Raphaël Rossello, banquier d’investissement.
Gilles Raveaud, professeur d’économie, journaliste.
« Je t'ai dit que vos pensées se prolongent en ondes vibrantes et animées, or ces effluves ont une composition analogue à celle de la matière, elle aussi, vibrante et animée ; ils agissent et se comportent de la même façon, ils contiennent la vie immanente. De ceci résulte, que vos pensées vivent et propagent la vie.
Il en est de même, je te l'ai dit, du regard... du rayon envoyé par vos yeux... ce rayon est vivant, physiologiquement vivant, si je puis dire. »(2)
Il y a non seulement vie, mais intelligence et volonté:
« En effet, si vous admettez que la pensée est cette énergie vivante qui se transporte et se transmet, il ne peut plus être question ici d'une force, mécanique ou servile du fait qu'elle serait dépourvue de volonté ; cette fois, ce sont des décisions prises par une volonté agissante, propulsive ou restrictive selon son libre choix, colorée par une opinion personnelle due à la réflexion. (3)
« … mais aussi des "entités spirituelles" (émanations de leurs forces psychiques), des "énergies", qui prennent un corps, et peuvent être bonnes ou perverses... Il vous est parfois donné de les apercevoir : lorsqu'elles naissent d'impulsions élevées et pures, elle vous apparaissent sous forme d'étoiles, de flammes, voire même de fantômes, subjectifs et passagers : mais elles peuvent aussi prendre l'aspect monstrueux de bêtes fantastiques, lorsqu'elles proviennent d'un sentiment vicieux ou bas. Ces "larves" dont les païens avaient fréquemment vérifié la positivité effrayante ne sont ni un rêve, ni une hallucination... D'ailleurs, même les forces cosmiques sont douées de vie
et :
«Par conséquent, elles ont une mission (bien difficile à vous prouver)... elles doivent la remplir, pour éviter des défaillances solidaires qui pourraient avoir une importance capitale. Rien pourtant ne les oblige à cette obéissance ».
Roland de Jouvenel va tout à fait dans le même sens :
« Plusieurs esprits du mal peuvent revêtir cette forme vis-à-vis des hommes. C'est un égrégore humain. Ce sont des émanations du mental humain qui arrivent à condenser cette force. Les hommes le créent. il n'a pas de vie concrète. Il n'y a que Dieu qui vit et peut créer . Il n'y a que Dieu qui vit. Satan a une vie éphémère que les hommes pourraient anéantir à l'instant même, si seulement ils voulaient penser dans la pensée de Dieu. Le mal ne durera pas toujours, tandis que Dieu existera éternellement...
« Je t'ai dit que vos pensées se prolongent en ondes vibrantes et animées, or ces effluves ont une composition analogue à celle de la matière, elle aussi, vibrante et animée ; ils agissent et se comportent de la même façon, ils contiennent la vie immanente. De ceci résulte, que vos pensées vivent et propagent la vie.
Il en est de même, je te l'ai dit, du regard... du rayon envoyé par vos yeux... ce rayon est vivant, physiologiquement vivant, si je puis dire. »(2)
Il y a non seulement vie, mais intelligence et volonté:
« En effet, si vous admettez que la pensée est cette énergie vivante qui se transporte et se transmet, il ne peut plus être question ici d'une force, mécanique ou servile du fait qu'elle serait dépourvue de volonté ; cette fois, ce sont des décisions prises par une volonté agissante, propulsive ou restrictive selon son libre choix, colorée par une opinion personnelle due à la réflexion. (3)
« … mais aussi des "entités spirituelles" (émanations de leurs forces psychiques), des "énergies", qui prennent un corps, et peuvent être bonnes ou perverses... Il vous est parfois donné de les apercevoir : lorsqu'elles naissent d'impulsions élevées et pures, elle vous apparaissent sous forme d'étoiles, de flammes, voire même de fantômes, subjectifs et passagers : mais elles peuvent aussi prendre l'aspect monstrueux de bêtes fantastiques, lorsqu'elles proviennent d'un sentiment vicieux ou bas. Ces "larves" dont les païens avaient fréquemment vérifié la positivité effrayante ne sont ni un rêve, ni une hallucination... D'ailleurs, même les forces cosmiques sont douées de vie
et :
«Par conséquent, elles ont une mission (bien difficile à vous prouver)... elles doivent la remplir, pour éviter des défaillances solidaires qui pourraient avoir une importance capitale. Rien pourtant ne les oblige à cette obéissance ».
