jeudi 7 octobre 2021
mardi 5 octobre 2021
samedi 2 octobre 2021
LA BANDE ANNONCE DU FILM consacré à la vie de St NECTAIRE d'ÉGINE
Voir ici l'article précédent de ce blog sur le tournage du film
LA BANDE ANNONCE DU FILM consacré à la vie de St NECTAIRE d'ÉGINE
Voir ici l'article précédent de ce blog sur le tournage du film
mercredi 29 septembre 2021
Éric Verhaeghe décortique le projet du Grand Reset
Le Great Reset : mythes et réalités
Haut fonctionnaire, entrepreneur et essayiste, Éric Verhaeghe décortique le projet du Grand Reset porté par Klaus Schwab – le fondateur du Forum économique mondial de Davos – et Thierry Malleret – ancien collaborateur de Michel Rocard – dans le cadre de la pandémie de coronavirus.
« Les auteurs du Great Reset considèrent que l’épidémie de coronavirus doit légitimer le recours à des outils de violation de la vie privée. »
« Au cœur de ce dispositif, on trouve la surveillance généralisée pour lutter contre le coronavirus. »
« L’idée du Great Reset est d’influencer les décisions politiques en disant que le modèle du capitalisme de demain, qui est compatible avec ce que fait la Chine, c’est de faire de l’économie circulaire, de surveiller les gens, de créer des logiciels de reconnaissance faciale, de gérer les datas, etc. »
« Ce qui est prôné, c’est vraiment la mise en place de 1984 de Georges Orwell, c’est-à-dire la surveillance de l’individu au nom de sa protection et au nom de la protection du groupe. »
« On est dans la projection futuriste d’une société cauchemardesque et abominable. »
« On est dans un modèle fondamentalement socialiste d’expropriation et de collectivisation des biens. »
« C’est un outil de préparation de la mort sociale ou en tout cas d’un extrême asservissement des individus. »
Pour Éric Verhaeghe, les réformes économiques, sociales et politiques prônées par les auteurs du Grand Reset pour trouver d’autres sources de profits et de nouveaux relais de croissance ont toutefois peu de chance d’aboutir, et leur caractère imprécatoire illustre la panique des élites alors que le modèle mondialiste semble à bout de souffle.
« Je l’interprète comme le chant du cygne du capitalisme tel qu’on l’a connu. Je pense que l’on va évoluer vers un autre modèle. »
« Mark Zuckerberg, Bill Gates, toutes ces fortunes constituées en 20 ou 30 ans, qui sont colossales, comme nous n’en avons jamais connu dans l’histoire, de mon point de vue, ce n’est pas un modèle durable. »
« Aujourd’hui, il y a un débat entre ceux qui considèrent que le progrès humain passe par la mondialisation, le mondialisme, et ceux qui considèrent que ce qui nous permet le mieux de maîtriser notre destin, c’est l’État-nation. »
Je fais très confiance aux peuples. Je suis convaincu que les peuples n’accepteront pas très longtemps le totalitarisme des GAFAM, qu’ils demanderont leur démantèlement et que les sources de richesses de ces entreprises vont se tarir petit à petit. »
Le Great Reset : mythes et réalités
Éric Verhaeghe décortique le projet du Grand Reset
Le Great Reset : mythes et réalités
Haut fonctionnaire, entrepreneur et essayiste, Éric Verhaeghe décortique le projet du Grand Reset porté par Klaus Schwab – le fondateur du Forum économique mondial de Davos – et Thierry Malleret – ancien collaborateur de Michel Rocard – dans le cadre de la pandémie de coronavirus.
« Les auteurs du Great Reset considèrent que l’épidémie de coronavirus doit légitimer le recours à des outils de violation de la vie privée. »
« Au cœur de ce dispositif, on trouve la surveillance généralisée pour lutter contre le coronavirus. »
« L’idée du Great Reset est d’influencer les décisions politiques en disant que le modèle du capitalisme de demain, qui est compatible avec ce que fait la Chine, c’est de faire de l’économie circulaire, de surveiller les gens, de créer des logiciels de reconnaissance faciale, de gérer les datas, etc. »
« Ce qui est prôné, c’est vraiment la mise en place de 1984 de Georges Orwell, c’est-à-dire la surveillance de l’individu au nom de sa protection et au nom de la protection du groupe. »
« On est dans la projection futuriste d’une société cauchemardesque et abominable. »
« On est dans un modèle fondamentalement socialiste d’expropriation et de collectivisation des biens. »
« C’est un outil de préparation de la mort sociale ou en tout cas d’un extrême asservissement des individus. »
Pour Éric Verhaeghe, les réformes économiques, sociales et politiques prônées par les auteurs du Grand Reset pour trouver d’autres sources de profits et de nouveaux relais de croissance ont toutefois peu de chance d’aboutir, et leur caractère imprécatoire illustre la panique des élites alors que le modèle mondialiste semble à bout de souffle.
