vendredi 29 septembre 2023
QUI FAIT LE MAL LE MAL ROULERA SUR LUI…
dimanche 24 septembre 2023
UNE HISTOIRE DE VRAI AMOUR
Jean 15
« Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. »
C’est cette phrase de Notre Lumineux Seigneur qu’a suivie et appliquée de tout son être Sainte Xenia. Elle, déchirée par la perte de son bien aimé mort dans le péché, souffrant doublement de l’avoir perdu pour elle et de son pressentie perdition pour Dieu a consacré sa vie en son entier pour le sauver. Elle a endossé tous ses péchés en même temps que son costume militaire et son nom. Elle s’est identifiée entièrement à son être jusqu’à se renier totalement, corps et âme pour lui. Priant à sa place, vivant dans la pauvreté du corps et de l’esprit, et dans l’ascèse à sa place. Elle a prolongé sa vie terrestre dans son corps et son cœur mêmes pour qu’il soit sauvé. Comme elle a du l’aimer cet homme ! Mais traversant, dépassant et transcendant l’amour humain qu’elle avait pour son bien aimé, elle l’a aimé d’un amour divin. Elle l’a aimé comme il nous est demandé d’aimer nos amis et notre prochain. Xenia, bénie de Dieu soit elle, n’était pas une tiède car Dieu vomit les tièdes. En devenant son homme, elle est entrée dans le chemin épineux et ardu de l’amour et de la kénose du Christ . Elle s’est reniée et se donnant à Dieu pour sauver son homme, elle a suivi le Christ-Dieu qui s’est laissé ignorer, insulter, mépriser et crucifier, Dieu devenu homme pour que l’homme puisse être sauvé et devienne Dieu. Et c’est en donnant tout son être pour que son homme soit illuminé qu’elle-même a reçu l’illumination et les dons divins.
Bénie sois-tu Bienheureuse Xenia que nous chérissons, d’être passée sur cette terre pour nous montrer le chemin du don de soi dans la prière pour notre prochain et nous soutenir, faibles pécheurs que nous sommes. Prie Dieu pour nous, nous t’en supplions.
Maxime le minime
samedi 23 septembre 2023
ICÔNE DE LA BIENHEUREUSE XENIA AVEC UN SOU à la montagne Leushinsky
On sait qu'au cours de sa vie, la bienheureuse Ksenia a souvent aidé les gens avec ces pièces : elle a béni, prédit et sauvé.
« Ayant de nombreuses connaissances, pour la plupart issues de la classe marchande, elle leur venait souvent leur demander l'aumône et n'emportait rien de plus qu'un « roi à cheval » : c'est ainsi qu'elle appelait les vieux kopecks, sur lesquels, comme vous le savez, il y avait une image d'un cavalier sur un cheval. «Donnez-moi un tsar à cheval», disait-elle toujours d'une voix apaisante, elle prenait un sou et partait.La bienheureuse Xénia recevait souvent de grosses sommes d'argent « pour la prière » ; elle aurait pu amasser une énorme fortune, mais elle n'a jamais pris plus d'un kopeck, « le roi à cheval ». Il y a eu, par exemple, un cas où dans un magasin de la bienheureuse Xenia, en réponse à sa demande d'un « roi à cheval », plusieurs pièces d'or ont été discrètement mises dans sa poche. En sortant dans la rue, la bienheureuse Ksenia a découvert ces pièces d'or. Elle retourna au magasin et, rendant l'or, demanda « un roi à cheval » à la place.
Mais ce ne sont pas seulement les prédictions et les prophéties qui ont attiré de nombreuses personnes vers elle. Elle était aimée et honorée pour son aide, son soutien et sa sympathie. Au milieu du XIXe siècle, les habitants de la région de Saint-Pétersbourg ont rappelé que la bienheureuse Xenia avait réussi à subvenir aux besoins de plusieurs centaines de familles pauvres grâce à ses maigres collections « centime par centime ». Les pauvres, qui trouvaient plus facile de vivre « près de Xenia », cherchaient à s'installer auprès d'elle. En même temps, la bienheureuse Ksenia devinait toujours sans équivoque le « bon garçon » ou le « malheureux pauvre ». Les anciens du marché de Sytny ont rappelé comment la bienheureuse Ksenia avait offert à un mendiant un « roi à cheval », en lui disant : « Tu monteras loin dessus... » - et il est vraiment devenu un homme riche.