Roland de Jouvenel va tout à fait dans le même sens :
« Plusieurs esprits du mal peuvent revêtir cette forme vis-à-vis des hommes. C'est un égrégore humain. Ce sont des émanations du mental humain qui arrivent à condenser cette force. Les hommes le créent. il n'a pas de vie concrète. Il n'y a que Dieu qui vit et peut créer . Il n'y a que Dieu qui vit. Satan a une vie éphémère que les hommes pourraient anéantir à l'instant même, si seulement ils voulaient penser dans la pensée de Dieu. Le mal ne durera pas toujours, tandis que Dieu existera éternellement...
"Ravi d’avoir rejoint Twitter (écrit Schwab). Je me réjouis d’entendre de vos nouvelles ici, alors que nous nous préparons pour la semaine Davos Agenda du World Economic Forum, qui se déroulera virtuellement en janvier 2021." [...]
"Ravi d’avoir rejoint Twitter (écrit Schwab). Je me réjouis d’entendre de vos nouvelles ici, alors que nous nous préparons pour la semaine Davos Agenda du World Economic Forum, qui se déroulera virtuellement en janvier 2021." [...]
Aussi longtemps que j'aurai la respiration, que le souffle de Dieu sera dans mes narines, mes lèvres ne proféreront rien d’inique, ma langue ne méditera pas le mensonge. (Job 27,3)
Aussi longtemps que j'aurai la respiration, que le souffle de Dieu sera dans mes narines, mes lèvres ne proféreront rien d’inique, ma langue ne méditera pas le mensonge. (Job 27,3)
sur le site : https://h16free.com/
L’actualité internationale a ceci d’intéressant qu’elle met chaque jour en lumière de façon plus crue l’utilisation de doubles standards éhontés dans la bouche des politiciens et des médias de connivence.
Or, si jusqu’à présent il était entendu que la plupart des politiciens mentent, on pouvait encore jusqu’à quelques années croire à l’effort de certains médias de donner la parole à tous les bords de l’échiquier politique ou, au moins, à un panel sinon représentatif mais au moins varié d’opinions dont certaines dissonantes du discours politique officiel ou de celui de la majorité.
Ce n’est plus le cas : non seulement, les discours alternatifs n’ont plus cours dans les médias mais en plus en sont-ils chassés et poursuivis avec application. S’il y a encore cinq ou six ans, les médias pouvaient se contenter de passer sous silence certaines positions ou opinions qui ne leur plaisaient pas, il est maintenant attendu de ces mêmes médias qu’ils emploient toute la puissance de leur frappe informationnelle pour classifier cette opposition dans la case des tabous et d’en poursuivre les auteurs (par quolibets ou voie de justice au besoin). Il n’est plus seulement nécessaire de bien faire comprendre ce qui est autorisé ou non dans le discours public, il devient indispensable de s’assurer que ceux qui osent les paroles interdites seront correctement et impitoyablement pourchassés, bannis ou ostracisés.
Le quatrième pouvoir, jadis destiné à remettre en cause la parole publique et la voix officielle des gouvernements, met maintenant sa puissance au service de ces gouvernements pour écrabouiller aussi complètement que possible toute dissidence.
Cependant, l’opposition, même ainsi rendue muette puis pourchassée, n’en existe pas moins et elle cherche donc à s’exprimer malgré tout, par tous les moyens possibles. Ceci aboutit à des situations ubuesques (et souvent cocasses) où politiciens et médias adoubés de l’accord officiel se retrouvent à devoir expliquer leurs doubles standards devenu impossible à camoufler. Ainsi, les mensonges d’hier, ressortis maintenant à l’identique, deviennent si évidents, si grossiers que ceux qui les sortaient à l’époque sans trembler des genoux doivent maintenant patauger dans des circonvolutions rhétoriques pour s’expliquer (sans plus vraiment y parvenir), et il suffira de piocher dans l’actualité récente pour illustrer le phénomène qui ne cesse de gagner en importance.