« Je l’interprète comme le chant du cygne du capitalisme tel qu’on l’a connu. Je pense que l’on va évoluer vers un autre modèle. »
« Mark Zuckerberg, Bill Gates, toutes ces fortunes constituées en 20 ou 30 ans, qui sont colossales, comme nous n’en avons jamais connu dans l’histoire, de mon point de vue, ce n’est pas un modèle durable. »
« Aujourd’hui, il y a un débat entre ceux qui considèrent que le progrès humain passe par la mondialisation, le mondialisme, et ceux qui considèrent que ce qui nous permet le mieux de maîtriser notre destin, c’est l’État-nation. »
Je fais très confiance aux peuples. Je suis convaincu que les peuples n’accepteront pas très longtemps le totalitarisme des GAFAM, qu’ils demanderont leur démantèlement et que les sources de richesses de ces entreprises vont se tarir petit à petit. »
Le Great Reset : mythes et réalités
jeudi 23 septembre 2021
C’est pourquoi Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom
Le nom de Jésus, parce que le fils de Dieu y est présent en personne — et ce Nom est inséparable de sa personne — contient la vie éternelle et divine, bienheureuse et céleste, de laquelle vivent tous les anges, et dont vivra éternellement toute âme humaine qui sera sauvée, et qui, finalement, comme le Seigneur le dit lui-même, demeurera en Lui : Demeurez en moi. (Jean 15,5)
Car tout comme la plénitude de la divinité habitait essentiellement dans la chair du Christ, selon la parole de Saint-Paul (Col. 2,9), la plénitude de la divinité habite aussi essentiellement et invariablement dans son Saint Nom. Lorsque, par la prière, nous entrons en communion avec elle, notre esprit communie à la vie éternelle. Bienheureux, s’exclame le prophète, le peuple qui connaît la jubilation (de la prière) ; Seigneur, ils marcheront à la lumière de ta Face, en ton Nom, ils exulteront tout le jour (Ps 88,16–17).
Nous lisons la même chose chez les Saints Pères. Au chapitre 50 du livre des patriarches de Constantinople, Calliste et Ignace Xantopoulos, il est dit que ceux qui ont une expérience de la vie spirituelle, et ont atteint les hauteurs de la perfection, disent d'eux-mêmes que leurs prières et leurs supplications se résument à un seul mot : « Jésus » ; ou à deux « Jésus Christ » ; ou à trois « Seigneur Jésus Christ »…
[Selon certains Pères, les cinq paroles dont parle l'apôtre Paul (cf 1 Cor. 14,19 : « Je préfère dire cinq paroles avec mon intelligence pour enseigner aussi les autres que dix-mille en langue » correspondent à la Prière de Jésus qui, selon certaines versions, en grec (« Κύριε Ιησού Χριστέ ελέησόν με ») , comme en slavon (« Господи Иисусе Христе помилуй мя ») comprend ces cinq mots dans sa version habituelle. Les versions pour la prière de Jésus varient. Celle en cinq paroles est conforme à la parole de Saint-Paul. Autre formule : « Seigneur Jésus-Christ, fils de Dieu, aie pitié de moi ! », « Seigneur Jésus-Christ fils de Dieu, aie pitié de moi pécheur/pécheresse ! » en communauté « Seigneur Jésus-Christ fils de Dieu, aie pitié de nous! », « Seigneur Jésus-Christ fils de Dieu, aie pitié de nous et de ton monde ! »]
… Plus loin ils ajoutent qu'avec ces quelques mots ou leur esprit étreint et leur cœur embrasse la totalité de l'ouvrage de la prière. Ces paroles les remplissent d'une douceur ineffable dépassant l'entendement et tout ce qui a été vu ou entendu.
Pourquoi, dans ce seul mot, « Jésus », trouvent-ils la plénitude de la vie spirituelle et du sentiment de Dieu, jusqu'à ne plus avoir besoin d'autres prières ? Parce que le nom de Jésus s'identifie pour eux au Seigneur Jésus-Christ Lui-même, et, suivant Saint Macaire le Grand, ils touchent ainsi en esprit le Seigneur lui-même et deviennent, comme le dit l'Apôtre, un seul esprit avec Lui.