Le prêtre Dimitri Boulgakovski, l'un des premiers à avoir commencé à recueillir des informations sur la bienheureuse Xénia, a réussi à s'entretenir avec M.I. Belyaeva, une vieille femme de quatre-vingts ans, « distinguée par une haute piété ». Elle était la fille de Pélagia Dionisievna et la nièce d’Evdokia Dionisievna, et se souvenait bien des histoires de sa mère sur la bienheureuse Xenia."Chez ma tante", a déclaré M.I. Belyaeva, "Ksenyushka passait parfois la nuit. Un jour, après avoir rencontré Evdokia Dionisyevna dans la rue, Ksenia l'arrêta et, lui mit inopinément dans la main une pièce de cuivre de cinq kopecks avec l'image d'un cavalier côté face, que quelqu'un venait de lui remettre en lui disant : " Prends ce Piatak, le roi est à cheval ; rentre chez toi, il va s'éteindre ! " La femme surprise a pris le sou, a dit au revoir à Ksenia et, se demandant ce que signifiaient ces mots étranges, est rentrée chez elle. Mais dès qu'elle est sortie dans la rue où elle habitait, elle a vu que sa maison était en feu. Elle a réussi à rejoindre sa maison et les flammes ont été éteintes. C'est alors seulement qu'elle comprit ce que signifiaient les paroles de la bienheureuse Xénia : « Prends un sou, il va s'éteindre ! »
TABLEAUX DE LA VIE DE SAINTE XENIA de Petersbourg
La bienheureuse Xénia vécut au XVIIIe siècle. Épouse du colonel André Théodorovitch Petrov, chanteur à la cour de la tzarine Élisabeth, rien ne semblait la destiner à l’ascèse terrible de la folie pour le Christ. N’ayant pas eu d’enfants, elle aimait d’autant plus son époux, reportant sur lui l’amour qu’elle eût dispensé à ceux-ci. Au cours d’une réception au cours de laquelle il avait beaucoup bu, André Théodorovitch, pourtant jeune et en bonne santé, mourut soudain sans avoir eu le temps de se préparer spirituellement et sans avoir communié une ultime fois aux Saints Mystères du Christ. Xénia changea alors totalement. Elle se revêtit des habits de son mari et demanda que, désormais, on ne l’appelle plus qu’André Théodorovitch.
Réalisant la vanité des biens terrestres et le caractère très transitoire des joies de la vie ici-bas, elle se dépouilla de ce qu’elle avait. LIRE LA SUITE ICI




EnregistrerEnregistrer
lundi 18 septembre 2023
samedi 16 septembre 2023
Grégoire Palamas : QUI EST DIEU ?
vendredi 15 septembre 2023
mercredi 13 septembre 2023
lundi 11 septembre 2023
dimanche 10 septembre 2023
Plus de dix mille pèlerins dans la Laure de Pochaiev malgré les persécutions
Auteur : Kirill Alexandrov
25-29 août
Malgré toutes les interdictions et provocations, la procession de la croix de Kamyanets-Podilskyi à la Laure de Pochaiv a eu lieu. L'Union des journalistes orthodoxes a largement couvert cette procession croisée, en fournissant des vidéos et des photos montrant comment les personnes arrivant d'autres villes ont été confinées par les forces de l'ordre dans le bâtiment de la gare, comment la police a bloqué le territoire de la cathédrale de Kamyanets-Podilskyi, comment les policiers ont distribué des avis de convocation à la conscription militaire aux hommes osant participer à la procession de la croix, comment la police a confisqué les permis des chauffeurs de bus transportant des pèlerins, comment des militants anti-ecclésiastiques ont insulté et menacé les croyants, comment la police a bloqué les routes, obligeant les porteurs de croix à se promener dans les champs, comment les autorités locales ont interdit aux citoyens ukrainiens de se promener dans leur propre pays, etc. Il s’est passé beaucoup de choses.Ils n'ont pas marché pour prouver quelque chose à quelqu'un, mais pour prouver leur amour pour le Christ et la Mère de Dieu. Et si nécessaire, endurer les privations, faire face au danger, être calomniés, couverts de crachats, expulsés de la vérité, mais confesser sa foi devant le monde. Après tout, dans l’ensemble, aucun de ceux qui sont venus à la procession de croix ne savait comment tout cela pourrait se terminer. Les adeptes de la religion du broyeur et du pied de biche auraient pu tout orchestrer. Et nous avons déjà vu de quoi ils sont capables dans diverses régions de notre pays. Face à tous ces dangers, des milliers de personnes ont déclaré : « Oui, je suis au Christ ; si vous voulez me rejeter, rejetez-moi, mais je ne m'éloignerai pas du Christ ».