Ainsi, l’immigration incontrôlée devient maintenant difficile à justifier alors qu’on accumule les faits divers désagréables impliquant justement les effets directs et indirects de l’absence de tout contrôle de cette immigration. Récemment, l’hypocrisie des bobos de gauche américains a éclaté au grand jour lorsque des gouverneurs de Floride et du Texas ont fait envoyer quelques dizaines d’immigrants illégaux dans les villes dont les maires s’étaient crânement déclarés ultra-favorables à ces populations…
Ainsi, on observe exactement le même type de comportements hypocrites lorsqu’on évoque la transition écologique, toujours perçue comme nécessaire et alléchante jusqu’au moment où l’éolienne et les panneaux photovoltaïques devront s’implanter à 50 mètres de chez soi, ou sur l’horizon qu’on appréciait pourtant lorsqu’il était dégagé…
Petit-à-petit, le citoyen se rend compte que ceux qui professent sans arrêt la « sobriété énergétique » dont on nous tympanise les oreilles à longueur d’émission sont aussi ceux qui s’en mettent le plus à l’abri : Bill Gates et ses multiples jets privés, Al Gore et sa maison gigantesque, le Roi Charles qui ne s’épargne aucun déplacement aux factures carbone roboratives pour ne citer que les plus emblématiques ; plus proche de nous en France, les ministres et autres clowns républicains qui se déplacent rarement à vélo et jamais sans une solide escorte (le peuple pourrait ne pas s’économiser d’un affront quelconque, hein), jusqu’à ces journalistes ou ces starlettes qui prétendent lutter contre le réchauffement climatique depuis leurs yachts ou leurs jets et à coups de slogans faciles. Bref, ce sont systématiquement ceux qui se gargarisent d’économies et de « modestie » énergétique qui en font, de loin, la plus mauvaise démonstration, col roulé compris.
Cela va en réalité (beaucoup) plus loin puisqu’on découvre maintenant les mêmes brochettes de vedettes de pacotille prétendre s’enfiler des insectes en snacks goûtus comme autant de petits soldats du discours officiel qu’il va bien falloir se passer de viande et remplacer nos steaks par des vers de farine, alors même qu’ils seront effectivement les derniers à abandonner la bonne chère au profit de la croustillance douteuse d’une chitine difficile à digérer. De la même façon, c’étaient les mêmes vedettes parfaitement hypocrites qui soulignaient l’importance du « Restez Chez Vous » et qu’on retrouvait agglutinées dans les dîners de la bonne société, alors même que les confinements les interdisaient très officiellement.
L’hypocrisie de ces individus n’a plus de limite, mais alors qu’elle n’était encore qu’évoquée, elle devient aussi visible que dénonçable, partout, tout le temps : à mesure que chacun d’entre nous aura pu voir disparaître les voix dissidentes des plateaux télé et des réseaux sociaux, à mesure qu’on a pu voir se concentrer journalistes et médias de révérence sur les mêmes têtes de vainqueurs pendant les précédentes crises, chacun voit à présent se fissurer la belle assurance de ces aigrefins à mesure que les faits leur donnent tort.
Ainsi est-il maintenant visible que les Fact Checkers ne vérifient qu’un seul côté des discours et que lorsqu’ils s’aventurent à « fact-checker » (enfin et rarement) les niaiseries ou les mensonges des politiciens en odeur de sainteté avec le pouvoir, c’est pour mieux leur donner raison, souvent d’une façon si gluante et obséquieuse qu’elle en devient gênante pour le lecteur. La plupart des gens raisonnables savent maintenant que les articulets de ces officines de fact-checking, du reste généralement payées par les pouvoirs en place, ne sont qu’une propagande grossière presqu’entièrement basée sur la lecture partielle d’une titraille étudiée pour pousser une certaine réalité, tant il est vrai (malheureusement) que les lecteurs ne vont que rarement au-delà du titre ou des deux premiers paragraphes…
Oui, le double standard et l’hypocrisie règnent en maître dans les médias, dans la bouche des politiciens, des « journalistes », des starlettes et de ces « scientifiques » qui prétendent détenir une vérité si solide que toute discussion à son sujet est immédiatement interdite, bannie et entravée de toutes les façons possibles.
