Dernières courtes questions simples avant l'irréparable…
La terrible action de ce Patriarche dit "œcuménique" n'est-elle pas diabolique ?
Le Diable (en latin : diabolus, du grec διάβολος / diábolos, issu du verbe διαβάλλω / diabállô, signifiant « celui qui divise » ou « qui désunit » ou encore « qui détruit ») est un nom propre général personnifiant l'esprit du mal (aussi appelé Lucifer ou Satan dans la Bible).
Par tout ce qu’il entreprend pour imposer à l’Orthodoxie depuis des années – et de plus en plus – ses innovations, son relativisme et son papisme cet homme ne fissure-il pas l’Unité, la spécificité et la foi des fidèles ? Comment appeler autrement que diabolique cette division qu’il favorise en enfonçant le clou dans la chair du peuple ukrainien aggravant inéluctablement la déchirure entre Ukrainiens nationalistes et Ukrainiens russophones, entre Orthodoxes slaves et Orthodoxes d’origine hellénique, entre Orthodoxes pour et Orthodoxes contre… ? Quelle paix, quelle unité prétend-il apporter au monde ? N’est-ce pas raviver les tensions, favoriser les dissensions, approfondir les fossés.
Quel besoin a cet homme de vouloir avant tout remettre de l’ordre pour faire preuve d’autorité et montrer qu’il est le chef ?
Cette façon d’exercer l’autorité n’attise-t-elle pas les rébellions au lieu d’unir les peuples ?
N’y a-t-il pas là, encore une fois, confusion entre autorité et pouvoir…
Et que devient la foi orthodoxe dans tout cela ?
Qui osera maintenant encore traiter les moines zélotes d’Esphigmenou d’intégristes, de sectaires, de schismatiques, de fanatiques, eux qui voyant bien depuis longtemps évoluer vers l’abîme ce qu’il faut bien appeler avant tout la « politique » désastreuse du Patriarcat ont refusé de le commémorer et pour cela se sont fait naguère non seulement anathématiser, mais brutaliser par la police grecque en armes, sollicitée par le « pasteur » des brebis de la Sainte Montagne pour se faire obéir. Un évêque qui envoie la police frapper ses moines pour les soumettre et les obliger à prier pour lui (que vaut une prière obtenue par la soumission?), peut-on encore lui clamer « Axios » ?
Est-ce encore servir Dieu que de fissurer non seulement l’unité de l’Église – en prétendant œuvrer à son unité – mais encore la foi même des fidèles, en introduisant le doute dans leur esprit et le trouble dans leur cœur, en les poussant à la fois de par le monde au phylétisme, au relativisme confessionnel, à l’abandon progressif de la Tradition et pour finir à l’indifférentisme qui confine à la disparition de l’Orthodoxie ?
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