson pris à l’hameçon.
J’ai alors hurlé à l’aide de toutes mes forces.
Le propriétaire de la maison est accouru, m’a vu et m’a dit d’enlever le crochet. Mais je lui ai dit que non car je ne voulais pas risquer de devenir aveugle. Je lui demandé d’aller chercher dans ma voiture une paire de pinces et mon couteau pour couper le câble et un manuel de secours pour me faire les premiers soins sur place.
J’étais désespéré et je pleurais parce que j’avais trois enfants à charge et je ne voulais pas qu’ils aient un père aveugle.
A ce moment est apparu devant moi un homme mince avec une robe noire. A la vue de cet homme avec une croix j’ai eu un frisson et j’ai senti sa main sur ma joue qui m’a poussé la tête vers le haut et qui a fait sortir le crochet de mon œil.
Quand est venu l’homme avec la pince nous sommes allés aux urgences. Pendant l’examen, j’ai raconté aux médecins ce qui s’était passé mais ils ne voulaient pas me croire. [...] ils m’ont donné une pommade et pendant trois ou quatre jours j’ai du garder une compresse de gaze sur mon œil.

Le jour suivant en entrant dans une boutique j’ai aperçu sur le mur la photo de l’homme qui m’était apparu. J’ai demandé à la dame qui tenait le magasin qui c’était. Elle m'a dit que c’était un moine très connu appelé Païssios. Je devais obtenir cette photo parce qu’elle avait une valeur inestimable pour moi. Je lui ai dit que je voulais l’acheter à tout prix. Elle m’a donné un livre écrit par le Père Païssios. Je l’ai lu le jour même et depuis je le garde dans ma voiture comme protection."
Ceci est le témoignage de Nicolas Xinaras de Paphos à Chypre
(version française de Maxime le minime

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