Mais à ce « deux poids, deux mesures » et cette hypocrisie permanente répondent maintenant les faits et la réalité qui, malgré les exhortations des uns et des autres à les oublier, refusent de plier. Petit-à-petit, il devient impossible d’endiguer les commentaires acides de plus en plus nombreux de ceux qui, restés sur le côté, observent le décalage croissant entre la « science » et la réalité, entre le comportement prêché et le comportement réel.
Ceux qui ânonnaient les sermons officiels ont longtemps été plus nombreux que ceux qui les refusaient. C’est en train de changer, lentement certes, mais sûrement et notamment parce que l’hypocrisie devient plus visible. Il importe maintenant qu’elle soit montrée à chaque fois que cela est possible.
sur le site : https://h16free.com/
L’actualité internationale a ceci d’intéressant qu’elle met chaque jour en lumière de façon plus crue l’utilisation de doubles standards éhontés dans la bouche des politiciens et des médias de connivence.
Or, si jusqu’à présent il était entendu que la plupart des politiciens mentent, on pouvait encore jusqu’à quelques années croire à l’effort de certains médias de donner la parole à tous les bords de l’échiquier politique ou, au moins, à un panel sinon représentatif mais au moins varié d’opinions dont certaines dissonantes du discours politique officiel ou de celui de la majorité.
Ce n’est plus le cas : non seulement, les discours alternatifs n’ont plus cours dans les médias mais en plus en sont-ils chassés et poursuivis avec application. S’il y a encore cinq ou six ans, les médias pouvaient se contenter de passer sous silence certaines positions ou opinions qui ne leur plaisaient pas, il est maintenant attendu de ces mêmes médias qu’ils emploient toute la puissance de leur frappe informationnelle pour classifier cette opposition dans la case des tabous et d’en poursuivre les auteurs (par quolibets ou voie de justice au besoin). Il n’est plus seulement nécessaire de bien faire comprendre ce qui est autorisé ou non dans le discours public, il devient indispensable de s’assurer que ceux qui osent les paroles interdites seront correctement et impitoyablement pourchassés, bannis ou ostracisés.
Le quatrième pouvoir, jadis destiné à remettre en cause la parole publique et la voix officielle des gouvernements, met maintenant sa puissance au service de ces gouvernements pour écrabouiller aussi complètement que possible toute dissidence.
Cependant, l’opposition, même ainsi rendue muette puis pourchassée, n’en existe pas moins et elle cherche donc à s’exprimer malgré tout, par tous les moyens possibles. Ceci aboutit à des situations ubuesques (et souvent cocasses) où politiciens et médias adoubés de l’accord officiel se retrouvent à devoir expliquer leurs doubles standards devenu impossible à camoufler. Ainsi, les mensonges d’hier, ressortis maintenant à l’identique, deviennent si évidents, si grossiers que ceux qui les sortaient à l’époque sans trembler des genoux doivent maintenant patauger dans des circonvolutions rhétoriques pour s’expliquer (sans plus vraiment y parvenir), et il suffira de piocher dans l’actualité récente pour illustrer le phénomène qui ne cesse de gagner en importance.
Ainsi, l’immigration incontrôlée devient maintenant difficile à justifier alors qu’on accumule les faits divers désagréables impliquant justement les effets directs et indirects de l’absence de tout contrôle de cette immigration. Récemment, l’hypocrisie des bobos de gauche américains a éclaté au grand jour lorsque des gouverneurs de Floride et du Texas ont fait envoyer quelques dizaines d’immigrants illégaux dans les villes dont les maires s’étaient crânement déclarés ultra-favorables à ces populations…
Ainsi, on observe exactement le même type de comportements hypocrites lorsqu’on évoque la transition écologique, toujours perçue comme nécessaire et alléchante jusqu’au moment où l’éolienne et les panneaux photovoltaïques devront s’implanter à 50 mètres de chez soi, ou sur l’horizon qu’on appréciait pourtant lorsqu’il était dégagé…
Petit-à-petit, le citoyen se rend compte que ceux qui professent sans arrêt la « sobriété énergétique » dont on nous tympanise les oreilles à longueur d’émission sont aussi ceux qui s’en mettent le plus à l’abri : Bill Gates et ses multiples jets privés, Al Gore et sa maison gigantesque, le Roi Charles qui ne s’épargne aucun déplacement aux factures carbone roboratives pour ne citer que les plus emblématiques ; plus proche de nous en France, les ministres et autres clowns républicains qui se déplacent rarement à vélo et jamais sans une solide escorte (le peuple pourrait ne pas s’économiser d’un affront quelconque, hein), jusqu’à ces journalistes ou ces starlettes qui prétendent lutter contre le réchauffement climatique depuis leurs yachts ou leurs jets et à coups de slogans faciles. Bref, ce sont systématiquement ceux qui se gargarisent d’économies et de « modestie » énergétique qui en font, de loin, la plus mauvaise démonstration, col roulé compris.