Et pourtant, des gens auraient pu choisir de ne pas participer à la procession des croix. Ils auraient pu simplement rester à la maison. Cela n'aurait pas été une trahison. Les hommes auraient pu réfléchir au risque de recevoir des avis de conscription au commissariat militaire. Les femmes auraient pu envisager d’éventuelles provocations de la part de militants anti-ecclésiastiques. Les enfants et leurs parents étaient peut-être inquiets de la chaleur insupportable. Et tous les participants à la procession croisée auraient pu s'inquiéter d'éventuelles arrestations, passages à tabac, pertes d'emploi, exclusion de la Laure, etc. Mais quand même, les gens ont choisi d’aller à Pochaiev ! Et c’est une véritable confession de foi, qui rappelle les premiers siècles du christianisme.
Peut-être qu'après un certain temps, lorsque les historiens de l'Église décriront les persécutions actuelles contre l'Église, la procession de Kamyanets-Podilskyi à Pochaiev en 2023 sera saluée comme un symbole de la confession de la foi chrétienne face aux persécuteurs. Aujourd’hui, dans de nombreux endroits, les croyants défendent leurs églises contre les saisies et les transferts non autorisés vers l’Église orthodoxe d’Ukraine. Une position héroïque est adoptée pour garantir que la Laure de Kiev-Petchersk reste un sanctuaire orthodoxe, plutôt que de se transformer en un ensemble d'institutions laïques ou en un centre d'artisanat populaire. Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve.
samedi 9 septembre 2023
Moine Moïse l'Athonite : Il est temps pour nous de voir l’essence de l’Église
vendredi 8 septembre 2023
Comprendre la coopération parasitaire entre les globalistes et les gauchistes
Par Brandon Smith − Le 18 aout 2023
Je dois admettre que dans mes efforts pour analyser et disséquer les idéologies et les agendas de l’extrême-gauche/globaliste, j’en suis arrivé à un point où je suis autant fasciné qu’horrifié. Considérons un instant le récit progressiste “intersectionnel” que nous appelons souvent “woke” : Il ne s’agit pas d’un mouvement militant, car les femmes jouissent déjà de droits égaux en vertu de la loi. Il s’agit en partie d’un mouvement politique, mais leurs objectifs vont bien au-delà de la nomination de candidats au gouvernement – une grande partie du gouvernement est déjà de leur côté. Ils prétendent s’opposer au “capitalisme” et au pouvoir des entreprises, mais leur mouvement est principalement financé par les élites financières qu’ils disent mépriser.
Il s’agit d’un système de croyance aveugle et de l’invasion d’une secte qui se vénère elle-même, qui vénère le pouvoir et qui cherche à saper la vérité chaque fois que c’est possible, comme un moyen d’arriver à ses fins. Nous assistons à l’avènement de l’histoire, à la naissance d’une religion monstrueuse du relativisme moral.
Pour comprendre la gauche politique et ses tactiques, il faut comprendre sa relation avec les globalistes. Les groupes “wokes” sont une création du régime corporatiste/globaliste. Depuis des décennies, des groupes de réflexion comme la Fondation Ford et la Fondation Rockefeller préparent les universités à produire une réserve constante de membres de secte, tous endoctrinés dans un récit soigneusement élaboré qui s’accroche au socialisme et utilise le statut de victime comme monnaie d’échange.