Ils boivent par-là l’eau de la vie éternelle, dont parle le Seigneur :
« Celui qui boit de l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif. Elle deviendra en lui une source jaillissante en vie éternelle. » (Jean 4,14).
Dans cet état, l'intellect et toutes les facultés de l’âme sont recueillis en un seul point, et ne peuvent plus se dépenser en paroles multiples. L'homme atteint à la simplicité de sa nature spirituelle, et pénètre dans la conscience unifiée de lui-même. Étant ainsi pleinement unifié, il devient, gracieusement et indiciblement, participant de la nature divine (2 Pi 1,4)
Lorsqu'abondent les pensées, les désirs et les sentiments, il n'est pas possible d'atteindre une telle union avec Dieu, parce que ceux-ci se dressent comme une barrière matérielle entre nous et Dieu.
Lorsque la pratique de cette prière, à la fois de l'intellect et du cœur, qu’est la Prière de Jésus, s’accompagne de sentiment de repentir et de profonde contrition, le cœur éprouvé expérimente effectivement que le Nom de Jésus-Christ s’identifie à la Personne de notre Sauveur divin, le Seigneur Jésus-Christ, et qu'il est impossible de séparer le Nom de la Personne nommée. S’identifiant l'un à l’autre, ils se compénètrent l'un l'autre et deviennent un. (Voir le troisième commandement donné à Moïse : Tu n’invoqueras point le nom de l'Éternel, ton Dieu, en vain ; car l'Éternel ne laissera point Impuni celui qui invoquera son nom en vain [Ex 20,7]
C'est pourquoi le Nom de Jésus-Christ est redoutable pour toute créature, car il contient en lui le Seigneur en personne. C'est pourquoi l'honneur divin et toute adoration et vénération lui reviennent. Comment en témoigne l'Apôtre, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père (Ph 2,10). Ce bref extrait de la doctrine des Saints Pères le confirme en partie :
« Pour voir la lumière du Christ dans son cœur, il faut, dans la mesure du possible, s'abstraire des objets visibles, plonger l'intellect à l'intérieur du cœur et crier : « Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, aie pitié de moi pécheur. » Selon la ferveur de son esprit envers le bien-aimé, l'homme trouve alors dans le Nom qu'il invoque la douceur qui alimente le désir d'une illumination supérieure. Lorsqu'il contemple ainsi la lumière éternelle au-dedans de lui, son intellect est purifié et ne contient plus aucune représentation sensible. Il est comme entièrement immergé dans la contemplation de la beauté à créer, ils oublient tout le sensible, ne veut plus se voir lui-même, mais il voudrait se cacher au plus profond de la terre, pour ne pas être privé de ce véritable bonheur qui est Dieu. »
La vie éternelle, suivant les Docteurs de l'Église, consistera dans l'union la plus étroite qu'une créature puisse avoir avec Dieu, et dans la vision de sa gloire insondable, comme le dit Saint-Jean le Théologien : « Nous le verrons tel qu'Il est » (1 Jean 3,2).
C’est pourquoi Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom
Le nom de Jésus, parce que le fils de Dieu y est présent en personne — et ce Nom est inséparable de sa personne — contient la vie éternelle et divine, bienheureuse et céleste, de laquelle vivent tous les anges, et dont vivra éternellement toute âme humaine qui sera sauvée, et qui, finalement, comme le Seigneur le dit lui-même, demeurera en Lui : Demeurez en moi. (Jean 15,5)
Car tout comme la plénitude de la divinité habitait essentiellement dans la chair du Christ, selon la parole de Saint-Paul (Col. 2,9), la plénitude de la divinité habite aussi essentiellement et invariablement dans son Saint Nom. Lorsque, par la prière, nous entrons en communion avec elle, notre esprit communie à la vie éternelle. Bienheureux, s’exclame le prophète, le peuple qui connaît la jubilation (de la prière) ; Seigneur, ils marcheront à la lumière de ta Face, en ton Nom, ils exulteront tout le jour (Ps 88,16–17).