Cela va en réalité (beaucoup) plus loin puisqu’on découvre maintenant les mêmes brochettes de vedettes de pacotille prétendre s’enfiler des insectes en snacks goûtus comme autant de petits soldats du discours officiel qu’il va bien falloir se passer de viande et remplacer nos steaks par des vers de farine, alors même qu’ils seront effectivement les derniers à abandonner la bonne chère au profit de la croustillance douteuse d’une chitine difficile à digérer. De la même façon, c’étaient les mêmes vedettes parfaitement hypocrites qui soulignaient l’importance du « Restez Chez Vous » et qu’on retrouvait agglutinées dans les dîners de la bonne société, alors même que les confinements les interdisaient très officiellement.
L’hypocrisie de ces individus n’a plus de limite, mais alors qu’elle n’était encore qu’évoquée, elle devient aussi visible que dénonçable, partout, tout le temps : à mesure que chacun d’entre nous aura pu voir disparaître les voix dissidentes des plateaux télé et des réseaux sociaux, à mesure qu’on a pu voir se concentrer journalistes et médias de révérence sur les mêmes têtes de vainqueurs pendant les précédentes crises, chacun voit à présent se fissurer la belle assurance de ces aigrefins à mesure que les faits leur donnent tort.
Ainsi est-il maintenant visible que les Fact Checkers ne vérifient qu’un seul côté des discours et que lorsqu’ils s’aventurent à « fact-checker » (enfin et rarement) les niaiseries ou les mensonges des politiciens en odeur de sainteté avec le pouvoir, c’est pour mieux leur donner raison, souvent d’une façon si gluante et obséquieuse qu’elle en devient gênante pour le lecteur. La plupart des gens raisonnables savent maintenant que les articulets de ces officines de fact-checking, du reste généralement payées par les pouvoirs en place, ne sont qu’une propagande grossière presqu’entièrement basée sur la lecture partielle d’une titraille étudiée pour pousser une certaine réalité, tant il est vrai (malheureusement) que les lecteurs ne vont que rarement au-delà du titre ou des deux premiers paragraphes…
Oui, le double standard et l’hypocrisie règnent en maître dans les médias, dans la bouche des politiciens, des « journalistes », des starlettes et de ces « scientifiques » qui prétendent détenir une vérité si solide que toute discussion à son sujet est immédiatement interdite, bannie et entravée de toutes les façons possibles.
Mais à ce « deux poids, deux mesures » et cette hypocrisie permanente répondent maintenant les faits et la réalité qui, malgré les exhortations des uns et des autres à les oublier, refusent de plier. Petit-à-petit, il devient impossible d’endiguer les commentaires acides de plus en plus nombreux de ceux qui, restés sur le côté, observent le décalage croissant entre la « science » et la réalité, entre le comportement prêché et le comportement réel.
Ceux qui ânonnaient les sermons officiels ont longtemps été plus nombreux que ceux qui les refusaient. C’est en train de changer, lentement certes, mais sûrement et notamment parce que l’hypocrisie devient plus visible. Il importe maintenant qu’elle soit montrée à chaque fois que cela est possible.
