LE GENOCIDE DE SMYRNE - Η ΓΕΝΟΚΤΟΝΙΑ ΤΩΝ ΕΛΛΗΝΩΝ ΤΗΣ ΜΙΚΡΑΣ ΑΣΙΑΣ
SMYRNE
Mère, Smyrne brûle
Et notre vie brûle aussi
Notre douleur ne peut se raconter
Et notre peine ne peut se décrire
Grécité Grécité
Tu ne te reposeras plus
Tu vis une année en paix
Et 30 ans dans le feu
Mère, Smyrne se perd
Nos rêves s'en vont
Et quiconque s’accroche aux bateaux,
Les amis le frappent.
"Nous avions une très grande confiance dans les Européens, leurs bateaux de guerre étaient près de nous sur nos rivages. Nous ne pouvions pas nous figurer que ces Européens laisseraient ces barbares faire ce qu’ils ont fait. Mais la catastrophe de Smyrne est sur l’entière responsabilité de l’armée turque sous le commandement de Mustapha Kermal”.
L’entrée des Turcs à Smyrne
Le samedi 9 septembre 1922, entre 10 et 11 heures , la cavalerie turque entre à Smyrne. Beaucoup de cavaliers portaient des rameaux d’olivier en criant “KORMA” (n’ayez pas peur). C’est la tactique adoptée par les Turcs avant le massacre. Le massacre débuta dans le quartier arménien, suivi du massacre des Grecs.
Le samedi 9 septembre 1922, entre 10 et 11 heures , la cavalerie turque entre à Smyrne. Beaucoup de cavaliers portaient des rameaux d’olivier en criant “KORMA” (n’ayez pas peur). C’est la tactique adoptée par les Turcs avant le massacre. Le massacre débuta dans le quartier arménien, suivi du massacre des Grecs.
Le dimanche 10 septembre, entre 16 et 17 heures, les Turcs ont capturé Mgr Chrisostomos, archevêque métropolitain de Smyrne.
Ils l’ont traîné dans la rue et la foule en délire se précipita sur lui. On le saisit par la barbe et on lui arracha les yeux avec un couteau...
Si vous en avez le courage vous pouvez lire la suite et l'intégralité de l'article sur le site de Diaspora grecque.com
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