Nous lisons la même chose chez les Saints Pères. Au chapitre 50 du livre des patriarches de Constantinople, Calliste et Ignace Xantopoulos, il est dit que ceux qui ont une expérience de la vie spirituelle, et ont atteint les hauteurs de la perfection, disent d'eux-mêmes que leurs prières et leurs supplications se résument à un seul mot : « Jésus » ; ou à deux « Jésus Christ » ; ou à trois « Seigneur Jésus Christ »…
[Selon certains Pères, les cinq paroles dont parle l'apôtre Paul (cf 1 Cor. 14,19 : « Je préfère dire cinq paroles avec mon intelligence pour enseigner aussi les autres que dix-mille en langue » correspondent à la Prière de Jésus qui, selon certaines versions, en grec (« Κύριε Ιησού Χριστέ ελέησόν με ») , comme en slavon (« Господи Иисусе Христе помилуй мя ») comprend ces cinq mots dans sa version habituelle. Les versions pour la prière de Jésus varient. Celle en cinq paroles est conforme à la parole de Saint-Paul. Autre formule : « Seigneur Jésus-Christ, fils de Dieu, aie pitié de moi ! », « Seigneur Jésus-Christ fils de Dieu, aie pitié de moi pécheur/pécheresse ! » en communauté « Seigneur Jésus-Christ fils de Dieu, aie pitié de nous! », « Seigneur Jésus-Christ fils de Dieu, aie pitié de nous et de ton monde ! »]
… Plus loin ils ajoutent qu'avec ces quelques mots ou leur esprit étreint et leur cœur embrasse la totalité de l'ouvrage de la prière. Ces paroles les remplissent d'une douceur ineffable dépassant l'entendement et tout ce qui a été vu ou entendu.
Pourquoi, dans ce seul mot, « Jésus », trouvent-ils la plénitude de la vie spirituelle et du sentiment de Dieu, jusqu'à ne plus avoir besoin d'autres prières ? Parce que le nom de Jésus s'identifie pour eux au Seigneur Jésus-Christ Lui-même, et, suivant Saint Macaire le Grand, ils touchent ainsi en esprit le Seigneur lui-même et deviennent, comme le dit l'Apôtre, un seul esprit avec Lui.
Ils boivent par-là l’eau de la vie éternelle, dont parle le Seigneur :
« Celui qui boit de l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif. Elle deviendra en lui une source jaillissante en vie éternelle. » (Jean 4,14).
Dans cet état, l'intellect et toutes les facultés de l’âme sont recueillis en un seul point, et ne peuvent plus se dépenser en paroles multiples. L'homme atteint à la simplicité de sa nature spirituelle, et pénètre dans la conscience unifiée de lui-même. Étant ainsi pleinement unifié, il devient, gracieusement et indiciblement, participant de la nature divine (2 Pi 1,4)
Lorsqu'abondent les pensées, les désirs et les sentiments, il n'est pas possible d'atteindre une telle union avec Dieu, parce que ceux-ci se dressent comme une barrière matérielle entre nous et Dieu.
Lorsque la pratique de cette prière, à la fois de l'intellect et du cœur, qu’est la Prière de Jésus, s’accompagne de sentiment de repentir et de profonde contrition, le cœur éprouvé expérimente effectivement que le Nom de Jésus-Christ s’identifie à la Personne de notre Sauveur divin, le Seigneur Jésus-Christ, et qu'il est impossible de séparer le Nom de la Personne nommée. S’identifiant l'un à l’autre, ils se compénètrent l'un l'autre et deviennent un. (Voir le troisième commandement donné à Moïse : Tu n’invoqueras point le nom de l'Éternel, ton Dieu, en vain ; car l'Éternel ne laissera point Impuni celui qui invoquera son nom en vain [Ex 20,7]
C'est pourquoi le Nom de Jésus-Christ est redoutable pour toute créature, car il contient en lui le Seigneur en personne. C'est pourquoi l'honneur divin et toute adoration et vénération lui reviennent. Comment en témoigne l'Apôtre, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père (Ph 2,10). Ce bref extrait de la doctrine des Saints Pères le confirme en partie :
« Pour voir la lumière du Christ dans son cœur, il faut, dans la mesure du possible, s'abstraire des objets visibles, plonger l'intellect à l'intérieur du cœur et crier : « Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, aie pitié de moi pécheur. » Selon la ferveur de son esprit envers le bien-aimé, l'homme trouve alors dans le Nom qu'il invoque la douceur qui alimente le désir d'une illumination supérieure. Lorsqu'il contemple ainsi la lumière éternelle au-dedans de lui, son intellect est purifié et ne contient plus aucune représentation sensible. Il est comme entièrement immergé dans la contemplation de la beauté à créer, ils oublient tout le sensible, ne veut plus se voir lui-même, mais il voudrait se cacher au plus profond de la terre, pour ne pas être privé de ce véritable bonheur qui est Dieu. »
La vie éternelle, suivant les Docteurs de l'Église, consistera dans l'union la plus étroite qu'une créature puisse avoir avec Dieu, et dans la vision de sa gloire insondable, comme le dit Saint-Jean le Théologien : « Nous le verrons tel qu'Il est » (1 Jean 3,2).