Ils abhorrent la méritocratie et se font des illusions sur l’équité. Ils réclament une utopie impossible qui garantisse l’égalité des résultats. Ils considèrent l’autosuffisance comme de la criminalité, une tentative d’échapper à la surveillance collective. Et ils sont tout à fait disposés à rationaliser la malhonnêteté, la désinformation, la déconstruction, le chaos et le meurtre comme moyens d’obtenir ce qu’ils veulent.
Comme je l’ai déjà souligné par le passé, il est difficile de combattre un mouvement sans morale et sans honte. Si votre objectif est de les convaincre d’arrêter ce qu’ils font en utilisant la logique, les données, le bon sens et les appels à la conscience, vous échouerez. Ils ne se soucient d’aucune de ces choses. L’obsession des gauchistes pour le pouvoir est absolue – ils ne parlent que de cela. C’est la racine de chacun de leurs arguments.
Cela dit, leur conception du pouvoir est plutôt limitée et enfantine.
Pour les Wokes, le pouvoir est dans l’annulation de la culture. Le pouvoir est dans la foule. Le pouvoir se trouve dans les manifestations de destruction et de contrôle collectifs. Ils se demandent : “Que pouvons-nous prendre aux autres et comment pouvons-nous susciter la peur ?” Ils pensent que plus ils peuvent prendre, plus ils ont de pouvoir.
Les globalistes considèrent le pouvoir de la même manière que les gauchistes, mais ils élargissent le manifeste en se posant la question suivante : “Comment pouvons-nous convaincre les autres de nous donner le contrôle de leur plein gré ?”
Les idiots utiles Wokes considèrent le pouvoir comme quelque chose qui doit être volé par l’intimidation ou la force. Les globalistes considèrent le pouvoir comme quelque chose qui leur est remis par les idiots utiles. Pour obtenir ce pouvoir, les globalistes consacrent la majeure partie de leur énergie et de leurs richesses à la fabrication du consentement. Il ne suffit pas de contrôler la population, il faut lui faire croire que votre oligarchie est LEUR IDÉE. Ainsi, ils n’essaieront jamais de se défendre.
Pendant que les activistes Wokes courent partout comme des singes avec des allumettes pour essayer de brûler le monde, les globalistes regardent les activistes et se disent : “Comment puis-je faire en sorte que ces singes brûlent les choses que je veux qu’ils brûlent ?”
Pour obtenir le consentement de la moitié de la population d’un pays, il faut un appareil de désinformation massif. Je doute que la plupart des gauchistes réalisent que toute leur philosophie a été financée et fabriquée par des entreprises. Et si vous les éduquez sur le fait qu’ils sont maintenant alliés avec les mêmes vampires ultra-riches des entreprises qu’ils disent détester, vous découvrirez rapidement que cela ne les dérange pas. Ils acceptent volontiers le contrat du diable parce qu’ils y voient un moyen de “gagner”. C’est ainsi que les gauchistes politiques et les globalistes sont indissociablement liés.
C’est pourquoi je ne prends plus au sérieux les arguments sur le “faux paradigme gauche/droite”. Bien sûr, il y a encore des néo-conservateurs dans le parti républicain qui se prétendent conservateurs alors qu’ils sont en réalité des globalistes et des gauchistes. Là n’est pas la question. Le fait est que des millions et des millions de gens ordinaires de gauche ont délibérément choisi de se ranger du côté des globalistes et ont spécifiquement ciblé la culture conservatrice et patriote pour la détruire.
Ils sont l’ennemi, tout autant que les globalistes sont l’ennemi. Sans la foule gauchiste, les globalistes n’ont aucun pouvoir. Il est temps d’accepter cette réalité au lieu de se rabattre sur le même vieil argument paresseux : “Mais les deux côtés sont le problème…” Non, il n’y a qu’un seul camp qui pose problème. Ils ont toujours été le problème, quels que soient les masques politiques qu’ils portent.
Si vous regardez la pyramide de bas en haut, le “faux paradigme gauche/droite” n’existe plus. Il existe un TRÈS VRAI paradigme gauche/droite. La division est une réalité. Les lignes ont été tracées par l’establishment : soit vous êtes avec eux, soit vous êtes contre eux. Il n’y a pas d’entre-deux.