Pour la dizaine de millions de russophones qui ont eu le malheur de voter pour le rattachement de leur région à la Russie ce sera la valise ou le cercueil … Zélensky est un drôle de démocrate
Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a salué le sabotage des gazoducs Nord Stream, le qualifiant de » formidable opportunité » de détourner les pays de l’Union européenne des ressources énergétiques russes pendant le froid hivernal qui approche. Les Usa ont brisé les deux genoux à l’Europe mais sympas ils lui vendent un fauteuil roulant
Blinken s’est vanté vendredi que les États-Unis sont désormais « le premier fournisseur de [gaz naturel liquéfié (GNL)] en Europe », ajoutant qu’en plus d’exporter son propre carburant vers l’Europe, les États-Unis travaillent avec les dirigeants européens pour trouver des méthodes pour » réduire la demande » et « accélérer la transition vers les énergies renouvelables ».
« C’est une opportunité fantastique de mettre fin une fois pour toutes à notre dépendance à l’énergie russe, et donc de priver [le président russe] Vladimir Poutine de la militarisation de l’énergie comme moyen de faire avancer ses aspirations impériales », a poursuivi le haut diplomate américain.
À l’approche de l’hiver, Blinken a souligné que les États-Unis cherchent depuis des années à persuader les dirigeants européens d’échanger du gaz russe contre du GNL.
Les États-Unis sont ceux qui bénéficieront le plus de la perte des gazoducs Nord Stream 1 et Nord Stream 2, qui ont été détruits plus tôt cette semaine par une série d’explosions sur l’île danoise de Bornholm.
La nouvelle intervient après que la société énergétique russe Gazprom a déclaré plus tôt vendredi que la gravité des dommages aux conduites sous-marines signifie que l’UE sera « indéfiniment privée » de gaz russe via cette route.
Alors que les États-Unis peuvent désormais exporter leur GNL plus cher vers l’Europe, la pénurie ne sera pas comblée immédiatement.
Pendant ce temps, les prix de l’énergie augmentent dans toute l’Europe, notamment en Allemagne, qui fait face à une «désindustrialisation» rapide, alors que des manifestants sont descendus dans la rue quelques jours avant les explosions pour demander la réouverture de Nord Stream 2.
Selon Blinken (secrétaire d’Etat de Biden), l’attentat à la bombe contre l’oléoduc Nord Stream « offre une formidable opportunité stratégique pour les années à venir »… pour les USA…
Sont des crimes de guerre :
- Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre la population civile en tant que telle ou contre des civils qui ne participent pas directement aux hostilités ;
- Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre des biens de caractère civil, c’est-à-dire des biens qui ne sont pas des objectifs militaires ;
- Le fait de diriger intentionnellement une attaque en sachant qu’elle causera incidemment des pertes en vies humaines dans la population civile, des blessures aux personnes civiles, des dommages aux biens de caractère civil ou des dommages étendus, durables et graves à l’environnement naturel qui seraient manifestement excessifs par rapport à l’ensemble de l’avantage militaire concret et direct attendu. (statut de Rome, Art. 8, Crimes de guerre)
Zelensky emploi le mot « bouc émissaire » en toute conscience puisqu’il sait que le peuple russe se compose de femmes, d’enfants… de personnes totalement innocentes, il est donc prêt à les sacrifier en toute connaissance de cause jusqu’au dernier, afin qu’ils paient le prix de la guerre voulu par les Occidentaux.
Aux référendums d’adhésion à la Russie dans les Républiques populaires de Donetsk et Lougansk, ainsi que dans les régions de Kherson et Zaporijia, les populations ukrainiennes russophones du Donbass ont voté afin de rejoindre la grande Russie. Elles sont prioritairement menacées par les propos du président Zelensky. Ces menaces — qui ne datent pas d’hier — rappellent celles de l’ancien président ukrainien, Petro Porochenko, lors d’une représentation au théâtre de l’opéra d’Odessa, le 23 octobre 2014, il avait annoncé la couleur quant à la façon de gagner la guerre contre les populations ukrainiennes russophones du Dombass : « Nous aurons du travail, eux non ! Nous auront des retraites, eux non ! Nous aurons des avantages pour les retraités et les enfants, eux non ! Nos enfants iront à l’école et à la garderie, leurs enfants resteront dans les caves du sous-sol ! Parce qu’ils ne savent rien faire ! Et c’est comme ça, précisément comme ça que nous gagnerons la guerre ! »
« Leurs enfants se terreront dans des caves » : Porochenko, une certaine idée de l’Humanisme