Dans le film “Le cabinet du Dr Caligari”, un membre de l’élite de la société transforme un homme en monstre par hypnose, l’envoyant traquer la campagne pour tuer les personnes que l’élite veut écarter de son chemin. Les globalistes ont également utilisé le mesmérisme pour convoquer leur propre monstre gauchiste chaque fois qu’ils ont besoin de faire le sale boulot. Ils veulent que les gauchistes démolissent deux piliers essentiels : la perception qu’ont les gens de la liberté et la perception qu’ont les gens des faits objectifs.
Par exemple, regardez la récente “crise” Covid et la réponse draconienne que la majorité des gauchistes a soutenue. De même, les récits hystériques sur le changement climatique et les appels à la restriction des émissions de carbone qui conduiraient inévitablement à une dépopulation massive sont largement soutenus par la gauche politique.
Ces deux programmes s’appuient sur la notion de menace existentielle qui oblige les gens à sacrifier leurs libertés au niveau microéconomique. Pourtant, les obligations Covid suggèrent que nous devons sauver la population de la mort, tandis que les obligations relatifs au changement climatique suggèrent que nous devons tuer la majeure partie de la population pour protéger l’environnement. Cela n’a aucun sens si l’on ne comprend pas que la réduction de la liberté est le but ultime. La gestion de la crise Covid n’a jamais eu pour but de sauver des vies et les contrôles climatiques n’ont rien à voir avec la sauvegarde de la planète.
Quant aux perceptions des faits objectifs, il suffit de regarder le mouvement transgenre pour voir que les fondements mêmes de la vérité sont assiégés. Si la biologie est subjective, si l’identité est subjective, si les détails génétiques que nous utilisons pour définir et catégoriser notre espèce sont des “constructions sociales” plutôt que des faits, alors presque toutes les vérités peuvent être visées. Je pense que cette tentative de faire de la vérité biologique une question de prérogative est faite dans l’intention de rendre la vérité morale mutable.
Si la civilisation est convaincue d’accepter la mutilation et la stérilisation chirurgicale/chimique de notre jeunesse, si nous pouvons être convaincus d’accepter la sexualisation des enfants dès leur plus jeune âge, alors nous pouvons facilement être convaincus d’accepter à peu près n’importe quoi d’autre. La pédophilie ? L’esclavage ? Le meurtre ? Tout cela au nom d’un hédonisme qui se fait passer pour de la liberté.
Par extension, l’abandon des vérités universelles conduira invariablement à la remise en cause de la liberté elle-même. Qu’est-ce que la liberté ? Est-elle une préoccupation légitime pour l’avenir ? Après tout, nous “vivons en société” et, selon les gauchistes, tout ce que nous faisons “affecte les autres”. Par conséquent, la liberté peut être dangereuse ; elle peut blesser ou contrarier les autres. Elle pourrait ruiner la planète. Il vaut mieux s’en débarrasser complètement pour le bien de la collectivité…
C’est une dichotomie éternelle : sans vérité, il ne peut y avoir de liberté ; sans liberté, il ne peut y avoir de vérité. Le côté obscur de cette pièce est la dichotomie globaliste/gauchiste – Sans les globalistes, il n’y a pas de foule gauchiste, sans la foule gauchiste, les globalistes seront effacés.
Les globalistes cherchent à soumettre le monde et, pour ce faire, ils doivent saper les principes fondamentaux de l’interaction et de la compréhension humaines. Ils se sont alliés à la gauche politique pour semer le chaos dans la population, la distraire et la déstabiliser pendant que le pouvoir en place enroule ses tentacules autour des moindres vestiges de liberté privée.
Notre plus grand espoir est que les citoyens adoptent une attitude hostile et refusent de faire le moindre compromis. Nous devons commencer à appeler la gauche politique pour ce qu’elle est vraiment : la main de fer de la cabale globaliste. Il ne peut y avoir de compromis lorsqu’il s’agit de nos principes fondamentaux. Il n’y a plus de tolérance à l’égard de la déconstruction, plus de laxisme à l’égard des saboteurs. Si un groupe subversif tente de détruire le tissu moral qui rend l’Occident fonctionnel et libre, s’il souhaite éradiquer l’héritage pour lequel nos fondateurs se sont battus, alors nous devons faire comme les fondateurs et éliminer la menace.
Brandon Smith
Traduit par Hervé pour le Saker Francophone